Mon Pari Le Plus Stupide

C’est fou les risques que l’on peut prendre, pendant une soirée débridée entre filles, en acceptant des paris stupides…


En juin dernier, nous étions réunies, Carine, deux autres copines, et moi, dans un bar du centre ville fréquenté par les étudiants et une clientèle plutôt jeune.


Carine est ma meilleure amie depuis plusieurs années, et souvent la complice de mes frasques sexuelles. Elle est bi, comme moi, et elle sait tout de moi – ou presque.


Sabrina et Lucie, les deux autres filles, travaillaient avec moi à l’université. C’étaient deux nanas très libérées aussi, mais complètement hétéros. Elles n’hésitaient pas à nous raconter leurs aventures, souvent assez torrides. Nous partagions toutes les quatre un penchant pour l’exhib, et un appétit de sexe qui nous mettait quelquefois dans des situations "limite".


Ce soir là, nous avions de quoi alimenter la conversation !


Lucie revenait d’un week-end prolongé au Cap d’Agde, avec son copain et un autre couple. Elle nous a raconté en détail ses après-midi sur la plage, où elle se masturbait chaque fois en public, et comment son petit ami l’avait prise à la vue de tous.


Ils partageaient le même appartement avec l’autre couple, et les nuits étaient, elles aussi… "animées". Ce qui nous a amenées, Carine et moi, à vouloir faire avouer à Lucie qu’elle avait goûté aux plaisirs lesbiens avec la femme.


Il a fallu que nous insistions longtemps, pour qu’elle finisse par le reconnaître, provoquant chez Carine, Sabrina et moi, des cris qui ont attiré l’attention de tous les clients.


Nous avons exigé des détails de la part de Lucie, toute rouge de confusion, détails qu’elle nous a confiés du bout des lèvres, à voix basse.


Puis la conversation s’est orientée vers des sujets plus softs, et très féminins.


C’est alors qu’une jeune fille blonde, très belle, est rentrée dans le bar.

Lorsqu’elle a aperçu Sabrina, elle lui a souri et l’a saluée, avant de rejoindre un groupe d’étudiants, installés à une table à l’autre extrémité de la salle.


Je connaissais cette fille de vue, et Sabrina nous a dit que c’était Johanna, une de ses élèves. Elles avaient sympathisé toutes les deux, et Sabrina a appris qu’elle se livrait, occasionnellement, à une activité de call-girl, pour se faire un peu d’argent. D’après ce qu’elle disait, elle sélectionnait ses partenaires, et ne s’offrait qu’à des hommes qui l’attiraient.


Cette révélation nous a fait réagir, et la discussion qui s’ensuivit fut animée.


Cette fille avait-elle raison de faire ça ? Dans sa situation, en cas de grosses difficultés financières, accepterions-nous de faire la même chose ? Peut-on trouver un réel plaisir dans ces rapports ?


Les avis étaient, pour le moins, partagés.


Sabrina refusait catégoriquement d’envisager l’hypothèse pour elle-même. Mais nous lui avons rappelé que l’éducation qu’elle avait reçue dans une famille fortunée lui permettait difficilement de s’imaginer les difficultés des étudiantes pauvres.


Lucie était plus modérée, mais ne se voyait pas en call-girl, même "sélective" dans le choix de ses clients. Carine, quant à elle, me surprit en se montrant hésitante.


J’étais la seule à dire clairement que, dans la situation de Johanna, je pourrais sans doute envisager cette solution pour poursuivre mes études et m’assurer un niveau de vie minimum.


Ma prise de position a provoqué des réactions plus ou moins vives de mes trois copines, très féministes. Mais nous étions trop amies pour que le débat dégénère.


Au lieu de ça, elle m’ont poussée dans mes retranchements, en insistant sur le fait que je ne me trouvais pas au pied du mur. Nous avions un peu bu et, de fil en aiguille, Sabrina et Lucie m’ont mise au défi de me mettre dans la peau de Johanna pour une soirée, et de vivre la situation d’une call-girl.



