Elodie (8/10)
L'initiation d'Elodie (8/10)
La crémaillère..
Alexis et moi avons obtenu notre baccalauréat avec mention bien pourtant sans loption « activités sexuelles » et cest bien dommage car nous avons fait tous deux de grands progrès dans la connaissance de nos corps et des possibilités dexpression corporelle et dexplosion sexuelle. Ce fut donc à la grande joie de nos parents à qui nous nous présentâmes lun lautre le jour de la proclamation des résultats quand ils nous ont vu nous embrasser.
Nous avons décidé de nous inscrire tous les deux à lUniversité des Sciences en Biologie. Mais il fallait quitter nos parents et trouver à nous loger au Chef-lieu. Nous avons suggéré de nous installer ensemble afin déconomiser un loyer. Nos parents ont accepté sous la condition de ramener des résultats satisfaisants. Ce que nous avons évidemment promis pour éviter dêtre séparés.
Nous avons donc emménagé dans un studio près de luniversité, studio que nous avons décoré avec soin pour en faire notre nid damour et de plaisir. Après quelques semaines Yolande une copine et Xavier son ami nous ont taquinés car nous ne les avions encore pas invités à pendre la crémaillère.
Nous avons décidé de fêter ça un vendredi soir car il ny avait pas de cours le samedi.
Le repas fut vite composé : buffet froid, crudités, fruits, gâteaux et glace. Un peu de vin blanc et rosé accompagna le tout. Xavier avait apporté une bouteille de champagne. Après la première coupe Yolande fut un peu « chaude ». Elle demanda la permission de se mettre à laise à Xavier qui accepta à la condition que moi aussi je fis pareil.
Yolande et moi restâmes alors en soutien-gorge et string blancs pour moi, roses pour Yolande. Les collants ont vite été quittés. Devant notre tenue nos hommes ont applaudi et ont eux aussi abandonné le peu de vêtements gênants pour se présenter en caleçons. Une musique dambiance nous a entraînés dans des slows lascifs et langoureux.
De son côté Xavier qui avait pressé son pubis contre le ventre de sa copine ne pouvait plus dissimuler la bonne qui déformait son caleçon. Il tentait de se dissimuler en passant une main entre son corps et celui de Yo pour atteindre la fente qui teintait dhumidité le string rose. La soirée devenait chaude et électrique. Un changement de disque nous permis de souffler un peu, de boire une nouvelle coupe assis sur le canapé, le rouge aux joues et les sexes en ébullition.
« Allons sur le lit proposa Alexis !
Je nen revins pas de son audace, proposer cela devant moi. Mais je me souvins un jour lui avoir dit que je fantasmais sur une partouze.
- Pourquoi pas, répliquais-je vivement.
- Quen dis-tu Yo demanda Xavier ?
- Si tu es daccord moi aussi.
- Avec préservatifs pour tous ! annonça Alexis sortant des boîtes de capotes quil avait prévues, le coquin !
Nous nous délestâmes des derniers remparts de tissu et entamâmes une série de galipettes dont les ressorts du lit se souviennent encore.
Chacun commença avec sa chacune. Alexis et moi débutâmes par une pipe magistrale afin de donner grande forme à un appendice déjà pourtant bien gorgé de sang mais pas encore assez dur à mon gré. Je le branlais alternant coups de langue et coups de main jusquà ce quil me retournât et me pénétrât en levrette, exposant mes fesses à nos amis.
De son côté, Xavier montrait une queue énorme, plus grosse et plus longue que celle dAlexis et que Yolande avait du mal à emboucher pendant quil lui fourrageait la toison dorée.
- Cest bon ? demandais-je à Yolande.
- Excellent ! Je mouille comme une fontaine !
Entendant cela Xavier se positionna devant sa chatte et lui posant les deux jambes sur ses épaules senfonça en elle vigoureusement. Il la pistonna quelques minutes puis ils sallongèrent tous deux sur le côté et poursuivirent le coït commencé jusquà ce quun râle intense jaillisse de la bouche de Yo.
- Aaaaaaaahhhhh ! Ouuuuuuuiiiiii ! appuie plus fort !
