Le Rêve De La Borne 141
Quelques jours avant la fête de la musique, la canicule sétait installée dans les vies et depuis plusieurs semaines, lenthousiasme avait appris à survivre malgré la tentation dune paresse bien légitime. Pour notre héroïne, cette désagréable sensation de moiteur était relativisée par le privilège dune piscine où tous les soirs, elle prenait plaisir à faire dinlassables longueurs en habit dEve. Peu importe le voyeurisme de ses jeunes voisins qui étaient aussi ses soupirants ; lessentiel était le ravissement que lui octroyait le frais sur les beaux restes de son corps de quinquagénaire. Pour Anne, malgré une garde-robe dété conséquente, chaque jour lui faisait désirer une tenue encore plus légère que celle de la veille.
Lintroduction au week-end aurait pu se faire sous les signes de la quiétude et dun havre de frais, mais une autre vie lattendait un peu plus haut dans le Nord-Est de la France et plus précisément, une localité bien loin de ses terres natales.
Vendredi 15H10 : notre blonde au carré long venait de terminer son mi-temps dans un cabinet de conseil en management. Sous les regards envieux de ses collègues masculins, elle se coiffait de son foulard et après avoir décapoté fièrement son cabriolet, elle ressentait particulièrement un regard vicieux courir et remonter sur ses jambes dénudées jusquà mi-cuisses. Elle se retournait sur
Charles, lun de ses élèves âgé de
47 ans !
- Bon week-end Madame D
Lhomme, tout en rondeur, demeurait encore hypnotisé par les belles rondeurs du fessier de Anne.
- Bon week-end Monsieur Santoni !
- Bon week-end !
La petite robe dété de la quinquagénaire distillait recto-verso des rondeurs qui navait laissé de marbre aucun de ses élèves. Le large décolleté arrondi nétait pas discret et, quand Anne se penchait par-dessus sa portière, sa poitrine, toute en opulence, avait la fâcheuse tendance à vouloir séchapper.
La « professeur » montait à bord de son véhicule. Elle prenait la route et affrontait les premiers ralentissements. Mais rapidement, lautoroute lui permettait de « voler » en toute insouciance. Elle aimait ce sentiment de puissance et de sécurité, ainsi que tous ses regards virils posés sur elle par des hommes très soupçonneux.
Après une heure passée au-delà des vitesses permises, la femme au foulard commençait à « entrevoir » son but. Une centaine de kilomètres avant son arrivée, elle décidait de quitter lautoroute pour une nationale se déroulant dans larrière-pays. Après une longue journée placée sous le signe des clichés, Anne avait besoin de se griser avec des paysages respirant la sérénité. Elle appréciait les odeurs des terres, particulièrement celles des foins et au-delà des senteurs, elle aimait contempler la vigueur de ses arbres gorgés de sèves qui, malgré la sécheresse, continuaient de faire éclater des teintes uniques dans la région. Elle était bien, dans quelques semaines, elle allait sinstaller par ici, seule ou avec son ami, tout allait dépendre de sa capacité à revivre à deux ! Pendant trop dannée après son divorce, elle avait cru que la vie sarrêtait à quarante ans ! Erreur ! Elle avait bien entamé la cinquantaine et à grand renfort de remède naturel, elle avait retardé les effets du temps, mais sans être dupe ! Elle savait bien quun jour ou lautre, à la rentrée ou lannée prochaine, il allait falloir faire face à la vérité. Mais pour le moment, elle assurait, elle était belle et désirable, et plus que sa raison, son corps tout entier en était certains !
Quelques quarts dheure venaient de sécouler, quand soudain, le témoin de température deau se mit à interroger son attention. Elle ne comprenait pas bien ce quil se passait, mais malgré son errance au paradis, il fallait sinquiéter, lever le pied pour trouver rapidement une station-service. Comme dans un rêve, avant daborder un rond-point en arrière dun petit-bois, Anne apercevait ce qui ressemblait vaguement à un garage.
Elle descendait de son cabriolet et avec une certaine inquiétude, elle observait les lieux tout autour delle : il ny avait vraiment aucune trace de vie ! La chaleur lui faisait ôter son foulard. Alors quelle allait vers le hangar, un mécanicien sortait de derrière le garage. Cétait un jeune homme dune trentaine dannée sortant à peine de leffort, son visage était marqué par du cambouis et à sa manière de la regarder, elle concluait quelle nétait pas la bienvenue ! Elle sen moquait puisquun sentiment étrange semparait soudainement de tout son corps : Anne avait un peu plus chaud ! Elle avait toujours fantasmé sur ce genre dhomme : du sportif en plein effort jusquà ces hommes qui avaient oeuvré un temps sur la façade de sa résidence !
