Avec Ma Cousine Véronique
Je ne connaissais pas ma cousine Véronique depuis très longtemps. Elle faisait partie d'une branche de ma famille un peu éloignée, tant familialement que géographiquement, mais j'avais souvent entendu ma mère en parler. Tout au moins de ses parents.
Lorsque je la rencontrai enfin, elle avait tout juste dix huit ans et venait de passer son bac. Elle était descendue chez mes parents, sur la côte d'azur avec sa cousine pour profiter de la proximité de la mer et fêter je ne sais plus quel événement familial.
Elle et sa cousine, Céline, allaient dormir sous une tente dans le jardin.
Le deuxième jour de leurs vacances, j'emmenai les cousines à la plage. J'avais été séduit par Véronique qui, bien que très ronde, présentait un charme indéniable sans doute pas étranger à ses longs cheveux blonds et à ses jolis yeux bleus et, à l'occasion d'un bain avec elle, j'avais osé l'embrasser. Elle s'était laissé faire et, dans l'eau jusqu'au cou, j'avais promené mes mains sur son corps ultra généreux. J'avais ressenti un certain malaise de sa part et je n'avais pas trop insisté. Je lui avais cependant demandé si elle était vierge.
En rougissant, elle m'avait répondu que non, qu'elle avait déjà couché avec un copain à elle.
" Ça t'a plu?"
"Non, pas trop; il a vite joui et pas moi"
Je lui demandai si elle avait envie de réessayer, avec moi. Mais elle déclina mon offre, disant que ce n'était pas bien, par rapport à Céline et à mes parents. De plus, m'expliqua-t-elle, elle ne se sentait pas à l'aise dans son corps trop gros, trop gras. Je n'insistai donc pas trop, mais je lui signalai quand même que les gens maigres n'étaient pas les seuls à avoir le droit de faire l'amour.
Leur séjour se continua et il nous arrivait souvent de nous embrasser furtivement sur la bouche à l'occasion d'une encoignure de porte où d'un petit coin discret.
Je ne la revis plus pendant trois ans puis, je déménageai à Lyon pour raisons professionnelles.
J'eus un choc en la voyant: Elle avait perdu au moins vingt kilos suite à un régime efficace et, grâce à la pratique du sport et à des massages appropriés, sa peau ne faisait pas le moindre pli et s'était retendue sur son corps.
Nous avions passé le samedi à se balader en ville puis, lorsque je la raccompagnai à la gare, elle me proposa de passer la voir chez elle. En partant, nous nous échangeâmes un long baiser passionné qui nous laissa le souffle court et, moi, la bite dure et gonflée dans mon jean subitement trop étroit.
J'eus beaucoup de travail pendant un mois, mais je l'appelai souvent pour lui dire que je ne l'oubliai pas. Puis je lui proposai de passer la voir un samedi. Elle accepta avec plaisir et me proposa de passer le week-end chez elle, ses parents devant justement s'absenter. J'acceptai, bien sûr et me pointai le samedi matin avec mon sac pour deux jours.
Elle venait de s'acheter un ordinateur et m'avoua être incapable de l'installer. Je lui proposai donc de le faire moi même et elle accepta avec soulagement.
Elle était vêtue d'une jolie robe légère qui montrait ses longues jambes nues jusqu'à mi cuisses et qui moulait sa poitrine qu'elle avait gardé généreuse malgré son amaigrissement spectaculaire.
Véronique avait réussi à perdre beaucoup de poids sans trop perdre des seins ni des fesses. Elle restait quand même ce que les magazines féminins appellent une "ronde". C'est à dire qu'elle n'était pas devenue maigre. Mais je la trouvai magnifique.
Véronique m'emmena dans sa chambre où se trouvaient les cartons à peine ouverts de son ordinateur. Elle m'expliqua où elle voulait l'installer.
Je lui proposai de regarder comment je faisais pour pouvoir comprendre où était branché quoi et comment. Elle accepta et nous commençâmes à déballer les cartons. Lorsque Véro se penchait, son décolleté baillait et révélait sa jolie poitrine presque complètement et je pus rapidement voir qu'elle ne portait pas de soutien gorge.
J'eus vite fait de tout brancher, imprimante et modem compris et je démarrai la bécane pour tout paramétrer. Véro était très contente et vint s'asseoir près de moi, au pied de son lit. Elle s'assit en tailleur et, ce faisant, sa robe courte remonta très haut sur ses cuisses, mais elle ne fit rien pour la rabattre. Je pus apprécier la peau dorée de ses jambes lisses dont la douceur apparente appelait la caresse.
Lorsque j'eus terminé, Véro se dressa pour me faire une bise. Je tournai la tête et reçus son baiser sur les lèvres. Loin de se formaliser, elle se laissa embrasser et, bientôt, j'eus sa langue dans ma bouche. Je ne pus résister et je la poussai sur le lit, m'allongeant à côté d'elle. Véro se contenta de rire et se laissa bousculer. Elle ne dit rien non plus lorsque je posai une main sur sa poitrine que je massai à travers la robe légère. Elle poussa un soupir de plaisir qui m'encouragea à continuer.
