Elodie (10/10)

Cette série d’histoires est entièrement vraie car je l’ai complètement inventée. Aucune situation n’est ou n’a été réelle. Aucun personnage ne se réfère à quelqu’un (ou quelqu’une) de particulier. Les lieux, âges, actions sont imaginaires. Prenez -les pour ce qu’ils sont : de la littérature érotique (des essais tout simplement) sans aucune prétention autre que de vous divertir et de vous donner éventuellement du plaisir.

L’auteur Jacques59. Erotiquement vôtre.

L'initiation d'Elodie (10/10)


Le retour à mon studio fut rapide (c Elodie9) afin que la forme (les formes devrais-je écrire) et l’ambiance ne retombent pas. Ce ne fut pas le cas et nos jeux reprirent immédiatement la porte refermée. Les rideaux n’avaient pas été ouverts de sorte que nous ne craignions pas les regards des voisins d’en face.

Donc aussitôt les vêtements éparpillés sur le sol, Alexis s’aperçut alors que j’avais gardé mon string rose.
« Tu m’as bien eu ! Tu mérites un gage pour m’avoir trompé !
Aussitôt les trois acolytes se livrèrent à un court conciliabule afin de décider de ma punition. Ce fut rapidement fait :
- Tu te mets en levrette et nous te léchons tous les trois la chatte jusqu’à ce que tu jouisses !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Ce n’était pas pour me déplaire car Alexis me suce habituellement divinement bien. Les faits se sont confirmés bien vite. Alexis me lécha en premier, mouillant mes lèvres et mon bouton d’amour de sa salive.
Durant ce temps Yolande avait trouvé un pot de miel et m’enduisit la fente et l’anus de ce nectar qu’elle entreprit de nettoyer jusqu’au dernier grain. Comme c’était agréable de se faire bouffer la chatte de telle manière.
Xavier avait sorti une bombe de crème fouettée qu’il étala à son tour copieusement sur mes poils pubiens, mes lèvres vulvaires et ma rondelle.
Il se glissa sur le dos et commença une longue toilette de chat. J’étais devenue luisante de propreté et mon clitoris avait doublé de volume sous les nombreux coups de langues reçus.

J’explosai violemment dans un orgasme sensationnel expulsant un flot de cyprine qui ruissela sur mes cuisses tremblantes de plaisir.
- Merci, ce fut formidable !
- A ton tour Alexis d’avoir un gage puisque tu n’avais pas vu que j’avais un string.
Après concertation il fut décidé de lui bander les yeux et de le sucer aussi tous les trois. Alexis était réticent car ce n’était pas sa tasse de thé que de se taper des mecs. Il commencerait le premier en silence afin que Xavier ne le sache pas. Ainsi fut fait. Xavier entama la première pipe de sa vie. Et il s’y prenait bien le bougre. Alexis présentait une belle érection.
Je barbouillais ce sexe dressé de crème et m’appliquais à le laver malaxant en même temps les couilles charnues et poilues qui palpitaient sous ce dard.
Yolande prit la relève après avoir mangé un bonbon à la menthe glaciale. Le pénis d’Alexis se cabra alors sous la sensation froide et un jet de foutre s ‘éleva à une vingtaine de centimètres de son gland avant de retomber sur son ventre ; Yolande fut surprise mais repris les choses en bouche et avala les jets suivants sans en rien perdre. Elle fit la toilette de mon chéri et affirma :
- Quel excellent dessert !
- Qui m’a sucé si bien ? demanda alors Alexis en ôtant son bandeau.
- Tous les trois, chacun notre tour !
- Bande de cochons ! plaisanta-t-il.
- Mais ce n’est pas terminé : à ton tour Yolande ! Tu n’avais pas mis de culotte, toi ! Ce n’est pas bien d’exciter ainsi les hommes ! Comme gaga nous allons te baiser chacun notre tour ! décréta Alexis.
Et il prépara les préservatifs et le gode qu’il m’avait offert pour l’anniversaire de notre dépucelage mutuel.

Il déroula la capote sur son sexe redressé pendant que Yolande s’allongeait se préparant à recevoir nos offrandes. Il s’introduisit en elle avec douceur et commença à la pistonner en augmentant progressivement l’ampleur de ses mouvements. Les lèvres de mon amie rougissaient et gonflaient sous l’excitation. Alexis grognait de plaisir. Nous regardions sa queue se mouvoir à l’aise dans ce jeune vagin.
Se retirant prestement il me dit de le remplacer : j’avais garni le gode d’une capote et le fit aller et venir dans le vagin dilaté de Yolande qui se cambrait faisant saillir son clitoris dont le gland rose s’allongeait hors de sa vulve. Je déposai un peu de salive pour le lubrifier et le caressais tendrement.
Après quelques minutes de ce traitement, je laissai la place à Xavier dont le sexe avait atteint le volume maximum que nous avions contemplé la veille. Il se cala entre les cuisses de sa copine, installa ses jambes sur ses épaules et la baisa ardemment, vaillamment durant cinq à six minutes avant d’expulser sa semence au fond du préservatif lors d’une série de contractions et de gémissements.
- Ah ! Quelle baise ! Sensationnel ! annonça-t-il en se retirant et nous montrant le résultat dans le condom. Quelle quantité ! Je suis vidé !

- Mais c’est pourtant à ton tour maintenant ; tu n’as pas eu de gage encore !
Une courte délibération et il fut condamné :
- Nous te faisons tout ce qui nous passe par la tête jusqu’à ce que tu bandes à nouveau à l’exclusion de la violence !
- D’accord ! J’espère que ce sera agréable !
Yolande eut l’honneur de débuter : elle le fit s ‘allonger sur le lit et commença à le titiller partout de ses seins : elle frôla ses yeux, sa bouche (il tenta de les gober), ses cheveux, sa poitrine, son ventre, son sexe qui avait déjà tant donné refusait de se dresser ! Elle passa sa vulve sur ses lèvres et il en profita pour la lécher… Elle lui offrit son anus à mouiller. Bref toute la gamme. Sans succès.
Puis ce fut le tour d’Alexis qui lui caressa le moindre carré de peau avant d’effleurer sa queue au repos, de la prendre en main (le coquin !) et de tenter de la branler d’abord avec douceur puis avec ardeur. Rien n’y fit !
Enfin j’entrais dans la danse : je m’assis sur sa poitrine en lui tournant le dos. Xavier me caressa le dos puis tenta de me saisir les seins mais je descendis un peu et agaçais son pénis de mes doigts puis de ma langue. Il frétilla légèrement. Alors je le lui frottais contre ma vulve et mon clitoris. Ma mouille et ma chaleur firent alors son effet : son engin commença une lente courbe ascendante, prit une bonne longueur avant de grossir et de se redresser d’un coup. J’en profitais alors pleinement avant d’en être privée : je me redressai et me laissai retomber rapidement sur son pieu et me masturbais sur cette masse chaude et palpitante. J’avais envie d’une bite bien grosse pour me faire jouir. Un orgasme fulgurant me traversa alors : je me retirai car je n’avais pas posé de capote et je le continuais à la main. Il explosa encore une fois dans mes doigts mais sa semence ne jaillit pas, elle s’écoula longuement pendant que sa queue se contractait rythmiquement.
- Et bien vous m’avez encore eu ! Mais c’était bon !
- C’est bien dommage que l’on ne pende pas la crémaillère tous les jours ! dis-je. On en apprend de belles en matière sexuelle ! »

C’est ainsi qu’Elodie fit son apprentissage.
Mais elle avait de bons professeurs d’éducation sexuelle qui allaient se charger de lui apprendre la vie sous toutes ses formes.