Plus « le sauvage » se rapprochait delle et plus elle le trouvait persuasif : bien quun peu enrobé, plutôt trapu, le beau brun hâlé était bien proportionné derrière ses allures italo sicilienne. Découverte dans ses rêveries, elle lui esquissait un large sourire avenant, mais le mécano se la jouait blasé, plutôt prétentieux, limite agressif et teinté « racaille ».
- Bonjour ! Jai quelques problèmes avec mon auto ! Ma jauge de température a commencé à avoir un coup de chaud et maintenant, elle nest pas loin du rouge ! Pourrais-je voir un mécano ?
- Avec cette chaleur, rien de surprenant ! Les voitures sont à limage des gens : elles souffrent ! Il ne faut pas vous inquiéter, vous avez une bonne voiture et les mécanos sont tous occupés ! Aller à la prochaine station !
En trois secondes, il la déshabillait du regard et revenait sattarder sur son décolleté.
- Mais je ne peux pas repartir comme ça !!! Si je vous dérange, dites-le ouvertement ou alors, occupez-vous de ma voiture !!! Vous comprenez ce que je dis ou pas ?! Vous êtes mécano ou le livreur de pizza ???
- Vous affolez pas, Mdame !
Il sessuyait les mains en exprimant sa nonchalance aux yeux de sa cliente qui commençait à avoir la rage et, de plus en plus la délicieuse envie de le claquer. Elle navait pas lhabitude quon discute ses ordres, mais là, elle avait envie de lui laisser une dernière chance. Pour être plus précise, elle souhaitait quil prenne ses aises, quil zippe vers le bas la fermeture de sa combinaison gris sale pour voir sil était vraiment costaud !
- Alors ?! Il vous faut un billet pour amorcer votre cellule grise ?
- Madame : que pensez-vous des gens qui aiment souffrir ?
De son arrogance en passant par sa prétention : tout exaspérait Anne chez ce salaud au rabais et alors quelle allait monter dun ton, un homme dune soixantaine dannée sétonnait de les voir tous les deux en plein soleil.
- Un problème Madame ? Gianni ! Retourne à la caisse ! Tu veux choper la mort ?
- Louis ! Madame pense être la seule à avoir des problèmes de chaleurs !
- Oui ! Pardonnez-le, Madame ! Il est un peu instable !
Lhomme la défiait du regard, il pointait son index dans sa direction et faisait une onomatopée du style « Ban », avant de partir vers le petit local. Au-delà de ce jeu d, ce qui glaçait Anne, cétait cette bosse qui déformait le bleu de travail de « lhandicapé ».
Au loin, le rustre ne manquait pas de la regarder de travers derrière sa vitre et soudainement, Anne émettait de sérieux doutes sur son équilibre mental. Instantanément, Gianni descendait son zip, les pans de sa combinaison sentrouvraient sans dévoiler son corps. Il tentait ouvertement de la séduire. La respiration de Anne montait dun cran et son cur commençait à semballer
- Madame ! Il vous manque seulement un peu de liquide de refroidissement ! Je ne peux rien faire de suite, il va vous falloir attendre une quinzaine de minutes, le temps que sa tiédisse ! Je ne peux pas faire de rajout frais dans un moteur bouillant ! Allez prendre une boisson : cest moi qui offre !
Avec apathie, il lui présentait la caisse où elle pouvait apercevoir son dingue en chaleur. Elle hésitait, pensait que ça tenue allait le rendre fou, mais en fin de compte, cétait une irrésistible envie dy aller qui lanimait. Avec un large sourire, elle se dirigeait dans la gueule du loup
Au début, elle rayonnait dassurance, mais chaque pas lui faisait perdre de sa prétention. Sa confiance changeait à limage du docteur Jeckyll et
enfin, elle entrait dans le « magasin ».
- Bonsoir Madame ! Quelle chaleur !!!
- Je vais vous prendre un coca ! Ma voiture sera prête dans une quinzaine de minutes !
- Nous navons que des bières ! La station est plutôt fréquentée par les routiers !
