Instinct Prohibé
Jean Claude n'avait jamais ressenti le moindre lien de parenté avec son père quand il était petit.
Son père était, à ses yeux d', un ogre, un tyran. Une brute qu'il détestait de toutes ses forces, rien d´autre. Il répéta très bas avec ahurissement :"Mon homme d'affaires est ici ? " Le général continua :
- Vous allez le voir. Mais je tiens à vous dire que, si vous donnez votre démission, je ne vous en voudrais pas. Je comprends très bien que, vu les circonstances, vous puissiez désirer quitter l'armée.
- Je vous remercie, mon général ! Mais je veux continuer à me battre !
Il était plein d'appréhension en quittant le bureau du général en compagnie d'une sorte de vieux notaire aux cheveux grisonnants qui l'attendait à la porte.
- Extrêmement important certes ! Je vous apporte l'inventaire de votre héritage : voici la liste des propriétés qui appartenaient à votre père et voici celle de ses valeurs déposées en banque. Vous avez pu apercevoir que vous disposez d´une fortune très considérable, dit l'homme.
Le jeune Jean-Claude s'en était très bien rendu compte, mais cela ne lui faisait pas le moindre plaisir. Il aurait tant voulu ne rien posséder venant de son père, et s'il avait pu refuser, il l'aurait fait. La vie qu'il avait menée lui avait appris à prendre rapidement ses décisions. Il ne mit donc pas longtemps à se débarrasser de l'homme d'affaires, après lui avoir donné des instructions à suivre. Il le chargea de s'occuper des propriétés de la ville, de percevoir les loyers des fermes, etc...Quelques temps plus tard, il monta les marches, mais ce fut presque à contrecur qu'il se décida à pénétrer à l'intérieur du vestibule, comme s'il lui répugnait de revoir le cadre de son enfance. Il eut un haut-le-corps en entrant : tout était propre !
Il avait savouré d´avance la joie de trouver ces choses abandonnées couvertes de poussière et de moisissure, les rideaux rongés par les souris, les tableaux tombés de leurs cadres, les tapis mités et salis.
Il était resté sur le seuil du salon, lorsque soudainement, une silhouette féminine s'encadra dans la porte-fenêtre, toute nimbée de lumière. Il ne fit pas un geste, et la jeune fille brune pénétra dans la pièce sans le voir.Elle avait les bras chargés de fleurs : des roses blanches qu'elle regardait avec amour. Elle baissait les yeux et ses longs cils paraissent sombres tant elle avait la peau claire.- Pardonnez moi, mais la porte était ouverte... et je pensais que cette maison était vide. Je ne savais pas que quelqu´un habitait ici...-Je suis le propriétaire !L'effroi emplissait les grands yeux bleus de la jeune fille, toute son attitude exprimait une peur intense. Il ne se rappelait pas avoir jamais rencontré une femme aussi jolie.
Son visage avait quelque chose de très particulier, sa beauté était loin au dessus du commun. Elle avait des yeux d´un bleu sombre, semblable à celui des delphiniums qui trempaient dans le vase posé sur la table auprès d´elle. Ses cheveux étaient châtains, elle était remarquablement mince et svelte. Elle avait un petit nez retroussé, une peau de satin, de longues jambes fuselées, et était habillée d´une mini-robe très sexy.
Et lui dit qu´elle s'appelait Renée. Ensuite, en se penchant pour prendre un vase, elle desserra les jambes et il aperçut une petite touffe de poils châtains et la naissance des lèvres de son sexe. Elle n´avait pas de culotte. Non seulement elle était proprement ravissante, non seulement elle savait se mettre en valeur, avec une petite robe à la limite de la décence, mais elle ne portait pas de culotte ! Il en avait sûrement la bave aux lèvres.....Renée s'en aperçut, le fit un sourire comme pour s'excuser et déclara:- Je suis désolée ! Je sais que ce n'est pas poli.
Ils se mirent à parler pendant longtemps. Ils abordèrent bien des sujets, parmis lesquels la littérature sado-masochiste qu'elle aimait lire dont les oeuvres du Marquis de Sade. Renée admirait Jean-Claude, ce beau jeune homme d'un mètre quatre vint à la carrure de rugbyman. Sous ses pantalons, elle devinait un sexe démesuré.Soudain on entendit une voix d´homme qui s'élevait bruyamment dans le hall d´entrée.
- Renée ! Où êtes vous, Renée ?
En l'entendant, elle était devenue mortellement pâle, comme si le sang s'était retiré de ses veines.
- Il y a quelqu´un qui m´appelle, balbutia- elle, attendez moi ici, Je reviens... sa voix était angoissée.
Elle traversa le salon aussi vite que si elle avait eu des ailes, ouvrit la porte, sortit et la referma plus vite encore. Sans perdre un instant, Jean-Claude quitta son fauteuil et s'approcha de la porte. Il colla son oreille contre le battant de bois sculpté, et il entendit l'homme demander :
- Pourquoi y a-t-il une voiture garée dehors ?
- C'est la voiture d'un inconnu qui passait par ici. Il est entré dans la maison sans que je m´en aperçoive !
