Une Aventure Sensuelle D'Emma Peel

Un vieux lycée moisi, en pleine campagne, un vieux bâtiment de pierre du dix-huitième siècle, aux parquets cirés, aux grandes fenêtres, aux salles hautes, aux longs couloirs…Tout semblait morne dans cette vieille institution vouée à l’éducation de jeunes filles issues de la bourgeoisie ou de l’aristocratie. Un endroit ou l’on était censé, les éduquer à être de parfaites épouses… L’austérité à l’état pur, en pleine verdure… L’hiver, la neige en cette fin d’après midi de février… En plus, le vieux bâtiment était mal chauffé… Bref, ici on se pelait le jonc. Emma avait été convoquée dans le bureau du professeur principal.Pour elle c’était l’année du bac, et elle venait d’avoir ses dix-huit ans… Ensemble, ils devaient faire le point, il était dix-sept heures et elle frappait doucement à la haute porte en chêne. Une voix lui ordonna d’entrer. Emma était une grande jeune femme, au charme certain, aux cheveux châtains avec des reflets roux, mi-longs, aux traits fins, aux yeux noisette en amande, à la poitrine déjà lourde. Bref, elle faisait de l’effet, et plus d’un homme devait rêver de la culbuter… Malgré l’hiver, elle était en jupe courte en cuir, des bas, et des bottes montant jusqu’au genoux. Le tout noir… En haut, un chandail de laine recouvrait un chemisier blanc. Une vraie femme déjà, au cul que l’on devinait musclé, au charme animal.Derrière, un lourd bureau de style Empire se trouvait le professeur Eric, long comme un chewing-gum que l’on aurait étiré, le cheveu en brosse, des grandes lunettes en métal, un sourire ambigu aux lèvres. Il aurait peut être eu du charme sans son éternel costume noir. Seule petite originalité, une cravate en cuir de la même couleur, fine et élégante.

- « Bien asseyez-vous, nous devons parler de vos résultats, qui sont très irréguliers et j’aimerai comprendre », dit-il en lui indiquant une chaise de paille.

Elle s’assit prestement, d’un mouvement souple, en relevant légèrement la jupe de façon à bien sentir la paille sous ses fesses.



- « Vous êtes en terminale scientifique, et vos résultats dans ces domaines sont excellents, vraiment excellents… Par contre, en philosophie, en histoire-géo, en langue, vous atteignez la nullité absolue ! Expliquez-moi ! » lança le professeur.
- « Ces matières ont du mal à me motiver, monsieur le professeur, je les travaille, mais je sais pas », répondit doucement Emma.

Le professeur marqua une pause, une hésitation, une longue respiration, suivie d’un léger pincement de lèvres.

- « Etes-vous sûre de travailler ? Ce n’est pas l’impression que vos devoirs donnent, pas du tout ».

Emma brièvement s’imagina punie, les fesses à l’air.Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé, trop longtemps. Sa gorge se noua, elle sentit son visage s’empourprer, et son sexe s’humidifier. Délicieuse sensation.

- « Allez mademoiselle, vous connaissez la sanction ! Enlevez donc votre slip et relevez donc votre jupe, » dit le professeur en se levant.

Elle frémit, tressaillit de plaisir. Elle releva lentement, essayant de masquer son trouble.Face à son professeur, d’un geste maladroit, elle releva le cuir de la jupe sur ses reins, puis se courba en avant, veillant à offrir son décolleté au regard de l’homme, tout en faisant choir le mince morceau de coton blanc qui lui servait de slip. L’homme se mit à tourner autour d’elle, matant son cul de jeune salope, l’effleurant, puis laissant sa main traîner longuement du côté pile.Quel beau sexe, épilé parfaitement, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de males avec leurs petits, ou leurs gros mandrins… Sur qu’Emma préférait les gros mandrins, avec des réserves bien juteuses.On dirait un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus.Le professeur se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer :

- « Viens sur mes genoux, fesses sur ma droite ».

Après une légère hésitation, les yeux baissés, Emma se glissa en souplesse sur les genoux du professeur.
Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main d’homme. Main d’ailleurs, qu’elle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui n’allait plus tarder à rougir. Une main douce, mais elle sentait, grande, protectrice. Une main qui lui pétrissait le cul, comme le boulanger pétrissait la pâte. Oui c’est cela sa chair, était de la pâte… Une pâte qu’on malaxait avant de la frapper.Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse. Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente.Et une deuxième pour la jumelle. L’alternance était respectée.Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau d’une main d’homme qui caresse la peau d’une fesse de femme.Emma avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants.Le bonheur d’une fessée, aussi fort, qu’une bonne baise, voire plus.Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle d’une pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue d’Emma devaient savoir dispenser. Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme. Le cul d’Emma était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait. De bonheur ou de douleur ? Si l’on en croyait le sourire et les larmes, les deux.Une sensation amplifiée, parce qu’elle sentait sous le tissu. Un bâton raide, gonflé, lourd.Et puis un dernier coup, lourd, violent. Et puis une main douce câline. Et puis une langue qui léchait son cul rougit. Et des baisers… Longtemps… Et puis une sensation dans son entrecuisse. Un index caressait son clitoris, puis elle se sentit délicieusement fouillée… Un cri, une secousse… la jouissance totale… Le coma. Dans un nuage elle n’avait pas vu le temps passé, il était déjà dix-huit heures.
Elle allait sortir.

- « Demain même heure, rendez-vous ici. Demain matin tu as un contrôle d’histoire. Si tu as une mauvaise note, ce sera encore une punition. Par contre, si pour une fois tu as la moyenne la récompense sera à la hauteur, et tu auras le droit de choisir ».

Elle rougit à nouveau, pour une fois elle allait essayer de faire bien. Et elle savait ce qu’elle voudrait en récompense. Déjà, elle s’en léchait les babines. Et pour bien le faire savoir, avant d’ouvrir la porte, elle se tourna vers le professeur Eric, l’air effronté et rebelle.
Lentement, sa langue caressa ses lèvres.
FIN

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