Une Histoire De Seins

Depuis son plus jeune âge, Louis avait la passion des seins. Sans doute parce que sa mère avait négligé les biberons pour ses propres mamelles, il voyait dans celles-ci l'incarnation de la vie. L'abondance de sa poitrine, qu'elle aimait à découvrir, avait familiarisé le très jeune Louis au spectacle ballotant des organes féminins par excellence, d'autant que sa soeur était également très bien pourvue et tout aussi démonstrative. Celle-ci, plus âgée que deux ans, manifesta très tôt une prédilection pour l'activité sexuelle et se chargea de l'information de son frère en matière de sensibilité mammaire. "Si tu veux caresser une fille, commence par là", lui avait-elle indiqué. Il se l'était tenu pour dit et sa première conquête, une beurette dotée de deux obus, capitula illico en chambre dès que Louis fourra son groin avide dans son décolleté.

Par la suite, Louis développa sa culture du nichon. Il tâta de la poire, de la pomme, du flaccide, du ferme, du pointu, de l'étalé, de l'oeuf au plat ou à la coque, tétant des aréoles larges comme des soucoupes ou minces comme des boutons de chemise pour en arriver à sa préférence : la mamelle pesante à pointe légèrement relevée, comme un défi. On ne s'étonnera donc pas qu'il épousât une brunette dotée de ces attributs. Elle s'appelait Agnès, elle travaillait dans la même entreprise que lui, n'était pas ce qu'on appelle un canon parce que de petite taille et un peu enveloppée mais il fut charmé par son visage rond éternellement souriant et surtout, bien sûr, par une paire de nibards qui avaient l'air de vous fusiller lorsque vous les regardiez. "Elle va finir par tomber en avant". Telle était le genre de plaisanterie qu'entendait la douce Agnès. Longtemps complexée par ses protubérances, elle avait fini par mieux les accepter lorsqu'elle avait compris l'attrait sexuel que cela lui procurait relativement à ses concurrentes du même âge moins pourvues et surtout le plaisir que ses loches lui procuraient dès lors qu'elles étaient palpées par une main habile et sucées par une bouche experte.

Elle n'avait pas tardé à céder à Louis parce qu'il était un fan de ses seins et elle l'épousa parce qu'il la faisait jouir.

Le temps passa. Le couple fonda une petite famille tout en développant une sexualité toujours riche et de plus en plus diversifiée. Lorsqu'ils sortaient ensemble, Agnès arborait des tenues aussi variées que le boléro pigeonnant, la robe à boutons et le tee shirt moulant sans rien dessous, ce qui permettait à Louis de parader à son bras comme s'il disait à la cantonade : "eh oui, c'est moi qui la baise, cette poupée si bien bustée". Et c'est vrai qu'il la baisait. Avec le temps, Agnès s'était totalement libérée et jouait de ses seins comme un violoniste un stradivarius. La cravate de notaire était devenue un passage obligé dans leurs ébats de couple mais Louis avait aussi appris à savourer une croupe copieuse aux fesses aussi charnues que les mamelles, et tout aussi sensibles. Lorsqu'il les écartait pour lui lécher l'anus, Agnès ne tardait pas à réclamer du concret avec une verdeur qui ne cessait d'étonner son mari. "Tu peux tout me faire, du moment que tu me baises", lui soufflait-elle dans le feu de l'action avant de retrouver une attitude plus conforme à sa situation de mère de famille bien intégrée dans la société.

