Laure (Épisode 4)
Après Olivier et Fabienne nous avons connu dautres couples et dautres femmes.
Colette et Carlos
Cest Colette qui un soir, alors que nous regardions un film porno chez eux et quelle était installée sur mes genoux, a déclaré vouloir essayer une expérience avec notre couple, elle était prête même sur linstant
Javais senti cet appel alors que je la caressais à travers ses vêtements légers. Mais nous reportâmes lexpérience à une réunion ultérieure, car Colette , jeune maman, nutilisait encore aucun moyen de contraception : Elle se ferait prescrire la pilule rapidement. Ses yeux brillaient déjà à la pensée de ces ébats à venir. Son mari, grand consommateur de films pornographiques pourrait avoir du réel à se mettre sous les yeux, et avec son épouse comme Star !.. Pour linstant, elle rêvait déjà à ces rôles, faciles à interpréter dès quon oublie quelques secondes sa pudeur. Colette était bien plus grande que Laure , avec des seins tout ronds, mais ses hanches étaient plus larges, ses fesses plus potelées un peu comme Fabienne, mais sa chatte, (contrairement à celle de Fabienne fine, bien dessinée, ferme et au poil assez court) était molle, élastique, au poil plus long, mais souple et clair, ce qui était surprenant lors des caresses, Il semblait quon pouvait létirer à volonté, mais en fait , à lexpérience , elle ne semblait pas plus large que celle des autres, son poil était certainement le plus soyeux. Le plus amusant était de caresser son clitoris enserré dans ses grandes lèvres molles, qui permettaient de sentir lérection de ce petit appendice à travers ses chairs. Carlos , lui, était une sorte de colosse brun de plus de quatre vingt quinze kilos, à la peau mate, aux épaules larges, aux fesses musclées et au phallus intimidant par son volume et sa longueur
Quand il marchait, nu, son engin sombre battait ses cuisses au rythme de ses pas, comme celui dun âne à lérection naissante ou une trompe déléphanteau, ses testicules faisaient penser à celles dun taureau.
Je lai examiné un jour, lors dune partie organisée chez eux, de très près, pénétrer ma petite Laure , qui devait peser quarante petits kilos et qui a des hanches étroites. Le sexe de Carlos commençait une érection
Petit à petit son gland rose se découvrit et le prépuce se rétracta. Sa bite était presque bicolore, sombre à base et rosée sur la partie normalement cachée au repos. Cest la première fois que je voyais une verge non circoncise en érection. Après avoir excité son membre manuellement pour le rendre encore plus imposant et pour lui donner une raideur paraissant suffisante, Il sinstalla à genoux, face à elle. Il souleva la croupe de ma femme, alors allongée sur le dos, les cuisses écartées, les jambes repliées, dune seule de ses grosses mains appliquée sous les fesses menues. Il agissait comme sil sagissait de soulever un bébé dont on va faire la toilette. Seules les épaules de Laure restent en contact avec le matelas. Il caressa sa vulve pour lubrifier ses doigts et enduisit son sexe de cette crème naturelle. Il tira sur son prépuce pour découvrir son gland encore caché et guida son gros bazar devenue vraiment colossal en direction du bas ventre, du tabernacle de ma femme. Le fait de soulever Laure dune main ne semblait pas lui demander plus deffort que celui de maintenir son terrifiant engin de lautre
A cet instant ma petite épouse fermait les yeux, nosant regarder, mais imaginant ce que pourrait être le membre de Carlos en pleine érection: « Sil entre en moi pensait-elle, je serai déchirée, mise en pièce, infirme pour toujours. » Carlos, lui, sappliquait à sa tache son pouce et son index écartaient les chairs, tandis quil soutenait son pieu entre sa paume et ses autres doigts. Lempalement sembla laborieux, il contractait ses muscles fessiers et guidait lengin hypertrophié qui disparaissait centimètre par centimètre dans lintimité de sa partenaire en se courbant tel un gros boa et en écartant au passage les chairs de cette petite vulve qui laccueillait
Laure était, dans un réflexe naturel, presque en grand écart, les tendons des muscles des cuisses tirés et tendus à lextrême de chaque côté de son sexe, pour ouvrir le plus grand possible lentrée de son vagin afin de diminuer tant que faire se peut le supplice attendu
il était ouvert comme une petite bouche d suçant goulûment un esquimau géant.