J’ai affirmé que je pourrais le faire, et là, nous avons parié… Je suis très joueuse, et je ne pouvais pas me dérober.


Elles m’ont donné quinze jours pour relever le défi !


Revenue chez moi, j’ai réalisé ce à quoi je m’étais engagée…


J’ai d’abord pensé que je pourrais trouver facilement un homme intéressé, qui me plairait. Ensuite, j’élaborais dans ma tête un scénario où tout s’enchaînait presque naturellement.


Je me trompais totalement !


Lors de ma première tentative, je n’ai réussi qu’à me faire humilier, et je ne vais pas raconter la scène en détail.


Je suis allée dans un bar fréquenté essentiellement par une clientèle masculine et aisée. Habillée sexy, j’ai cherché à me faire remarquer par un grand blond, très séduisant. Il m’a effectivement draguée, mais quand je me suis montrée directe et que je lui ai indiqué mes conditions, il a été furieux et m’a traitée de pute devant tous les clients.


Morte de honte, j’ai laissé un billet sur la table pour payer ma consommation, et je me suis enfuie.


Rentrée chez moi, je me suis reprise. Il n’était pas question que je perde mon pari. Il fallait donc que je trouve une stratégie plus adaptée !


Pour mon deuxième essai, deux jours plus tard, je n’ai rien laissé au hasard.


J’avais décidé d’aller dans un hôtel quatre étoiles, qui reçoit en semaine beaucoup d’hommes d’affaires et de commerciaux. J’ai téléphoné dans l’après-midi, en me faisant passer pour la secrétaire d’un certain Xavier de Ternière, et réservé une table pour deux, à 20h30.


Avant de partir, je m’étais fabriqué sur mon ordinateur des cartes de visite, avec mon prénom, la mention "escort", une photo de moi bcbg mais sexy, et un numéro de portable.


Après une bonne douche et m’être parfumée, j’ai choisi une tenue, là encore "sexy bcbg": tailleur, avec une veste sur un bustier à bretelles en voile (on voyait que je n’avais pas de soutien-gorge si elle s’ouvrait, jupe à mi-cuisses, bas dimup, escarpins à talons aiguilles.



Je suis arrivée à la réception de l’hôtel à 20h30 précises, en disant que j’étais attendue par ce M. de Ternière, pour dîner. Il m’a été répondu qu’il n’était pas encore arrivé (et pour cause !), mais que je pouvais l’attendre, soit à sa table, soit au bar.


Je me suis installée au bar, sur un tabouret haut, en découvrant fugitivement mes cuisses, et j’ai commandé une flûte de champagne. Je prenais l’air exaspéré d’une nana qui n’aime pas attendre, et un client de l’hôtel m’a remarquée: un grand brun, 35 ans environ, l’allure sportive, en costume de marque, qui discutait avec un autre homme, sans doute un collègue.


Il ne m’a pas abordée tout de suite, mais après avoir quitté son collègue, il s’est installé aussi au bar, à deux mètres de moi, et il a commandé un whisky.


Le temps s’écoulait, et il a engagé la conversation. Banale. Il s’est présenté, et se prénommait Fabien.


Voyant que je m’impatientais et que j’étais prête à partir, il a plaisanté:


- Vous aviez rendez-vous avec un homme ? Et il fait attendre une femme aussi belle que vous ?

- Oui, ai-je répondu. C’est un client, avec lequel je devais dîner.

- Laissez-moi vous offrir une autre coupe. On peut s’installer à une table, ce sera plus confortable.


J’ai accepté, me disant que c’était bien parti pour mon défi, et il m’a conduite jusqu’à une table, dans un coin peu éclairé du bar.


Il s’est fait un peu plus indiscret, me questionnant sur mon activité, et j’ai fini par lui tendre une carte de visite. Il l’a regardée longuement en souriant, et il m’a demandé:

- J’espère que vous ne prendrez pas mal ma question… Je crois deviner la nature de votre rendez-vous manqué. Accepteriez-vous d’assurer ce rendez-vous avec moi ?