- Mettez le moi dehors immédiatement !
C'était un ordre brutal lancé d'une voix autoritaire. Mais pendant ce temps, Jean-Claude avait tourné très doucement la poignée de la porte. Il put écarté le battement légèrement, juste ce qu'il fallait pour pouvoir glisser un regard par la fente. L'homme qui se tenait au milieu du hall semblait habillé de façon recherchée. Mais il avait gardé son chapeau, posé de travers sur l'oreille de la façon la plus vulgaire. Renée était en face de lui, et lui répondit d'une voix tremblante :
- Je suis justement en train d´essayer de le persuader de s'en aller, mais c´est difficile : il est le propriétaire de la maison !
- Le diable l'emporte ! Tu es mon esclave ! S'exclama l'homme qui semblait furieux.
- Je sais bien ! Et je vous comprends...
Jean-Claude put enfin distinguer les traits de l´homme qui avait tourné la tête en se déplaçant. Il pouvait avoir entre trente, trente-cinq ans. Son visage était quelconque, mais il avait une expression assez étrange. Son nez était long, ses lèvres cruelles, le peu qu'il pouvait en voir suffisait à lui rendre cet homme vraiment déplaisant.
- Vous allez faire tout ce que vous pourrez pour le dissuader de s'intéresser à vous ou à la maison. Compris ?
- Oui ! Bien sûr.
Jean Claude eut à peine le temps de regagner précipitamment son fauteuil et de s'y rasseoir avant l´entrée de Renée. Elle était extrêmement pâle et ses yeux dilatés par la peur, avaient une expression qu'il connaissait bien.
- J'ai vraiment été surpris par l'état de la maison, vous l'avez arrangée d'une façon délicieuse... Au point que j'aimerais y rester. Il se faisait tard. Pourriez vous m'offrir l'hospitalité ?
- Je ne sais vraiment pas quoi vous dire... Mais naturellement ! Vous pouvez coucher ici cette nuit ! S'écria aussitôt Renée.
Il était assis sur le canapé du salon quand il l'a vue entrer. Elle portait une robe verte, très simple, mais aussi très moulante, et des talons hauts. Ses formes lui rappelaient une fleur. Et son odeur ! Il lui semblait la sentir d'où il était. Il aurait voulu s'en approcher et frôler son nez dans son cou. Un cou un peu joufflu. Elle avait dans les yeux une tristesse qu'il aurait voulu consoler. Elle était seule et pourtant. Et pourtant. Il se voyait, lui, ses mains sur ses hanches, à s'exciter au son d'une musique langoureuse. Il s'imaginait, la prenant tendrement, doucement d'abord. Comme un gentleman. Comme le gentleman qu'il ne voulait pas être ! Il luicaresserait lentement le dos. Puis, il lui soufflerait des mots doux dans l'oreille. Il la ferait rire.
Elle, elle se blottirait la joue contre la sienne et, tranquillement, elle rapprocherait son corps du sien. Puis, sentant son sexe animé, elle lui chatouillerait le cou et se serrerait contre lui, comme pour l'inviter à lui faire davantage la cour. Il descendrait lentement ses mains sur ses fesses, pour voir. Voir si elle accepterait cette tendresse personnelle. Puis, dénudée de résistance, elle se rapprocherait encore plus de lui. Elle glisserait ses jambes entre les siennes, histoire d'attiser encore son désir. Son souffle à elle s'accélérerait tranquillement, au rythme de la musique; ses pressions, au rythme de son désir.
Lui, il retiendrait ses instincts. Il ne voudrait pas la brusquer ! Douceur, se dirait-il, douceur. Son sexe dur mais son cur tendre.Il l'éloignerait juste un instant, pour voir ses yeux. Et leurs regards copuleraient, leur passion transmise par ses ondes de feu allumées comme un brasier. Leur premier baiser, charnel, confirmerait leur désir mutuel. Il lui semblerait déjà sentir son sexe humide en demander. Ses mains un peu plus insistantes l'appelleraient plus fort. Timide, mais attisée, elle risquerait sa main sur son sexe. Lui, il n'aurait attendu que ça ! Et il verrait enfin son sourire. Ils ne se rendraient jamais ni chez lui, ni chez elle, leur désir éclatant sur la banquette de la voiture. Ils feraient l'amour sous le ciel étoilé, balayés par la bise nocturne, accompagnés des chansons de criquets, dans l'odeur du pin. Leurs cris orgasmiques, enterrant les hululements des hiboux, se perdraient tranquillement dans la nuit. L'odeur de leurs corps se mêlerait à celle de la mer. Et leurs âmes se berceraient comme les vagues de la mer.Ses pensées érotiques le prenant dans un tourbillon chaud, il se leva, d'un trait.
