Je Me Donne - La Transition 6

Anthony me réserve des surprises, me faire prendre par des inconnus. Ce dimanche matin, mon mari me demande d’aller chercher un livre à la cave.
-écoute, tu peux y aller toi-même, j’ai pas envie de descendre, en plus je ressemble à rien.
-ma chérie, stp, ça m’arrangerait vraiment.
-bon ok, mais tu es chiant.
Je n’étais pas top pour rencontrer les voisins. Un jogging gris, un haut sans forme et pas de soutient gorge. Oui je sais vu le peu de seins, j’en ai pas besoin, mais quand même. Je descends donc à la cave chercher son bookin. Nunuche comme je suis, je me perds un peu dans les couloirs des caves. Par chance, tout est super propre, bien entretenus. J’ouvre la cave et commence à cherche son foutu livre. Honnêtement je ne trouve rien du tout, ça commence à me prendre la tête. Tout à coup, je sens une présence dans mon dos. Je me retourne et un homme se tient devant moi. C’est un homme qui n’appartient pas au bâtiment, que je ne connais pas.
-vous êtes qui ? Vous faites quoi ? vous voulez quoi ?
Je suis un peu affolée quand même, dans les caves les passages sont rares. L’homme est brun, une peau très mate, assez grand. Un long silence règne dans les caves.
-je crois que vous cherchez au mauvais endroit.
-ah bon, je ne comprends pas.
-c’est moi que vous cherchez.
L’homme donne le mot magique. C’est donc une surprise de mon mari. L’homme referme la porte derrière lui. Nous sommes un peu dans le noir, il y a juste une petite lumière qui passe à travers un hublot. Les mains de l’homme se plaque sur ma poitrine. Je suis sans reflexe, je me laisse faire. Rapidement je me retrouve nue. Sa main prend la mienne et je découvre son membre sorti, dur. Je comprends que je dois le sucer, je m’accroupie et commence à le sucer. Je découvre un sexe de bonne taille. Je n’ai droit de le sucer que quelques minutes. L’homme me prend par la taille, me plaque le dos au mur, me lève et s’empale en moi d’un coup.

Il me tient par les cuisses et je suis prise comme ça. Il fait quelques allers-retours en moi durant quelques minutes. Je mouille toujours et encore, je n’y peux rien, c’est ainsi, enfin bref. L’homme me repose au sol, me fait m’accroupir de nouveau et je le suce.
-suce moi bien, fais-moi bien jouir avec la bouche, allez.
Je comprends que l’homme est là uniquement pour son plaisir personnel et pas autre chose. Je m’applique à lui donner une belle fellation. A un moment, il se retire de ma bouche et commence à se masturber. Assez rapidement, des jets de jus atterrissent sur mon visage et mes seins. Il jouit abondamment d’un jus liquide et odorant. Il se réajuste et quitte la cave. Je reste sur ma faim, mon entrejambe est mouillé. Je me nettoie autant que possible et remonte à l’appartement.
-t’es malade mon chéri, dans les caves avec un inconnu, c’est prendre des risques.
-peu importe, tu aimes alors arrête.
-oui mais là je suis resté sur ma faim.
-j’imagine, mais tu n’as pas mise de limite, donc…
Je monte prendre une douche, moment dans lequel je me masturbe pour essayer de combler ce non plaisir. Rien ne remplace une queue, mais à défaut… !

Deux semaines après l’épisode de la cave, un mardi soir mon mari rentre. Je le trouve un peu étrange.
-ça va mon chéri ?
-pas vraiment, nous avons un problème.
-ah bon ! lequel ?
-Le gardien m’a coincé la bulle. Il sait ce que tu fais, il t’a vu à la cave et dans le parking.
-ah merde, et alors ?
-il a filmé et il veut te voir.
-oh il ne va pas nous emmerder, je vais m’occuper de lui, t’inquiète, je vais gérer. Je passerais le voir demain soir.
- oui il faut vite régler ce problème je pense.
Le lendemain soir, je toc à sa porte.
-madame XX, bonjour.
-bonjour, je crois qu’il faut que nous parlions.
-alors entrer.
-oui mais vous laissez la porte de la loge ouverte.
-pas de soucis, entrez.
-donc, vous avez vu des choses, et alors vous allez nous faire quoi ? vous croyez que j’ai peur de vous, vous n’êtes que gardien, je vais voir ça avec votre employeur.

J’ai attaqué direct, pour pouvoir régler le problème.
-ma petite dame, regardez ça.
Sur son smartphone, je découvre la vidéo du parking. Très nette, je suis facilement reconnaissable, le son est pas mal Même si je ne me suis pas trop exprimée à ce moment-là, j’ai craqué en jouissant.
-ok et alors ?
-mais j’en ai d’autres.
-ah bon.
-vous voulez voir ?
-non bon fermons la porte, c’est plus discret.
-oui je pense ma petite dame.
-vous voulez de l’argent ? ou autre chose ?
-non j’ai ce qu’il me faut. Par contre vous, vous allez venir me voir le dimanche matin, tous les dimanches matin et vous serez habillée comme dans la cave, vous savez, vous vous rappelez.
-heu !!!!
-et ce n’est qu’un début pour le moment, si vous refusez je donne la vidéo et imaginez.
-mais vous ne pouvez pas, je vais aller voir la police.
-ah ah, vous faites ça dans des lieux publics et vous voulez aller voir les flics, vous êtes en mauvaise posture, alors allez-y, tient je t’ouvre même la porte.
Je suis en mauvaise position, la menace ne lui fait pas peur. Le sol se dérobe sous mes jambes, je me reprends.
-écouter, je ne sais pas ce que vous vous imaginez, mais vous n’aurez rien de ce que vous demandez, ce n’est pas possible.
-ok comme tu veux, regarde ce mail, il est prêt à être envoyé, regarde le nom des destinataires.
Le gardien me fait voir le mail, je découvre des noms de personnes que je connais, comme les a-t-il obtenus ?
-attendez, attendez, laisser moi en parler avec mon mari au moins, comprenez-moi.
-ok si tu veux, mais donne vite la réponse, sinon le mail partira.
Je remonte voir Anthony et lui explique la situation. Nous cogitons avec force pour tenter de trouver une solution et se sortir de cette situation. Anthony arrive à la conclusion que nos choix sont limités et que la situation est sans issue. Là, je me rebelle. Deux heures plus tard, la conclusion est sans appel.

-ma chéri, en attendant de trouver quelques choses contre lui, nous n’avons pas d’autres choix que d’accepter.
-ouais, je m’en rends compte…mais c’est du chantage et je vais devoir me soumettre à ce qu’il veut.
-je vais faire vite pour le prendre en défaut.
-oui tu as plutôt intérêt.
La réponse donnée au gardien, le dimanche matin je descends à sa loge discrètement. Il m’ouvre avec un grand sourire.
-c’est bien tu es venue.
Je ne réponds rien. La porte se referme derrière moi.





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