Un Après Midi Chez Anne-Lou Épisode 1
En cette fin du mois de mai, ils sont partis à Paris pour l'annuel salon du tourisme,
car Samy est directeur commercial d'un hôtel à Jerba. Cette année là, Myriam étais du
voyage. Elle s'estime être la plus chanceuse épouse, car elle n'a pas le devoir de
travailler, bien que parfois une activité professionnelle lui manque, mais à ce moment
là elle n'aura pas toujours le loisir de vivre pleinement les intenses moments qu'elle
est entrain de connaître !
Comme à chaque passage par Paris, elle prévient son amie Anne-lou, une amie qu'elle
connaît depuis une bonne dizaine d'années.
Elles se sont données rendez-vous, le mardi pour un déjeuner sur les champs, au
Fouquet's.
Myriam pris place au restaurent à 12h30 et attendais avec une certaine impatience
l'arrivé de son amie, car il faut avouer qu'elles s'entendent à merveille sans pour
autant être très intime. Mais elles aiment bien bavarder, échanger leurs points de vu
et surtout faire les magasins.
A 12h40 Anne-lou franchi le pas de la porte du restaurant d'un pas félin et avec une
grâce qui pourrait faire bander un eunuque ! . Elle porte une longue jupe noire
plissée et un chemisier blanc à travers le quel on peut deviner qu'elle ne porte pas
de soutien gorge. Son visage est couvert d'un discret maquillage, le pourtour de ses
lèvres finement dessinée par un crayon sombre.
A sa vue, Myriam va à sa rencontre. Elle, aussi, n'est pas à plaindre bien qu'elle
soit un peu courte sur patte, elle mesure 1m62 mais ce qui fait son charme se sont les
deux fossettes que dessinent ses joues lorsqu'elle sourit et surtout son 95c qu'elle
sait mettre en valeur lorsqu'elle enfile un pull moulant qui dessine ses courbes
volumineux. Mais aujourd'hui elle a opté pour une robe moulante en coton d'un bleu qui
a le secret de la rendre plus grande de taille (juste un effet d'otique !)
Après de sincères accolade et bizous, elles se sont mise à table pour commander leurs
déjeuner qu'elles arrosent d'une bonne bouteilles de Bordeaux.
on n'entendait qu'elles dans le restaurant tellement elles étaient bruyante. Elles
avaient tant de choses et d'anecdotes à se raconter.
A la fin du repas quittèrent le restaurant bras dessus bras dessous, elles se
sentaient d'une humeur si joyeuse...
- On va faire un peu de lèche ? demanda Anne-lou
- Ne me donne pas de mauvaise idées, je suis encore jeune épouse si..... Si ... dit
Myriam en trémoussant des fesses, d'abord du lèche quoi ?
- Juste que du lèche vitrine, pour autre chose, j'ai trop bien mangé, je ne veux pas
gâcher le festin que je viens de faire.... Et en plus c'est pas donné !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les voilà entrain de descendre les champs en prenant bien
soin de passer en revue toute boutique qui passe sous leurs yeux, qu'elle soit de
chaussure, de vêtement ou de voiture. A leur passage toutes les têtes des hommes se
retournaient car elles n'arrêtaient de s'esclaffer et de rire pour n'importe quoi.
Après plus de 3h flâneries de boutique en boutique, elles étaient arrivées au niveau
de la bouche de métro Frankin Roosevelt. Anne-lou regarda sa montre est dit :
- Viens Myriam, je te fais visiter mon nouvel appart !
- T'as changé d'appart et tu m'as rien dis ?
- Je viens de déménager samedi, une occase comme cela ne se rate pas !
- T'habite où maintenant ?
- Dans le quartier latin. J'ai trouvé un 50m² pour 350 euro ! Tu t'imagine ? Je dois
être cocue ou quelque chose dans ce genre !
Nous prîmes donc la direction de son appartement et moins d'une demi-heure plus tard
nous voilà devant la porte de son immeuble. Son logis était au 5ème et dernier étage.
Il y avait 2 appartements par palier, et le second appart de son palier était inoccupé
par chance. Et encore heureux qu'il y avait un ascenseur car Myriam ne sentait plus
ses jambes.