La première chose qu'elle faisait en rentrant du boulot était de virer son soutif qui, disait-elle, "me donne l'impression d'être en prison". Ses seins pouvaient ainsi évoluer librement sous une étoffe plus ou moins légère, selon les saisons. L'un des plaisirs de Louis était, lorsqu'elle cuisinait, de l'enlacer par derrière et de glisser ses mains sous le vêtement pour soupeser, palper et titiller les plantureux roberts de son épouse adorée. Elle faisait mine de protester en lui tapant sur les mains mais elle adorait ces caresses et il n'était pas rare qu'elle laisse la cuisine en plan après avoir vérifié sa raideur d'une main coquine. Elle faisait passer son tee shirt ou son pull par-dessus sa tête en montant les escaliers et, pointes de seins dressées, fermait la porte de la chambre, ôtait le reste de ses vêtements, s'allongeait sur le lit cuisses en V, se laissait déguster puis pénétrer pour un coït endiablé empiétant sur l'horaire du repas.
Le couple adorait ces accouplements impromptus qui les mettaient parfois à la limite de l'outrage public à la pudeur lorsqu'ils s'accomplissaient à l'air libre par suite d'une impulsion subite de l'un ou de l'autre. Des vacances d'été allaient néanmoins leur permettre de franchir un nouveau cap, alors qu'ils venaient d'avoir 40 ans.
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Ils avaient pris l'habitude de partir l'été dans des camps de vacances en moyenne montagne, ce qui permettait à la fois à leurs s d'être occupés dans les clubs et à eux de se lancer dans des randonnées en toute tranquillité, ce qui leur permettait des arrêts sexe sous le soleil. Mais ils voulurent changer et optèrent pour un autre village au bord de l'Atlantique. Ils découvrirent une grande plage de sable fin, longue de plusieurs kilomètres, où Agnès put bronzer seins nus comme d'autres femmes nettement moins bien pourvues. Un après-midi, le couple décida d'aller marcher le long de la mer et découvrirent qu'une partie de la plage, sur une portion d'un demi kilomètre, était réservée aux naturistes. Non sans étonnement, ils découvrirent une population très variée évoluant le plus naturellement du monde dans le plus simple appareil. Agnès tomba le haut et Louis le bas pour se conformer, s'attardèrent et décidèrent que le lendemain, ils bronzeraient à poil au même endroit.

La fabuleuse poitrine d'Agnès avait capté quelques regards mâles autant que femelles, ce qui avait fait se rengorger Louis, tout fier d'exhiber sa femme charnue. De son côté, Agnès ne s'était pas montrée indifférente au spectacle de certains pénis au repos mais prometteurs. Car si Louis était un fondu de seins, Agnès vénérait la bite, dispensatrice de tant de plaisirs. Celle de son mari constituait sa préoccupation exclusive mais elle n'était plus tout à fait certaine qu'il en irait toujours ainsi, la quarantaine étant, comme chacun sait, l'âge d'une évolution des couples, pour le meilleur comme pour le pire. Toujours est-il qu'après être revenus sur la plage "textile", Louis et Agnès furent pris d'une furieuse envie de baiser.
Ils louèrent une chambre dans un hôtel bon marché pour copuler de manière très cochonne, à l'abri des yeux et des oreilles de leurs s mais pas des rares voisins pour ce qui concerne les oreille car Agnès avait le verbe cru et haut dans l'orgasme.

Les jours suivants, tous nus au soleil, ils profitèrent des plaisirs du naturisme, non seulement dans la baignade sans intermédiaire, mais aussi par des rencontres avec des personnes souvent d'âge mûr que l'absence de vêtement rendaient bavardes, par un processus curieux. C'est ainsi qu'ils se lièrent un couple de quinquagénaires, voisins de serviettes, de couleur caramel des orteils au front. Avec leur bronzage morcelé, Louis et Agnès pouvaient difficilement nier leur noviciat mais leurs connaissances, prénommées Claude, une armoire à glace à queue de cheval (pas seulement à la tête), et Sylviane, pulpeuse brune à chignon, ne s'en formalisèrent pas. Ils plurent à Louis et Agnès parce qu'ils affichaient sans complexe leur sexualité en se bécotant et se caressant. Claude ne cachait pas son admiration pour les pesantes mamelles d'Agnès et celle-ci, réciproquement, dissimulait mal son intérêt pour le gourdin qui pendait entre les cuisses du colosse, devinant le plaisir qu'il devait procurer à l'amoureuse Sylviane, dont Louis devinait sans peine l'ardeur au pucier. Ses seins généreux, quoique un peu mous à première vue, et étalés sur son torse, appelaient la main du mâle pour les soupeser et les caresser. Les deux hommes et les deux femmes devisaient en aparte, sautant du coq à l'âne pour aborder progressivement des questions plus intimes.

