Laure (Épisode 2)
Las dutiliser Laure( mon épouse) et moi, des godemichés pour simuler des pénétrations extraconjugales, nous avions convenu dessayer des rencontres avec un couple. Cest Pierre et Joëlle, nos plus proches amis, que nous décidions tout dabord , prétextant une soirée érotique avec séance photos, en 1980. Nous avions tous environ trente cinq ans, Joëlle prenait la pilule, Laure portait un stérilet
Tout se passerait sans lappréhension dune grossesse
Et pas besoin de préservatif à cette époque là. .Lors de la première séance photo « déshabillée », dabord en sous-vêtements, puis de plus en plus nus et simulant des poses de pénétrations à deux ou trois, nous avions fini par faire des clichés plus réalistes, plus hard, avec nos partenaires respectifs. Les jambes souvraient dévoilant nettement les vulves, et mon pénis se dressait fièrement. Profitant dune pose où Joëlle était nue allongée sur le dos, cuisses offertes, son sexe prêt pour un cliché de simulation avec moi, le visage tourné vers son mari qui photographiait ; je la pénétrai sauvagement et profondément à la surprise générale et sans quelle eut le temps de réagir vraiment. Elle neut aucun mouvement de recul pour marquer une désapprobation quelconque et se contenta de sentir glisser très facilement ma trique entre ses chairs humides
Fier davoir vraiment donné le départ de toutes nos festivités sexuelles, je mallongeai sur elle de tout mon poids, donnai quelques mouvements de hanches pour bien sentir cette nouvelle étreinte puis me retirai presque aussitôt.
Joëlle était de petite taille comme Laure, mais ses jambes étaient plus courtes et plus épaisses, sa cambrure très prononcée, ses fesses rebondies et grassouillettes, ses hanches très larges en comparaison de celles de mon épouse, son buste long, ses épaules relativement étroites et les seins biens plantés mais un peu lourds, aux aréoles très sombres et aux mamelons bien formés. Sa vulve paraissait presque petite : dune esthétique parfaite, enchâssée dans un écrin de poils soyeux et courts, ses lèvres étaient comme crénelées et un peu bordées de sombre, comme les manteaux dune moule ou dune huître fine de claire.
. Jimagine bien son clitoris faisant la perle. Son vagin était malgré les apparences large, toujours lubrifié et assez ferme sous les doigts
Laure dut, plus tard dans la soirée, accueillir à son tour Pierre, au sexe un peu plus large que le mien dans sa chatte, en poussant de petits gloussements entre rire et désappointement (une Première déconcerte toujours), mais une fois bien empalée ses ondulations du bassin étaient à la mesure de son nouveau plaisir, elle ferma les yeux en serrant ses lèvres entre ses dents imaginant déjà tout ce que permettrait cette porte ouverte. Elle était loin de simaginer à cet instant précis toutes les expériences sexuelles que son joli corps connaîtrait par la suite. Pendant ce temps je pénétrai une seconde fois Joëlle, (la précédente ayant été trop brève) les quatre corps marquèrent le rythme ensemble, sobservant mutuellement. Cela ne dura pas trop car pour une première fois il fut convenu quaucun des hommes nirait jusquà éjaculer dans sa nouvelle partenaire
Pour une femme, se faire caresser, voire pénétrer est une chose, mais sentir une semence chaude envahir son ventre, tandis que le mâle sagite et râle de plaisir, est un acte plus intime qui nécessite une autre approche
Une préparation mentale
La verge seule pour cette première expérience échangiste est encore une sorte de godemiché simplement plus réaliste et chaud, alors quaprès un coït prolongé suivi d une éjaculation il saffirme membre viril , vivant et palpitant
On ne peut sempêcher de penser à sa capacité der. Après, toute appréhension se dissipe et il ne reste que la quête du plaisir.
Lors dune troisiéme rencontre, nous avions , pendant une bonne partie de la nuit , dans notre grenier aménagé, fait quelques expériences nouvelles comme demander aux deux femmes, Laure et Joëlle, entièrement nues de sembrasser en se caressant à tour de rôle le corps puis le sexe, utilisant un godemiché, acheté pour loccasion, jusquà lorgasme pendant que nous les regardions fixement, la trique turgescente, remuer leurs corps excités
.
Avant de monter au grenier nous avions fait quelques exercices de mise en appétit au salon du rez-de-chaussée avec des godemichés doubles ou gonflables et des séances de photos pornographiques, dont quelques gros plans, au Polaroïd
Joëlle excellait vraiment dans les exercices dengloutissement de ces sexes artificiels, dailleurs le gonflable na pas résisté longtemps et a fini par éclater sans bobo. Ce qui nest pas au point dans un godemiché gonflable, en tout cas celui que nous utilisions, cest que cétait la pointe qui gonflait plutôt que le diamètre, et une fois introduit, au lieu de voir les vulves sécarter, cest le bas ventre tout entier de la femme qui se mettait à gonfler ; Il est vrai que lintérieur dun vagin est surdimensionné par rapport à lécartement des petites lèvres, même distendues
Puis la fatigue venant, nous avons éteint les lumières et chaque couple sest endormi
Avant de trouver le sommeil, jenlaçai Laure lui caressant les seins et le dos (Elle appréciait tout particulièrement les caresses sur son dos), pensant à la prise que je venais de faire de Joëlle en levrette, par surprise, remplissant enfin son vagin mouillé dune grosse giclée de ma liqueur tiède juste avant de monter au grenier
Au petit matin, le soleil nous réveilla peu à peu. Je caressais alors le sexe de Laure, qui eut tôt fait de devenir chaud et dégoulinant de lubrification vaginale, comme lors de tous ces réveils ayant suivi une soirée dorgie, jusquà pouvoir supporter et mouiller toute la paume de ma main, doigts compris
Mon sexe pénétra le sien et se perdit dans cette chaleur humide et bienfaisante
Le couple Pierre et Joëlle séveillait également, je pense quils se caressaient aussi. On entendit alors Pierre déclarer « Les filles, Regardez, jai la trique ce matin! Je bande comme jamais.. Il faut que je baise tout de suite
. » Il navait pas fait lamour avec ma femme la veille au soir, se contentant de la caresser, de la regarder ou dintroduire son sexe trop mou dans sa bouche, espérant que les caresses buccales fassent se dresser sa queue.
