Sans Titre

Pascale, 39 ans, chienne à poil ras et noir, yeux verts, un petit air italien, sexe épilé, une rose sur l’omoplate, une branche japonaise dans le creux des reins, classieuse, raffinée, parfaite de partout, un cul rebondi, musclé fait pour les mains d’hommes, des seins ronds et bons à lécher et à caresser. Un vrai délice pour homme, une confiserie à savourer.
Une particularité : très salope, ne s’arrête qu’après avoir vidé les couilles de son partenaire. Une envie : le gang-band. Une envie qu’elle partage avec Eric, un ex-amant, devenu ami.Lui le moment, ou il la trouvait là plus belle, c’était quand elle jouissait, avec ses yeux brillants, larmoyants, son souffle court. Son envie à lui : la voir défoncée, par plein de grosses queues, la voir épuisée par la jouissance répétée, la voir réduire à l’état de bourses plates, des couilles qui trois heures auparavant étaient gorgées de jus, la voir les seins blanchis par le foutre, la voir sucer, la voir baisée, enculée, remplie, transformée en bête à plaisir, en machine à jouir et à faire jouir. Et cette envie commune, ils l’avaient exaucée. Il était six heures du matin, en ce dimanche de Novembre, et maintenant Pascale s’était endormie, tendrement lovée dans les bras d’Eric. Tout avait commencé hier vers dix-neuf heures.
Eric avait longuement lavé la belle. Une baignoire, pleine d’eau chaude, de sels de bains, du bon savon à la lavande, un shampoing doux et ses mains caressant longuement le corps parfait qui s’offrait à lui. Les seins tétons saillant sous sa caresse délicate, le bas ventre qui frémissait. Un corps relaxé, détendu, parfait, que l’on préparait pour le rude combat amoureux qui se préparait. Un corps nu, debout, jambes légèrement écartées, que deux mains douces et viriles, séchaient, chassant avec un drap de bain la moindre goutte d’eau, sous les aisselles, sur les cuisses, sur les cils et les sourcils. Un corps dont on avait préparé l’anus, avec une poire à lavement et de l’eau tiède… Pascale avait vraiment le cul tout propre maintenant, quand à sa chatte, elle était déjà mouillée, la faute à la main divine qui s’était longuement attardée, la faisant frémir, gémir, jouir… Puis vint le moment du maquillage léger, des belles boucles d’oreilles à lourds pendentifs grenat, des pendentifs de seins (comme s’ils étaient pas suffisamment beau), serrés autour du téton, de chaînette en or autour du ventre.


En fait Pascale, n’en avait pas besoin, mais elle s’aimait comme ça. Maintenant, Eric, avait choisi les vêtements de sa belle chienne. Pas de slip, un beau corset en cuir, un petit collier en cuir, une laisse, un porte jarretelles et des bas noirs, des petits escarpins. Maintenant Eric, s’était emparé d’un beau plug, d’une quinzaine de long et bien large. Délicatement, il l’avait enduit de gel, puis l’avait appuyé sur son œillet et l’avait poussé sèchement dans son trou du cul, lui arrachant un petit cri de douleur et plaisir. Avant de sortir de la maison, Pascale avais jeté sur ses épaules son plus beau manteau de fourrure , Eric avait pris quelques accessoires, comme du gel, une grosse boîte de capotes, un bâillon boule avec deux liens en cuir, un masque et direction la voiture. Peu avant vingt et une heure, ils étaient arrivés devant le Formule 1.là une chambre médiocre au rez-de-chaussée, un lit ou docilement elle s’était mise à quatre pattes, cou attaché au montant avant du lit par la laisse, cul cambré…
Sa bouche était maintenant obturée par le bâillon boule que Eric avait serré autour de sa nuque., ses yeux étaient cachés par un masque. Elle était à la merci du premier passant venu. Tiens une sonnerie de portable, un code et un numéro que l’on échange, des pas, une porte qu’on ouvre. Des mots que l’on entend,

« salope », « pute, « suceuse », « beau cul », « superbe les nichons », « très affamée du cul ».

Des mains qui tâtent, caressent les tétons, des doigts qui glissent dans sa chatte pour vérifier son humidité… Comme si on avait besoin de vérifier, ça goûtait, elle le sentait bien, honteuse qu’elle était même.Quand allait-t-on remplacer, cette pale imitation de sexe en plastoc qui lui dilatait le fion, cette boule qui l’empêchait de crier son désir, par des bâtons de chairs, bien raides, bien gros, bien chauds, bien juteux ? Et encore des sonneries de téléphone, de codes, des pas, des mots, de nouvelles voix de nouvelles mains….
Combien étaient ils maintenant ? Etaient ils mignons, jeunes, bien montés, bon baiseurs ? Surtout bien montés et bon baiseurs, c’est tout ce qu’on leur demandait à ces mecs.. A son oreille, une voix douce, bien connue, qui lui susurre :

-« Maintenant, tu vas leur montrer, à qui ils ont à faire. Tu es la meilleure salope du monde, tu vas leur laisser les couilles plates ».

Une immense chaleur intérieure l’envahit brutalement. On lui détachait la laisse, lui enlevait le bâillon, lui arrachait le gros plug.Elle entendit aussi des bruits de ceintures qu’on enlevaient, des pantalons qui tombaient. Elle se releva sur les genoux et à l’instinct, lança ses mains vers deux slips, les plongea, emprisonnant deux grosses paires de couilles… Derrière elle, on s’affairait en silence, des mains lui plaquait les nichons, d’autres s’emparaient de son cul, lui caressaient la nuque ou les cuisses…On se glissait sous elle lentement. Puis soudain, un premier double assaut brutal, bestial. Deux sexes, énormes lui défonçaient les reins et le sexe. Et elle plongea, gueule ouverte sur un troisième.Un qui lâchait, un autre qui le remplaçait. Des jouissances répétées, ininterrompues, à chaque fois une nouvelle queue la remplissait…Et toutes les postures essayées, réessayées. Face au mur, à genoux, sur le dos et bien sur à quatre pattes, cul cambré, présenté, chatte léchée, cul doigté, fisté, seins malaxés, tirés, sucés. Jouissance animale, bestiale, totale… Des heures et des heures, y en avait toujours un qui avait la gaule, une queue à vider, un nouveau défi pour elle.
Et Eric qui matait, matait, lui caressait la nuque, l’encourageait lui prenait la main, filmait, photographiait, jouissait mentalement de la voir si belle. Et ça continuait, encore et encore. Et Pascale, maintenant dans un état semi comateux qui chevauchait un dernier amant pendant que les neuf autres, agitaient leurs calibres pour lui offrir en final une douche blanche et crémeuse.
Elle s’effondra.
Tout juste, si elle sentit qu’on la douchait, la rhabillait, la portait, l’allongeait dans un lit moelleux, la caressait. Avant de s’endormir définitivement, elle rouvrit les yeux sur Eric.
Elle savait que demain son cul la brûlerait encore, qu’elle serait encore épuisée, mais quel trouverait la force de surprendre son tendre ami, qui lui avait organisé ce délicieux moment.
FIN

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