Laure (Épisode 6) Laure Se Vend
Laure, mon épouse avait connu toutes sortes de découvertes sexuelles. Il lui restait une expérience à entreprendre. : vendre son corps, se prosti, juste une fois, par curiosité
Donner du plaisir ( et en prendre ) contre quelques billets. Elle imaginait que cela transformerait son rapport au plaisir. En revenant de son travail un soir, une fois arrivée à la maison, elle prit une douche, se parfuma, se maquilla avec application et repartit après avoir revêtu une petite robe légère
sans aucun sous-vêtement, mais avec de petits talons hauts. Elle reprit son véhicule pour rejoindre une nationale à une vingtaine de kilomètres de chez nous, afin de ne pas risquer dêtre reconnue par des habitants du village. Elle se gara en bordure de route près dun parking aménagé
et se posta contre sa voiture, remontant légèrement sa jupe pour laisser voir ses cuisses sur toute leur longueur. Elle neut pas à attendre longtemps
Un semi-remorque immatriculé en Allemagne sarrêta sur le parking ; le chauffeur abaissa sa vitre et Laure sapprocha et, une fois près de la cabine, souleva sa robe jusquau nombril pour monter son pubis. Lhomme demanda avec un fort accent : « cest combien . », « Deux cent francs . » , « Pour quoi faire ? », « Tout ! »répondit-elle en soulevant la petite robe pour découvrir sa magnifique poitrine. Lhomme nen croyait pas ses yeux ni ses oreilles
Laure monta coté droit et passa directement dans le compartiment couchette. Il y avait une odeur de mécanique et de sueur mais tout était propre. Le chauffeur tira les rideaux et vint la rejoindre. Très vite elle sempressa de déboutonner la braguette du routier, et den extraire un sexe imposant qui commençait à se dresser
Elle caressa la tige pour augmenter lérection , le membre sétira et prit du volume
Elle prit le gland en bouche et commença à sucer en sappliquant, tournant la langue, enfonçant le verge dans ses joues
Lhomme commença à lui caresser la poitrine, passant la main sous son vêtement, Elle laissa un moment le pénis pour ôter sa robe, elle était maintenant nue, offerte
Lhomme glissa une de ses grosses mains calleuses vers sa chatte et commença des caresses appliquées
Laure enleva le pantalon et le slip de lhomme et se réinstalla en position de soixante neuf pour continuer sa fellation
La verge du routier était impressionnante, elle continua ses succions tandis que la langue du routier saffairait entre ses cuisses.
Puis elle se tourna, sallongea sur son client quelle voulait surprendre agréablement et introduisit délicatement le membre dans son minou, comme pour le savourer en disant : « Vas-y mon amour, enfonce bien ton pieu dans mon ventre
Oui, Cest ça. Cest bon
On va passer un bon moment mon amour ! » Elle ondulait doucement de la croupe pour bien sentir dans son ventre le phallus de lhomme qui la payait. Il fut surpris quand elle lui plaqua ses lèvres sur la bouche
Et pendant ce coït délicieux lhomme embrassa sa prostituée jusquà ce quil éjacule, pendant quelle jouissait en geignant : « Oui ! oui ! Ah ! jaime
je taime.. Jai ta semence dans mon ventre, là bien profond, jaurais peut-être un de toi, chéri !» Surpris de tant de marques daffection et plus que satisfait de la prestation, il commençait à se rajuster quand Laure reprit en bouche sa verge ramollie.. « Non, reste encore, je veux jouir avec toi une deuxième fois ! » Elle continua à sucer, caresser les testicules et se faire caresser jusquà ce quune érection soit assez solide
« Tu vas jouir toi aussi encore mon chéri, mon beau routier ! » Elle sassit sur lhomme, cuisses écartées sur son bassin et introduisit la tige raide dans sa chatte ruisselante et encore pleine de sperme pour la réintroduire aussitôt, avec précaution dans son anus
La verge était assez épaisse, cétait douloureux, mais nétait-elle pas payée pour ça ! Quand le membre fut englouti et quon ne voyait plus que les testicules sous lentrée de son vagin, elle sappuya des deux mains sur le torse de son client et, soulevant et rabaissant le bassin elle sactiva en poussant de petits soupirs tandis quil lui broyait littéralement les seins de ses grosses mains. Sa tête et son buste dépassaient des sièges, elle regardait les véhicules passer en trombe sur la nationale. Les poids lourds frôlant la cabine couchette la faisaient trembler
Puis elle saffala sur lui pour lembrasser encore goulûment lui murmurant des mots damour à loreille .