- Tu es mariée à un très bel homme, félicitations, glissa Sylviane à Agnès.
- Toi aussi. Il est rudement costaud, ton mec.
- Je ne me plains pas. Il assure.
- Je vois ce que tu veux dire, gloussa Agnès.
- Il te plait, mon Claude ?
- Pourquoi cette question ?
- Je te demande ça parce que tu lui plais.
- Ah bon ? Tu es jalouse ?
- Pas du tout.
On n'est pas mariés et on est libres. Si tu veux faire l'amour avec lui, ne te gêne pas.
- Eh ben dis donc, toi au moins, tu n'es pas sectaire...
- Mais tu ne m'as pas répondu : tu en as envie ou pas ?
- C'est que... Il y a un monsieur qui là, à côté, aurait quand même son mot à dire.
- Bon, j'en conclus que tu baiserais bien avec Claude mais avec la permission de ton mari.
- Holà, c'est vite dit. Nous ne sommes pas libertins.
- Mais vous avez tout pour l'être. Ne me raconte pas d'histoire. Ton mec a envie de me sauter, je le vois bien et toi tu baiserais bien avec le mien. Mais vous êtes encore un peu coincés.
- Qu'est-ce que vous racontez, toutes les deux ? intervint Louis.
- On parle de cul, riposta Sylviane, le sourire aux lèvres.
- Tiens ben nous aussi, ricana Claude. On se disait qu'on pourrait se retrouver chez nous ce soir pour faire plus ample connaissance.
- Bonne idée, répondit Sylviane. J'ai justement préparé une paella qui irait très bien pour quatre.
Mis devant le fait accompli, mais au fond pas mécontents de l'être, Agnès et Louis acceptèrent l'invitation.
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Lorsque Louis et Agnès firent leur entrée au domicile de leurs hôtes, une surprise les attendait : ils étaient entièrement nus, comme à la plage, seulement chaussés de tongs. Constatant leur surprise, Claude expliqua :
- Nous sommes de véritables naturistes et nous sommes nus autant que possible. Si vous voulez vous déshabiller, ne vous gênez pas.
C'était une invitation indirecte à se conformer. Agnès se débarrassa de sa petite robe sexy qu'elle avait sortie pour l'occasion et de sa culotte (elle ne portait pas de soutif) et Louis se mit nu à son tour. La situation était pour le moins inhabituelle mais les invités se mirent rapidement dans l'ambiance. La paella, consommée dans le jardin au bord de la petite piscine, était succulente, le rosé d'Anjou aussi qui coula à flots, la conversation aborda divers sujets avec une longue séquence sur le naturisme dans les hôtes étaient des prosélytes convaincus. Le rosé, qu'ils avaient abondamment consommé, commençait à faire ses effets. Claude et Sylviane riaient beaucoup, se bécotaient, se pelotaient sous l'oeil amusé des deux visiteurs. Ils avaient même ôté leurs tongs. Ils étaient vraiment et complètement à poil. Jusqu'au moment où Claude déclara :
- Excusez-nous mais on va faire l'amour maintenant. Laissez la table, on débarrassera plus tard et profitez de la piscine.
Et le couple s'échappa vers l'intérieur, main dans la main, laissant Louis et Agnès médusés dans le jardin.

- Ils sont gonflés tout de même, murmura Agnès.
- Ils sont anti conventionnels et je trouve ça plutôt sympa, répondit Claude.
- En tout cas, ça me donne envie aussi. On rentre ?
- Non, on ne peut pas faire ça. On va débarrasser, tout mettre dans le lave-vaisselle, au moins on se rendra utile.
Les deux invités procédèrent à un nettoyage sommaire mais ils ne pouvaient pas ignorer les gémissements de Sylviane dans la pièce voisine. Il ne fallut pas longtemps à Louis, poussé par une curiosité érotique, de jeter un oeil à la porte de la chambre qui était restée ouverte. Ce qu'il vit le stupéfia. Elle était tapissée de miroirs sur les quatre murs, jusqu'au plafond, et renvoyait l'image du couple fornicateur sous tous les angles. Claude besognait Sylviane en levrette et le miroir de face renvoyait le rictus de plaisir et le balancement des deux lourdes mamelles de la brune. Elle avait défait son chignon et ses cheveux suivaient le rythme des coups de boutoir de son mari.
- Viens voir, souffla Louis à Agnès.

Celle-ci manifesta la même surprise devant ce kaléidoscope érotique. Si Louis se délectait du balancement des seins de Sylviane, Agnès n'avait d'yeux que pour l'épais mandrin de Claude qui entrait et sortait en cadence de l'antre béant de sa compagne. Instinctivement, la main d'Agnès chercha le pénis de Louis, déjà bien érigé. Le geste n'avait pas échappé à Claude qui avait constaté, via le miroir, la présence de ses deux invités dans l'encadrement de la porte :
- Au lieu de jouer les voyeurs, venez donc nous rejoindre, le lit est assez grand.
Désuni, le couple hôte accueillit les invités sur le lit XXL recouvert d'un simple drap.
- Qu'est-ce que vous pensez de notre installation ? demanda Claude, dont le pénis considérable formait un angle aigu avec son ventre.
- Heu... c'est étonnant, répondit Louis.
- Vous allez voir, ça décuple le plaisir de faire l'amour. Bon, nous on continue, faites comme chez vous.

