Expériences Vécues Au Grand Air Épisode 2
Courts récits relatant autant dexpériences réelles (seuls les prénoms ont été modifiés pour préserver notre anonymat). Dautres suivront pour vous faire partager des moments intimes dans des lieux originaux ou des circonstances exceptionnelles.
Des massages dégénèrent dans un jardin privé.
Nous passions quelques jours dans une maison familiale qui avait la particularité dêtre à la fois en plein centre du village et entourée de jardins, de telle sorte que le premier vis-à-vis se trouvait à plus de 30 mètres. Nous avions donc tous les avantages de la proximité des commerçants tout en bénéficiant dun calme olympien. Pendant ces vacances bien méritées, javais pris lhabitude de faire une sieste réparatrice sous un arbre fruitier. Cet après midi là néchappait pas à la règle et je métais assoupi lorsque ma femme me rejoignit.
- tu dors ?-
.
- Louis, tu dors ?
- Plus maintenant ! Quest ce que tu fais là ? Je croyais que tu tricotais dans la salle à manger en matant la télé,
- Je nai plus de laine pour continuer et les magasins sont fermés à cette heure, pousse toi un peu que je massoie pour me faire les ongles des pieds.
Je lui laissais royalement dix centimètres carrés de ma serviette en bougonnant et recherchais le sommeil envolé. Morgane tailla, lima, décapa et enfin enduit les ongles de ses pieds dun vernis rouge vif. Le bruit, ses commentaires et lodeur du dissolvant avaient fini de me réveiller et je nattendais quune chose : quelle parte vaquer à dautres occupations afin que je puisse dormir. Sans me demander mon avis, elle me passa un nécessaire à pédicure afin que je lui rende les pieds tout doux. Après avoir les parties dures de son épiderme et passé une crème adoucissante, je me précipitais vers les bras de Morphée sans aucun scrupule tandis quelle se levait. Avant de mendormir, je la vis séloigner vêtue dun débardeur à fines bretelles bleu clair et dune jupe portefeuille beige que les rayons du soleil navaient aucun mal à traverser, la rendant ainsi transparente et ne laissant aucun doute sur le fait quelle portait une sage culotte blanche.
-Va me chercher mon maillot de bain bleu sil te plait, je ne peux pas sortir la valise du coffre de la voiture tellement elle est lourde,
- Tu as deux maillots de bain dans le sac qui est dans notre chambre, prends un de ces deux là !
- Non ! Je veux mon maillot de bain bleu car les deux autres sont des deux pièces,
-Jirais le chercher plus tard. Les s ne sont pas encore réveillés. Jaurais le temps pendant que tu leur donnera un goûter avant quon aille se baigner à la base de loisir,
-Vas-y maintenant sil te plait, je veux bronzer,
-Tu me casses les pieds ! Soit tu passe un maillot deux pièces, soit tu te débrouilles pour aller chercher ton une pièce toute seule. Et dabord, pourquoi veux tu absolument bronzer en une pièce ?
- Je ne vais pas tout de même pas mexposer en plein village avec lun des maillots dont tu parles !
- Il ny a pas âme qui vive à 100 mètres à la ronde et je ne vois pas comment tu vas bronzer à travers le tissu de ton maillot,
- Si tu fais preuve de mauvaise volonté, je me mets en culotte,
- Tu fais comme tu veux ! Personnellement cela ne me gène aucunement !Persuadé quelle allait réfléchir et se ranger à une de mes propositions, je me retournais pour me rendormir quand je lentendis me parler
- Tu me passes de la crème sur les jambes sil te plait,
- Et ton maillot ?
- Jai dit que je me bronzerais en slip, je me mets en slip ! dit elle en enlevant sa jupe et en sallongeant à mes côtés sur le ventre.
Je savais que sa demande de passer de la protection solaire nétait quun prétexte pour obtenir que je la masse et je commençais à faire coulisser mes mains le long de ses mollets et cuisses en prenant bien garde à ne pas dépasser le bas de ces fesses.
-Je te préviens ! Aujourdhui cest toi qui prends les choses en main si je puis dire. Je suis crevé et en plus, je viens de te masser pendant une demie heure !
- Et quest ce que tu veux que je te fasse ?
- Ne fais pas lidiote.
- En fait, jai envie que tu me prenne maintenant ! dit elle,
- Comme ça ? Sans que je ne te caresse, sans rien ?
- Non, jai envie que tu me fasses lamour,
- Ok ! dis je en me levant et en commençant à me diriger vers la maison où je mimaginais la prenant sur la table de la cuisine qui semblait avoir été faite pour cela.
En effet, que Morgane soit sur le dos, les fesses au ras du bord, où bien penchée en avant, les mains en appui sur le plateau, mon sexe était à lexacte hauteur pour que je la pénètre sans contorsion inconfortable.
- Où tu vas ?
- A la maison pardi !
- Restes là et prends moi, personne ne peut nous voir (ce qui était entièrement vrai)Je lui enlevai sa culotte.
Toujours sur le dos, elle ramena légèrement les jambes vers sa poitrine et me je plaçait perpendiculairement à elle. Appuyé sur mon avant-bras gauche, je me glissais sous le pont constitué de ses jambes repliées de telle sorte que mon sexe pointe directement vers lentrée de son vagin. Je navais même pas pris le temps de baisser mon caleçon et métais contenté de sortir mon phalus par la braguette déboutonnée. Je la pénétrais sans plus de cérémonie, son cylindre de chair étant largement lubrifié. Ma position me laissait tout le loisir de profiter du spectacle de mon mandrin allant et venant dans son puit qui se détendait au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Je plaçait un coussin qui traînait pour que Morgane puisse se redresser un peu. Elle pourrait ainsi se caresser à loisir. µ
Des contractions des muscles de son vagin et quelques coups de reins inhabituels chez elle ponctuèrent un orgasme dont la soudaineté me surprit. Ne sachant que faire, je cessais mes mouvements, mon sexe enfoncé au plus profond de son être.
Malgré mes demandes répétées, cétait la première fois quelle me sodomisait de la sorte. Je jouis dès que son doigt força cet accès jusquici inviolé, mon pubis écrasant sa vulve dans un dernier coup de rein incontrôlé.Après mavoir nettoyé le sexe luisant de sperme et dautres liquides intimes avec une lingette parfumée, elle lembrassa, me reboutonna et sen retourna vers la maison, la culotte à la main et le sourire aux lèvres.
Elle me laissait enfin en paix pour que je me repose un peu, mais je ne regrettais pas que ma sieste aie été écourtée.
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