Elle remua encore longtemps, finit par remettre en place la verge dans son vagin
Cela dura encore dix bonnes minutes jusquà ce que lhomme jouisse enfin à nouveau ! Elle avait eu le temps davoir trois orgasmes
Elle était en sueur
Le routier essuya son petit corps mignon avec une serviette éponge. Elle se rhabilla enfin, prit dans sa main le billet tendu par le routier, et regagna sa voiture. Le poids lourd quitta le parking et elle le regarda séloigner
Laure entendit alors dans son dos le bruit typique du freinage et de larrêt dun nouveau Gros Cul
Le chauffeur linterpella, elle sapprocha
Lhomme descendit du camion, cétait un athlète dau moins deux mètres , il senquit des tarifs. Laure avait décidé de changer totalement de stratégie ; après tout elle était depuis peu une vraie prostituée. « Cinquante la branlette, cent la pipe et deux cent la baise ! et jembrasse pas !» Elle sétonnait elle-même davoir pu prononcer ces mots. « Une bonne pipe. » répondit lhomme. Elle monta dans la cabine, lhomme sinstalla à son volant et sortit prestement son sexe de sa braguette. Il commençait à bander, Laure assise à côté empoigna le pénis et le porta à sa bouche
Il était dun diamètre normal, mais devenait démesurément long et frisait les trente centimètres. « Dis donc tas une sacrée longue bite, mon coco ! Je sens quon va samuser tous les deux ! » Elle enfourna le serpent dans son gosier et commença les succions ; ce très long pénis lui donna une idée
Elle lavait vu faire dans des films pornos visionnés chez Carlos, certains soirs dorgies. Elle essayait de lenfoncer par delà son gosier, ressentant de petits hauts le cur, puis elle y parvint, le long sexe était dans son sophage et elle put lengloutir jusquà la base des couilles, un peu comme un avaleur se sabre mais avec un ustensile flexible et sans danger ; Cétait la première fois quelle tentait et réalisait cet exploit. Elle imprima quatre ou cinq mouvements ainsi, le sexe entrant jusque dans son cou, puis reprit une succion normale pour respirer.