Lhomme connaissait bien son affaire
Leurs pubis respectifs étaient distants denviron vingt centimètres au début de lintromission, pour venir peu à peu se rejoindre parfaitement
Le membre excessif nen finissait pas dentrer dans ses viscères : je ne pensais pas que Laure fût si profonde. Elle ouvrit les yeux pour chercher un secours dans mon regard, et, ne constatant chez moi aucun affolement , elle se laissa prendre tranquillement
Après tout un sexe ne tue pas et elle en avait déjà supporté deux ensemble auparavant, et la présence de Colette, là, souriante, paisible, le regard éclairé la rassura. : si sa copine était là cest que la chose était possible. Quand il fut jusquau tréfonds de son puit damour, le géant sallongea alors de tout son poids sur mon petit bout de chou, lécrasant littéralement et là , la bête se mit en route, inexorablement . Lors des trois premiers enfoncements la vulve émit des sortes de pets, libérant un peu plus chaque fois lair trop comprimé par le piston dans son vagin, ce qui faciliterait les mouvements suivants. Javais constaté ce phénomène lors dintroduction demballages daérosols, ce qui indiquait que le vit de Carlos avait alors un diamètre dau moins cinq bons centimètres, soit une circonférence de plus de seize centimètres
comparés aux onze ou douze centimètres dont elle avait lhabitude ! Et pour ceux qui aiment les chiffres, plus de quatre cent grammes de chair à engloutir au lieu des cent cinquante de son quotidien
Et en une seule bouchée ! Les phallus de Olivier et moi-même réunis, qui navaient dailleurs réalisé quune pénétration partielle à cause de la difficulté de la position, nétaient rien en comparaison du monstre.. Ma moitié devenait physiquement sa moitié, tant elle semblait minuscule et fragile sous cette montagne de muscles : On aurait dit la saillie dun taureau de concours de plus dune tonne sur une génisse de lannée.
Colette et moi-même assistions, subjugués, à cette copulation fascinante ; elle à plat ventre , moi dessus ma bite bien placée dans son vagin mais presque immobiles, nos yeux étant rivés sur leurs sexes, comme des gros plans au cinéma .
Revenons à la scène brutale mais aussi délicieuse qui se déroulait sous notre nez : Carlos se retira brusquement, le sexe lourd, retourna Laure comme une crêpe pour la mettre à quatre pattes, perpendiculairement à nous. Dans la vulve encore ouverte il introduisit son phallus géant aux deus tiers de sa longueur, ce qui était déjà beaucoup, et fit quelques aller-retour pour satisfaire notre curiosité en terminant par une intromission totale spectaculaire saidant en cela de ses deux mains plaquées sur les cuisses de sa proie côté ventre. On appréciait mieux ainsi la longueur de la pénétration : un vrai anaconda géant. Puis il reprit sa position initiale du missionnaire sans difficulté. Les coups de butoir de Carlos se succédaient à une cadence accélérée, Celui-ci respirait et râlait de plus en plus fort à la manière dun soufflet de forge, et Laure qui profiter au maximum, écartait ses courtes cuisses musclées, enserrant le colosse de ses jambes en croisant ses petits pieds sur les reins puissants de lhomme en rut
Vision dune haute intensité érotique
Mais nassistions nous pas à cet instant au triple martyr de Sainte Laure, dans les arènes, écartelée, étouffée et empalée par un fauve furieux, qui semblait la déchiqueter un peu plus à chaque charge
Mais heureusement aucun filet de sang ne sécoula de sa blessure béante, comme agrandie à chaque coup. Laure semblait sêtre accoutumée à cet assaut sauvage, son sexe, devenu la raie du monde, donnait limpression dêtre moins distendu, les mouvements étaient plus fluides, larme semblait glisser naturellement dans son fourreau lubrifié
Les fesses puissantes du mâle se soulevèrent comme pour se retirer, mais sa partenaire ne relâcha pas létreinte de ses jambes autour de ses reins.. Elle imprimait seule des mouvements sauvages pour continuer létreinte, par des contractions des jambes et un balancement du bassin, le mouvement de piston sétait raccourci mais saccélérait vertigineusement, elle semblait en prendre le contrôle total, avec facilité
