Elodie (9/10)
L'initiation d'Elodie (9/10)
Une bonne journée bien remplie !
Cette série dhistoires est entièrement vraie car je lai complètement inventée. Aucune situation nest ou na été réelle. Aucun personnage ne se réfère à quelquun (ou quelquune) de particulier. Les lieux, âges, actions sont imaginaires. Prenez -les pour ce quils sont : de la littérature érotique (des essais tout simplement) sans aucune prétention autre que de vous divertir et de vous donner éventuellement du plaisir.
Lauteur Jacques59. Erotiquement vôtre.
Linitiation dElodie (9/10)
Vous pensez bien quaprès ce qui venait de se dérouler sur notre lit nous nétions plus tout à fait les mêmes. (cf Elodie8) La nuit débuta calmement. Javais rejoins mon chéri Alexis et lui tenais la bite au creux de la main pendant quil avait la sienne sur ma chatte chaude et juteuse.
Xavier avait empoigné un téton de sa chère Yolande et lui glissait la queue dans la raie de ses fesses. Cest sur ce tableau idyllique que nous éteignîmes les lumières. Nous dormîmes profondément, bras et jambes mêlés, ne sachant pas trop qui tenait quoi et à qui appartenait telle main baladeuse. Bref cétait du pur mélangisme.
Vers dix heures je bougeai légèrement à la recherche dun drap disparu dans la lutte et je saisis un objet dur et chaud : cétait le pénis dressé de Xavier. Il avait une sacrée trique matinale que je ne pouvais décemment pas laisser perdre. Ceut été gâcher une telle prestance. Je me positionnai à genoux et gobai son engin ; je lavalai de tout son long en glissant ma langue copieusement mouillée de salive sur sa hampe qui frétillait. Il séveilla mais eut la délicatesse de ne pas bouger quand il me vit. Il accompagna ma succion par des caresses sur ma nuque et mes cheveux jusquà son explosion.
Mon Alexis chéri se réveilla à son tour, surpris de me voir déjà au travail :
« Je viens de prendre un copieux petit-déjeuner, lui dis-je.
Et aussitôt je replongeais sur cette autre offrande tendue vers moi. Je la mouillais du sperme chaud que Xavier mavait déversé au fond de la gorge et suçais avidement quand Yolande minterrompit :
- Tu pourrais me laisser un peu de crème pour mon petit-déjeuner !
- Avec joie ! Il y en a pour tout le monde !
La journée commençait bien
Puis nous allâmes vers la salle de bain pour nous débarrasser des affres de la nuit. Xavier et Yolande se frottèrent mutuellement le dos et le reste ce qui déclencha une nouvelle érection quil fut obligé dassouvir. Saisissant sa copine par les hanches il la fit se retourner et se mettre en appui sur le rebord de la baignoire. Elle semblait avoir lhabitude de la position
Elle écarta ses globes fessiers des deux mains et se prépara à recevoir la pine de Xavier dans son vagin savonneux. Mais il se trompa ( ?) de trou et lencula dun coup rapide tellement il était mouillé. Il pilonna les entrailles de Yo avec vigueur malgré les grimaces quelle faisait. Subitement elle se cambra et poussa ses fesses vers le pubis de son homme. Il comprit le message et ralentit le rythme. Yolande hurla sa jouissance quand il déchargea ses couilles. Lorsquil débanda il sortit sa queue de lanus dilaté qui recracha une partie du foutre.
- Quelle douche ! fit-il.
- Quel réveil ! répondit-elle.
Et ils sembrassèrent tendrement sous leau qui continuait de couler
De mon côté jenlaçais mon homme et mes agaceries firent leur petit effet. Je me saisis de lobjet de mes convoitises et commençais par le branler lentement. Quand il fut dans toute sa majesté je lui dis :
- Tu men fais autant puisque tu nas pas perdu une seconde du spectacle précédent
- Tu veux vraiment, alors que tu as toujours refusé ?
- Il faut un début à tout
Et puis tu es un peu moins gros que Xavier. Tu devrais rentrer plus facilement.
Nous nous savonnâmes grassement et je me mis en position.
Sous les yeux de nos amis il me fit subir le même traitement qui se révéla de même efficacité. Je serrais mes fesses sur ce pieu de chair qui me labourait. Quelles sensations ! Je me mis à gémir puis à haleter lorsque Alexis se vida en moi. Jétais enfin dépucelée de ce côté-là et avec un vif plaisir.
Après cette mise en bouche (ou bien bouches ?) nous décidâmes daller manger un peu car il était trop tard pour cuisiner nous nen avions pas non plus très envie -. La brasserie du coin nous accueillit et le repas se déroula comme la matinée avait débuté : nous nous repassâmes le film de la nuit et de la matinée nous complimentant sur nos performances, nos prestations, nos dons mutuels et nos appâts respectifs. Bref nous ne vîmes pas le temps passer ni le petit vin rosé du patron qui nous avait encore rendus plus guillerets. Brusquement Yolande annonça de sa chaude voix :
« Zut ! Jai oublié de mettre ma culotte !
Et Xavier, toujours aussi curieux de plonger la main entre les cuisses de sa chérie.
- Mais cest vrai ! Oh ! la cochonne !
- Et toi Elodie, en as-tu mis une au moins ?
- Mais Alexis tu sais bien que je nen porte jamais quand je sors avec toi ! osais-je répliquer.
Heureusement que nous étions éloignés des autres consommateurs car Alexis me souleva la jupe pour constater de visu et non pas manuellement. Javais mis un string tellement mini quil ne le vit pas et constata avec ravissement labsence de tissu :
- Mais que cest mignon tout ça ! Il est temps daller en profiter !
Nous réglâmes la note et regagnâmes nos pénates tout émoustillés. En chemin nous avons évoqué ce que nous allions pouvoir faire de nouveau avec nos corps avides démotions érotiques de plus en plus extravagantes.
A suivre...
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