Laure (Épisode 11) Cocktail Animé 1
Pendant le cocktail , Laure remarqua la présence de ses amis Colette et Carlos
Après quelques échanges verbaux sans intérêt, elle entraîna Carlos dans le couloir, et le conduisit loin éloignées de la salle de réception. Là elle lembrassa, et Carlos excité comme jamais, releva sa jupe et ôta sa petite culotte. Il linstalla alors sur un lavabo jambes grandes ouvertes, écarta la chatte déjà béante dune main, et sortit son engin dressé comme jamais, vraiment raide, turgescent, éléphantesque. La bête, animée de convulsions, était zébrée de grosses veines bleues faisant comme des lianes autour dun baobab. Jamais laure navait osé imaginé à ce point la taille de ce phallus qui maintenant leffrayait : Plus de vingt centimètres et dun diamètre impensable. Elle ferma les yeux en serrant les dents. Heureusement, la chose avait un gland rose plus étroit que le reste, un peu comme un énorme pieu taillé en pointe. Le priape excessif nen finissait pas dentrer. Laure ne savait pas quelle était si profonde, et tandis que Carlos la forçait des larmes coulaient sur ses joues. Quand il eut atteint son but, enfoncé jusquaux testicules, il resta un moment abuté, remuant légèrement le ventre pour assouplir les chairs meurtries de sa partenaire. Elle sentait son bassin comme désarticulé. Alors il se déchaîna dans une furie soudaine, se retirant et senfonçant sauvagement. Laure hurlait à chaque coup ; elle plantait ses doigts dans les bras du géant
On la déchirait, elle pensait mourir. Lénorme hampe turgescente cognait et recognait très violemment dans son ventre. Le phallus glissait de mieux en mieux ; était-ce sa lubrification ou le sang de ses chairs blessées
Elle avait limpression dêtre violée par un monstre dans ce lieu sordide sentant fort lurine. Son petit corps de geisha était soumis aux s de celui, imposant, du lutteur de sumo. Elle regrettait presque davoir choisi ce mâle, quelle savait solidement monté, mais pas à ce point. Parmi les cris on entendait distinctement le clapotis du vagin rendu liquide par le va-et-vient magistral.
Le plaisir finit par lemporter, la douleur cédant la place à lextase, et, tous deux soufflant, râlant, finirent par jouir ensemble. Lexplosion du plaisir de Carlos dura assez et fut suivie de tant dautres plongées et replongées que Laure jouit de nouveau. Carlos se retira un moment, continuant à la caresser et lembrasser. Dès quil eut à nouveau une érection suffisante, il retourna Laure, lui fit prendre appui avec les mains au bord du lavabo. Et là, son con rougi sentit à nouveau lénorme queue le défoncer. Côté grosseur, elle Laure était maintenant parée, mais la queue de Carlos butait encore plus fort dans son ventre lui arrachant de nouveaux cris proche du hurlement, mêlés à des râles dorgasme. Ses mains moites glissaient sur la faïence ; elle agrippa les robinets pour se stabiliser. Ses seins ballottaient au rythme de ce coït infernal.. Carlos attrapa ces mamelles pour sy cramponner, et tira sur elles à chaque coup, augmentant à la fois le plaisir et la douleur de Laure. Comme pour se venger un peu, Laure, se retenant toujours dune main, saisit de lautre, par dessous les testicules du mâle quelle pressa fortement. Ils étaient maintenant deux à crier. Elle jouit encore, et encore . Elle termina le dernier orgasme dans un feulement le plus voluptueux et le plus long que lacte damour eut jamais arraché. Carlos, épuisé, replaça Laure debout sur le carrelage des toilettes, ses jambes la soutenaient à peine. Elle regarda son ventre : on ne voyait pas de plaie, mais elle fut pourtant impressionnée de voir à quel point son con était rouge, largement ouvert et de sentir comme il lui faisait mal. Un liquide chaud sépandait sur ses cuisses, mais ce nétait que du foutre : son minou avait supporté la charge. Elle sessuya consciencieusement, plusieurs minutes, avec du papier toilette, tant la quantité du liquide était importante
puis rajusta son slip et revint avec Carlos , le visage encore rouge, rejoindre la réception. Elle laissa alors le colosse à sa femme, devant le buffet
Un peu plus tard, pendant que tout le monde saffairait à organiser la salle, débarrassant les tables, et les rangeant pour augmenter la surface de la piste de danse, Laure se rendit dans les cuisines attenantes
Il y avait là Maurice, le Chef Cuisinier.
