Laure (Épisode 9) Au Camping

Deux ou trois ans après l’aventure du supermarché, nous avons fait l’acquisition d’une caravane pour un camping plus confortable. Pierre et Joëlle ne nous accompagnaient pas cette année là. Dès le premier matin, réveillée de bonne heure, Laure sortit de la caravane pour ouvrir grand l’auvent afin que la chaleur des premiers rayons du soleil ne transforment l’avancée de toile en fournaise. Elle s’installa sur le marche pied de la caravane, sorte de petit escalier d’aluminium à deux marches et se mit à la lecture d’un roman qu’elle avait commencée la veille. Le jeune noir athlétique, d’environ dix huit ans, et qui occupait seul une petite tente à côté de notre emplacement, vint lui souhaiter le bonjour. Puis ils engagèrent à voix basse une conversation anodine et polie sur le temps, les meilleurs plages… Laure remarqua que le regard du jeune homme se portait furtivement , de temps à autre vers son entrecuisse. Elle avait oublié, qu’en robe de chambre, et ainsi assise elle offrait sa motte dénudée à la vue de son interlocuteur. Au lieu alors de serrer les genoux dans un réflexe de pudeur, elle les écarta encore et dégagea un peu plus son vêtement. Ses cuisses étaient maintenant si ouvertes qu’elle en ressentait une douleur à l’aine. Elle était sûre d’ offrir sa vulve ouverte et rose au regard de l’homme. Le noir comprit vite l’invitation, sa verge tendait déjà son slip de bain. Laure plaça sa main sur le phallus caché et l’extirpa le temps d’admirer se belle couleur ébène, encore plus sombre que sa peau, et sa taille respectable. L’homme caressa du bout des doigt sa vulve. Elle fit un petit « chut ! », indiquant la caravane derrière elle. Le jeune noir la prit par la main et l’emmena sous sa petite tente igloo. Et là, leurs corps furent vite dénudés, l’homme avait maintenant une matraque gorgée de désir d’une grosseur terrifiante qui montait plus haut que son nombril. Des sursauts gonflaient et tendaient la verge, la rendant encore plus impressionnante : le méat du gland s’ouvrait à chaque battement donnant l’impression d’un monstre affamé.

Laure put admirer un instant le gros serpent noir qui, d’une seule poussée, entra en elle profondément. Ce sexe lui rappela celui du baudet par la couleur, en bien plus court, mais frisant certainement les trente centimètres, mais aussi large. Il lui écartelait la figue tant il était gros. Mais elle était mieux habituée à ces sortes de phallus. Sa motte était brûlante de l’intérieur et les bords étaient comme un anneau de feu. Chaque coup de piston lui défonçait le ventre, mais elle n’avait pas peur pensant aux quatre vingt centimètres de son ami l’âne. Comme l’animal il n’introduisait qu’au mieux vingt cinq centimètres , peut-être moins. Elle caressait les muscles fermes de l’homme allongé sur elle. Il régnait sous la toile une chaleur suffocante, les peaux ruisselaient… La sueur de l’africain avait une odeur forte comme musquée. La coït dura longtemps… Laure serrait ses lèvres pour ne pas hurler son bonheur. Lorsqu’il se retira son mamba noir qui venait de cracher son venin, le jeune noir avait la verge un peu plus molle, mais encore très impressionnante. Laure en engloutit ce qu’elle put dans sa bouche… Cette couleur de peau lui plaisait énormément. Puis elle s’assit sur lui en s’empalant sur le pieu noir et contempla longtemps le contraste de leurs peaux, de leurs sexes tout en remuant les fesses : Le robuste membre sombre et luisant, étirant la fente de son minou rose, était une image esthétique. Elle s’amusa à tourner dans cette position, s’appuyant sur les paumes et les genoux, se servant du pieu de chair couleur chocolat comme d’un gros pivot, et après deux ou trois tours s’arrêta face à lui. L’homme appliqua ses mains sombres sur la poitrine de ma femme. Il frôla les mamelons, les pinça, les roula entre ses doigts puis se mit à pétrir voluptueusement les deux seins. Tous deux remuèrent jusqu’à un second orgasme…En se relevant elle vint appliquer son minou dilaté comme une ventouse sur la face du jeune homme. Celui-ci y fourra sa langue et titilla ses chairs roses pour la faire jouir encore.
