Réunion De Chantier

C'était au mois de juillet, les travaux de notre maison étaient bien avancés. Mon mari en déplacement, je devais passer entre midi et deux pour une réunion de chantier avec le contre maître. Je suis commerciale et donc très élégante. Ce jour là, j'avais un tailleur jupe, un chemisier et un string comme seul sous-vêtement.

Je suis arrivée sur le chantier à 12h15. Il y avait là, trois ouvriers qui déjeunaient. Le contre maître ne devait plus tarder. J'allumai une cigarette en attendant. Je voyais bien les trois hommes me déshabiller du regard. Ils parlaient entre eux en portugais et riaient. Ils devaient sûrement se raconter des cochonneries.

Soudain, sans prévenir, un orage dégringola sur nous. Nous avons tous les quatre courus nous abriter dans leur cabane. Un des hommes me passa une serviette pour mes cheveux avec un sourire ébahi. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui ai demandé quel était l'objet de leurs rires. Mais c'est toi, madame, me dit-il. Tu es très belle et nous sommes tous les trois amoureux. Tu es excitante.

C'est sûrement du à la bizarrerie de la situation mais je lui ai répondu.

Et que voudrais tu me faire?

Oh là là madame, tu n'imagines même pas.

Mais tu ne saurais même pas comment faire?

Là, il m'attrapa par la taille et m'embrassa divinement bien. Je découvrais qu'une aventure, là, maintenant me tentait bien.

Les deux autres se sont approchés.

Je sentais des mains me couvrir le corps. Sous ces caresses, je fermais les yeux, je mouillais et je soupirais. Ma respiration était haletante.

Ils s'enhardissent et je sentis ma jupe remonter à ma taille, mon chemisier dégrafer découvrant mes deux jolis petits seins.

Une main écarta mes jambes et des mains s'introduirent sous mon string qui lâcha sous la pression.

Je sentais des doigts pénétrer mon sexe. Des doigts de deux mains différentes.

J'étais bien ouverte. Un expert s'occupait de ma poitrine. J'éprouvais alors un plaisir immense. Faire l'amour à trois inconnus m'excitais au plus haut point.

Toujours les yeux fermer, j'embrassais toute bouche avide de baiser. Les langues se succédaient dans ma bouche.

Un des hommes m'attrapa par la taille, me souleva et me pénétra. Je ne puis empêcher un cri sortir de ma gorge. Il se retourna et s'adossa aux parois de la cabane.

Pénétrée debout, je sentais toujours des mains me caresser. Une pression plus précise était exercée contre mon autre orifice. Thomas, mon mari, m'avait quelques mois auparavant, initié à la sodomie.

Je sentais maintenant une queue dans mon sexe et des doigts fouiller mon anus.

Ils ont échangé quelques mots et je me suis retrouvé allongée sur une couverture, chevauchant un autre homme.

Un autre passa derrière moi, cracha sur mon anus, le dilata un peu plus avec ses doigts. J'ai alors senti un objet froid me sodomiser. Je n'ai jamais su ce que c'était. Mais très vite, il fut remplacer par un sexe d'un des hommes et me voilà prise en sandwich.

Quelle merveille, je n'avais jamais connu ça mais je suis maintenant adepte bien que je n'aie pas eu l'occasion de renouveler cette expérience.

Ils se succédèrent pour me prendre devant derrière. Je me suis retrouvée prise en sandwich avec une bite dans ma bouche. Un peu écœuré de sucer un sexe qui m'avait pénétrée par mes deux orifices mais le plaisir était au dessus de toute espérance.

C'était de vraies bêtes de sexe car ils ont tenu un bon moment avant d'éjaculer. J'ai eu le droit à leur semence dans mon sexe, dans mon cul et dans ma bouche pratiquement en même temps.

Ils m'ont alors relevé, essuyé, rhabillé, m'ont tendu mon string craqué et m'ont remercié chacun par un baiser.

Dix minutes après, le contre maître arriva et comme si ne rien était, tout le monde était à son poste au travail.

J'étais épuisée et je suis rentrée me laver et enfiler un string avant de partir travailler à mon tour.

Bien entendu, mon mari n'en a jamais rien su.