Ma main malaxa délicatement ses seins gonflés et glissa ensuite sur son ventre plat. Je caressai ensuite une cuisse nue et glissai ma main sous la robe en remontant vers son ventre. Sa peau était d'une exquise douceur et Véro haletait et écarta sensiblement les cuisses. Je pus bientôt plaquer ma main entre ses cuisses où je trouvai un slip brûlant et, déjà, me sembla-t-il, humide. Je le fis glisser le long de ses jambes bronzées et je découvris une chatte magnifique : Elle s'épilai les grandes lèvres et n'avait conservé qu'une toute petite bande de poils blonds et lisses au sommet de son mont de Vénus.
Je déboutonnai la robe de mon autre main tout en continuant à embrasser goulûment Véronique qui haletait.
Sa robe ne tenait plus sur elle que par ses bretelles qu'elle retira elle même. Elle était à présent complètement nue et s'attaqua à ma chemise qui partit vite, ainsi qu'à mon jean qui la rejoignit en vitesse.
_ Tu sais, ma chérie, lui dis-je doucement en lui caressant le visage avec tendresse, pour faire l'amour, c'est mieux d'être tout nu. Alors tu peux m'enlever mon slip
Je souriais, mais elle pas. Elle me regarda soudain dans les yeux.
_ Roger, il faudra être patient avec moi. Je n'ai plus fait l'amour depuis ma première fois, il y a quatre ans.
Je l'écoutais sans y croire, mais je ne fis pas de remarque.
_ Les mecs qui m'approchent, maintenant, s'ils me connaissaient avant, je les envoie bouler. Et les autres, tout ce qu'ils cherchent, c'est à tirer un coup
_ Et moi?
_ Toi, fit-elle en me souriant, c'est différent; si je n'avais pas dit non, tu aurais fait l'amour avec moi, même quand j'étais grosse. Et toi, je t'aime.
Je fus un peu soufflé par cette déclaration, et je pris Véronique dans mes bras, l'entraînant sur le lit. Je gardai mon slip pour le moment et je me mis à sucer les bouts de ses seins gonflés et durs. Véro haletait et poussait de petits gémissements de plaisir. Puis ma bouche descendit sur son ventre et atteignit son pubis.
Je mordis délicatement sa petite touffe de poils blonds, puis je glissai entre ses jambes. Véronique écarta les cuisses et releva les genoux, posant ses pieds sur mes épaules, m'offrant un accès total à son intimité, anus compris. Je me mis à la lécher de bas en haut, allant même jusqu'à poser ma langue sur son anus soigneusement épilé dont j'adorai la douceur. Véro poussait de petits gémissements et, sa main sur mon crane, me caressait les cheveux. Je sentais parfois ses doigts se crisper et cela me guidait sur les zones les plus érogènes chez elle.
Je glissai ensuite un doigt entre ses lèvres ruisselantes et le poussait dans sa chatte étroite tout en continuant à sucer et lécher son clitoris bien gonflé. Véro apprécia et me le fit savoir en crispant sa main sur ma tête et en poussant un gémissement plus fort.
Puis, je retirai mon doigt et le glissai entre ses fesses pour le poser sur son petit trou que je massai sans trop appuyer. J'avais noté une légère crispation de sa main lorsque mon doigt avait atteint son anus mais elle s'était vite détendue en constatant que je ne cherchais pas à le pousser plus loin.
Tout en lui massant le trou du cul et en suçant son clitoris, je poussai mon pouce dans son sexe et le fis coulisser un instant. C'est alors que ma Véronique poussa un cri plus fort et, crispant sa main dans mes cheveux, jouit bruyamment en relevant son buste. Je sentis un flot de cyprine tremper ma main et ma bouche, puis elle se laissa retomber lourdement sur son lit en poussant un profond soupir de bien être.
Je m'essuyai discrètement la bouche et allai m'allonger à côté d'elle. Elle me sourit très tendrement et me tendit ses lèvres. Nos langues se léchèrent et je sentis la main de Véronique s'emparer de ma bite bien dure.
_ J'aimerais bien te sentir dans moi, fit-elle d'un toute petite voix, presque un murmure.
Me souvenant de son appréhension, je lui proposai de venir sur moi pour qu'elle puisse être maîtresse de la pénétration.
Mais, avant tout, je lui proposai de nous protéger et je pris une capote dans mon portefeuille et m'en équipai rapidement.
Elle accepta donc avec plaisir et vint enjamber mes hanches, prenant ma bite bien dure entre ses doigts pour la relever et la guider vers sa vulve trempée.
