Laure (Épisode 3)
Cest Olivier et Fabienne, nos plus proches amis, que nous décidions tout dabord et sans aucun mal en 1980. Hormis le fait quils étaient des amis indéfectibles, Fabienne, la femme, était ma petite sur. Nous avions tous environ trente cinq ans ou un peu moins. Fafa prenait la pilule, Laure portait un stérilet
Tout se passerait sans lappréhension dune grossesse
Et pas besoin de préservatif à cette époque là. Lors de séances photos déshabillées, dabord en sous-vêtements, puis de plus en plus nus et simulant des poses de pénétrations à deux ou trois, nous avions fini par faire des clichés plus réalistes, plus hard, avec nos partenaires respectifs, et, profitant dune pose où ma sur était nue allongée sur le dos, cuisses offertes, son sexe prêt pour un cliché de simulation avec moi, le visage tourné vers mon beau-frère qui photographiait ; je la pénétrai sauvagement et profondément à la surprise générale et sans quelle eut le temps de réagir vraiment. Elle neut aucun mouvement de recul pour marquer une désapprobation quelconque de cet acte ueux et se contenta de sentir glisser très facilement ma trique entre ses chairs humides
Fier davoir vraiment donné le départ de toutes nos festivités sexuelles, je mallongeai sur elle de tout mon poids, donnai quelques mouvements de hanches pour bien sentir cette nouvelle étreinte puis me retirai presque aussitôt.
Fabienne était de petite taille comme Laure, mais ses jambes étaient plus courtes et plus épaisses, sa cambrure très prononcée, ses fesses rebondies et grassouillettes, ses hanches très larges en comparaison de celles de mon épouse, son buste long, ses épaules relativement étroites et les seins biens plantés mais un peu lourds, aux aréoles très sombres et aux mamelons bien formés. Son corps semblait bâti sur mesure pour porter des s. Sa vulve, paraissant pourtant presque petite était esthétique, enchâssée dans un écrin de poils soyeux et courts, ses lèvres étaient comme crénelées et un peu bordées de sombre, comme les manteaux dune moule ou dune huître fine de claire.
Lors dune troisième rencontre, nous avions, pendant une bonne partie de la nuit, dans notre grenier aménagé, fait quelques expériences nouvelles comme demander aux deux femmes, Laure et Fabienne, entièrement nues de sembrasser en se caressant à tour de rôle le corps puis le sexe, utilisant un godemiché, acheté pour loccasion, jusquà lorgasme pendant que nous les regardions fixement, la trique turgescente, remuer leurs corps excités
.
Puis la fatigue venant, nous avons éteint les lumières et chaque couple sest endormi
Mais avant de trouver le sommeil, jenlaçai Laure lui caressant les seins et le dos (Elle appréciait tout particulièrement les caresses sur son dos), pensant à la prise que je venais de faire de Fabienne en levrette, par surprise, remplissant enfin son vagin mouillé dune grosse giclée de ma liqueur tiède juste avant de monter au grenier
Au petit matin, le soleil nous réveilla peu à peu. Je caressais alors le sexe de Laure, qui eut tôt fait de devenir chaud et dégoulinant de lubrification vaginale, comme lors de tous ces réveils ayant suivi une soirée dorgie, jusquà pouvoir supporter et mouiller toute la paume de ma main, doigts compris
Mon sexe pénétra le sien et se perdit dans cette chaleur humide et bienfaisante
Mon beau-frère et ma sur séveillaient également, je pense quils se caressaient aussi. On entendit alors Olivier déclarer « Les filles, Regardez, jai la trique ce matin! Je bande comme jamais.. Il faut que je baise tout de suite
. » Il navait pas fait lamour avec ma femme la veille au soir, se contentant de la caresser, de la regarder ou dintroduire son sexe trop mou dans sa bouche, espérant que les caresses buccales fassent se dresser sa queue.