Et les hôtes entreprirent un 69, Sylviane dessus, sans se préoccuper de la présence voisine de leurs invités. Ceux-ci commencèrent à s'embrasser tout en se caressant mutuellement le sexe, très échauffés par le contexte. Ils n'avaient jamais fait l'amour en présence d'un autre couple mais ils avaient tellement envie l'un de l'autre que cette situation inédite s'effaça rapidement derrière une furieuse envie de copuler. Louis installa Agnès face au miroir et la pénétra jusqu'à la garde, tant elle était humide. Le miroir lui renvoya le visage de son épouse passant alternativement du rictus au sourire et le balancement de ses seins lourds au rythme de ces vigoureux coups de reins. Il glissa une main par en dessous pour les palper car il savait que c'était une caresse très appréciée. Elle venait chercher sa queue à grands coups de fesses, si bien que la pièce s'emplit des bruits du claquement de leurs peaux. Tout à leur plaisir, ils n'avaient pas vu que leurs hôtes avaient interrompu leur 69 pour les observer. Mais quand Sylviane lui mit la main aux couilles, Louis comprit que les ébats conjugaux allaient prendre une nouvelle tournure. D'autant que, à sa grande surprise, Claude venait d'offrir à Agnès sa queue à sucer et que son épouse n'avait pas hésité une seconde à répondre à la demande. C'était la première fois de sa vie qu'elle était "prise par les deux bouts" et force était de constater qu'elle y prenait un plaisir évident, nullement rebutée qu'elle était par le volume dont elle se remplissait la bouche avec volupté.

Surexcité, Louis dut se retirer pour ne pas éjaculer prématurément. La main de Sylviane sur ses couilles et sa femme en train de pomper un autre homme que lui tout en se faisant besogner, il y avait de quoi être pris au cervelet... et pas que le cervelet. Il observa un temps Agnès dans sa succion. Elle avait toujours aimé la fellation, c'était même une de ses spécialités et elle se régalait, c'était clair.
- Tu me prends ? J'ai envie.
Sylviane le sortit de sa fascination et se positionna à son tour à quatre pattes devant le miroir. Mis au défi, Louis pouvait d'autant moins se dérober qu'Agnès lui offrait un sauf conduit et que, surtout, cette femelle juteuse à peau caramel lui offrait ce qu'elle avait de meilleur : sa chatte. Il la pénétra sans coup férir et se régala de l'agitation de ses seins pendants autant que de son visage extatique. Le miroir lui permettait en même temps d'observer l'autre couple. Il n'était pas le seul à avoir franchi un cap. Claude s'était allongé en parallèle et Agnès s'était empalée sur lui sans la moindre hésitation. Louis la voyait maintenant, via le miroir, cavaler sur la bite avec énergie, rejetant sa mèche de cheveux en arrière toutes les dix secondes, ses gros seins maintenus par les mains de son partenaire. Elle croisa le regard de Louis et lui sourit, d'un air de dire : "tu vois, j'ai osé et j'aime ça".

Pendant de longues minutes, les deux couples échangistes varièrent les positions, exploitant à fond le jeu de miroirs. Chevauché par Sylviane pendant que Claude besognait Agnès en missionnaire, Louis put observer par le plafond le cul en mouvement de son hôte et le jeu de pieds d'Agnès, frottant, talonnant, vivant le coït avec intensité sous l'effet de la bite puissante qui la ramonait en profondeur. Les roulements de hanches de Sylviane observés sous divers angles et complétant l'incessante agitation de ses seins généreux constituaient un autre plaisir visuel. Mais les deux hommes profitaient aussi de la joie auditive d'entendre leur partenaire glousser, japper, feuler, couiner et surtout célébrer crûment leur bite, ce qui fait toujours du bien à un égo mâle. Sylviane n'était pas avare de commentaires et Louis fut stupéfait d'entendre Agnès se mettre au diapason, les deux femmes échangeant des considérations dans le feu de l'action :
- Il te baise bien mon homme, hein ? haleta Sylviane.
- Oh oui, sa queue est super bonne. Et toi, il te baise bien, mon Louis ?
- Mmmm, ouiiii ! Je suis magnifiquement remplie.
- Ahh, moi aussi. Et les miroirs, c'est génial.