Il la désirait, elle en était que trop assurée et au constat de sa longue expérience, Anne se demandait combien de temps cela prendrait au néanderthal pour la bousculer. Depuis son entrée, il la ramenait moins, mais il était fier de pouvoir exhiber une partie de son torse vigoureux ! Lendroit était très confiné et uniquement - destiné à faire lencaissement, il ne permettait pas déchappatoire et toutes personnes présentes ne pouvaient endosser quaisément le rôle quil lui revenait. En fond, une radio diffusait de linfo en continu. Comme dans un film à quinze centimes, linterlocuteur de Anne prenait ses aises en ôtant le haut de sa combinaison et il la nouait à la taille. Le regard de la touriste était hypnotisé par ce corps râblé respirant la bestialité. Sous la petite robe dété, le corps de la délicieuse blonde frémissait et tout doucement, elle commençait à ne plus être elle-même. Jusquà là, cétait à la salle de sport ou à la télé quelle avait eu loccasion de voir des athlètes, mais là, cétait du 100% bodybuilder ! Dans ses bras, elle ne serait pas grand-chose, une poupée de chiffon au bon vouloir de sa brutalité !
- Si vous avez besoin de vous reposer, de poser votre tête sur une épaule solide : je suis votre homme ! Pour vous, ce sera gratuit ! Ça vous dit ?!
Anne soffusquait !!! Ce nétait pas possible, elle rêvait ou quoi dautres ? Oui, un véritable rêve !!! Elle jouait sa fidélité, alors que son corps imaginait déjà le contact viril dune grosse paire de bras crasseux autour de sa petite robe claire. Dun air supérieur, Gianni posait une main sur ses glandes de vie à travers son bas de combinaison, il les relevait en les soupesant vulgairement pour venter la consistance de sa prétention !!! Il était infâme, mais il se rachetait par le côté appétissant de sa personne. Alors quAnne sétait jurée de ne jamais plus retomber dans le jeu de ce genre de play-boy, son mécanicien baissait sa combinaison et son slip jusquaux chevilles. Il bandait déjà fort ! Bien que la quinquagénaire ne soit pas en manque de sensation forte, elle ne pouvait retenir une certaine excitation
malsaine et sans sen rendre compte, elle avait déjà posé une main sur son petit ventre en chaleur. Elle avait envie de Gianni, de sa prétention, de son insolence et, de sa jeunesse. Le regard de litalien ne cessait de lagresser sous le signe de la prière et Madame D., ayant toujours été dune grande richesse dâme...
- Madame ! On dirait que votre moteur semballe !?
- Euh !
En effet, sans y prendre garde, Anne avait mis en avant son beau décolleté qui commençait à prendre des consonances bien vulgaires. Aux mots de son athlète, laplomb de Anne la poussait à plus de réserve, mais son excitation avait éveillé ses seins qui, gonflés par le désir nattendaient plus quune main sale et virile pour les libérer. Dans ce local étriqué, mal à laise, elle regardait autour delle comme pour chercher une raison de ne pas savilir avec ce mufle, mais à cette heure-ci, seuls les fous pouvaient errer en plein soleil.
- Madame Parton, Dolly : quel est le problème ? Je ne suis pas votre genre ?! Je suppose bien que dans la chanson, vous devez en voir pas mal des beaux gars prêt à
(il regardait la merveilleuse poitrine).
- Mais !!! Je ne suis pas chanteuse !!! Je nai pas lhabitude de menvoyer des gigolos et encore moins des
prétentieux !
Entièrement nu, Gianni sapprochait delle, il prenait sa main délicate et la posait sur ses attributs. Elles étaient dures, enflées et fraîches ; Anne sentait la cambrure de son pénis contre son avant-bras : elle nen pouvait plus !!!
Le souffle du taureau se faisait plus puissant, il fermait les yeux devant la douceur inopinée de ses petits doigts de bourgeoise. Elle navait que faire de tout, elle se penchait vers le gros outil pour
ressentir lagréable empreinte de puissance contre son visage.
- Votre mari ne vous gâte pas assez ! Cest ça ?!
- Non ! Je suis divorcée ! (arrogante) côté cul, je suis servie, mais je ne peux pas vous refuser une bonne
vidange !
Enervé par la maturité de sa cliente ou, excité par ses formes cachées derrière une robe si fragile, il - la redressait - et la bousculait contre un meuble étagères. Ventre contre ventre, il empoignait vulgairement la grosse poitrine à travers le tissu où il laissait ses marques douvrier. Comme un malade, ses doigts pressaient les seins bien ferme, mais Anne continuait de refuser ses lèvres. Le mécano aux ongles noirs commençait à ternir le tissu blanc et, lassé de la douceur du coton, il plongeait ses doigts dans le décolleté pour le détendre et révéler à ses yeux de fou le doux soyeux dune poitrine pâle et maintenue dans de larges bonnets transparents. Il plongeait le visage entre les obus, respirait à plein nez, avant dy planter ses ongles ! Anne objectait, cherchait à fuir lagressivité de son « violeur » pour manifester la douleur de ces doigts. Elle avait gain de cause, il retirait ses sales mains, non sans détruire le soutien-gorge en tirant sur un bonnet. Un sein se révélait, lourd et auréolé dun mamelon satiné. Gianni faisait un pas en arrière, constatait la poitrine vulgairement offerte et avant quil ne reprenne sa sauvagerie, il astiquait sa verge à pleine main. Anne baissait sa robe jusquaux hanches, retirait son soutien-gorge et se mettait à genoux pour quérir la verge et lavaler tout entière.
