Une Visite Si Banale
- Entrez !
La voix était autoritaire. J'avais rendez-vous à 8h45 à la médecine du travail afin d'y subir un examen de routine et il était déjà 9h. J'entrais donc timidement dans cette salle où une femme d'une quarantaine d'année m'attendait, visiblement irritée par mon retard.
- Ne perdons pas de temps, me dit-elle, déshabillez vous et installez-vous sur la table.
Je me retrouvais en slip, ne savant trop quoi dire devant cette femme qui m'impressionnait. Son visage sévère, ses cheveux tirés en chignon et ses habits austères (chemisier et tailleur gris) y étaient peut-être pour quelque chose.
- Alors M. Martin, cela faisait un moment que l'on ne vous avait pas vu par ici. On a peur du médecin ?
- Non..., répondis-je fébrilement
- Et bien tant mieux, nous allons pouvoir effec un examen approfondis.
- Comment ça ? Je pensais qu'il ne s'agissait que d'un contrôle de routine.
- Oui, mais dans votre cas, étant donné la date de votre dernière visite, il est plus prudent de prendre ses précautions.
Tension, rythme cardiaque, gorge, oreilles, tout y passa. Jusque là j'étais rassuré, il n'y avait rien d'anormal. Elle me demanda de me lever et de me pencher en avant afin de m'ausculter la colonne vertébrale.
- Bien, je vois que tout à l'air d'aller, dit-elle, nous allons pouvoir passer à l'examen approfondis proprement dit : retirez votre slip.
- Mais, ce n'est pas la peine, je vous assure, de ce côté là tout va bien.
- Je ne veux rien savoir, faites ce que je vous dis.
Je retirais donc mon slip et je me retrouvais dans un état de gêne insurmontable. Elle me tâta les testicules, les soupesa, et appuya assez fortement dessus.
- Aïe ! Mais vous me faites mal.
- Tais-toi, la prochaine fois que tu cris comme ça, je te mets à poil dehors, c'est compris ?
J'étais complètement abasourdit par son ton.
- On dirait que t'aime ça pourtant, hein ? Elle me caressait la verge, je ne savais pas quoi dire.
- Bon, il faut que nous effectuions des analyses d'urine.
Elle saisit un flacon et me dit de venir dans ce qu'elle appelait la salle de bain qui était en fait constitué d'un bidet et d'une baignoire.
Tout en me tenant la bite, elle me fit mettre au-dessus du bidet. Elle tenait le flacon collé à ma verge et me dit :
- Aller, pisse là-dedans, on n'a pas toute la journée.
Mais c'est que je n'avais pas tellement envie. Elle me fit boire un grand verre d'eau glacée après en avoir versé sur mes bourses. Ainsi l'envie ne me tarda pas.
- Et bien voilà, tu vois quand tu veux.
Elle fit tomber les dernières gouttes en me branlant et referma le flacon.
- Pour des raisons d'hygiène, je dois te raser le sexe, cela fait parti du règlement de l'entreprise.
- Ah bon, je n'étais pas au courant.
- Allez, assieds-toi sur le bidet et écartes bien les jambes.
Elle commença par m'asperger le sexe d'eau chaude. Puis elle m'appliqua une crème très rafraîchissante qui me fit bander dur. A l'aide d'un rasoir, elle me rasa rapidement mon épaisse toison.
- Maintenant retourne toi et met toi à quatre pattes, il faut aussi que je te rase les poils du cul.
Docilement, je lui obéissais, comme hypnotisé par tout ce qu'elle me disait.
- Ecarte bien tes fesses... c'est bien t'obéis vite.
Elle passa une main sous mon entrejambe pour s'assurer que tout était bien rasé et m'introduisit un doigt dans mon anus.
- Eh mais ça fait mal ! m'écriais-je
- Ah t'as mal, tu vas voir ce que c'est d'avoir mal.
Elle saisit un gode ceinture dans une armoire puis me dit de me mettre debout et de poser mes mains sur le bidet de telle manière à avoir mon derrière bien à l'air.
- Lèches ça, t'aimes ça hein, petit pervers.