Elle lâcha le pénis et dit : « Tu peux me caresser la chatte, sans supplément ! Aujourdhui cest promo ! » Ce que le routier sempressa de faire. Elle était maintenant à quatre pattes sur la banquette passager
« Vas-y, enfonce tes doigts bien profond dans mon minou ! Tu sens comme il mouille
Ne te gêne pas, mets tout ce que tu peux, jaime ça
» Lhomme avec ses longs bras neut aucune difficulté à mettre trois doigts dans sa vulve brûlante et à les y enfoncer, puis quatre... Il dit, excité « Et pour te baiser, je rajoute combien ? » « Jte fais une fleur Coco, cinquante de plus.. tas une bite qui minspire
Je mouille, faut qu je baise, j te ferais même la totale, devant, derrière » « OK » répondit le routier. Laure passa sur la couchette arrière et ôta sa petite robe et dit en montrant son pubis. « Regarde ça mon chou, cest à toi
Jécarte bien, regarde : cest pour toi , cest tout mignon tout rose
et le petit en dessous.. Je suis petite comme une poupée, tu es presque un géant, mais tu vas y fourrer ta grande belle bite toute entière, devant derrière comme promis. » Pendant que lhomme la rejoignait et se déshabillait, elle se caressait la poitrine. « Si tu veux, avant tu peux bouffer ma chatte, mon grand
» Lhomme sinstalla et commença à lécher la vulve de Laure. « Met toi en soixante neuf, tes grand mais en te pliant un peu tu vas y arriver ! » Ils sinstallèrent, Laure sur le dos , le routier sur elle. Pendant quil fourrait son nez entres ses cuisses , Elle ré engloutit le long pénis dans son gosier, cétait devenu un jeu. La scène dura deux ou trois minutes.« Tu lèches bien, on va baiser comme des chiens maintenant ! » Elle se mit à quatre pattes et dit « Avant, tu vas me prendre en levrette dans le cul, je veux que tu mencules bien comme il faut ! » Le géant présenta sa longue bite en face de lanus de Laure. Celle-ci la prit en main et lintroduisit dabord dans son vagin pour la lubrifier, puis après quelques mouvements elle appliqua le gland sur son petit trou et poussa en arrière pendant que son partenaire poussait en avant
La longue queue eut tôt fait de glisser dans les entrailles de Laure et dy trouver sa place : « Oui, cest bon, Allez, enfile moi, Vas-y mon cochon, bourre-moi, encule-moi bien profond, allez ! défonce-moi ! fous-moi en plein le cul, oui pousse, pousse jusquà mon estomac, cest ça
Oh ! mon géant, tas vraiment une grande queue de géant, Encore, encore.
. Ah ! que cest bon ! » Lhomme besognait, et enfilait sa longue queue avec application avec en lui caressant les seins. « Cest ça, pelote moi
Fais durcir mes mamelons, tripote-moi partout
Quand tu voudras jouir, remets toi dans ma petite chatte de salope
et inonde-la dune bonne dose de ton foutre de camionneur
Astique-moi aussi le bouton ! Là , ma chatte
Mon clito
»Le routier se prit au jeu de Laure « Tiens ma salope, prend ma longue queue dans ton cul, ma jolie putain
Sens comme je cogne
J te tripote le con, mais prends moi les couilles
Oui comme ça
Bien, ma petite cochonne, Ah ! Putain c que cest bon » Lhomme sorti son long phallus pour le réintroduire dans le joli minou de Laure « Tiens, prend ça, ma poupée
Elle va te ressortir par la bouche
Oh ! Putain mais je bute au fond, Tans pis je pousse
Ah ! cest bon, cest la première fois que je baise un si petit bout de femme, Mais que cest bon
» Pendant ce temps Laure hurlait : « Oui ! cest çà, dans ma cramouille, dans ma petite chatte, vas-y bourre, cogne
Oh ! quelle est longue, Aïe tu me défonces, quelle est longue
Mais vas-y pousse encore, oui
encore. Aïe, Aïe, Aïe .. Ca cogne au fond mais cest bon, remue, remue, là
Bourre bien, pousse, allez pousse
Oui !, lâche ta sauce
Allez une bonne dose
Je vais jouir, Oui
oui, Je pars, Ca y est, ah, ahhhh , oui cest bon dêtre une pute, une garce, cest bon de se faire baiser pour du flouze, quel beau métier j fais là