Elle lavait déjà vu en plusieurs occasions. Cétait un homme jovial, denviron cinquante huit ans, petit, aux joues roses, les cheveux courts et déjà grisonnants, avec une bedaine prononcée. Il parlait avec un fort accent de la Saône et Loire. Laure resta seule avec lui, à loffice, laidant au rangement et plaisantant comme elle en avait coutume
A un moment, elle accompagna Maurice dans la chambre froide où ils entreposèrent des restes de quiche et pizza qui seraient répartis entre les derniers invités après la fête. Elle referma la porte de limmense frigo derrière eux ; il devait faire environ 3°C dans ce local éclairé par un néon blanc. Et, là, sans prévenir, elle enlaça le petit homme, plaquant sa bouche sur la sienne. Le cuisinier fut surpris par cette petite langue qui senroulait sur la sienne, mais répondit à ce baiser. Laure dénoua le tablier blanc, déboutonna le large pantalon pied de poule qui tomba aux pieds de lhomme ébahi. Elle extirpa alors la verge encore molle dun slip petit bateau blanc. En quelques caresses le vit du vieux atteignit une taille raisonnable et une fermeté suffisante. Elle souleva sa courte jupe, et écartant sa petite culotte au niveau de lentrée de son vagin, cabrant les reins, elle introduisit dune main preste, la saucisse du cuisinier, maintenant dressée, dans son ventre chaud. Lhomme nosait toujours pas bouger. Leurs deux bouches laissaient exhaler des nuages de vapeur dans cet endroit glacial
Laure remuait son petit derrière, engloutissant le panais de cet amant qui aurait pu être son père. Dune main experte, elle lui malaxait les testicules. Ce coït tranquille la reposait. Bientôt, le maître queue, toujours figé, le visage cramoisi, mais ayant plaqué ses grosses mains aux doigts courts, sur les fesses de ma femme, lâcha un jet de sa sauce blanche dans sa jeune compagne en émettant des gémissements obscènes. Elle sentait les pulsations de la bite à mesure quil éjaculait. Elle essuya sa vulve avec le tablier blanc resté au sol, nettoya le sexe du quinquagénaire de deux ou trois sucions Elle se replaça alors devant lui, la jupe toujours relevée comme roulée sur sa taille, souleva son pull-over pour découvrir sa poitrine aux bouts durcis par le froid et lexcitation, et ôta sa petite culotte.
Elle sassit sur un rayonnage glacé, cuisses grandes ouvertes. L homme contempla ce corps qui venait de lui faire lamour. Il voyait là une de ces petites poupées de magazine masculin, quil aurait cru inaccessible pour lui, peu séduisant et déjà âgé. Son souffle était court, ses yeux exorbités
Il osa timidement porter les mains à la poitrine pour la palper, et au sexe de la mignonne, se risquant même à y glisser deux doigts, un peu comme sil se pinçait pour être sûr de ne pas rêver. Malgré le froid elle enleva sa jupe et le pull-over, et se réinstalla face à Maurice pour lui laisser admirer son corps de déesse, fente grande ouverte, comme une bouche verticale et gourmande, toujours dilatée de lassaut de Carlos. Maurice avait les yeux fixés sur la chatte exposée là, toute rose, comme pour une leçon de choses. Il ne savait pas que ce minou venait dêtre dilaté à lextrême par la bite de Carlos avant la sienne. Laure sempara dun gros saucisson pendu là à un crochet, et en engouffra presque la moitié très facilement dans son ventre: le godemiché improvisé était glacé ; elle ne supporta que deux ou trois aller retour. Puis, commençant à sentir les effets du froid sur tout son corps, Laure se rajusta et sortit, laissant là lhomme, toujours muet, le sexe triste et les bourses pendantes entre ses jambes, sous son gros ventre mou. Le cuisinier naurait jamais imaginé quun si petit bout de femme puisse avoir une chatte si ouverte. Elle lui laissa sa culotte de dentelle souillée en souvenir. Elle était heureuse de sêtre ainsi fait nourrir le ventre par ce vieux célibataire cuisinier. Cest la première fois quelle soffrait à un homme aussi âgé et elle gardera un bon souvenir de cet accouplement. Laure retourna aux vestiaires pour récupérer dans son sac à main, une culotte propre semblable à celle quelle venait de céder.
admin
Jan. 31, 2023
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