Alors que les pensées de Gianni savoueraient les coups de langue de la belle blonde, il remarquait brièvement son regard coquin et mature, avant de soudainement se retirer pour ne pas jouir. Il se retenait, Anne était patiente et Gianni laida à prendre ses aises pour que debout, elle puisse safficher pour lui dans un ravissant string noir ! Dehors, personne ne montrait le bout de son nez
Alors que Anne callait ses fesses contre le pupitre de la caisse, elle se jouait de son mâle en entrouvrant vulgairement les cuisses et soffrait à lémerveillement déjà conséquent de son sauvage des campagnes. Pour le rustre, cétait plus quune invitation et il se rua sur ses auréoles qui semblaient le dévisager. Il sen abreuvait comme un assoiffé ! Vigoureusement, il mâchonnait les tétons et se heurtait à nouveau au mécontentement de Anne qui pouvait sentir la verge du taureau, heurter simplement ses cuisses. Sa peau, sa lourde poitrine et maintenant, lintérieur de son corps réclamait lembrasement. Le bélier de Gianni venait cogner contre le tissu de son petit string noir et Anne pensait déjà à la douce sensation du gland sur
son pubis quelle avait épilée à labord de lété. Rien que dy penser, sa vulve sen trouvait dégoulinante...
Maintenant, Anne ressentait limpatience de son assaillant, il essayait de la pénétrer à coup de reins, mais la touriste du week-end faisait tout pour quil ne puisse pas la saillir.
Pour refroidir ses ardeurs, elle neut pas à hausser le ton, son regard autoritaire suffisait et il se calmait. Gianni soufflait comme un buf et il ne faisait pas de doute quil était à point. Il reprenait ses distances et mettait ses mains sur ses testicules en grimaçant : il avait mal ! Il effleurait sa verge qui était prête à exploser, alors que ce constat dimpuissance provoquait la moquerie chez Anne. Elle esquissait un petit sourire, avant de se tourner et se mettre à genou sur une simple chaise. En tournant la tête, elle découvrait que Gianni retrouvait la vie, elle remuait ses fesses devant son regard de fou. Tout doucement, Gianni savançait, alors quAnne cambrait ses miches sur un regard sans équivoque. Le bel italien prenait sa verge à pleine main, il lastiquait devant le derrière de la blonde aux seins bien consistants. Sa chute de rein était ornée dun petit tatouage en guise de trèfle à quatre feuilles, mais ce qui intriguait le plus Gianni, cétait son petit trou ; il paraissait fraîchement étudié : avait-il déjà été visité ? Le rital passait par-dessus les jambes de la quinquagénaire et sans se poser de question, il pointait son gland sur - cette petite bague brune - quil commençait à pénétrer prudemment et sans difficulté. Arrivé à mi-garde, il commençait à la besogner, son souffle viril était atypique, alors quAnne se cramponnait comme une ancienne au dossier. Soudain, il la violait dun seul coup et sintroduisait entier, elle poussait un cri, marquait sa douleur, avant quelle ne le réprimande vulgairement.
Il montait le son de la petite chaîne et continuait à lui montrer quil était lhomme de la situation, le super mâle pour une bourgesoise de la route qui ne réprimait plus son impertinence. Elle sétait tue et seulement des plaintes de chienne blessée sortaient de sa gorge. Soudain
devinant une présence, son sodomite se retournait sur un couple de client qui sétait planté à cinq mètres du box en pleine soleil. Les propriétaires de la 307 restaient dubitatifs, offusqués et nosaient avancer pour régler son plein. Gianni avait ralenti ses assauts dans larrière-boutique et, faisant abandon des deux voyeurs, il remettait la dose pour la sale petite racoleuse. Anne le fuyait, la verge quittait son orifice interdit et Gianni se levait. La cliente avait des larmes dans les yeux, son visage était grave et elle nen emmenait plus large. Alors quelle était assise sur -les dalles- du sol, Gianni sétait agenouillé auprès delle, il prenait ses seins à pleines mains sans se soucier du couple qui se scandalisait. Le bel italien semblait dans un état second
Sa verge était dressée, impressionnante, pleine de vigueur et de jus
Il commençait à masturber le petit clitoris et sétonnait de la parfaite épilation du pubis. Gianni nen pouvait plus, alors quAnne avait repris linitiative sur son bourgeon. Elle était en chaleur, prête à tout et cest avec une petite lampe torche quelle soulageait le feu qui ravageait son con. Les deux clients ne voyant plus Gianni commençaient à sinterroger, mais leur participation à ce rut était compromise. À genoux, il se couchait sur le sol pour prétendre à remplacer la lampe. Anne retirait son « gode » et la langue du mécano se noyait dans un orifice trempé
Soudain, la porte souvrait, le silence se faisait et Gianni levait le nez de sur un sexe en chaleur.