Une fois la porte franchi, Anne-lou s'empressa de faire le tour de proprio.
- Là, à gauche c'est ma chambre, il y en a qu'une seule, elle est bien vaste elle fait
22 m². Sur ta droite, la 1ère porte est celle des W.C et la suivante c'est celle de la
salle de bain. Dit-elle tout en ouvrant les portes. Et enfin le salon. Sympa non ? Ce
coin kitchenette dans la salle de séjour ? Il est vrai quand je fais la cuisine ça
sent un peu, il faut juste que j'évite la friture.
- Top ! Ton appart est trop top ! Je te comprends que tu n'as pas hésité une seule
seconde pour le prendre !
- Bon installe-toi ! Le temps de nous préparer à boire. Tu veux quoi ? J'ai du gin, du
whisky et de la vodka spécialement venue de Russie ? Moi je prends de la vodka !
- T'as pas du jus ?
- Myriam ! Tu es en vacances laisse toi aller, et t'appelleras ton homme pour qu'il te
raccompagne !
- Ok ! Alors du gin tonique !
Le temps qu'elle Anne-lou était partie pour préparer les boissons, Myriam se dirigea
vers la sono et elle mis un CD de Barry White. Puis elle se mis à consulter les titres
des bouquins qui étaient placés là.
Dans un coin elle en trouva quelques-uns avec des titres assez ....
- Dis donc Anne-lou ! C'est quoi ça : « Délices de femmes » « Ma soeur, Julie et moi
», « Initiation ueuse », « Cette salope de cousine » et j'en passe ?
- Il faut bien que je puisse me soulager si j'ai rien sous la main ! C'est juste de la
lecture, il y a pas de mal, dit-elle en revenant les bras chargés avec leurs boissons
et quelques amuses gueules
- Ils parlent de quoi ?
- De tout, dans certain j'y trouve quelques-uns de mes fantasmes les plus cachés.
Myriam se mordait les lèvres pour ne pas laisser échapper la stupide question « les
quels ? ». Curieuse elle l'est et elle le restera toujours, mais elle s'était fixé une
règle de ne jamais s'imiter dans la vie intime des autres.
jardin secret qu'il ne faut pas franchir si la personne en face ne l'autorise pas.
Sur ces réflexions, elle pris son verre et s'assit sur le canapé. Anne-lou la rejoint
et lui tendis le portable.
- Vas-y ! Appel ton homme et dis-lui qu'il doit venir te chercher !
Après avoir composé le numéro d'Samy, elle attendis quelques secondes.
- Salut chéri... Oui je suis avec Anne-lou ... Elle a un nouvel appart, il faut que tu
vois comme il est chouette ... Je te la passe, elle t'indiqueras, à se soir chaton !.
Anne-lou lui indiqua le chemin de l'appartement, puis raccrocha et dit à Myriam :
- Il a un dîner d'affaire, il ne sera pas là avant 22h !
- A nous, dit Myriam en tendant son verre.
- Tchin !
C'est comme si elles s'étaient d'accord, elles vidèrent d'un seul trait leurs verre.
- Bahhh !!!Il y a longtemps !, Dit Myriam.
- Ca fait quoi 3 mois ?
- Non j'en ai pas l'occase depuis le nouvel an ! Tu veux bien en resservir ? Dit-elle
en tendant son verre à Anne-lou.
- Tu veux pas goûter un peu de vodka ? Il est vraiment délicieux !
Anne-lou tendis un verre à Myriam pour goûter.
- T'aurai pas du jus d'orange ?
Anne-lou répondis par l'affirmatif et se dirigea précipitamment en chercher un pack de
jus d'orange frai. Elle lui prépara donc un vodka-orange. En voulant lui remettre le
verre, elle perdis malencontreusement le verre qui vint éclabousser la jolie robe de
Myriam, qui n'eu pas le temps d'esquiver un mouvement pour éviter ce déluge.
- Oh merde !!! Attends, je vais essuyer !, en regardant la bêtise qu'elle venait de
faire. En y regardant de plus près, je crois qu'il vaudrai mieux que tu me donne ta
robe en entier ça me sera plus commode.