Ahhhhhh ! ! ! Ahhhh ! ! ! » Lui « Ah ! Putain, la jolie petite salope, j men souviendrais. Quel panard ! » Tous deux atteignirent lorgasme en même temps. Elle suça la pine du routier pour la nettoyer, remit sa robe, empocha les cent cinquante francs. Comme elle répétait au routier quelle avait apprécié sa belle et longue bite, celui-ci lui dit quil venait de quitter un copain routier qui en avait une bien plus courte, mais énorme, à tel point que beaucoup de femmes se refusaient à lui. Laure eut lair intéressée et il lui dit quil pouvait essayer de le contacter sur sa C.B.. Ce quil fit. Après plusieurs tentatives, il réussit enfin à le joindre. Le routier à la grosse queue serait là dans une vingtaine de minutes. Laure demanda : « En lattendant, élargis moi la chatte avec tes doigts, ou même ta main, si tu peux, je veux être prête
» Le routier ne se fit pas prier, pendant plusieurs minutes il sacharna sur la vulve de Laure pour finir en poussant très fort à enfoncer sa main jusquà la base du pouce, il poussa encore, elle sarque boutait, mais rien ny fit : oh ! il sen fallait de peu.. Un camion sarrêta derrière leur poids lourd. Elle descendit et rejoignit le routier du deuxième véhicule qui lui demanda : « Cest toi la petite qui veut essayer ma queue ? Tu sais, ça va être dur, tu es dun bien petit gabarit !» Elle monta dans le camion, lhomme baissait déjà son pantalon. Son phallus, bien que nétant pas encore en pleine érection était énorme ; pas long non, seize à dix huit centimètres tout au plus, mais large presque comme un gros bras, le gland étant toutefois plus étroit. Laure se mit à caresser lengin encore un peu mou ; elle le prit à deux main pour encercler la tige. Elle essaya dengloutir une partie de ce pénis dans sa boucha, mais seul le gland et deux ou trois centimètres purent pénétrer, sa mâchoire ne souvrait pas suffisamment. La tache allait être une véritable gageure pour son minou ! Elle sentit petit à petit l\'énorme animal rose sans squelette durcir et se dresser
Impressionnant : il formait une sorte de gros cône tronqué. Elle demanda à lhomme de passer sur la couchette et de sétendre sur le dos. Elle le rejoignit et se dénuda encore une fois
Cette bite était vraiment une anomalie, une malformation, le pauvre homme, à part les cas où il gagnait des paris de la plus grosse avec ses copains, devait en souffrir . Cet homme aurait pu être exhibé dans une foire à coté de la femme à barbe, de lhomme tronc et de l à deux têtes. La vision était surprenante, horrifiante et délicieuse à la fois. Laure comprenait pourquoi les femmes se refusaient à lui, mais elle était là pour vivre une expérience et tenterait daller jusquau bout, dut-elle en souffrir la martyre. Des frissons lui parcouraient le dos, elle avait une grosse appréhension mais elle sentait son ventre chaud réclamer
Sans plus de cérémonie , elle enjamba le routier, face à lui et, écartant les cuisses, guida lénorme pieu vers sa chatte préparée. Elle était concentrée comme un boxeur avant le combat. Le phallus paraissait , à sa base, moins gros que ses cuisses certes, mais de la grosseur dune bouteille de vin de Bordeaux. Même le souvenir de la main qui venait de presque réussir à la pénétrer ne la rassurait pas
Mais, décidée, elle présenta le gland du sexe bien dur entre ses grandes lèvres quelle écarta de ses deux mains, afin quaucun poil ne gêne la pénétration et descendit son corps pour sempaler petit à petit. Le gland pénétra sans difficulté, mais tout de suite elle sentit ses petites lèvres se distendre. Elle senfonçait, millimètre par millimètre, se retirant un peu parfois pour habi ses chairs douloureuses, écartant plus ses cuisses et tirant sur sa chatte pour louvrir plus encore
A mi-course, elle avait limpression de souffrir autant que lors dun accouchement
Cétait au tour des grandes lèvres de sécarter au maximum pour laisser le passage au gourdin de chair, elle ne pouvait plus les écarter à laide de ses doigts ; il fallait quelle compte sur leur seule élasticité. Lhomme regardait, amusé et dubitatif, ce tout petit bout de femme sacharner à engloutir doucement son gros sexe