La petite reinette verte venait à bout du crapaud buffle. Carlos releva alors aussi ses épaules, elle dû lâcher prise ; le colosse se retirait, laissant retomber sa proie lourdement sur le matelas, et il ne semblait pas avoir éjaculé, son long et épais membre pendait entre ses cuisses puissantes, le gland déjà recouvert de son prépuce
Ma moitié resta là, inanimée, les cuisses écartées. Son sexe indécent permettait de voir par son ouverture encore largement béante, chaude et rougie , les parois visqueuses de son vagin délivré. Après quelques mouvements appliqués, mon pénis au bord de lexplosion depuis de longues minutes lâcha sa semence dans le ventre de Colette, qui délivrée, elle aussi, remua les fesses en signe dacquiescement et jouit en même temps que moi, certainement, comme moi, plus à cause de la scène titanesque à laquelle nous venions dassister, que grâce à lassaut timide quelle venait de subir. Ma Puce avait supporté la charge de cette montagne de chair, elle redressa sa tête quelle avait gardée sur le côté lorsquelle était écrasée par la poitrine de son amant et nous regarda avec un petit sourire presque timide
Nos râles dorgasme devaient la rendre jalouse. Dommage que Carlos nait pu aller jusquau bout, pour le spectacle dabord, mais aussi pour la dose de sperme supposée être déposée son le ventre en signe de reconnaissance
Car au vu des ses testicules géants, il y avait là, assurément, de quoi arroser abondamment une victoire sexuelle
Laure me confia plus tard que le vécu de cette aventure nétait pas du tout à la hauteur de la vision
Son appréhension du début était due à lidée quelle se faisait dun membre si gros au repos, elle imaginait quune fois en érection dans son ventre elle aurait comme un gros bras au poing fermé
Elle sest bien vite sentie hors de tout danger. Elle m expliqua les poses acrobatiques quelle prenait : Ce nétait pas à cause d une sensation décartèlement ou de souffrance quelle se tordait, sarque boutait, enserrait son partenaire, mais plutôt pour essayer den tirer vraiment des sensations maximales et à la hauteur de ses espérances ; elle sentait bien que cette verge était grosse, mais elle aurait voulu par sa propre fougue la voir se durcir peu à peu, prendre encore du volume et de la fermeté, pour lécarteler en douceur, quitte à en souffrir un peu
Son minou délicat avait bien été distendu, mais très mollement, sans forcer le passage, sans aucune impression dempalement, ni de douleur quelconque.. Aucune butée sauvage sur le col de lutérus, la bête se lovant paresseusement à chaque introduction, pour occuper sagement lintérieur du vagin, comme un gros duvet que lon rangerait en vrac dans un sac à dos
Elle sentait bien monter en elle lespoir dun orgasme explosif, à la mesure de la gourmandise que lui avait provoquée la vue de cette verge puissante quelle supposait lenvahir sauvagement, à la hauteur de cette libido qui la préparait aux plus douloureux assauts, en rapport avec ce colosse prenant son petit corps fragile
Elle espérait hurler très fort son plaisir mêlé dune douleur sauvage, elle se voyait délivrée, le corps pantelant, encore fumant du combat inégal mené contre ce champion farouche, qui lui laisserait toutefois la vie après avoir retiré de son petit ventre chaud son arme de gladiateur entraîné aux pires duels
Mais cette épée à deux mains était un énorme engin amorphe ne procurait pas le plaisir attendu
Ce nétait pas le gros concombre vivant quon supposait lécarteler littéralement, mais plutôt une grosse limace molle et gluante
.Manque de raideur ! Lentrée était impressionnante sur les chairs de la vulve, mais dans le conduit vaginal le supposé engin se liquéfiait littéralement. Elle avait bien insisté sur la fin, comme nous lavions remarqué, mais elle avait déjà tiré un trait sur lexplosion de la bombe.