Quelques semaines plus tard, ayant appris que Fafa était en arrêt de travail, jai profité dun moment où je mabsentais de mon bureau pour la retrouver chez elle. Je croyais la voir alitée, mais elle était en train de faire du repassage malgré une forte fièvre due à une mauvaise grippe. Je lembrassai goulûment pour lui dire bonjour, ses lèvres étaient brûlantes.. Jouvris son peignoir et remontai sa chemise de nuit pour atteindre son ventre chaud. Tout de suite mes mains se portèrent sur la chatte
Sa mouille sembla me brûler les doigts. Cétait si excitant que je la portai de suite sur le canapé.. Là, sortant vite ma queue tendue jenfournai celle-ci dans son ventre. Cette impression de fièvre était excitante au plus haut point. A cet instant javais vraiment conscience de mon acte ueux , et à cause de cela je crois avoir été un peu rapide pour lâcher mon foutre dans ce ventre chaud. Cest la première fois que jétais seul avec ma sur Fabienne, et que mon sperme lui était totalement dédié.. Mais, à cause de cette éjaculation précoce, la pauvre malade navait pas joui. Je me rajustai et après un bisou rejoignis mon travail au bureau, laissant Fabienne avec mon sperme dans ses entrailles.
Après une soirée, genre dîner dansant vous étions venus avec quelques amis prendre un verre chez Olivier et Fabienne. Quand les autres furent partis, fatigués Olivier et sa femme dun coté, Laure et moi de lautre sommes allés dormir tout en restant dans la même maison. Au matin alors que javais la bite au chaud dans la chatte de Laure et les mains plaquées sur ses seins moites, Olivier appela mon épouse. Celle-ci se leva pour le rejoindre dans son lit. Fabienne sétait levée, et nue , se dirigeait vers la salle de bains. Je la rejoignis et la posai face, assise, à moi sur le lavabo. Ce nest pas la copine que je voyais en elle, mais bien la Sur : et cest dans cette optique que je décidais de la baiser. Ce corps que javais devant moi est celui que javais vu se développer depuis lenfance. Javais vu sa poitrine pointer petit à petit sous ses corsages, et ses hanches sélargir. Javais souvent eu des érections en la contemplant pendant mon adolescence. Cétaient ces seins et ces hanches que je caressais maintenant. Je regardai entre ses jambes tout en continuant de parcourir sa peau dénudée de mes mains moites. Sa vulve était juste à hauteur de la base mon phallus raide. Elle écarta les cuisses et, lentement, en lembrassant goulûment, jabaissai mon sexe pour le mettre à lhorizontale et le glissai voluptueusement dans sa jolie fente rose crénelée de sombre. Cétait dun confort délicieux, elle était si prête, si chauffée que je pénétrais en elle avec une facilité déconcertante, procurant des caresses subtiles à ma bite tendue. Cela sembla durer éternellement : Je revoyais mon enfance, les jeux avec Fabienne, les Noëls en famille, la puberté qui avait changé ma cadette en une belle femme. Je revoyais aussi tous les instants de ces derniers mois où je lavais baisée sans vraiment apprécier le caractère particulier de cette relation frère sur : La première intromission par surprise, les caresses, la saillie en levrette suivie dune bonne éjaculation, laccouplement lors de sa grippe. Et nous étions tous deux réunis, ma petite frangine et moi
Soudés par nos sexes et nos bouches, le corps moite, le cerveau bourdonnant. Je glissai lentement dans son conduit naturellement lubrifié, caressant son dos et ses fesses rondes. Entre deux baisers je lui chuchotais «Ma petite sur, ma Fafa
On est bien ! Tu sens ma queue dans ton ventre
la queue de ton frère
Jaime me planter dans ton ventre.. » Elle répondait « Oui mon frère, je te sens.. Je suis bien ! » On entendait Olivier et Laure rire. Apparemment, il lui caressait la chatte et le trouvait particulièrement inondée de ciprine. Je continuai quelques minutes mes va et vient dans le ventre de ma sur, mappliquant dans les caresses et les baisers. Jallais et venais entre les cuisses de celle qui fut jadis ma petite sur, celle que jaccompagnais à lécole primaire, celle qui devenue femme sétait mariée à Olivier. Toutes ces images se bousculaient dans ma tête, mexcitant au plus haut point. Ce nétait pas la première fois que je fourrais ma sur, mais je prenais vraiment conscience de cette situation interdite par la morale et mon désir en était sublimé. Je lui palpais tout le corps, les fesses, les seins, le dos, la nuque, les cuisses pour la connaître par cur. Fabienne faisait de même, sattardant un peu sur mes testicules. Petit à petit je sentais ces couilles gonfler jusquà en devenir presque douloureuses, prêtes à envoyer le maximum de sauce. Lémotion ressentie avait fait augmenter mes