Douceurs Orientales
Dès la porte passée, je suis saisie par l'atmosphère singulière du lieu.
Une lumière douce et orange se répand dans toute la pièce en provenance de lumignons disposés à différents endroits. Dans l'air, un parfum d'encens aux essences de musc et de bois précieux. S'élève une musique toute droit sortie de l'Orient extrême.
La jeune femme qui m'accueille est d'une troublante beauté. Elle est d'origine eurasienne, doit avoir moins de vingt-cinq ans et mesurer un peu plus d' un mètre soixante dix. Elle est vêtue de la tenue traditionnelle thaï , ses cheveux noirs coulent sur ses épaules et son visage est parfait. D'un sourire, elle me salue tout en prenant ma main dans la sienne afin de me guider vers une pièce plus petite qui me semble être un vestiaire. Elle débute alors un lent déshabillage de mon corps, agrémenté de charmants commentaires sur mes vêtements ou les parties dévoilées de mon anatomie. Une fois nue, elle me conduit dans une autre partie de l'appartement et me demande de prendre place dans une bassine de cuivre. C'est à cet endroit qu'elle purifie mon corps, sur toutes ses surfaces et recoins, à l'aide d'une douce éponge et d'eau parfumée.
C'est enveloppée dans un peignoir de soie que Song Li ( c'est ainsi qu'elle me dit se nommer) me raccompagne dans la salle où elle m'avait précédemment accueillie. Sans un mot, elle retire la robe de soie, et m'allonge sur un lit posé sur le sol . Ses mains enduites d'un onguent parfumé, elle imprègne ma peau en débutant par le cou. Elle recouvre ensuite les épaules, les bras, la poitrine, les côtés, le ventre jusqu'au nombril. Ayant atteint l'ombilic, elle cesse d'étaler ce gel et débute un massage qui ne va laisser aucun millimètre de peau indemne. L'agilité de ses doigts, la texture veloutée de la pulpe de ses phalanges, le savoir dans la caresse et l'alternance du doux et du ferme me font le plus grand bien. Quand Song Li se concentre sur mes seins, frôle les aréoles, provoque les mamelons jusqu'à en dresser les pointes, elle me fait frissonner de plaisir et déjà mouiller mon intimité.
Le spectacle me coupe le souffle. Song Li a quitté sa robe thaïlandaise et apparaît toute nue. Elle est belle et distinguée : elle me donne à voir sa peau dorée, ses petits seins hauts placés, ses attaches d'une finesse exquise, son petit ventre très légèrement rebondi, sa toison noire taillée en coeur, ses cuisses pleines et minces à la fois, et enfin - sans doute ce qu'elle a de plus beau - une paire de fesses à croquer. Ce spectacle m'assèche la bouche tant je suis attirée par de tels présents. Continuant son oeuvre, la jolie masseuse enduit ma nuque, mon dos, mes reins, mes cuisses, sans oublier mes fesses galbées et rebondies, d'une crème spéciale aux herbes . Le jeu de ses mains et de ses doigts reprend. Elle insiste tout le long de la colonne vertébrale, des premières cervicales au dernières sacrées... Sa connaissance des techniques de médecine chinoise et d'acupuncture sont incontestables, tant son doigté me procure un grand bien-être. Il ne s'agit plus de médecine quand elle aborde mes fesses, mais là aussi elle me fait du bien ! Ecartant les deux hémisphères, elle enduit les fesses, la raie culière et l'orifice du petit trou d'une bonne quantité de mousse spéciale, un peu comme du gel. Ses doigts habiles l'étalent et la font même pénétrer dans l'anus. Je ressens une chaleur inonder mes reins et décontracter totalement mes muscles. Song Li s'est à présent penchée sur moi et je sens son souffle, la pointe de ses seins et son pubis contre ma peau. Lentement, elle masse mon corps avec sa poitrine et son ventre. Le velouté de sa peau fait réagir mes terminaisons nerveuses, surtout quand elle presse son pubis au creux de mes fesses.
L'instant d'après, elle me fait connaître une sensation inouïe qui manque de provoquer ma jouissance.
Cette fois, c'est Song Li qui me retourne sur le dos et reprend le massage de mon ventre. Très vite, ses mains, enduites d'onguent aux vertus excitantes, abordent le mont de Vénus puis ma vulve. Elle écarte avec délicatesse les replis des lèvres et met à jour la perle clitoridienne tout de rose vêtue. De l'index, elle dégage le gland et le recouvre de crème. L'effet irradiant est immédiat et je réclame, comme une délivrance, qu'elle branle avec force le clitoris. Song Li devait s'attendre à une telle demande puisque, aussitôt , sortant de nulle part, elle pointe, sur mon désir ardent et brûlant, un fin vibromasseur. A plein régime, les vibrations atteignent tous mes centres nerveux et, lorsqu'elle glisse un autre objet animé au fond de mon vagin, j'explose d'une jouissance trop longtemps contenue.
Lorsque je reprends mes esprits, c'est pour constater que Song Li s'est harnachée d'un membre masculin en érection attaché à ses hanches par des lanières. Relevant mes jambes, elle pénètre ce godemichet, préalablement enduit de crème excitante et parfumée, au fond de mon vagin. Que ce soit par le mouvement donné à l'olisbos, ou grâce à l'action de l'onguent dans ma grotte en feu, je sens à nouveau le plaisir gravir des marches vers son apogée. Song Li, en connaisseuse du sexe féminin, va m'y conduire en ajoutant l'intromission du fin vibromasseur dans mes fesses et en faisant jaillir, au fond de mon vagin, le contenu liquide et chaud des fausses bourses attelées au godemichet.