Lors de plusieurs rencontres, et hormis les fois où Laure profitait dun moment où étendu sur le dos il avait une érection semi-molle pour sempaler sur son engin, Carlos prenait toujours Laure de cette même façon, à genoux, elle allongée sur de dos, il soulevait fermement ses petites fesses dune main, pendant qu il guidait son phallus, rapprochant doucement ses mains et donnant de légers à coups de ses reins
La pénétration était toujours lente, jusquau contact des deux pubis, puis après deux ou trois aller retour profonds et lents, il saffaissait, écrasant le corps de sa partenaire
Ses fesses imprimaient alors un mouvement plus rythmé, mais jamais trop rapide
Il se retirait quelques minutes plus tard, gardant toujours ses bourses pleines. Cette façon de pénétrer une femme était particulière et savamment préparée pour un homme au sexe énorme mais pas suffisamment rigide : saidant de la force musculaire de ses bras, il ne sintroduisait pas, mais amenait doucement le corps tout entier de la femelle tenu par les fesses, pourvu quelle soit légère, à sempaler petit à petit sur son pieu, guidé de lautre main pour en éviter des torsions qui auraient pu gêner lavancée de ce ventre jusquà la base de son engin ; Les quelques lents aller retours suivants, toujours guidés, servaient à parfaire la lubrification et à permettre à son phallus de prendre sa place
Laure le laissait faire volontiers, non quelle en attende réellement un orgasme, mais pour le plaisir dentamer un combat tranquille avec le colosse, sentir ce quintal de chair lécrasant, se rappelant sa première appréhension, et au cas improbable où le rêve dune solide érection se réaliserait enfin.
La première fois où Carlos a éjaculé dans la chatte de Laure, je nétais pas présent. Je nai dailleurs jamais assister physiquement, ni à une réelle érection vraiment raide, ni à une éjaculation de ce quintal de muscles. Elle était allée dormir chez le couple car elle devait avec Colette accompagner un groupe de touristes lors dun voyage en Allemagne. Ils passèrent tous les trois la nuit dans le lit conjugal, et au réveil Carlos pendant que Colette prenait sa douche, excité plus quà lhabitude, rassuré aussi par mon absence qui devait le blesser quand je prenais son épouse, enfourcha Laure plus sauvagement que les fois précédentes. Je neus pas de détails précis de la scène, mais il donnait de vrais coups de butoirs et sa verge bien que manquant encore dun peu de rigidité, la bourra littéralement et réussit à inonder les entrailles de ma Puce dune flaque de son sperme, arrachant à sa partenaire, qui lui labourait le dos de ses ongles, un orgasme accompagné de cris sauvages.A son retour de voyage, Laure mannonça rapidement, avec un petit sourire, quenfin elle avait reçu la semence de Carlos ! Carlos aimait les vidéos pornos, les ébats avec dautres femmes, mais je pense quil nappréciait pas du tout que sa femme appartienne à dautres, dailleurs je ne lai jamais vu regarder de près la chatte de sa femme lorsquelle accueillait ma propre verge, contrairement à moi qui préférais presque voir Laure prise, et en gros plan, plutôt que de faire lamour à dautres, bien que jaime les deux situations. Laure, à partir de cet instant, a toujours relaté ses aventures sexuelles vécues en dehors de ma présence.
Colette, lépouse de Carlos, était plus que belle et très agréable dans les rapports ; tout son corps était en rondeurs comme ses beaux seins et ses chairs molles mais très agréables
Elle avait un petit regard coquin, la caresser, la prendre était un réel plaisir, son coup de reins était long et élastique
Je me rappelle un matin dans le grenier, jétais avec Carlos et Colette après une nuit tous ensemble, Laure soccupait des s au rez-de-chaussée
Je lai prise devant son mari
Je nai jamais ressenti des mouvements de hanches aussi intenses sous moi
Elle remuait les fesses de haut en bas, de droite à gauche, tournait, virait
Ce petit corps de femme, à peine plus volumineux que celui de mon épouse me chahutait, me faisait rebondir en tous sens
Elle avait lhabitude dun gros sexe assez souple, et ma trique raide et très dure, bien que bien moins volumineuse , lexcitait au plus haut point
javais du mal à garder mon équilibre. Il est vrai quelle avait lhabitude à un mâle beaucoup plus lourd. Je nai pu résister longtemps à ce régime et jai lâché ma semence tiède dans son ventre en furie
.. Dès que je me suis retiré, Carlos a pris le relais
Jétais tellement abasourdi que je nai pas suivi leurs ébats, dailleurs jaimais mieux regarder les situations où ma puce était en scène.