pulsations cardiaques : le sang battait mes tempes et devait secouer ma verge prête à exploser. Je me concentrais, ralentissant un peu mes mouvements pour bien choisir le moment où jéjaculerais dans le ventre chaud de ma petite sur. Toute cette jalousie contenue depuis notre tendre enfance à lencontre des ses amis, puis de ses flirts ou de ses amants allait se vider en même temps que mes couilles dans son vagin quelle moffrait. Je lui susurrai « Je vais te féconder, moi ton frère, inonder ton minou, ma petite sur, de mon sperme ! » pour quelle comprenne elle aussi le caractère véritablement tabou de ce moment « Vas-y lâche toi mon frère ! » répondit-elle, montrant par là quelle avait bien conscience de la situation. Je me retins encore un peu pour éterniser un peu ce moment exceptionnel. Jétais prêt, et avec sa bénédiction fraternelle jenvoyai en râlant une bonne giclée de mon foutre dans les entrailles de Fafa. Mon gland, excité par les derniers frottements contre les parois du vagin, poussa mon orgasme jusquau paroxysme pendant plusieurs secondes. Jétais au bord de l. Je métais régalé plus que dhabitude de ce rapport délibérément ueux. Javais déjà ensemencé deux fois le vagin de Fabienne, mais cétait la première fois que je nous sentais si proches, issus de la même chair, comme faits lun pour lautre ; deux petites pièces dun puzzle familial semboîtant parfaitement. Je me retirai conscient de laisser ma sécrétion intime au plus profond de ma petite sur. Je la finissais à la main, caressant sa vulve qui, presque à mon désespoir, refoulait lexcès de sperme si consciencieusement déposé pour elle. Bientôt son corps entier sanima et je sentis jouir Fabienne sous mes doigts. De son côté Laure manifestait bruyamment un orgasme sous les caresses de son beau-frère. Je lembrassai une dernière fois et rejoignit ma couche. Laure vint my rejoindre presque aussitôt. Je bandais déjà et enfournais ma bite de sa chatte ruisselante. Je mimaginais toujours avec Fabienne. Je pensais à mon sperme resté en partie dans le ventre de ma sur. Je me remémorais toutes les fois où, adolescent, je métais masturbé en cachette pensant à Fabienne dont javais entrevu un sein ou lentrecuisses : à tout ce sperme gaspillé pour elle dans lherbe, les draps ou un lavabo. Cette fois, bien que ce ne soit la première, javais envoyé ma bénédiction impure bien au chaud dans cette cible rêvée. Je mis une nouvelle giclée à Laure . Fermant les yeux je pensais à mon sperme réparti dans ces deux femmes qui métaient si proches
Je m endormis, heureux.
Un soir lors dun bain de minuit dans notre piscine, nous étions tous quatre dans leau fraîche où nous avions tous pied, leau arrivant à la poitrine des femmes . Je me plaçai derrière ma sur, prenant ses seins frais entres mes mains, appliquant ma verge prête entre ses fesses
Elle se mit à balancer le bassin, tournant sa tête pour membrasser goulûment
Olivier prit alors la même position derrière Laure, mais celle-ci guida directement le phallus dans sa chatte
Elle donnait à son bas ventre des mouvements davant en arrière pendant qu Olivier maintenait sa taille. Je lâchai Fabienne et mapprochai. Laure me saisit derrière une cuisse, et plongeant sa tête sous leau, prit mon sexe en bouche. Elle le suça une dizaine de seconde, puis releva la tête pour respirer hors de leau
Elle agrippait mes testicules craignant que je ne recule, puis se mit à nouveau en apnée pour continuer sa succion merveilleuse
Le manège se répéta plusieurs fois, elle caressait mes couilles sans discontinuer.. Lorsque je sentis mon ventre prêt à cracher sa lave, jattendis précisément une prise en bouche pour lâcher ma semence dans sa gorge
Olivier faisait de même dans son vagin
Laure se releva, et membrassa me rendant au passage la liqueur que je venais de lui offrir. Plus tard je pris Fafa, calmement, dans leau, pendant que les deux autres ségayaient dans lherbe : Olivier mangeait goulûment la chatte de ma femme allongée sur lui, lui arrachant plaintes et rires. A force de caresses, Laure réussit à faire se dresser à nouveau le sexe de lhomme, puis lestimant assez raide, lengouffra dans sa gorge, pour à force dobstination recevoir une nouvelle fois du sperme dans son gosier
Ayant joui auparavant, elle laissa Olivier , le corps mort et pénis définitivement mou, pour nous rejoindre dans la piscine. Jétais en train de jouir dans le ventre de ma sur, quand elle plaqua sa bouche sur la mienne pour y régurgiter un sperme tiède qui nétait plus le mien. Moi qui navais jamais avalé de sperme, jen dégustai le même soir deux différents. Heureusement que lambiance y était, car à vrai dire, je nen ai pas apprécié le goût.