Cette jolie poupée rendait son érection encore plus intense, et sa verge était devenue très dure et peu compressible
Mais Laure était volontaire, elle sappuya encore, prenant le routier sous les cuisses pour augmenter la pression, jusquà enfin engloutir totalement l énorme pieu en geignant un peu. Celui de Carlos était presque mince en comparaison de celui-là. Elle resta un long moment immobile, les larmes aux yeux, se penchant pour contempler sa vulve distendue : Seules, de lappareil génital de lhomme, elle sentit sous ses fesses les testicules quelle prit en main quelques instants
Elle était venue à bout du monstre. Puis elle se souleva de deux ou trois centimètres pour retomber toujours lentement
Lengin agissait dans la fente de Laure comme un énorme coin destiné à éclater une bûche en deux parties
Laure, tant la douleur retenue était grande sattendait à tout moment à entendre craquer son ouverture plus quécartelée
Elle jeta un nouveau regard entre ses cuisses alors quelle soulevait plus haut son corps: lénorme masse de chair tendue lui faisait comme un troisième membre, court mais gros, et la bête glissait maintenant plus facilement dans son ventre, déjà lubrifié par la semence des deux autres routiers. A chaque soulèvement de son ventre elle ressortait maintenant complètement lénorme pénis, pour de meilleures sensations. De ses yeux embués elle examinait la scène : Elle visionnait une sorte de film, non pas porno, ni dépouvante
mais plutôt de science fiction représentant laccouplement de deux mutants despèces différentes. Sans un mot elle accéléra le mouvement .Elle refermait les yeux quelques secondes pour les rouvrir sattendant à voir sous elle un être satanique poilu ou une créature géante à écailles
Mais elle les rouvrait pour constater quelle chevauchait un homme, un vrai
Elle se refermait sur son imaginaire, se voyant défoncée par toutes sortes de monstres plus horribles les uns que les autres , des gnomes difformes
Elle était lEsmeralda consentante dun Horrible et Difforme Quasimodo en rut. Cela devenait délicieux, comme un conte de fées fait pour épouvanter les s. Elle examina la cabine du poids lourd : cadrans, manettes, volant, boutons, sièges, vitres, parois de métal et plastique
Tout faisait penser à lintérieur dun vaisseau spatial
Le camion précédent navait pas encore repris la route. Laure simaginait alors prise par un gros Alien monstrueux qui pondait ses ufs dans son ventre pour sauvegarder son espèces et envahir de nouvelles planètes
Ou bien elle était la jolie Princesse Léïa violée par lignoble Jabbah le Hut, qui la retenait prisonnière, enchaînée
Elle sattendait à sentir la langue gluante du gros crapaud sur son corps : Ca y était
Mais, non cétaient les mains du routier qui lui empoignaient les seins
Elle eut un premier orgasme.. Bientôt elle imprima une cadence infernale à ce coït denfer, rebondissant de plus en plus vite sur la bite monstrueuse, jusquà ce que lhomme se mette à souffler fort et éjacule
Elle jouit en même temps que lui, contente et soulagée à la fois. Elle souleva son corps pour se libérer de lengin qui ramollissait lentement
Sa vulve restée dilatée laissa perler sur les cuisses de lhomme un beau sperme nacré. Elle se pencha sur le sexe de lhomme pour le nettoyer avec sa langue, aspirant les dernières gouttes qui séchappaient du gland. Laure se tourna et posa sa chatte encore dilatée sur la bouche du routier. Il se mit à la lécher avec appétit. Au bout de quelques minutes le phallus était à nouveau dressé
Laure fit signe à lhomme de se placer sur elle
Elle écarta encore une fois les jambes autant quelle put sur létroite couchette et reçut à nouveau lénorme masse de chair dans le ventre
Toute douleur avait disparu, Laure pu goûter sans restriction à ce nouveau plaisir qui atteignait le sublime
