Laure (Épisode 12) Cocktail Animé 2
Après sêtre réchauffée sur la piste de danse ou tout le monde sactivait, tout en remuant sur la piste elle repensait à son début de soirée, à la sauvagerie de Carlos dans les toilettes, à Maurice le vieux cuisinier et elle sentit une chaleur lui envahir le ventre. Elle avait un besoin urgent de faire à nouveau lamour. Elle ne se sentait ni le courage, ni le temps de faire une nouvelle conquête rapide ; elle alla donc demander à Carlos, encore une fois de laccompagner, mais dans un petit salon aménagé à côté de la salle de conférences. Là, sans autre forme de procès il se mirent entièrement nus. Laure se mit tout de suite à quatre pattes et lhomme, qui décidément ce soir était en forme, sinstalla derrière elle et enfourna son sexe dans le vagin gourmand. Elle eut peine à croire quelle pouvait lengloutir si facilement maintenant. Bien sûr le membre donnait toujours des coups de poing dans son ventre, mais elle sy était habituée. Carlos maintenant lui titillait le clitoris du bout des doigts : Laure se mit à frémir du postérieur, et atteignit un nouvel orgasme tandis quelle malaxait les énormes couilles de lhomme. Elle se redressa , prit en main le phallus géant et essaya d en engouffrer une partie dans sa bouche : ça nétait pas facile, il fallait quelle ouvre ses mâchoires au maximum, et dans ces conditions la succion nest pas facile. Sa vulve sélargissait mieux que sa bouche. Alors elle sappliqua surtout à sucer le gland du mieux quelle put, tout en masturbant la tige
A ce moment là, entra dans la pièce le concierge, qui ayant vu de la lumière dans cette aile du bâtiment était venu faire une petite ronde. Il était en pantoufles et en pyjama... Surpris, il eut un mouvement de recul, mais Laure le salua et linvita à se joindre à eux. « je peux ! » murmura-t-il. Pour marquer son acquiescement, Laure se releva et ôta dabord le haut du pyjama du concierge, Monsieur Lopez. Lhomme était très velu de peau mate et assez mince.
Sous son pantalon de pyjama sa queue dressai déjà. Laure enleva le dernier vêtement et les pantoufles. Le pénis de monsieur Lopez était dressé et déjà animé de convulsions, dessous, ses testicules très velus pendaient beaucoup plus que ceux des autres hommes : Ils étaient comme suspendus à une peau plissée de plus de quinze centimètres. Ce nétait pas très élégant, mais ce coté inattendu rendaient ces couilles intéressantes. Elle sallongea sur le dos et lhomme sallongea tout de suite sur elle, guidant son phallus pour lengouffrer aussitôt. Il commença ses mouvements de balancier du bassin. Cela devait le changer de sa femme obèse. Repensant aux testicules du concierge qui reposaient sur le sol à chaque enfoncement, Laure eut une idée. Elle lui fit soulever le bassin pour quil dégage son sexe et prenant en main les bourses de lhomme, elle les introduisit lune après lautre dans son vagin ; cela fait, elle tordit le phallus pour quil sinstalle lui aussi dans ce conduit élargi par Carlos. Celui-ci, toujours nu regardait la scène. Il comprit au geste de Laure quelle voulait continuer la fellation. Le concierge continuait de saffairer dans cette beauté inattendue, ses couilles nétaient pas restées en place bien longtemps. Il se mit à accélérer ses déhanchements à une cadence infernale. Monsieur Lopez tenait très bien le coup, et contrôlait bien la situation
Rien à voir avec Maurice le cuisinier. Il avait dû farcir sa grosse épouse un peu auparavant. Constatant sa forme et désirant profiter plus encore de la situation, Laure demanda au concierge de se retirer un instant et de se placer sur le dos, couché à même le sol : il sexécuta. Sa trique était bien dressée, longue mais peu épaisse, et ses couilles reposaient à terre entre ses cuisses. Elle lenjamba en lui tournant le dos et eut tôt fait dengloutir le verge de lhomme dans son anus. Après quelques mouvements de bas en haut du bassin destinés à tout mettre en place parfaitement, elle sallongea , le dos sur le torse du concierge.