J'en avais partout dans le nez, dans la bouche c'était horrible. C'est alors qu'elle m'encula avec son engin. Je ne pus réprimer un cri. Elle se retira et me força à sucer le gode, puis elle m'encula à nouveau jusqu'à ce que je n'en puisse vraiment plus.
- Allez, va dans la baignoire que je te douche.
Ce que je n'avais pas compris, c'est que cette douche allait être dorée.
Elle s'agenouilla au-dessus de moi. Elle ne portait pas de culotte sous son tailleur. Son sexe était totalement rasé. C'est alors qu'un violent jet d'urine me vola en pleine figure. J'étais à la limite de vomir. Elle me collait sa chatte au visage, se frottait contre mon nez, mon menton. J'avais de la pisse partout sur moi. Elle se releva et sortit de la pièce pour appeler quelqu'un. Je restais planté là dans cette baignoire aux effluves d'urines. Elle revint quelques instants plus tard accompagnée d'un homme un peu plus jeune que moi, dans les 25 ans.
- M. Martin, je vous présente Eric, notre stagiaire, il a pour ordre de faire ce qu'on lui demande. Par conséquent, Eric je vais te demander de bien vouloir laver ce monsieur qui s'est lamentablement pissé dessus.
- Bien Mme Creps, répondit le stagiaire.
Il saisit le pommeau de douche et me demanda de me lever. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'obéir. J'étais tellement humilié que je n'accordais plus d'importance à quoi que ce soit. Il m'aspergea d'eau froide. Ce qui me fit tressaillir. Ce contact avec l'eau froide me raidit la verge. J'étais tout de même gêné, face à ce garçon plus jeune que moi, de bander ainsi.
- Savonnez-le bien Eric, il put vraiment, ordonna le médecin qui regardait la scène avec vice.
Eric me savonna tout le corps, y compris mon sexe et mon derrière.
- On dirait qu'il aime ça en plus, se faire branler par un homme ne le dérange pas plus que ça. Allez-y Eric, branlez bien monsieur puisque ça lui fait plaisir.
- Mais enfin madame, ce n'est pas mon métier.
- Faites ce que je vous dis si vous ne voulez pas vous retrouver avec 0 comme note de stage !
- Bien madame, répondis Eric résigné.
Pendant qu'Eric s'appliquait à bien me branler (ce qu'il, je dois dire, réussissais à merveille), Mme Creps posa sa main sur le sexe d'Eric pour s'apercevoir qu'il était tendu.
- Je vois que cela ne vous déplaît pas non plus... Allez déshabillez-vous aussi que je vois de plus près vos attributs.
- Mais enfin madame, je ne peux pas faire ça !
- Ne discutez pas mes ordres, et faites ce que je vous dis si vous ne voulez pas que je mette à exécution les menaces de tout à l'heure.
Eric se retrouva donc à poil lui aussi. Mme Creps le tâta et lui intima l'ordre d'aller dans la baignoire lui aussi.
- Bien, maintenant qu'Eric t'a bien fait jouir, Martin t'as plus qu'a lui faire une fellation... mets-toi à genoux devant lui.
Face au charisme de cette femme, je me retrouvais devant ce sexe d'homme tendu auprès de mon visage, et qui commençait déjà à sécréter du liquide. Je m'approchais, saisis cette bite à sa base et donnait un coup de langue sur son gland. Ce n'était pas désagréable. Je ne me connaissais pourtant pas des tendances homo.
- Aller, gobe-la en entier qu'on en finisse, s'écria la femme médecin qui restais plantée là à nous regarder.
Elle me prit la tête et me l'enfonça sur la bite d'Eric qui commençait déjà à gémir.
- C'est ça lèche-le bien, dit-elle.
Elle me saisit la bite et entama une masturbation énergique. De l'autre main, elle enfonça un doigt dans le cul d'Eric qui jouit aussitôt.
- T'as intérêt à tout avaler si tu ne veux pas être puni.
Je me retrouvais avec du sperme plein la figure que j'avalais avec difficulté. Mme Creps me branlait vraiment violemment à présent, j'avais la verge en feu.
- Lèche bien mon doigt, t'es habitué à ça maintenant.
C'est à ce moment que je me mis à jouir.