- Entrez, ne restez pas en plein soleil !
En fait, cétait le vieux garagiste qui venait darriver derrière le comptoir. En voyant le couple en rut, il marquait brièvement son effarement avant dessayer de cacher la présence des bêtes aux touristes qui nétaient pas innocents. Anne navait pu attendre et sur le regard de la cliente, voyeuse, elle introduisait profondément le bout de la torche dans son con. Elle faisait aller venir cet objet phallique, tout en sexhibant au public. Les deux clients nosaient pas la regarder, mais Gianni se prenait daffection pour la lourde poitrine.
Quand tout le monde fut parti, il retournait Anne sur les genoux, ses seins se balançaient sous leur propre lourdeur et brièvement, il passait une main gourmande sur chacun deux. Il claquait les miches de la nymphomane et il lui relevait la cuisse gauche pour soffrir laccès à son sexe trempé. Son bassin guidait lextrémité de sa verge vers la moiteur dégoulinante dune vulve et il sy engouffrait sans réserve. Peu à peu, il la défonçait de tout son cur avec lintention den terminer ! Anne écartait ses miches, détendait sa rondelle cramoisie et il ne put résister à lenvie de retourner visiter lorifice interdit. Anne devenait folle, hystérique, chaque chose quelle prenait dans ses mains se brisait ou tombait en désuétude. Elle prenait sa petite lampe torche à forme phallique et lenlisait dans son sexe. Gianni pouvait sentir lobjet pénétrant stimuler sa verge. Elle abandonnait son gadget sur le sol pour préférer complimenter les bourses de sa bête avec le bout de ses petits doigts. Déstabilisée par ses coups de reins, à nouveau, elle se cramponnait sur ses deux mains, mais réussissait à prendre une barre chocolaté. Elle commençait à la déguster quand soudain, Gianni sentait son jus bouillir pour remonter dans son mas
Il sextrayait de sa chienne à demi-inconsciente, il la repoussait et Anne sassoyait cuisses ouvertes sur sa robe. Il se levait, son gourdin en main et de lautre, il empoignait les cheveux blonds pour la forcer à renverser la tête en arrière : elle ouvrait la bouche et pendant un quart de seconde, il lustrait le bout de sa verge sur cette langue râpeuse, avant de propulser une première giclée de semence dans le fond de sa gorge. Il la vis ingurgiter son don, ses lèvres peintes réceptionnèrent une seconde rasade de foutre, avant quelles ne se posent sur le bout du gland. Des salves de semence commencèrent à se succéder sur sa langue
et jusque dans le fond de sa gorge. Fou excité, il saventurait un peu loin entre ses lèvres et elle ouvrit bien sa gueule pour lui montrer et lui faire sentir le jus de son intimité. À coup de rasade déclinante, il terminait de la remplir ras le bord. Elle commençait à écumer et laisser filer quelques écoulements de sperme sur son opulente poitrine.
Pendant plusieurs instants, Anne remettait la petite lampe torche dans sa fente, alors que la semence coulait déjà vers son ventre et son sexe. Anne prenait sa barre chocolaté, la trempait dans la semence et la dégustait ainsi.
Le super mâle en voulait encore, Anne était un super-coup, mais la chaleur étouffante de ce petit local le faisait chanceler. Pendant quelle se refaisait une beauté derrière lendroit, il shabillait, puis chacun buvait une bière.
Gianni lui proposait de faire la connaissance de son père qui soit disant était à son image, mais un sixième sens faisait dire à Anne quil fallait partir dici.
La dernière heure de route fut terrible, elle était mal, nauséeuse, mais elle avait envie de revoir Gianni. Quand elle allait raconter ça à ses amis, ils nallaient pas en revenir ! Mais fallait-il seulement raconter cette histoire à quelquun ?
FIN
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