Nouveau Job Épisode 1
Je suis très longtemps restée avec le même homme.
Malheureusement dans la région où nous habitions, aucun job ne correspondait à mon diplôme. Je travaillais donc comme serveuse dans un restaurant haut de gamme pas très loin de chez moi. Luniforme de lendroit était classique : chemisier blanc et jupe noire
Parmi les clients certains revenaient pour moi, je le savais mais
lamour en tête je ny attachais aucune importance.
Un jeudi soir après une dispute définitive avec mon petit ami, je me retrouve à la rue, sans endroit où dormir. Je dors dans ma voiture et le lendemain, je me présente à mon job, métant refaite une beauté du mieux que je pouvais. Apparement cela nétait pas suffisant. Si bien quun habitué me demande ce quil marrive, et là, sans que je ne puisse me contrôler, je me mets à pleurer et à tout déballer, mon mec, la voiture, et le reste. Je pleurais comme une gamine.
Gentil, il me calme, me dit que je peux passer la nuit chez lui, que sa maison est grande et quil ny a personne, que demain, en ayant dormi, ça irait mieux. Je lécoute me rassurer et jaccepte. Il mattend à la fin de mon service et là, miracle, il ne se jette pas sur moi, me donne une clé de la maison, me montre une chambre, avec verrou
Persuadée davoir affaire à un gentil monsieur, je vais dormir. Le lendemain pareil , il passe sa journée dans son bureau et je pars travailler. Le soir, en rentrant, je mapercois quil mattend. Il me demande si je vais mieux, moffre un verre.
Je massois sur le bord du divan, un peu tendue. Il me demande quel est mon diplôme à lorigine. Planning manager, titre pompeux pour une petite secrétaire de planning. Il me dit que si je désire quitter le région, il a un job pour moi, dans sa boite, à Bruxelles. Appart de fonction pas trop loin du bureau, dans le même immeuble que le sien. Si je veux accepter, il repart demain après midi
. Je réfléchis peu et au milieu de la nuit, je redescend, il est encore dans son bureau, je lui annonce que jaccepte
Il sourit, sors un contrat type que je lis à peine et que je signe.
Une fois cela fait il mannonce que nous allons fêter ça
il sort le champagne, je refuse, je suis vite saoûle, il me force la main
un verre, deux
Je perds léquilibre
Il me tiens et mamène à un grand divan moelleux dans un coin de son bureau
il commence à me déshabiller.. je proteste un peu, mais vu le contrat et lalcool, je cesse bien vite de réclamer.. Le chemisier part, ma jupe suit
je suis en sous vêtements
Cest alors quil ouvre sa braguette et sort sa queue, plus grosse que celle de mon ex
Il lapproche et me la presse contre les lèvres
Je me mets à le sucer du mieux que je peux
. Mais ma position ne me facilite pas les choses
alors je descend à quatre pattes du divan, je me redresse, me voilà à genoux
je reprend ma pipe
. Cest alors que le téléphone sonne
. Il me dit de le suivre, je mapproche donc du bureau toujours à genoux et pendant quil parle en anglais je continue ma fellation : je le lèche sur toute la longueur puis je lembouche et je fais monter et descendre mes lèvres de plus en plus loin, de plus en plus vite aussi
la tête me tourne
Alors quil parle toujours, jentends brusquement un silence puis je reçois en pleine bouche une quantité de sperme impressionnante
. Il mappuie de sa main libre sur la tête, je suis e de tout avaler
Il recommence à parler, sexcuse, je crois davoir été interrompu, et me relache, je mécroule sur le sol
Sa conversation terminée, il maide à me relever et me ressert un verre que je bois avidemment
Il me dit que la nuit nest pas finie et me demande de me placer contre son bureau, il me pousse en avant, je suis à moitié couchée, il dégraffe mon soutien
le bois est froid sous mes seins
. Il caresse mes fesses, les écarte, puis à laide du champagne restant, il me mouille juste entre les fesses
Quelle sensation ! Les petites bulles, me mette dans tous mes états
Mais je reprend vite mes esprit quand il place son gland juste à lentrée de mon petit trou ! Je crie mais il me maintient dune main sur le dos et sa queue senfonce doucement
Ca fait mal
.