Lhomme prit ses deux beaux seins à pleines mains. Laure écartait les cuisses de plus en plus. Lhomme lâcha un téton et caressa la motte, plus la vulve inondée de mouille du plat de la main, y introduisant quelques doigts au passage. Carlos, qui navait rien perdu du spectacle, vint sallonger sur le couple, et écartant la main de Lopez, présenta son énorme pieu en face de la vulve ouverte. Il poussa doucement, son engin sengloutit peu à peu dans les profondeurs du vagin
Laure qui avait déjà bien été dilatée dans la soirée trouva ce nouvel écartèlement agréable
Mais avec Lopez derrière la limite était peut-être atteinte. Pour permettre au pauvre concierge de bouger et lui éviter l, le trio bascula sur le coté
et là, les deux longs braquemarts sactivèrent un bon moment dans le même ventre, par des portes différentes. Cétait très fort, et Laure eut trois ou quatre orgasmes avant que les hommes lâchent leurs semences respectives. Ils se relevèrent, Laure commençait à ressentir la fatigue. Elle se fit raccompagner par Carlos à la fête qui continuait, tandis que le concierge, sa torche électrique à la main, séloigna dans les couloirs pour aller rejoindre son quintal de femme.
Dans la soirée, elle repéra un collègue dont elle avait envie. Lors dun slow elle appuya son ventre sur celui de son cavalier, insista en remuant les abdominaux, jusquà ce quelle sente gonfler le phallus, resserrant elle-même encore létreinte
Comment un homme normalement constitué pourrait résister à cet appel, venant dune si mignonne partenaire ? Profitant de lextinction des lumières pendant cette série de danses calmes, il passa son bras sous le pull-over de ma Puce, caressa son dos nu ruisselant de sueur, puis, constatant quelle ne portait pas de soutien-gorge passa sa main sur le devant sattarda sur les seins, les palpa délicatement
Elle avait déjà trop joui pour le début de soirée, aussi ne se laissa pas complètement aller sur linstant. Ils décidèrent de prendre un verre chez lui après la fête
Arrivés à lappartement ils sembrassèrent goulûment et Laure suggéra quils prennent une douche
Ce quils firent tous deux ensembles, nus, sembrassant, se savonnant, se caressant la peau couverte de mousse, les sexes visiblement excités
Alors quelle sagenouillait dans la douche, prétextant savonner les jambes de lhomme elle prit entre ses doigts le dard propre et tendu et lintroduisit dans sa bouche : elle fut surprise par le goût amer du gel douche, mais sappliqua à continuer longtemps jusquà recevoir au fond de sa gorge la giclée vitale de ce tout nouvel amant, quelle avala pour le combler
Laure était très douée en ce qui concerne les fellations, son partenaire à dû avoir beaucoup de plaisir.
Son plaisir aurait été décuplé sil avait pu savoir quil était et sera le seul homme qui se sera fait pomper la queue par elle avant même de lavoir pénétrée
Ce quil ne tarda pas à faire par la suite et durant toute la nuit, sa partenaire nétant pas du genre à rester blottie sous les draps
Laure essaya toutes les positions possibles et imaginables, avec cet homme , durant cette pourtant courte nuit. Elle dut lui vider les gonades à plusieurs reprises et jusquà la dernière goutte, le laissant sans forces.
Au petit jour du samedi , après avoir quitté le domicile de son nouvel amant, elle reprit en voiture le chemin de la maison. Ses aventures de la journée martelaient ses pensées, et pour essayer dy mettre fin, elle gara son véhicule dans un renfoncement sur le bas côté. Elle abaissa la vitre côté conducteur. Lair frais du petit matin la caressait voluptueusement. Fermant les yeux, elle introduisit une de ses mains dans sa culotte, lautre caressant sa poitrine et se mit à se masturber, les paupières closes. Des poids lourds passant tout proche balançaient la carrosserie de sa voiture dans un vacarme denfer
Sétant soulagée , elle sortit du véhicule pour respirer à pleins poumons lair frais matinal et se dégourdir les jambes. Un des pneus arrières était dégonflé. Elle avait bien une roue de secours, mais elle navait jamais réalisé cette opération de mécanique
il ignorait dailleurs où se trouvait range le cric. Cette journée de rêve se terminait mal. Un cycliste qui passait là, vit son désarroi et lui proposa gentiment de changer la roue, ce quelle accepta avec empressement. Lhomme, jeune et séduisant, prit dans une petite sacoche placée sous sa selle de fins gants de vinyle pour éviter de se salir les mains. Quand la réparation fut terminée et que l\'homme eut ôté les gants salis, Laure bredouilla des remerciements et plaqua ses mains sur les fesses de lhomme
Il neut pas lair surpris quon le remercie ainsi, Elle pressa sa main sur lavant du cuissard du sportif, son sexe bien que moulé dans ce vêtement serré semblait déjà pointer.