Les yeux au plafond, Agnès pouvait observer à loisir le jeu de fesses de son amant provisoire et elle les pétrissait avec un plaisir évident, ce qui n'échappait pas à Louis de sa position couchée. Puis Claude lui prit les chevilles et la plia en deux, provoquant de la part de la part d'Agnès un cri guttural qui fit s'interrompre le couple voisin. Claude fouaillait de toute son épaisseur, les yeux dans les yeux et Louis se demanda si son épouse n'allait pas défaillir. Jamais il ne l'avait vue dans cet état de transes. Prenant appui sur les épaules de son mâle par les talons, elle réussissait à remuer les hanches et à accompagner les virulents coups de bite jusqu'au moment où elle lâcha du tréfonds de son être sexuel : "ahhh, je jouiiiis !"
Claude se retira prestement pour éjaculer sur le petit ventre dodu. La symbiose était parfaite.

- Bravo, c'était super ! lâcha Sylviane qui avait tout observé de A à Z cette scène finale.
Louis était un peu interloqué mais au fond satisfait que son épouse ait aussi bien vécu cette expérience échangiste où il l'avait entrainée, avec son consentement il est vrai. Sylviane se tourna vers lui :
- Et nous alors, on fait quoi maintenant ? Tu n'as pas encore joui et moi non plus. Et si tu me prenais par le cul maintenant ?
L'invite était directe. La sodomie ne faisait pas partie des habitudes de Louis et Agnès, même s'ils s'y étaient essayé parfois avec plus ou moins de succès. Claude, queue maintenant pendante, disparut et en revint avec un tube de gel.
- Prépare-la avec, ordonna-t-il à Louis.
A quatre pattes, posée sur les coudes face au miroir, Sylviane attendait. Elle croisa le regard d'Agnès qui récupérait lentement et observait la scène avec attention. La queue de Louis s'était légèrement ramollie et Agnès, sortant de sa torpeur, la prit en bouche pour la ranimer. L'effet fut radical et Agnès elle-même porta la tige vers l'entrée intime de Sylviane, dûment graissé.
- Doucement, tu es gros, souffla la brune.

Mais l'anneau était rompu à l'exercice et Louis se trouva vite totalement engagé. La sensation était étrange et délicieuse à la fois. Il nageait un peu mais l'enthousiasme fessier de Sylviane, ajouté à ses rictus de plaisir constatés via le miroir, eurent tôt fait de stimuler le baiseur. Au vrai, le sperme se bousculait depuis un bon moment dans sa hampe et quand Sylviane lui lança "vas-y, continue, baise, baise, jouis, jouis..." Louis lâcha tout dans le rectum. Quand il se retira, Agnès l'embrassa goulûment, scellant par ce baiser un accord total envers cette expérience inédite pour eux.
*******
Sur le chemin du retour, Louis et Agnès furent longtemps silencieux, comme s'ils digéraient mentalement ce qu'ils venaient de vivre. Leur couple avait pris un sacré virage qu'ils devaient maintenant assumer. Louis finit par lâcher :
- Tu as aimé cette expérience ?
- Oui, mais je crois qu'il ne faudra pas recommencer trop souvent.
- Tu as raison. Mais je t'ai découverte. Tu m'as stupéfiée.
- Toi aussi.
- Alors, on est à égalité.
Ils s'endormirent vite mais le lendemain matin, ils furent pris d'une frénésie de sexe qui les conduisit tardivement au petit-déjeuner, au grand dam de leurs s. Et l'après-midi, ils évitèrent la plage naturiste pour revenir à la classique "textile" afin de ne pas revoir Claude et Sylviane et céder une nouvelle fois à la tentation de l'échangisme.
- On reste sur une bonne impression, recommencer risquerait de nous décevoir, avoua Agnès; quand même, se baigner à poil, c'est bon.
- Oui et j'aime bien qu'on regarde ta paire de nichons et tes fesses, répliqua Louis.
- Vicieux ! Bon, l'an prochain, on passe nos vacances dans un camp de naturistes.
Et sur cette perspective, Louis et Agnès s'en allèrent goûter à l'eau salée.

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