La Mère De Mon Copain

Julien et moi sommes dans la même classe de terminale. A l'approche du baccalauréat, nous avons décidé de réviser ensemble chez Julien, dont les parents sont absents pour 15 jours. Les parents de mon copains sont aisés financièrement, et leur maison est luxueuse. Après une journée studieuse bien remplie, nous pouvons nous détendre dans la piscine ou dans le hammam, ce qui est particulièrement agréable pour libérer la tension accumulée dans nos corps et nos esprits. Ce jour-là, Julien m'avait proposé de l'attendre chez lui. Mon copain devait faire une course dans la ville voisine et rentrer en fin d'après-midi pour que nous reprenions les révisions. C'était donc un jour de relâche, j'étais seul chez Julien et je décidais d'en profiter pour me relaxer dans le hammam. J'entendis soudain un bruit dans la maison, je pensais que c'était Julien mais cela m'étonnait qu'il soit déjà de retour, il était à peine midi. Je criais " c'est toi Julien, je suis dans le hammam ". Personne ne répondit , puis la porte du hammam s'ouvrit et je vit la mère de mon copain entrer. - " Oh ! bonjour madame, j'attends Julien pour réviser les examens, il doit rentrer en fin d'après-midi. En attendant, je me suis permis de… " - " Tu as très bien fait Tony, il n'y a aucun problème, tu peux en profiter " - " Je pensais que vous étiez en voyage, si j'avais su que vous deviez rentrer… " - " En effet, je suis là pour quelques heures seulement, Je dois prendre un autre avion dans quelques heures." - " je peux revenir plus tard si vous préférez. " - " tu peux rester, tu ne me dérange pas, mais peut-être es-tu gêné de voir la mère de ton copain en tenue d'Eve ? " - " non, non madame, je ne suis pas gêné. ". En réalité, j'étais très gêné, moi en tenue d'Adam, avec un slip pour seule étoffe, et cette femme de quarante ans, qui plus est la mère de mon copain à mes cotés dans un endroit plutôt propice à la sensualité. Elle se tenait debout, à moins d'un mètre de moi, elle dénoua la ceinture de son peignoir et fit le glisser lentement le long de son corps.