Devant la moue qu'exprimait Myriam, Anne-lou dit : T'as rien à craindre il n'y a que
moi, et je crois bien qu'on est faite pareille !
Encore un peu hésitante, après une bonne minute, Myriam se releva pour entamer son
déshabillage, elle donnait dos à Anne-lou qui pris se geste pour de la pudeur.
fois la robe aux pieds de Myriam, celle ci fît face en cachant son pubis et ses seins
de ses mains.
- Oh ! ! ! Je ne savait pas aussi cochonne ! T'as pas de sous-vêtement ?
- Non, Samy m'a initié à ne pas en porter sous une robe.
- Et ça te gêne pas ?
- Non ! C'est agréable de sentir l'air frais entre les jambes et de savoir qu'à tout
moment je peux être prise. C'est excitant ! Dit-elle en reprenant place sur le divan.
Et si tu savais tout ce que j'ai pu faire grâce et à cause de lui, tu n'en reviendras
pas !
- Attends je vais enlever la tâche de ta robe puis tu me raconteras en détail, tu veux
bien ?
Myriam acquiesça de la tête tout en croisant ses fines jambes. Dans ce furtif
mouvement, Anne-lou pu voir durant quelques secondes les lèvres charnues du sexe de
son amie. Une chaleur lui traversa le corps.
« Non ! Non ! » Se dit-elle. Pour reprendre ses esprits, elle se leva pour passer
cette robe sous un filet d'eau. Une fois finie, elle accouru au salon, reversa un
nouveau verre pour Myriam et pris place à ses cotés.
- Allez, raconte ! Avec les détails si c'est possible !
Pour ce donner du courage, Myriam bu d'un trait le verre qu'on venait de lui tendre,
qu'elle redonna pour être resservi, ce que Anne-lou ne tarda pas à faire, en prenant
un petit plaisir à mettre un peu plus de vodka que d'habitude.
« Alors voilà ! Tout à commencer au début de notre relation. Ca devais faire près de 3
semaines que c'était sérieux entre nous. Jamais, oh jamais il n'avait fait un geste ou
une allusion déplacé envers mois. Les garçons sont connus pour ne chercher qu'à faire
l'amour, moi je nomme ça « baiser ». Samy, ne me l'a jamais implicitement ou
explicitement demandé ! Je me sentais en confiance avec lui, je prenais même un
certain plaisir à l'exciter volontairement, mais il restait de marbre, si je puis-
dire. Un jour, durant les vacances de pâques, ma soeur ainsi que son mari, sont partis
avec les s au ski. Ils m'ont donc remis les clefs de leurs appart pour que j'y
veille.
J'étais en fin d'études et cela me donnais l'occase d'avoir un lieu pour réviser loin
de la tournante de la maison !
Un samedi après-midi, je pris le téléphone et je lui avais proposé de venir dîner avec
moi ce qu'il accepta avec un plaisir non dissimulé. Mais il me dit que le dessert
c'était sont affaire !
Que demande le peuple ?
Bref, vers 18h30, il sonna à la porte de l'appart, je m'empressais de l'accueillir. A
peine la porte franchi, que je m'était jetais sur ses lèvres pour lui administrer un
long baiser.
Après 5 bonnes minutes, il me fît la remarque qu'il avait de la glace et qu'il devait
la mettre au congelo ; je reculais, toute déçu par cette interruption et le conduit
donc à la cuisine.
Une fois arrivé, il me demanda ce que j'avais prévu comme dîner, je lui répondis que
j'avais pensé à faire de la salade et des pâtes pour le dîner. « Non ! » S'exclama t-
il « voyons, tu as des oeufs, des tomates, des poivrons, de la sauce tomate concentré,
des nouilles. T'aurais pas des escalopes de dinde et du pain rassis ? » Je lui ai
fourni tout ce qu'il demandait. « Bon alors je vais te faire de la ojja et des
escalopes panées avec des nouilles ! Et toi en ce temps va mettre de la zikmu si cela
est possible ! Et quelque chose à boire ! Pas du coca ! »
Quand je revint à la cuisine, il avait retroussé ses manche. Il c'était affairé à
couper, à touiller, à frire et à chantonner. C'était assez agréable de voir un homme
se mouvoir avec tant d'aise dans le domaine des femmes. Et à chaque changement de
rythme il n'oubliait pas de se rincer la gorge avec le whisky que je lui avais
apporté. Je m'en étais, bien sûre servis un verre aussi du même breuvage, je savais
que je ne risquais rien avec Samy, s'il m'arrivait d'être saoul. Après une bonne heure
il me dit d'aller préparer la table et que le dîner allait être prêt dans moins de 5
minutes.