J'ai envie de rendre, à la jolie eurasienne, les caresses et les plaisirs qu'elle me donne, mais elle s'écarte quand je tends la main vers elle. Elle me dit que je dois seulement être réceptive à ce qu'elle me fait et ne pas être active. Toutefois, elle imagine, pour la suite, une position qui lui est agréable, à tout le moins. Elle m'installe à quatre pattes sur le lit, les fesses bien ouvertes car les reins sont très arqués. Doucement, elle introduit dans mes reins un nouveau godemichet, plus long et aussi plus gros que le vibromasseur, mais aussi doté de deux têtes. Une fois l'objet bien en place, elle se met dans la même attitude que moi et s'empale sur l'autre extrémité du phallus en caoutchouc dur. Il est si bien enfoncé en elle que je sens ses fesses frôler les miennes, nous l'avons fait disparaître dans nos petits trous excités... S'en suit, par de lents balancements, un branle mutuel de nos anus, tout à fait splendide. Lorsque Song Li glisse une main entre ses cuisses, atteint mon entrejambe, pénètre un doigt au fond de ma vulve et presse le point le plus sensible, je ne peux qu'éclater, trempant sa main de beaucoup de cyprine et d'un peu de pipi...
Elle me laisse reprendre mes esprits, s'absente un instant et revient en compagnie d'un très beau garçon seulement vêtu d'un short blanc. Elle me le présente comme étant son cousin Liou Chen. J'admire le nouvel arrivant : il est musclé mais tout de même fin de corps et de membres, sa peau est celle du pain d'épice, son visage est éclairé d'un très beau sourire. Song Li m'indique que son jeune cousin est un amant hors pair, car il possède, grâce à une pratique du yoga et d'autres techniques orientales, des capacités d'utilisation de son sexe hors du commun. Elle souhaite me le démontrer avant que Liou Chen ne s'occupe de moi.
S'approchant du jeune homme, elle s'agenouille à ses pieds et fait glisser le short le long de ses cuisses mordorées.
La démonstration est particulièrement saisissante et je comprends mieux la mise en garde de Song Li : « Mademoiselle Odile, il est possible que, si mon cousin vous pénètre avec son sexe si particulier, vous ayez des orgasmes d'une telle intensité que vous risquiez de perdre connaissance ou même vos esprits. Etes-vous d'accord tout de même ? ».
Je n'hésite pas longtemps avant de confirmer mon intention de connaître ces plaisirs extrêmes. Alors, Song Li enduit le pénis avantageux, ma vulve et l'entrée de mon petit trou d'une bonne couche de lubrifiant aux vertus aphrodisiaques . Lorsque, m'étant positionnée en levrette, je reçois dans mon ventre le membre épais et dur de Liou Chen, c'est comme si une dague, à la fois brûlante et glacée, me transperçait de part en part . Encore éblouie de cette sensation, je ne discerne pas tout de suite que Liou Chen est entré dans une phase de concentration extrême. Dans cet état, il est capable d'imposer à son corps toutes sortes de modifications. C'est précisément ce qui arrive à son vit fiché en moi. Comme dans la bouche de sa jolie cousine, son membre grossit énormément par vagues successives, puis revient à sa taille normale, puis regrossit.... Les muqueuses de mon vagin sont soumises à une excitation inouïe, le col de mon utérus se demande s'il pourra longtemps résister aux assauts de ce sexe « monstrueux » et, à chaque vague, mon point G. tressaille et me fait couler comme une fontaine. Liou Chen accroît ces sensations en débutant un mouvement régulier d'entrée et de sortie dans mon vagin. Je ne puis supporter plus, d'autant que Song Li presse mon clitoris de ses doigts agiles et arrive même, à enfoncer un nouveau godemichet au fond de mon anus.
De plaisir, je pousse des hurlements, je pleure, je me débats jusqu'à éjecter Liou Chen de mon ventre. Hors d'haleine, les yeux révulsés, je joui comme jamais de ma vie cela ne m'était arrivé. De mon sexe s'écoulent des trombes de mouille au point que je prends peur de cette inondation. La jeune eurasienne rafraîchit
mon corps et mon visage à l'aide d'une éponge fraîche.
Je suis encore toute tremblante que déjà un nouvel assaut se prépare. En douceur et très efficacement, la verge de Liou Chen prends possession de mon anus heureusement bien préparé à cette intromission par tous les instants qui ont précédé. Bien en place, son sexe reprend ses mouvements de gonflement puis de resserrement qui sont si excitants. Mes intestins sont écartelés, le plaisir le dispute à une douleur sourde car ce mandrin remonte très loin dans mon rectum. Pour faciliter cette sodomie extrême, la jeune femme prends mes fesses dans ses mains et les écarte le plus possible. Liou Chen est si enfoncé en moi que je sens buter ses bourses pleines. Une nouvelle fois je demande grâce car j'ai atteint un tel niveau dans le plaisir qu'un pas de plus me mènerait à la folie. Il me reste juste assez de sens commun pour m'agenouiller aux côtés de la jeune eurasienne et , en sa compagnie, recevoir en pluie, la jouissance abondante de Liou Chen. Couverte de sperme, je perçois dans le brouillard de mon cerveau l'action de la langue de Song Li qui nettoie ma peau de toutes traces de semence. C'est la dernière image qu'il me reste avant de tomber évanouie...
Je me réveille assise dans un fauteuil dans mon salon... Etait-ce un rêve ? Je ne sais que penser. Tout semble normal même si je perçois nettement des échauffements et de l'humidité dans mon ventre et mes reins...Mes interrogations s'accroissent lorsque je découvre dans ma poche une carte de visite vantant les mérites de l'institut de beauté « Les douceurs orientales »....
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