C'est une femme sublime, elle portait un string très sexy, je portais mon regard sur son corps magnifique, sur sa poitrine voluptueuse, sur le minuscule carré d'étoffe qui cachait à peine son intimité, sur ses jambes longues et fines. Je me répétais sans cesse " il ne faut pas que j'ai d'érection, il ne faut pas que j'ai d'érection ". Cette femme produisit sur moi un effet que je n'avais encore jamais connu auparavant. Je sentais mon sexe se durcir progressivement, mais j'arrivais tout de même à le contrôler jusque là. Elle vint s'asseoir tout près de moi. - " ces voyages en avion et tous ces décalages horaires sont usants pour le corps, j'ai besoin de me détendre un peu. Toi aussi tu dois avoir besoin d'évacuer les tensions accumulées après plusieurs heures de révisions. " dit-elle, en laissant galoper ses mains le long de son corps. - " comment trouves-tu mes seins ? " - " très beaux madame, ils sont vraiment très beaux. " - " as-tu une petite amie ?, tu dois certainement avoir beaucoup de succès auprès des filles. " - " Je n'ai pas de petite amie, je me dis que j'ai encore le temps pour ça devant moi " La mère de Julien portait sans tabou son regard sur la bosse que le sexe de Tony, difficilement maintenu au repos, formait sous son slip. - " ce garçon a un beau corps musclé, et il semble très bien monté " pensa-t-elle intérieurement. - " as-tu déjà fait l'amour à une femme, Tony ? " - " non madame, pas encore, je suis encore vierge, j'ai bien eu quelques occasions mais je préfère attendre un moment propice à cela, sans me précipiter, je veux que la première fois soit inoubliable. " - " comment trouves-tu mes jambes ? " - " très belle madame, elles sont vraiment très belles. Vous êtes vraiment très belle " - " tu as envie de les toucher ? " - " oui, j'en ai envie, mais que va dire votre mari ? " - " mon mari n'est pas là, il n'en saura rien et puis ça ne le regarde pas. " Elle saisit ma main et la porta sur ses genoux, puis la fit remonter lentement le long de ses cuisses, me permettant d'effleurer le bout de tissu posé entre ses jambes, pour continuer ensuite le long de son ventre jusqu'à ses seins.
Je ne pouvais plus retenir, ni dissimuler mon érection. C'était la première fois que je caressais ainsi une femme et qui plus est la mère de mon copain. - " je vois que ça ne te déplaît pas. " me dit-elle en portant son regard sur mon sexe turgescent, prêt à s'échapper de mon slip trop étroit. - " suis-moi, j'ai envie de te faire un petit cadeau si tu le veux, personne n'en saura jamais rien, ceci restera entre toi et moi, ce sera notre secret. " - " d'accord "dis-je, la voix tremblotante. Elle prit ma main et m'entraîna dans la salle de bain. Je pouvais voir à loisir ses fesses galbées danser devant moi dans sa démarche élégante et sensuelle. Je me demandais si je n'allais pas éjaculer avant même d'arriver jusqu'à la douche. Elle ouvrit le robinet d'eau, agrippa l'élastique de mon slip et le fit glisser lentement. Mon sexe tendu surgit. - " comme tu es bien monté, encore mieux que mon mari " me dit-elle. Elle m'entraîna sous la douche, fit mousser du savon dans ses mains et commença à l'appliquer sur mon corps. D'abord sur mon torse, puis sur mon sexe érigé, me branlant d'une main et massant délicatement mes couilles de l'autre. Ce contact m'excitait tant que je ne pu me retenir plus longtemps et j'éjaculais très vite dans ses mains. J'étais un peu honteux de cette éjaculation précoce mais je ne tardais pas à retrouver à nouveau des forces. - " tu es beau quand tu jouis, j'ai senti ton sexe se gonfler et ton sperme inonder mes mains, quelle force tu as, et quelle quantité de foutre " - " j'ai été un peu rapide, mais c'est la première fois pour moi vous comprenez… " - " tu n'as pas à avoir honte, c'est normal tu sais, les premières fois ça fait souvent ça. Viens, sortons de la douche. " Elle m'entraîna ensuite jusqu'à la chambre à coucher et m'allongea sur le lit king-size recouvert de draps de soie. J'avais retrouvé mes forces et arborais à nouveau une magnifique érection. Elle se mit au-dessus de moi, et descendit jusqu'à mon sexe. - " détends-toi, je te faire découvrir autre chose, tu vas aimer, tous les hommes aiment ça " Elle commença à lécher la base de mon sexe, puis remonta lentement, léchant le pourtour de mon gland, l'enfourna dans sa bouche, commença un lent va-et-vient.
Elle agrippa la base de mon sexe d'une main qu'elle agitait avec savoir-faire, son autre main courait de mon torse jusqu'à ma toison pubienne. Sous l'effet de cette nouvelle sensation de plaisir extrême que je découvrais aussi pour la première fois, je me demandais si je pouvais me retenir d'éjaculer précocement à nouveau. Je parvint à tenir à peine plus longtemps. Le spectacle sublime de cette femme suçant mon sexe, la vision de ses fesses haut-cambrées, me firent éjaculer une deuxième fois, cette fois-ci dans sa bouche. Je fus surpris qu'elle avale ainsi toute ma semence mais ceci ne m'a pas déplu. - " tu es vraiment bien monté, j'ai pris beaucoup de plaisir à te faire une fellation, j'ai l'impression que ça t'a plu aussi. " me disait-elle, tout en continuant à caresser mon sexe qui ne tardait pas à durcir à nouveau. Elle s'allongea à mes cotés. - " viens sur moi, pénètre-moi maintenant, introduis ton sexe dans le mien " Maladroitement, je cherchais l'entrée de son intimité entre ses jambes écartées. Je m'enfonçais soudain dans cet antre chaud, humide et si confortable. Quelle sensation extrême, quel plaisir unique. Elle laissait échapper des soupirs et cambrait ses reins, caressait ses seins, ses hanches. - "ouiiii, plus vite maintenant, plus vite, quelle queue tu as, hummm… " J'accélérais mes va-et-vient, prenant de l'assurance, embrassant l'intérieur de son cou, ses seins, promenant mes mains sur ses hanches, sur ses cuisses, attrapant ses fesses que je soulevais légèrement. - " jouie en moi, aaahh… viens, je vais venir aussi, aaaaaahhhh ouiiiiiiiiiii…. " Nous atteignions l'orgasme en même temps, ce fut merveilleux. Quelle première fois ! Nous nous sommes rhabillés, la mère de Julien est partie vers d'autres destinations lointaines. Au retour de Julien, nous avons repris nos révisions, j'avais un peu de mal à trouver ma concentration après ce que venais de vivre. Ni Julien, ni son père n'en ont jamais rien su. Nous avons eu finalement le bac tous les deux.

Namtam.


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