Laure, comprenant de suite que cette phrase lui était bien évidemment destinée, sextirpa immédiatement des draps, laissant mon sexe orphelin, palpitant et dressé, puis sallongea lascive sur le dos, les cuisses offertes, à quelques pas. On eût dit quelle attendait cet instant depuis son réveil
Pierre eut tôt fait de la rejoindre, de contempler quelques secondes lobjet de son désir, vulve écartée, lèvres luisantes et entrouvertes et de la pénétrer derechef, sactivant avec des râles dans la position classique du missionnaire, ses fesses maigres rebondissant à chaque coup de butoir, ses couilles venant cogner le périnée de sa monture. «Je te sens bien ! » déclara Laure en haletant, lair ravie ( Il faut préciser que Pierre avait été , pour elle, jusquà présent, ce que lon peut appeler un bandeur mou ) « Moi, aussi je te sens bien ! » répondit Pierre en souriant aussi, continuant sa chevauchée, fier de cette érection majestueuse et providentielle
et après quelques mouvements rageurs du bassin, on entendit son souffle devenir feulement tandis que Laure enlaçait les épaules de son amant du moment, y plantant ses ongles et commençait à remuer le fessier dans de brefs mouvements ondulatoires indiquant un orgasme naissant
Les corps sactivaient comme dans une lutte sans merci . Tous deux explosèrent de concert
.Les corps sappesantirent et Pierre retira son sexe, très typé, un peu conique avec une base épaisse, encore long mais déjà pendant
Laure fermait toujours les yeux, toute à la délectation du moment passé qui lui laissait un petit sentiment dinachevé
Nous navions, avec Joëlle, pas perdu une miette de cet ébat brutal , presque animal, mais qui dégageait un érotisme torride
Alors que Laure navait pas encore rouvert les yeux, jentrepris de la pénétrer à mon tour
Son sexe béant et inondé, déjà rempli du foutre de Pierre, me procurait une sensation de douceur extrême, une caresse subtile
Les corps se remirent à onduler en cadence.. Des gémissements presque plaintifs furent émis.
. Pour ce deuxième ébat, avec un mâle différent, Laure se déchaînait dans des bonds soulevant nos deux corps
Puis vint à nouveau lorgasme à deux, nous étions pantelants, recouverts dune sueur due à leffort et à la chaleur des combles sous les tuiles
Je me retirai
Le ventre de Laure palpitait encore, son visage était éclairé par un sourire presque angélique
Son sexe resté indécemment entrouvert, aux lèvres rosies par les mouvements répétés de nos verges bandées était nacré du sperme de ses deux amants successifs. Le foutre en excédent sécoulait de sa vulve à lanus pour se répandre sur la moquette
Les paupières closes, elle se rappelait la soirée ( notre deuxième rencontre ) pendant laquelle les deux hommes qui venaient de la prendre successivement lavaient pénétrée simultanément, engloutissant les membres tendus dans sa seule vulve lubrifiée de désir, autre expérience inoubliable
Dabord Pierre installé sous elle, Laure le chevauchant pour la toute première fois telle un fier cavalier couché sur sa monture, ses jambes repliées en position de jockey de galop; puis moi qui, voyant cette scène torride de larrière, minstallai sur ce couple en action, en creusant bien les reins et en maidant des doigts pour forcer le passage déjà occupé par un pénis , étirant les petites lèvres gourmandes, puis sentant peu à peu glisser ma trique contre celle de Pierre alors que le petit postérieur féminin avait cessé ses mouvements pour favoriser cette pénétration supplémentaire quelle accepta avec plaisir. Une fois les deux phallus bien en place, elle reprit lentement ses mouvements, pour éviter de perdre un des deux sexes. Elle était ainsi prise en sandwich, dans son seul minou : Quelle expérience mémorable
Dailleurs elle préférait certainement ce cas de figure parce que les sodomies n\'étaient pas à cette époque sa tasse de thé. Elle sentit bien à ce moment lélasticité exceptionnelle de son vagin
Ensemble son mari et ce premier amant extraconjugal dans son corps, dans ses chairs compressées entre les deux mâles comblés !
Joëlle fit une photo de la scène, mais de Laure on ne vit que la plante des pieds
Mais comme souvenir, ce moment, quel pied ! La figure étant par trop acrobatique, sans une préparation spéciale consistant par exemple à surélever la croupe de la femme par un gros coussin placé sous les fesses de lhomme de dessous. Nous nous séparâmes tous trois avant davoir joui
Mais le souvenir dun acte peu ordinaire reste malgré tout gravé.
admin
Jan. 31, 2023
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