Laure eut quelques difficultés à baisser la culotte de cycliste, mais elle y parvint, lhomme ne portait pas de slip et son petit sexe dressé comme une baïonnette était animé de mouvements convulsifs. Elle sétendit dans lherbe fraîche entre la voiture et la haie, un peu à labri des regards, ayant gardé la main de lhomme dans la sienne pour quil laccompagne à terre. Le cycliste la tira fermement pour la relever
Elle rougit, un peu honteuse et déçue de voir lhomme se refuser à elle
Il rajusta son cuissard, et soulevant Laure comme on porte un lemmena derrière la haie pour la déposer au sol sur le dos et la prendre sans ménagements, rassuré de pouvoir besogner cette jolie petite femme en toute discrétion, cachés quils étaient par la verdure. Voyant quil avait affaire à une femme facile, il avait procédé sauvagement, descendant la petite culotte, relevant et écartant les cuisses de Laure, ces cuisses qui distendaient lélastique du sous-vêtement à la limite de la rupture. Il sallongea au-dessus delle, prenant appui sur les mains, épaules relevées, les yeux fixés dans ceux de sa partenaire, et sa petite flèche fit mouche. De quelques coups de reins brutaux, compensant la faible taille de son pénis, cet homme si serviable, eut tôt fait de décharger tout le contenu de ses couilles dans cette chatte qui laccueillait
Il continua quelques instants pour arracher à sa partenaire imprévue un orgasme. Bredouillant un bref merci, il se rajusta, enfourcha son vélo de course et séloigna
Laure, ébahie, se releva, enleva du mieux quelle put les brindilles accrochées à ses vêtements, essuya ses cuisses avec un kleenex pris dans la boite à gants et reprit le volant. Un peu plus loin elle doubla le sportif et le salua dun bref coup de klaxon. Arrivée à notre village, elle décida de passer voir nos amis Pierre et Joëlle, quelle savait matinaux, et afin de se faire offrir le café. Pierre était déjà dehors, en slip de bain, en train de rafraîchir ses fleurs avec un tuyau darrosage. Il était étonné de la voir arriver de bon matin en tenue si élégante perchée sur des talons. Il sapprocha pour lui faire la bise, et Laure voyant quils étaient à labris des regards déventuels passants derrière un arbuste buissonnant, plaqua son corps contre le sien en lembrassant goulûment. Surpris il lâcha le tuyau, et soulevant la jupe plaqua les mains sur les fesses de ma femme. Elle introduisit la main dans le slip de lhomme et en sortit un sexe déjà dressé. Pierre arracha la culotte de dentelle en la déchirant, et introduisit sa verge tendue dans cette chatte quil navait jamais sentie aussi chaude, aussi large. Leurs corps sanimèrent de violents soubresauts et elle reçu une dernière bénédiction dans les entrailles
Avant quelle rajuste sa jupe, son amant du petit matin prit le tuyau et lintroduisit dans le ventre encore palpitant. Il appliqua plusieurs va et vient dans la vulve, leau sécoulait à flots le long des jambes de Laure qui eut encore de réflexe dôter ses escarpins pour ne pas les abîmer. La culotte souillée et déchirée resta sur le gazon.
Quand elle me rejoignit, jétais encore au lit. Elle se glissa sous les draps toute habillée, je constatai quelle ne portait pas de culotte, mais que ses fesses étaient fraîches
Elle prit ma verge et lengloutit pour recevoir bientôt le dernier hommage offert à ses entrailles. Puis elle me raconta tout ce que je viens de décrire de cette journée harassante
. » je suis morte » dit-elle. Je la laissai, elle avait besoin de récupérer
Avant de sendormir elle fit le récapitulatif de ce que son ventre avait avalé en vingt quatre heures : une giclée de ma semence au réveil, une bonne dose de la lave de René dans la matinée, une louche du sperme de Carlos, une cuillérée de la sauce de Maurice, une dose de purée de Monsieur Lopez, plusieurs services administrés par son collègue de la nuit, la giclée de la burette du mystérieux cycliste, le dessert de la crème de Pierre et le digestif que je venais de lui offrir
soit plus dune douzaine de dégustations, servies par huit mâles différents. Après cette journée où il lui semblait avoir atteint le maximum de ce que lon peu obtenir, sans partouzer ni se prosti, Laure ne rechercha plus, par la suite, ces mêmes sensations de pure consommation sexuelle quantitatives.
admin
Jan. 31, 2023
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