Cette femme, cette belle femme ! Pourrait-il allumer ses yeux ? Il fouilla la salle de son regard excité, mais elle lui dit à l´oreille qu´elle voudrait maintenant devenir sa soumise, qu'elle aime êtrehumiliée, et de cette manière elle se dit heureuse. Toute son " éducation " a été (et reste) basée à priori sur la satisfaction des désirs du maître, bien qu'en réalité tout ce jeu n'a pour objectif que la réalisation de son plaisir.La nuit tomba dans la petite salle de la maison dans un silence quasi religieux. Il découvre petit à petit son corps, il est très excité, son souffle est court, elle ne l'a toujours pas vu et cela l'inquiète et la met dans un état fébrile à la fois. Il pouvait voir ses tétons gonflés perler de sueur, et ses jolis seins se durcir tant l'excitation de ce supplice l'envahissait.
C'est ce torse outrageusement excité qu'il décida alors de fouetter au martinet. Il noua les poignets de Renée derrière son dos avec un foulard de soie et lui faisant cambrer le torse, il la tourna vers lui. Du bout des lanières de cuir il caressai d'abord le bout de ses seins et les aréoles dilatées, puis il cinglait doucement son torse. Les lanières fouettèrent la chair tendre de plus en plus fort,faisant ballotter les rondeurs douloureuses de sa poitrine.Les traces écarlates des coups de lanières se croisaient sur la peau rougie. Renée gémit sous les premiers coups, puis, Jean Claude baisse alors la culotte et elle reçut entre 8 et 12 coups de martinet sur les fesses.
- Non, arrête !
Ses fesses étaient très rouges et chaudes, et au fur et à mesure que ses fesses rougissaient, elle en redemandait encore et encore. Après un bon quart d'heure de ce traitement, il put voir çà et là perler le sang sur sa peau lacérée.
- Aaïïï Aïe AAAïïïïïii ! ! ! Oui ! ! Oui monsieur, voilà. Haaa. Non. Arrêtez un peu, s'il vous plaît AAAaiii. AAHH. AAAOU ! ! ! Oh non, c'est pas vrai.
Elle gémissait de douleur pendant que les flic flac du martinet zébraient son torse. Il visait maintenant plus bas, son ventre plat et le relief de son pubis touffu.- Arrête maintenant Jean Claude, ça suffit, ça suffit...Très excitée à ce point de leur jeux sadomaso, elle écartait les cuisses et renversant les épaules en arrière, elle lui présentait son bas-ventre. Sous la touffe de poils de son pubis, elle avait le sexe épilé. Sa vulve écumait d'une cyprine luisante sur la peau de ses cuisses et Jean-Claude vit que les lèvres de son sexe étaient percées d'un anneau d'or. Il ne reste pas inactif et passe à l'action, les écarte encore un peu et entreprend de fouiller cette chatte délicieuse. C'est sans difficultés qu´il y introduit un, puis deux, puis trois doigts, elle est mouillée encore plus que lui n'imaginait ! Il la fouille sans ménagement, elle exulte, elle l'incite à continuer en lui disant qu'elle est une salope et qu'elle adore être fouillée !
Ce petit intermède dure 10 minutes environ. Il dégrafe son pantalon, sort son sexe, le présente devant sa bouche, et lui ordonne d'ouvrir la bouche et de l'avaler d'un trait. Elle ne se fait pas prier etaccepte l'invitation. Cette petit salope reprend sa besogne et suce Jean-Claude à fond, jusqu'à ce qu'il explose dans sa bouche et sur son visage. Elle se délecte de la liqueur pendant qu'il caresse sa vulve. Elle lui dit avec un sourire énigmatique qu'elle souhaitait jouer à un simulacre de viol, qu'elle souhaitait être prise en public, car son ami cruel l'avait e à subir cette initiation douloureuse mais excitante et qu'elle voulait ainsi se venger de lui. Il prit place derrière elle, et se collant à elle il la menait vers l'avant de la scène. Jean Claude collait sa verge au relief de ses fesses. Il caressa longuement les seins de Renée, frottant sa verge durcie sur la raie moite de sueur de sa croupe tendue.
- Oui, prends-moi... fais-moi encore jouir...
Elle haletait en caressant de ses mains son pénis qu'elle masturbait agressivement, guidant entre ses cuisses son gland vers sa vulve béante. Sa verge la pénétra d'une lente estocade et elle hurla sa passion lorsque Jean-Claude possédai toute entière. Elle gémit. Elle avait débarrassé ses poignets de leur entrave et passé ses mains derrière ses fesses pour accen la pénétration. Jean Claude la pistonnait ainsi longuement, jouissant de ses spasmes intimes au rythme de cette volupté qui les mena à un orgasme fulgurant dans le silence de la maison. Elle lui a confié plus tard que le fait d'être attachée lui procurait un plaisir intense, se savoir ainsi immobilisé et sans défense était pour elle très jouissif (pour lui aussi d'ailleurs!). Aujourd'hui, avec tous ces doux souvenirs d'elle. Son odeur l'assaille encore, ses mots dansent dans sa tête. Mais la vie a de ses dénouements impromptus.
Elle lui aura enlevé son plus beau cadeau, dans un choc suprême, le laissant à son tour, avec cette tristesse aux yeux. Il l'aura aimée de tout son être, de toute sa passion. Et ses caresses ne pourront jamais être remplacées.
Fin.
Ecrivez-moi sur irl70@hotmail.com
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