- T'as vu ce que t'as fait espèce d'abruti, j'en ai plein les mains maintenant !
Elle se les essuya sur sa chatte :
- Aller, viens me bouffer le minou que j'en profite moi aussi. Et toi Eric, encules-le pendant ce temps, il aime ça !
Mme Creps avait à nouveau soulevé sa jupe et s'était assise sur le rebord de la baignoire. Eric et moi étions sortis. Je m'agenouilla devant elle. Elle me saisit la tête et me la colla à sa chatte humide au goût de mouille et de mon propre sperme.
- Lèche-lui bien le trou Eric avant de le pénétrer.
Eric se mit derrière moi, me releva les fesses tout en les maintenant bien écartées. Il commença par lécher ma fente tandis que j'étais toujours en train de dévorer le sexe de la doctoresse. Son clitoris était bien ressorti. Il avait une taille assez exceptionnelle. Eric se retira, saisit sa verge à pleine main et l'insinua dans ma raie. Il vint buter contre mon petit trou qui avait pourtant pris du volume durant la dernière heure.
- Vas-y Eric... défonce-le... n'hésite pas, il est habitué... il adore ça !
Mme Creps commençait à gémir sous l'effet de mes caresses. Tout à coup, je sentis une violente douleur dans mon anus. Ca y est, Eric m'avait pénétré...
- C'est bien Eric... encule-le à fond... Ah, vous faites du bon boulot tous les deux ! Et toi Martin,... Oui ! continue, bouffe-la-moi... Ah ! tu vas me faire jouir mon salaud ! ! !
Soudain Mme Creps eu un orgasme qui la fit trembler de tous ses membres. Elle m'avait saisit la tête pour la coller sur sa chatte toute trempée. Je commençais à d'autant plus qu'Eric avait accélérer ses mouvements à l'intérieur de mon anus. Il ne tarda pas à jouir lui non plus. Il se retira en larguant un jet de foutre dans ma raie et au bas de mon dos.
- Vous avez vraiment fait du bon travail tous les deux ! Pour vous récompenser, nous allons commencer par prendre une douche ensemble et vous allez pouvoir me baiser en même temps, vous m'avez terriblement excitée. Mme Creps retira son chemisier ainsi que son tailleur dévoilant un corps superbe. Son soutif puis sa petite culotte ne tardèrent pas à tomber. Elles avaient des seins peut-être un peu petit à mon goût mais un beau derrière bien rebondit.
- Aller venez !
Nous entrâmes tous les trois dans la baignoire. Eric et moi, on s'appliqua à bien nettoyer le médecin et en particulier son entrejambe, pendant qu'elle nous caressait respectivement nos deux verges. Elle me demanda de m'allonger dans la baignoire. Elle vint s'asseoir sur mon sexe tendu qu'elle enfourna tout de go. Je lui malaxais avec fermeté ses petits seins mais elle repoussa mes mains et vint s'allonger sur moi. Elle demanda à Eric de la pénétrer par derrière. Sur ce, elle m'embrassa voracement. Eric avait commencé à la limer comme il l'avait fait précédemment avec moi...
- Oh oui ! Vous allez encore me faire jouir tous les deux... Ah ! C'est bon... Vas-y Eric, défonce-moi bien, n'hésites pas, t'as l'habitude maintenant !
Eric donnait des grands coups de reins. Je sentais sa bite se frotter à la mienne. C'était super excitant et je n'allais pas tarder à jouir. Lui non plus d'ailleurs. Elle se retira et nous demanda de lui éjaculer au visage. Ce que l'on fit avec plaisir après l'humiliation qu'elle nous avait fait endurer à tous les deux tout à l'heure. Elle nous lécha en même temps nos deux bites, bien que celle d'Eric soit pleine de merde. Cela ne la dégoûtait pas le moins du monde. Elle finit par recevoir deux grosses décharges de sperme bien épais et tout collant en pleine figure. Ca lui dégoulinait de partout.
On a finit cette consultation par un dernier bain collectif. Et nous nous quittâmes comme si de rien n'était. Tout compte fait, pour une fois, j'avais vraiment hâte à la prochaine visite !
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