Elle baissa son bassin et, malgré le caoutchouc, je sentis mon gland entrer en elle doucement. Je réussis à me retenir de pousser et je la laissai s'empaler sur mon membre raide. Elle le fit en se laissant tomber dessus et poussa un cri rauque lorsque nos ventres se heurtèrent. Je sentis en même temps mon gland buter au fond de son vagin.
Véro se mit à onduler du bassin en gémissant et elle se pencha sur moi pour m'embrasser goulûment. Là, elle se mit à soulever ses fesses pour faire coulisser mon nud dans son sexe ruisselant. Moi aussi, je me mis à soulever mon bassin à son rythme et Véronique apprécia en poussant des gémissements plus fort qui vinrent se perdre dans ma bouche.
Je crus lui avoir fait mal et, cessant mes mouvements, je rompis notre baiser.
_ Je t'ai fait mal, ma chérie?
_ Non, haleta-t-elle, au contraire
j'aime bien te sentir
dans moi
tout au fond
Ah! Je te sens jusque
dans la
gorge. Oh! Comme
c'est bon!
Jusque dans la gorge, elle exagérait un peu sans doute. Mais ça fait toujours plaisir de passer pour un bon coup
Je m'appliquai donc à le rester et à la baiser le mieux possible. Je n'avais pas à me forcer, du reste, car elle me plaisait vraiment beaucoup, ma cousine Véronique qui se redressa soudain et, levant les bras au dessus de sa tête, faisait onduler son bassin tout en gonflant encore plus sa poitrine sur laquelle je posai mes mains avides pour en malaxer les seins. Véro gémissait d'une voix rauque, m'encourageant explicitement à lui bourrer la chatte plus fort. Je m'y appliquai donc, soulevant mon bassin pour enfoncer ma bite au plus profond de sa petite chatte avant de me reculer brusquement pour la laisser re tomber lourdement sur mon pieu fiché au plus profond de son sexe.
Je la limai ainsi un long moment en me retenant puis, lorsque Véronique se mit à jouir, les contractions de son vagin entraînèrent ma jouissance et je remplis ma capote de longs jets de foutre en poussant un râle de plaisir.
Véro se laissa aller sur ma poitrine et nos bouches s'unirent à nouveau pour un long baiser. Des mots d'amour très doux l'entrecoupèrent puis je me retirai du sexe de ma maîtresse pour ôter mon préservatif.
_ C'est chiant, ces trucs là, fit Véro en me regardant ôter précautionneusement mon plastique.
_ Oui, lui répondis-je, mais c'est une question de survie, de nos jours. Je ne le fais pas que pour moi, mais aussi pour toi. Et je te conseille de t'en faire une réserve et de ne jamais sortir sans en avoir une ou deux sur toi au cas où
En plus, c'est un bon test pour voir à quel genre de type tu as affaire. S'il ne veut pas la mettre, tu l'envoies chier sans condition. S'il accepte, c'est qu'il n'est pas trop con. Tu as fait le test?
_ Oui, bien sûr, mais ça ne risquait rien et c'était surtout pour rassurer mon médecin. Et toi?
_ Bien entendu, lui dis-je. Négatif.
_ Alors, s'exclama Véronique, on peut s'en passer! Tu l'as fait il y a longtemps?
_ Trois moi, à peu près, et je n'ai pas eu de relations sexuelles depuis. À part avec toi
Véronique s'exclama qu'alors il n'y avait pas de raison qu'on s'emmerde avec ce bout de plastoc et qu'on le ferait désormais sans rien.
Puis, elle décréta qu'elle avait faim et, sans se soucier de sa nudité, fila vers la cuisine.
Je pris la capote dont j'avais noué le bout et enfilai mon slip par réflexe de pudeur. Je n'étais pas chez moi, après tout, et je rejoignis ma Véronique, nue dans la cuisine, en train de préparer une salade de crudités.
Nous déjeunâmes tous les deux et elle me demanda de retirer mon slip car elle avait envie, dit-elle, de regarder ma bite et de pouvoir la toucher quand elle en aurait envie.
Et elle ne se gêna pas, tant en mangeant, me caressant les couilles et la bite avec son pied, qu'après le repas, où elle s'agenouilla entre mes cuisses pour me prendre dans sa bouche jusqu'à me faire presque jouir. Je la stoppai pour lui proposer de la prendre en levrette sur la table débarrassée, ce qu'elle apprécia particulièrement, mais à condition, dit-elle, de jouir dans sa bouche.
Ainsi, dès que j'atteignis le point de non retour, Véro se dépêcha-t-elle de venir recueillir mon sperme dans sa bouche pour l'avaler goulûment. Elle s'en mit plein les seins, mais elle les caressa ensuite pour bien l'étaler avant d'aller prendre une douche avec moi. Nous passâmes le week-end à baiser comme des bêtes et je la quittai le dimanche après midi crevé, mais heureux et et lui promettant de la revoir bientôt, ou ici, chez elle, ou chez moi, à Lyon.
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