Puis elle vint me retrouver à la caravane, me contant l’aventure en chuchotant, pendant que, ravi, je plongeais mon sexe dans le sien encore empli de la semence du voisin. Elle vint depuis ce jour tous les matins, dès son réveil, sous la tente du jeune homme déguster en quelque sorte son café noir bien serré que je complétais chaque fois d’une dose de crème. Je fis savoir à Laure que j’aimerais bien la voir se faire baiser par cet Adonis coloré. Le lendemain matin, profitant d’une position en levrette le noir tenta une sodomie mais Laure refusa catégoriquement. Elle refusa ce jour, au noir, ce qu’elle avait désiré du baudet. Avant de le quitter, le ventre encore chaud, elle l’invita à prendre l’apéritif à la caravane… Leurs rencontres matinales en duo se prolongèrent jusqu’à la fin de notre séjour, soit deux semaines.

Ce jour là donc le jeune homme arriva sous notre auvent vers 11h30. Les s étaient à la piscine et n’en reviendraient pas avant 13 heures. Laure avait caché sa nudité sous une courte robe légère. Nous avions tout préparé pour la suite des événements. La table pliante avait été enlevée, laissant libres les deux banquettes face à face, les verres et amuse gueules disposées sur un plateau sur l’une des deux. Dès que le jeune homme fut entré dans la caravane, Laure ferma le verrou derrière lui. Elle l’invita à s’asseoir sur la banquette non encombrée. Dès qu’il fut assis, elle s’installa à côté de lui. Aussitôt elle guida la main de l’homme sous sa robe, entre ses cuisses. Le jeune homme eut l’air un peu gêné… Alors elle mit sa main dans le slip du mâle : Elle en extirpa une verge colossale et bientôt tendue à l’extrême. Mes yeux étaient rivés sur le noir engin : Quelle taille imposante ! Ce phallus était bien comme elle me l’avait décrit : monstrueux et très très sombre. Laure ayant relevé la robe sous ses aisselles vint se placer sur les genoux de son amant, et la longue et grosse tige noire, guidée par ses soins, s’enfonça lentement dans son intimité.
Le gros serpent glissa entre ses cuisses, comme dans une sorte d’étroit terrier, pour y disparaître aux deux tiers. Laure se souleva lentement faisant ressortir le bête de son ventre jusqu’à la base du gland, et toujours lentement s’empala de nouveau jusqu’à ce que la douleur lui arrache une grimace. La chose était cette fois englouti » presque entièrement. Laure était fière de me donner ce spectacle haut en couleurs et contrastes : Le noir luisant du colossal phallus et des testicules, leurs poils noirs, la petite vulve rose et ses poils châtains, la peau dorée de ma petite épouse… Tout cela animé de longs et intenses mouvements de va et vient. Les mains sombres du jeune homme étaient plaqués sur les seins de Laure qui, biens que déjà hâlés paraissaient presque pâles. J’ôtai moi aussi mon slip de bain et m’accroupit le visage vers leurs sexes. Pendant quelques secondes et sans quitter des yeux les sexes accouplés, je pris en main la sombre verge du noir, ou plutôt sa base, pour en apprécier la taille et la vigueur : Mes doigts, paraissant tout pâles, n’en faisaient pas le tour, loin s’en faut. Pendant que je me masturbait en contemplant le gros plan de ce coït. Quelle était loin l’époque des soirées concombre ! Laure avait là entre les cuisses un beau légume vivant, sombre et chaud…Et sa chatte était si entraînée depuis cette époque, que des préliminaires, si agréables soient-ils n’étaient plus nécessaires pour avaler des pièces de cette taille. Lointaine aussi la première et spectaculaire pénétration de Carlos. Ici le phallus était presque aussi imposant, beaucoup plus raide et glissait facilement dans les chairs de Laure. L’ouverture s’était élargie et assouplie La scène était si belle, si esthétique, qu’elle aurait, en affiche géante, pu servir de Pub à Benetton ou à un mouvement antiraciste: Quoi de plus beau qu’un noir et une blanche si intimement enlacés. L’attelage contrasté se mit à accélérer ses mouvements jusqu’à l’orgasme…J’éjaculai moi aussi sur le sol de la caravane.