Les allers et retours recommençaient à une cadence infernale. Le chauffeur sactivait comme un beau diable dans son ventre à louverture démesurément écartelée. Laure était déjà au septième ciel... Le routier précédent, qui navait pas encore repris la route vint frapper à la portière de la cabine : « Dis, Yves, tu y arrives avec la petite
Ca me paraît long, tu ne la pas démolie au moins avec ton engin ! » « Tfais pas d bile Marco, ça va très bien au contraire
Tu peux venir te rendre compte ! Il peut venir, hein ?» répondit Yves interrompant quelques secondes son coït. Laure acquiesça de la tête. Marco ouvrit la portière et vit Laure embrochée, couchée sous Yves. Les deux amants pivotèrent pour que la petite femme se retrouve à nouveau dessus, afin de satisfaire la curiosité du voyeur. La vulve écartelée était surmontée de ce petit trou du cul qui lui rappelait linstant quil venait de vivre. Laure dit dune voix autoritaire « Pour mater cest cinquante, pour participer cest cent » Marco, resta un moment stupéfait à contempler ce coït monstrueux ; il avait beau se persuader que ce quil voyait était bien réel, que cette petite femelle quil venait de baiser existait vraiment, là, empalée sous ses yeux
Il avait peine à croire que cette pénétration fut possible, la vulve était écartée plus quon ne peut limaginer. Il ôta tranquillement son pantalon , regarda dencore plus près les sexes des deux amants pour augmenter son désir déjà au paroxysme, et, tenant sa belle et longue bite en main, il se plaça à cheval sur les jambes de son collègue derrière la petite Laure, et introduisit son bâton dans le petit anus. La pénétration fut difficile
Laure poussa un cri, puis lentement la longue verge fit sa place
les deux pénis sactivaient maintenant
Lentrecuisse de Laure navait et ne serait jamais autant écarté quen cet instant. Les trois êtres ne formaient quun. Laure en venant là ce soir nimaginait pas vivre des instants si forts. Elle eut le temps de jouir quatre ou cinq fois encore, et finit par perdre connaissance tant les orgasmes étaient intenses, au moment où les hommes déchargeaient dans ses entrailles. Quand elle rouvrit les yeux, les routiers saffairaient encore sur son corps, lun lui caressait la poitrine tandis que lautre faisait aller et venir sa main toute entière dans son vagin meurtri, serrant le poing à lintérieur de son ventre
Elle resta sans réaction, constatant seulement quà un moment ils avaient inversé les rôles, la nouvelle main forçant encore plus le passage
Il resta encore quelques minutes le jouet de ces deux grands s, les yeux fermés. Elle sentit à nouveau une masse sallonger sur elle, Elle devina vite que cétait Yves qui engouffrait une troisième fois son énorme pieu dans son ventre
Elle ne ressentait plus rien. A peine eut-elle le temps de comprendre que lhomme linstallait sur elle que déjà, Mario reprenait place dans son anus et tout recommença comme une machine bien huilée; Les deux hommes étaient en train de jouir delle à son insu, de la violer en bonne et due forme
mais elle les laissa faire, ne pouvant que rester sans réaction ; cela dura un temps qui lui parut interminable ; elle ne sentait plus son ventre mais seulement toutes ces mains qui lui caressaient le corps. Elle était une petite poupée sans vie à la merci de deux garnements fétichistes ayant réussi à subtiliser le jouet de leur petite sur pour sen régaler en cachette. Elle laissa les deux hommes la besogner sans ménagements. Enfin elle comprit à leurs gémissements qu\'ils venaient lun après lautre de vider leurs couilles encore une fois. Puis ils la laissèrent pantelante à demi inconsciente, pâle