Xavier se déversa en longues rasades dans le vagin détrempé de sa copine et continuant ses va et vient le sperme déborda sur les lèvres intimes de Yo qui gémissait de plus belle.
- Je nai encore jamais joui de la sorte ! dit alors Xavier. Quel pied !
- Et moi donc ! affirma Yolande.
Pendant ce temps Alexis mavait assise sur ses cuisses en position dAndromaque et je montais et descendais en cadence lente sur son pieu fièrement dressé. Soudain il me maintint fermement sur lui, son dard bien à fond et il explosa à son tour expulsant une abondante dose de foutre qui se répandit sur son ventre lorsque je me retirais. Son sexe trempait dans son jus.
- Quelle baise ! soupira-t-il. Je suis vidé !
Quelques instants de relaxation durant lesquels nous fîmes un brin de toilette chacun notre tour et nous changeâmes de partenaire.
Je me mis à malaxer le gros pénis de Xavier afin de lui faire reprendre sa forme maximale quil ne tarda pas à atteindre sous leffet de mes doigts qui leffleuraient de leur douceur sensuelle et de mes lèvres que je glissais de haut en bas et de bas en haut de sa longue hampe. Xavier me caressait les cheveux ce qui mélectrisait ; je frissonnais des pieds à la tête quand il me frôlait la nuque. Il me gratouilla au creux des bras et au creux des genoux, ce que jadore et sa bite durcissait et sallongeait encore et encore.
Yolande mettait tout son cur à redonner vigueur à Alexis qui lui pétrissait les seins et mordillait ses tétons qui sallongeaient. Dune main il titillait sa fente humide et luisante, pressant ses grandes lèvres, les faisant rouler entre ses doigts comme dune cigarette ou dun crayon. Jetant un coup dil à ce sexe féminin, je vis un gros bouton rose sortir sous la pression ; Alexis le perçus de ses doigts et il sempressa de le capter entre ses lèvres : un bruit de succion se fit entendre qui fit gémir Yolande. La pine de mon ami, dressée et à son maximum ne demandait quà remplir son office et son orifice. Il se saisit dune capote et la déroula posément avant de senfoncer dans la vagin dilaté de Yolande et de commencer une série de mouvements lents. Il prenait son temps savourant le moment ; cétait la deuxième femme quil prenait, et sous mes yeux.
- Tu nes pas jalouse me questionna-t-il ?
- Bien sûr que non puisque je suis avec toi !
Xavier me tendit un préservatif rose et me demanda de le lui enfiler. Jessayais mais maladroitement vu la grosseur de son engin. Il maida alors puis je lui malaxais les testicules qui étaient à la mesure de son désir. Ny tenant plus il me coucha sur le dos, mécarta les jambes au maximum et pesa lentement son gland violacé à lentrée de ma chatte humidifiée.
Malgré lécartèlement il ne parvint pas à entrer.
- Mets du gel dabord, lui demandais-je.
Ce quil fit tant sur son gland que sur toute sa hauteur ainsi quà lentrée de ma grotte damour.
Nous reprîmes notre position et la pénétration réussit. Il bougeait à peine ; je ressentais les veines de sa verge contre les parois du vagin, les palpitations me réjouissaient. Davoir un tel engin dans mes entrailles me faisait mouiller encore davantage.
Je lui demandais de se coucher sur le dos et je magenouillai face à lui pour engloutir son gros tard dodu du plus lentement que je pouvais : je savourais cette lente progression et la repris plusieurs fois afin de sentir monter ma jouissance.
Voyant cela (et entendant aussi) Xavier me prit alors par les hanches et me fit monter et descendre lui-même sur son mât de chair vivante et il se masturba avec mon corps, usant de mon vagin comme de sa main jusquà ce que ses muscles se contractent puis projettent sa semence au fond de la capote. Mon vagin ne perdit pas une seule de ses contractions et jexplosais à mon tour expulsant un jet de liqueur intime féminine.
Regardant lheure (déjà une heure du matin) nous ne pouvions laisser repartir nos amis. Je leur proposais de passer la nuit à quatre dans le même lit. Au point où nous en étions
.
A suivre...
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