Nous fêtions, un soir dautomne, lanniversaire de Laure à la maison. Elle venait davoir trente six ans et restait toujours aussi attirante. Nous nétions que quatre, y compris ma sur Fabienne et Olivier. Au moment du gâteau danniversaire au chocolat, comme nous navions pas prévu de bougies en assez grand nombre, il me vint une idée : Pourquoi ne pas remplacer les bougies par nos verges. Jexpliquai la façon de procéder en mexécutant au fur et à mesure
Je mis une seule bougie sur le gâteau et lallumai. Puis laissant Laure face à la pâtisserie, baissai le pantalon quelle portait ce jour-là, ainsi que sa petite culotte. Faisant de même avec mes propres vêtements, e je me plaçai derrière elle. Et tandis quelle se tenait debout au sol, appuyant ses deux mains sur le bord de la nappe, jintroduisis mon phallus dans son minou en comptant à haute voix « un ! », puis un deuxième coup « deux ! », ainsi de suite jusquà trente six. Tous reprenaient en chur le comptage à chaque coup de ma bougie. Après le décompte, Laure souffla la bougie tandis que nous applaudissions. Olivier vint alors et ralluma la petite bougie du gâteau. Il dénuda complètement Laure et répéta lopération de la même façon tout en pétrissant son ventre et ses seins. Puis elle but dun trait une coupe de champagne frais sous les vivats, et nous trinquâmes tous à sa bonne santé
Ma surette nous fit remarquer quelle avait eu trente cinq ans le mois précédent et quelle navait pas eu droit aux mêmes bougies. Nous recommençâmes lopération avec elle, Son mari le premier en prenant soin de nous arrêter à trente cinq chaque fois
Puis les deux femmes étant nues, nous échangions nos partenaires après avoir légèrement tartiné leurs poitrines du chocolat du gâteau ; Et, tout en léchant ces seins au goût sucré, nous les prîmes cette fois sans compter pour que nos bougies laissent dans leurs entrailles la crème blanche que nous leur dédiions
Les femmes enduisirent à leur tour, de chocolat, nos verges fatiguées et les sucèrent jusquà ce quelles retrouvent une bonne rigidité. Constatant que les deux verges qui lui avaient fait sa fête étaient de nouveau dressées, Laure demanda à Fabienne de laider à débarrasser les couverts. Puis elle sallongea nue sur le dos en travers de la table et demanda aux deux hommes de se placer à genou de chaque côté delle. Elle prit un pénis dans chaque main et commença à les caresser et à en soupeser les testicules. Exécutant des contorsions elle prenait en bouche chaque phallus lun après lautre. Elle porta les mains à son ventre et nous demanda de se masturber et déjaculer sur elle. Ce que nous fîmes
Mais ce nétait pas si simple ; nous venions il y a peu de vider nos bourses ! Laure eut alors lidée dintroduire doucement un index de chacune de ses mains dans nos anus : Ceci eut pour effet dactiver nos éjaculations dont elle senduisit le corps en nous remerciant
Puis les échanges durèrent une partie de la nuit, champagne et sperme coulant encore à flots. A la fin de nos ébats Laure nous annonça quelle serait prête une prochaine fois à se faire prendre en sandwich, Olivier derrière dans son petit trou étroit, et moi devant dans sa chatte
La chose ne fut jamais réalisée : nos échanges qui duraient depuis cinq années sespaçaient de plus en plus, pour bientôt sarrêter, par simple lassitude.
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