elle mit quelques instants encore à reprendre vraiment ses esprits. Les deux hommes contemplaient encore ce petit corps dont le minou resté largement béant et fort rougi se refermait petit à petit, comme un coquillage au fur et à mesure que Laure rapprochait ses cuisses, lentement, pour indiquer que la représentation touchait à son terme. Les deux routiers parlaient entre eux et ne tarissaient pas déloges sur leur petite compagne du moment : sa beauté, son aspect gracile, son joli ventre, ses petites fesses légèrement rebondies, ses seins plus que magnifiques son aptitude à supporter les assauts les plus sauvages et enfin ce professionnalisme dans les choses du sexe. Elle écoutait ces compliments, elle était maintenant totalement consciente et éveillée. Elle leur pardonnait cet instant volé. Sans un mot Laure remit sa petite robe et ses chaussures, prit le billet de deux cent francs que Yves lui tendit en disant « Merci ! Cest la première fois quun si jolie petite femme accepte et réussisse
Bravo ! Et quest ce que tu es belle !»Il lui tendit sa carte de visite. Marco lui tendit aussi un billet de cent francs. Laure partit sans répondre. Une fois terminée cette double troisième passe harassante elle rejoignit directement son véhicule pour rentrer à la maison : Elle nallait pas y passer la nuit. Elle venait de se prosti, cétait la première fois et ce serait la dernière. Elle ne trouvait pas équitable de faire payer, alors que le plaisir était partagé ! Elle avait eu trois comportements : un tendre presque amoureux, un de vulgaire salope au vocabulaire ordurier et un troisième fait de silence, de souffrance mêlée au plaisir pour se terminer dans une orgie silencieuse à trois. Les routiers garderont sûrement longtemps en tête le souvenir de cette prestation. Le soir même, nous sommes allés Laure et moi-même, dans une auberge gastronomique, faire un dîner en amoureux avec les six cent cinquante francs quelle avait gagnés avec son corps. Le soir, dans notre chambre nous avons revécu les scènes, dans notre lit
Je faisais le routier bien évidemment
Ce fut éreintant de jouer ces trois personnages à la suite, mais maintenant Laure faisait les fellations comme personne et je pouvais enfin sans crainte introduire ma main toute entière dans son ventre pour simuler le troisième routier
. Et comme jaime les calculs , Laure avait du encaisser dans corps à corps avec les deux derniers routiers environ 320 g dans ce cul et le double dans la chatte, soit près dun kilogramme de chairs palpitantes plantées dans ses entrailles
Jai souvent demandé à Laure de me décrire les scènes avec les routiers et en particulier la troisième passe, et jai toujours eu du mal à me représenter réellement la scène. Jaurais tant aimé assister au spectacle
la voir défaillir sous les assauts , elle, si mignonne, embrochée par deux phallus incroyables. Jaurais aimer assister à son empalement dabord progressif par lénorme et monstrueux pieu décrit par elle
puis, petit à petit voir ses cuisses et ses petites miches enchâsser la chose, sécarter et rebondir sans cesse, faisant disparaître puis réapparaître à chaque coup le monstre. Puis ensuite son petit cul accepter en même temps un long serpent lubrique qui sagiterait à son tour et en cadence dans son ventre endolori. Si le soir même, pendant son premier récit, je navais pas réussi à introduire mon poing entier dans sa chatte, je ne laurais pas entièrement crue
A partir de ce jour, je la vis avec dautres yeux, peut-être plus respectueux encore et, chaque fois que je le pouvais, je restais à contempler son joli petit coquillage rose , sa fleur délicate, son joli minou qui pouvait devenir chatte en chaleur, vulve gourmande, chougne dilatée ou cramouille de salope toujours prête à engloutir les phallus les plus divers
Ah ! Ma chère petite salope, ma putain, mon amour. Jen écartais délicatement les lèvres et me mettais à rêver , puis y plaquais la bouche pour le lécher, le sucer, le dévorer
Laure appela un week-end Yves le routier et ils fut convenu quil la contacterait de temps en temps la veille des jours où il traverserait la région pour convenir dun rendez-vous. Laure et Yves se retrouvaient ainsi environ toutes les cinq à six semaines pour des galipettes dans la cabine du poids lourd. Elle ne le fit jamais payer.
admin
Jan. 31, 2023
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