L’homme remit dans son slip son toujours long bâton luisant de mouille et de sperme. Tout le monde se rajusta. Nous avons terminé de prendre sagement l’apéritif en parlant de banalités. Chaque jour qui suivi fût également le théâtre d’un « apéro débat » : J’eus droit au spectacle de toutes les positions, hormis la sodomie que Laure me réserva une fois tandis qu’elle s’appliquai à une fellation sur le sexe brun. Je n’intervenais, guidant souvent le gros et long phallus d’ébène vers la chatte de Laure, que lors des apéritifs… les laissant toujours seuls, en couple le matin dans la tente. Il était même habituel vers les derniers jours, que j’extirpe moi-même le beau sexe d’ébène pour le sentir gonfler sous mes doigts avant que Laure ne l’avale entre ses mâchoires ou ses cuisses. J’ai même branlé le jeune homme jusqu’à ce que son sperme inonde le ventre de Laure… J’avais cru ne jamais arriver au bout, tant cette masturbation était fatigante. Mais les meilleurs souvenirs de ces rencontres de fin de matinée a eu lieu non pas sur la banquette étroite du coin repas, mais sur le lit deux places du fond. Laure avait ce jour là entraîné tout de suite le jeune homme sur la grande couche, lui demandant de s’y installer sur le dos. Tandis qu’elle ôtait sa robe, j’enlevai délicatement le slip du mâle et sa verge se détendit d’un coup, comme un diable noir sortant de sa boite. Laure s’installa à califourchon sur le tête de son amant et prit le gland noir dans sa bouche. J’ai alors assister à un soixante neuf d’anthologie… La chatte de Laure, comme une ventouse, était plaquée sur la face du noir qui y faisait pénétrer sa langue. Laure pompait la longue tige jusqu’à s’en . Tous deux étant à bout de souffle au bout de quelques minutes, Laure opéra un demi-tour et je l’aidai à engouffrer le gros phallus dans son minou tout ouvert. Se faire baiser ainsi tout en donnant du plaisir à deux mâles la rendait ivre de bonheur, son petit cul sautillait pour permettre à la trique d’amples mouvements dans son vagin. Pendant ce temps, je caressais les couilles noires et la base de la tige… J’ai pu ainsi sentir sous mes doigts la montée en puissance, et les spasmes précédant les flots de sperme… Laure ayant aussi joui, se calma. Ma main restée en place était pleine de la semence blanche du noir qui s’écoula doucement, au fur et à mesure que Laure libérait la grande verge de son ventre. Le lendemain, Laure fit aussi s’installer le beau noir sur le dos… Elle se positionna sur lui pour engouffrer le membre raidi dans sa chatte déjà inondée… Laure était surtout excitée par le spectacle qu’elle allait me donner. Les genoux placés de chaque côté du jeune homme, et face à lui ; elle se souleva, prit la bite noire et la présenta en face de son anus. Et là, lentement, par toutes petites saccades la verge noire pénétra dans son ventre, tandis qu’elle écartait les petites lèvres de sa vulve pour prouver, si besoin était, que l’énorme engin sombre la sodomisait bel et bien. Quand la tige disparu, elle se souleva doucement pour s’empaler à nouveau… Mon regard était fixé sur ces mouvements… Bientôt Laure accéléra et amplifia petit à petit les mouvements… jusqu’à ce que le serpent noir crache son venin dans son ventre. Elle quitta la couche pour s’agenouiller auprès du lit caressant encore le phallus brun tandis, qu’en levrette je la besognait quelques minutes pour l’inonder à mon tour, mais dans la chatte, d’une grosse giclée de foutre.

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