Jai possédé Colette un soir où les ébats échangistes de nos deux couples étaient prévus pour une première fois. Colette sétait fait prescrire la pilule par son Gynécologue, et était impatiente dinaugurer cette nouvelle période de sa libération sexuelle. Ah ! Femmes des années quatre-vingt
Carlos, qui avait sur la bière était saoul et incapable de la moindre érection , son énorme sexe plus que mou reposait, la tête posée sur le coussin du canapé, entre ses jambes comme un énorme serpent mort.; Colette qui avait très envie de moi me dit quelle nosait pas le faire avant que son compagnon ait pénétré Laure
ce qui semblait difficile à réaliser. Jen parlai à Laure, qui compréhensive, alors que nous étions déjà tous quatre nus, vint se placer devant Carlos assis sur un canapé, lui tournant le dos, puis sasseyant sur lui, cuisses écartées, essaya dintroduire le sexe mou dans sa chatte, en tirant sur le bout pour le redresser, il sallongea jusquà vingt cinq centimètres environ, mais resta toujours aussi flasque
il fallu que jintervienne pour laider à faire rentrer un tout petit bout de cette grosse chose molle dans son vagin
soit le prépuce, tiré entre mon pouce et mon index et un ou deux centimètres du gland mou qui accompagnèrent mes doigts dans la chatte offerte. Carlos resta sans réaction
Il ne se rendait compte de rien. Laure déçue, se releva : elle devait bien réaliser que ce quelle venait davoir entre les doigts pouvait certainement devenir en cas dérection un phallus comme elle na jamais osé en imaginer un, je ne sais pas si elle était prête à cet instant à supporter les souffrances supposées apporter un engin de cette taille surhumaine. Laure sagenouilla et sattarda un moment à lécher et sucer ce sexe mou, le prenant dans sa bouche pour le mâchouiller gentiment, tandis quelle soupesait les grosses bourses. Mais rien ny fit.. Je massis alors aussi sur le canapé, comme Carlos, présentant mon sexe, tendu depuis si longtemps que mon gland en était violacé, à Colette, pensant quelle prendrait la même position que Laure
. Rassurée par le simulacre réalisé entre son mari et sa copine, et autorisée de ce fait à poursuivre, elle savança le regard éclairé, face à moi. Elle mit alors un genou replié de chaque côté de mes anches ; et ,tandis quelle menlaçait le cou dune main, de lautre main elle sempara de ma verge et la fit glisser très délicatement dans son sexe, chaleur vivante et souple
Carlos et Laure quittèrent la pièce pour monter dans les chambres se reposer .Mon corps et celui de Colette basculèrent, moi sur le dos, elle allongée sur moi, nos lèvres jointes dans un baiser goulu
On a du mal à imaginer la sensation de bien être qui vous envahit dans ces moments là, presque de poésie
Rien de sauvage, un léger ondoiement de sa croupe généreuse sur laquelle jappliquais mes mains fébriles
des regards, des sourires, limpression dun aboutissement, comme sil sagissait de faire lamour pour la première fois
Elle me susurra quelle était comblée, que pour la première fois elle connaissait un autre homme
Mon cur battait comme celui dun adolescent amoureux. Mais nous nallâmes pas plus loin
et je rejoignit Laure dans notre chambre pour continuer avec elle, la caressant, lui malaxant la poitrine et le ventre, excité au plus haut point, allant jusquà essayer de lui introduire la main entière dans le vagin
Laure se prêtait volontiers à cet exercice lorsquelle était excitée : je joignais les doigts dune main en pointe, les introduisais lorsque sa vulve était inondée de désir et, elle, de son côté poussait ce qui mévitait de lui faire mal. Mais nous ne sommes jamais parvenus à ce que la main complète rentre
Sûrement plus par peur de la douleur quà cause dune impossibilité technique. Le bout de mes doigts pouvaient caresser son col de lutérus, qui formait, comme une grosse excroissance gluante, avec au centre le tout petit bout piquant de son stérilet
(Ce stérilet qui lors de certaines introductions a surpris plus dun de ses amants, Carlos le premier dailleurs) Puis je remplaçais ma grosse main par mon phallus qui devait alors lui sembler bien ridicule pour décharger dans ses entrailles tout le désir contenu de la soirée
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