J'allais donc de suite dresser la table au salon, en ce temps il avait déniché la
réserve de vins, en tira une bouteille qu'il débouchonna.
Le dîner se déroula gaiement dans la joie et la bonne humeur, surtout grâce à cet
agréable vin rouge si......libérateur, si inhibiteur de tous nos tabous. Nous allions
entamer une autre bouteille sauf que ce cher Samy, y refusa. Je t'avais bien dis que
c'est quelqu'un de bien ! En fin de repas, je débarrasse et je ramène avec moi la
glace.
Nous étions si joyeux, qu'une simple blague nous faisait rire aux éclats. Une fois le
dîner fini, je me propose de faire la vaisselle, en ce temps Samy se mis devant la
télé pour zapper sur le numérique ; un petit quart d'heure plus tard, je revins au
salon et oh stupeur ! Il était tombé sur une chaîne qui ne passe que des films "
pornographiques " Samy était là affalé sur le divan, sexe en l'air entrain d'imprimer
des mouvements de va et vient à son impressionnante « cracheur de lait »
J'avais les yeux emplis d'étonnement et de surprises qu'il me tarda pas à détecter !
« Excuse ! », me dit-il, « c'était plus fort que moi ! »
Tout en continuant ses caresses, il ne me quittait pas des yeux, et moi je ne quittais
pas cette queue si fier du regard. Jamais j'en avais vu d'aussi près sauf à la télé.
Tout doucement, j'humectais mes lèvres, il s'en aperçu immédiatement et il me demanda
de lui rapporter une serviette. Je quittais cet éblouissant, ce charmant, spectacle à
contre coeur je lui apporta ce qu'il désirait. Je fis mine de lui lancer la serviette,
il me dit :
« Non ! Viens plus près et étale le là, sur mon torse. »
Je sentais que le sol allait s'échapper sous mes pieds. D'un pas hésitant, je
m'avance, m'assois à ses cotés. Et en voulant étaler la serviette, il empoigne ma main
droite et me dit :
« Tu peux toucher si tu désir ! »
« Non ! Non ! »
« Y a pas de mal à découvrir ! » Dit-il tout en attirant ma main vers son sexe tout
dressé.
J'en mourrais d'envie de le prendre dans mes mains, entre mes doigts, de sentir sa
rigidité et sa chaleur. Je n'opposais aucune résistance, je pressais presque le
mouvement.
« Oh que c'est agréable ! Et chaud », dis-ai-je lorsque mes doigts prirent possession
du bel instrument.
J'enferma mes doigts sur cette tige et lui imprima de lentes caresses. C'était
impressionnant, de voir cette chair durcir encore plus à chaque aller et retour de
poignet. Quelques gouttes perlaient sur son gland, annonciateur d'un proche déluge.
Nous avions complètement oublier le film, rien ne m'importais plus que de plaisir de
mon homme et cette si surprenante découverte ! Samy avait la tête rejetée en arrière,
les yeux clos. Il gémissait doucement, inaudiblement.
« Plus vite ... Plus vite ! Oh oui ! ! »
Sur ces mots, s'échappa deux longs jets de liquide qui vinèrent s'écraser, tacher, la
serviette. Je continuais de faire aller et venir ma main sur cette tige qui
ramollissait à chaque passage. Mes mains étaient toutes englué de son sperme.
« Merci ! Je dois t'avouer que j'en rêvais depuis un petit moment ! » Dit-il, les
esprits retrouvés.
Je m'affalais à ses cotés et il pris mes lèvres dans un doux et long baiser. Après 5
minutes de ce doux échange de salive, il se releva et m'attira à lui.
« Viens ! Allons à la chambre, on aura plus de place. »
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