Elodie (5/10)

L'initiation d'Elodie (5/10)

Cette série d'histoires est entièrement vraie car je l'ai complètement inventée. Aucune situation n'est ou n'a été réelle. Aucun personnage ne se réfère à quelqu'un (ou quelqu'une) de particulier. Les lieux, âges, actions sont imaginaires. Prenez -les pour ce qu'ils sont : de la littérature érotique (des essais tout simplement) sans aucune prétention autre que de vous divertir et de vous donner éventuellement du plaisir.L'auteur Jacques59. Erotiquement vôtre.

Mon frère fut un bon initiateur durant quelques mois.
Il m'apprit les diverses méthodes de contraception (bien qu'au collège et au lycée nous ayons participé à des séances d'information) mais surtout il m'indiqua comment faire l'amour (les principales positions pour avoir du plaisir) et les pratiques sexuelles possibles : sa copine était une bonne maîtresse et il la recevait tous les mercredis durant l'absence de nos parents.Mon corps réclamait presque chaque jour sa part de caresses et de jouissance et ne m'en privait pas. Il me tardait de découvrir la pénétration et ses sensations.C'est le jour de mes dix-huit ans que je fis la connaissance de mon prince charmant : Alexis me poursuivait de ses assiduités depuis la rentrée mais je ne m'en retournais pas préférant la compagnie de mes copines avec lesquelles nous parlions de tout et de rien mais souvent de nos activités sensuelles et sexuelles. Isabelle ma préférée m'a avoué qu 'elle couchait régulièrement avec David et que c'était formidable de baiser. Elle me fit aussi la remarque qu'Alexis lui avait avoué qu'il en pinçait pour moi. Je me décidai alors à lui donner sa chance.J'acceptais donc son invitation au cinéma le jour de mon anniversaire, un samedi soir. Assis dans le noir il me caressa le bras en m'avouant sa passion secrète. Il osa me donner un bisou dans le cou qui me fit frémir de joie.
La glace était rompue... Il me complimenta sur ma gentillesse, ma beauté, ma féminité, mes yeux, mes seins qu'il essaya de peloter légèrement par dessus mon corsage.

Je buvais ses paroles douces à entendre car il avait une voix suave et chaleureuse. Je le laissais faire. Il s'enhardit à poser une main sur ma cuisse et à la glisser lentement de bas en haut et de haut en bas. Il s'insinua sous ma jupe et instinctivement je serrai les cuisses. Il n'essaya pas d'aller plus loin mais continua de frotter ma cuisse sur le collant ce qui m'électrisait. J'étais bien.Nous approchions de la fin du film et je sentais son désir monter. Il se rapprocha de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je répondis à son baiser en desserrant les lèvres et en le laissant toucher ma langue de la sienne. Son souffle chaud me fut plaisant et j'appuyais ma bouche pour qu'il continue plus profondément ; ce qu'il comprit. Son long baiser me fit alors jouir si intensément que j'en ai éprouvé un frémissement qu'il ressentit :

" C'est bon me chuchota-t-il ?
- Oh oui ! C'est mon premier baiser passionné et tu m'as fait jouir !
- Je peux constater ?
- Oui ! mais soit discret...

Il remonta sa main sous ma jupe vers ma chatte trempée. Même au travers des collants il put ressentir l'humidité qui s'était écoulée de mon sexe chaud et moite.

" Et moi tu me laisses sur ma faim ? m'interrogea-t-il alors .

Je posais une main sur son pantalon entre ses cuisses et je touchai une bosse énorme qui en disait long sur son désir et sur les dimensions de son engin. Je le frottais un peu au travers de son pantalon. Il soupira, se contracta fermement, et d'un coup se détendit. Je sentis des contractions au travers du tissu : il éjaculait dans son slip.

- Merci, me souffla-t-il à l'oreille, tu es adorable.
- Viens chez moi mercredi après-midi, je suis seule. Nous pourrons nous découvrir mais prend tes précautions. Je ne prends pas encore la pilule !
- D'accord ma chérie. "

Le film s'acheva sur ces mots et j'étais heureuse. J'avais un ami (amant pas encore) que je ne demandais qu'à apprécier et à connaître.
Mais cela commencera mercredi prochain.Il me raccompagna jusque chez moi en m'embrassant à tous les coins de rue tout en me pelotant. Comme c'était bon d'avoir une épaule pour reposer sa tête et des lèvres pour accueillir ses baisers. Il m'en fit un long dernier avant que je ne rentre et qu'il ne s'éloigne.Maman ne me fit aucun commentaire ce soir-là et nous parlâmes de choses et d'autres durant la soirée . Ma nuit fut emplie de rêves érotiques, d'images de bites juteuses et de chattes mouillées. Ce ne fut que baisers et caresses.
A mon réveil ma culotte était mouillée et mes doigts sentaient le sexe...Maman fut alors ma confidente du jour : je lui annonçai que j'avais un amoureux et que j'avais besoin de la pilule. Elle me remercia de ma confiance et me dit que nous ferions le nécessaire durant la semaine. Elle me donna alors deux des préservatifs que papa utilisait en m'en expliquant l'usage (ce que je savais mais je ne le lui ai pas dit).Je faisais mon entrée dans le monde des adultes responsables et n'allais pas m'en priver.
Mais cela c'est pour la suite.
A suivre

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