Initiation Dans Les Années 70
Je viens d'être baisé. Somptueusement. Profondément.
Nous sommes au milieu des années 70, le sida n'existe pas sinon je ne serais pas là pour écrire cette histoire. Pour la première fois je viens d'être sodomisé, enculé au plus profond de moi. J'ai reçu dans mes entrailles un sexe long et large. Il a joui en moi, son sperme dégouline de mon anus distendu, ouvert, qui porte la marque évasée de la puissante queue qui vient de me défoncer divinement. Je suis heureux, épuisé, pantelant, allongé à plat ventre sur le matelas, les cuisses écartées, le cul bien ouvert. Et ce sperme qui coule sur mes couilles, poursuit sa course pour s'étaler en flaque blanche sur les draps. Je suis offert au regard de mon amant et j'en suis conscient. Inconsciemment, j'ai pris la pose que j'affectionne tant de ma copine quand elle vient d'être prise ou qu'elle me désire ardemment. Allongée, cuisses ouvertes, vulve ouverte, mouillée de désir. Offerte.
Je suis offert à mon amant et j'aime ça. Je veux qu'il me pénètre à nouveau. Qu'il m'encule encore et encore. Je veux sentir son sperme, son foutre chaud gicler dans mes entrailles. Je me découvre totalement passif dans les bras d'un homme alors que je suis actif avec les filles. C'est un sentiment nouveau, agréable. Ce besoin d'être possédé - pas dominé - me tournicote le ventre, contracte mon anus. Il est revenu.
Il me découvre tel qu'il m'a laissé, cuisses écartées, cul offert, l'anus gluant de sperme. Il ne peut pas résister à cette vision d'un jeune minou qui n'aspire qu'à une seule chose à cet instant présent : se faire prendre. Je le sens, il s'approche, il se place à genoux. Je pressens son sexe à quelques centimètres de mon trou, ouvert, je ressasse en moi cette vision de mon cul, « my hole » comme disent les Américains. J'en frémis de désir. La sodomie, l'enculage est affaire de psychologie pour celui qui se fait mettre. Il y a le plaisir de la pénétration, bien entendu, évidente, mais aussi de la pose, de l'enculé attitude : Etre là, cuisses ouvertes, cul offert, anus évasé par la queue qui l'a pénétré, dégoulinant de foutre blanc et gluant, dans l'attente d'être repris.
Bien à plat sur les draps, épousant bien le matelas ou à quatre pattes, en levrette ou la tête enfouie dans les oreillers, le cul relevé, bien cambré, pour une enculade qui devra être puissante, une montée à crue, croupe enserrée dans les cuisses de l'amant, chevauché rudement, sailli avec bonheur. Je découvre ce plaisir d'être offert, prêt à être sodomisé. Il se place sur moi, bras arquées autour de mes épaules, son sexe s'approche, rentre en moi, glisse jusqu'à la garde, bien lubrifié par le jute qui me graisse mon délicieux conduit anal. Je me contracte pour mieux le sentir, l'appréhender.
Mes muqueuses le massent, sa bite m'électrise, il s'écroule sur moi, lourdement. Il m'embrasse la nuque, ses baisers me procurent d'étonnants frissons, j'adore cette position où je me sens écrasé, où je ressens toute sa force. Sa queue entre et ressort totalement avant de replonger au plus profond de moi. Il accélère le rythme, sa queue grossit, élargit encore plus le fourreau anal, je me contracte de plaisir, mes spasmes le fusillent, l'enserrent dans des crispations bienfaisantes, il ne peut plus se retenir, son sperme gicle en moi, à jets puissants.
Dieu que c'est bon, ce foutre qui envahit mes intestins. J'éjacule longuement, sans me toucher, un autre plaisir m'envahit, je jouis du cul, je suis en transe, le cul ondulant, trémoussant, aspirant cette queue encore en moi, tendue, pour aspirer ses dernières gouttes de foutre. Il reste en moi, allongé sur mon corps, durant de longues minutes. Il reprend vie, je contracte les muscles pour mieux l'enserrer. Il grossit en moi, distend mes chairs et reprend son va-et-vient. Doucement d'abord et de plus rapidement. Son bassin frappe violemment mes fesses. Il me soulève légèrement pour que nous puissions nous embrasser à pleine bouche.
Son baiser délicieusement violent m'électrise, me faire perdre pied. Son poids sur moi, son baiser, et sa queue qui m'envahit, m'ouvre, me pénètre, va au plus profond, me tétanise littéralement.
J'ai bien choisi mon premier amant. Il s'appelle Pierre. Je l'ai rencontré lors d'une fête chez des amis communs. Il a une petite quarantaine. J'ai tout de suite été séduit par sa prestance. D'emblée, j'ai su, inconsciemment au début, qu'il allait se passer quelque chose.
(A suivre)
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