Lorsque je sens ses couilles toucher mes fesses, je suis en larmes, jhurle
. Il se met à remuer, doucement dabord, puis plus vite, de plus en plus vite
la douleur se transforme en plaisir, je cesse mes cris, je gémis
. Il me dit alors que ce sera mon job, je me ferai prendre ainsi ou comme il le souhaitera tous les jours
Et il me dit adorer mon cul
. Je le sens me bourrer de plus belle
Je me dis que non, que je vais fuir puis le plaisir suivant, je décide que oui, ce sera mon job, et que oui, ça me plaira
Je jouis très vite, peu habituée à pareil traitement
Il me suit peu après déchargeant par longs jets dans mon cul
. Il mannonce que demain il recommencera chez lui, à Bruxelles et que lundi avant daller au bureau il viendra faire les boutiques avec moi pour mhabiller un peu, dit-il
Il mabandonne là, sur son bureau, le cul brulant
. Je reprend mes vêtements et tant bien que mal, je monte me coucher
réflexe stupide, je ferme le verrou
. Lorsque je descend le lendemain, il me sers une tasse de café, je préfère le lait
il sourit, me dit que ça, jaurai loccasion den boire puis me passe un verre et la bouteille de lait
Lallusion ma mise en appétit et me décidant dès mon verre terminé, je me mets à genoux devant lui, et lui dégraffe son pantalon
. Je mapplique plus encore quhier
jespère le goût de son foutre qui ma finalement tant plu cette nuit
. Je lentends soupirer au dessus de moi, jentends ses mots à mi-voix :
« oh oui ! cest bon ! vas y ! pompe moi bien ! vas y ma petite chienne !
Et ces mots, que lon ne mavait jamais dit encore mexcite au plus haut point
. Enfin je sens quil jouit
javale consciencieusement tout, jusquà la dernière goutte
Puis je file dans ma chambre autant pour me cacher que pour me masturber comme une folle
je suis sure quil ma entendue crier mon plaisir
Plus tard dans la journée, il frappe quelques coups à ma porte :
« on part dans une demi-heure »
Je fais mon sac, me choisit un t-shirt décolté avec une jupe en jeans très courte
Je descend
.
« Ca fait pute vulgaire ! Change toi ! »
Jai un choc mais je mexécute, jouvre là au mileu du hall mon sac, il sapproche et en sors mon tailleur, le seul que jaie.
« Mets ça, rien dessous, même pas un chemisier ! »
Je commence à me déshabiller puis relevant la tête je maperçois que de son bureau est sorti son chauffeur qui mobserve très attentivement
. Je rougis des pieds à la tête mais je continue à mhabiller
ma jupe, froide sans les bas ni la petite culotte, ma veste que je boutonne
. Le décolté va presque jusquau nombril
. Mon boss revient avec un foulard quil me drappe autour du cou
. En me regardant dans la glace, oui, cela fait plus habillé, il a bon goût
. Dans la voiture, assise à larrière, je nose pas bouger
puis à un moment, il tend la main vers moi, défait mon bouton de veste et écarte ma veste
. Les vitres sont teintées
sauf celle du toit
et nous dépassons beaucoup de camions
Il me dit denlever ma veste, je mexécute
Tout en lisant ses papiers, il me tord un mamelon, presque distraitement
. Puis il pose tout, ouvre sa braguette et me dit de venir sur lui
Je me place face à lui sur ses genoux sans rien dire, il relève ma jupe et me pénètre dun coup
Je commence les va et viens sans même attendre sa demande
Dieu que jaime ça
. Je me fais baiser comme une folle dans une voiture
. Il malmène mes seins en même temps, les suce, les mordille puis les relache pour mieux les reprendre en bouche après
. Je jouis juste avant lui
Quelle résistance
Je reprend ensuite mon souffle, me rassied sagement, remets ma veste et je mentends lui dire
« merci, monsieur »
. Arrivés dans limmeuble il me tend mes clefs et mannonce quil viendra me chercher demain à 9h30, je dois être habillée comme aujourdhui
. Lappartement est superbe, surtout les grandes fenêtres
. Dommage quelle ne donne que sur lintérieur de limmeuble et donc sur lappartement den face
. Où je vois soudain rentrer mon patron
Aucun rideau aux fenêtres
.
Je commence à comprendre pourquoi cet appartement
.
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