- Pourquoi pas, lui ai-je répondu après quelques secondes d’hésitation (feinte, car il me plaisait vraiment). Mais seriez-vous prêt à le faire aux même conditions ?

- Dites-moi votre prix…

- Eh bien… 200 euros pour une heure, hors suppléments.


- Je crois que vous les valez bien, comme dit la pub. Mais voulez-vous m’attendre une minute ?


Il s’est levé, et s’est dirigé vers la salle de restaurant. De retour très vite, il a repris cette conversation, en me réservant une surprise.


- Bien sur, vous êtes libre de refuser. Je serais heureux de passer un long moment en tête-à-tête (clin d’oeil appuyé…) avec vous. Mais mon collègue, qui finit de dîner vous a remarquée aussi… Accepteriez-vous qu’il se joigne à nous ?

- En clair, une partie à trois, lui ai-je répondu.

- Vous avez tout compris !, me dit-il en souriant.


J’étais prise au dépourvu, mais son collègue était lui aussi un beau mec. Et je ne sais pas résister…


- D’accord, ai-je consenti, mais ce sera 500 euros de l’heure.

- Je sais que mon ami sera d’accord. Il s’appelle Patrick, et il va nous rejoindre.


Effectivement, il est arrivé très vite, s’est présenté de façon très classe, et nous avons bu une autre flûte de champagne, avant de prendre la direction des chambres.


Le réceptionniste me regarda bizarrement, mais il tendit leurs clés à mes deux compagnons, pensant que j’étais une relation de travail.


Nous sommes allés dans la chambre de Fabien, et mes deux clients ont pris une douche. Fabien le premier est ressorti en boxer. Vraiment pas mal. Puis Patrick. Un peu moins musclé, mais la bosse qui déformait son slip… Ohlala !


Fabien, m’a tendu une liasse de billets.


- Il y a 1 000 euros, tu peut recompter, m’a-t-il dit. Je ne me suis pas trompé ? Tu m’as dit 500 euros de l’heure, et avec un canon comme toi, deux heures, ce ne sera pas trop…


J’ai trouvé humiliant de recevoir cet argent, mais en même temps j’étais flattée que deux hommes acceptent de dépenser une telle somme pour me baiser. J’ai recompté les billets avant de les glisser dans mon petit sac à main, et je me suis mise debout.


- Je suis à vous, leur ai-je lancé, l’air provocant.


Ils m’ont entouré, et chacun de leur côté, ils ont commencé à me déshabiller. Je voyais mon reflet dans le miroir qui occupait toute la porte de la penderie, et ce que j’apercevais m’excitait… Moi, jouant la pute, dévêtue par ses clients.


Ils s’y prenaient bien, sans précipitation.


Ma veste a glissé le long de mes bras, découvrant immédiatement mes seins gonflés, à peine voilés par mon bustier transparent. Ma jupe a suivi. Ils ont pris un court instant pour m’admirer, avec mon minuscule string, mes jambes bronzées gainées dans les bas, mes escarpins à hauts talons. J’avais vraiment le look d’une escort de luxe.


Fabien a relevé mon bustier et l’a fait passer par dessus ma tête, pendant que Patrick baissait mon string.


J’étais nue. Les pointes de mes seins se dressaient à vue d’œil. Mon mont de Vénus tout lisse attirait le regard vers ma fente, que je sentais s’humidifier…


Je devais prendre l’initiative, si je voulais avoir l’air d’une pro !


j’ai passé mes bras autour de la taille de mes deux "clients", et j’ai commencé à baisser leurs slips. Ils m’ont aidé à les retirer complètement, et j’ai découvert deux queues à demi bandées… déjà impressionnantes ! j’étais gâtée.


Je me suis agenouillée entre les deux, et je me suis mise à les branler. Je sentais entre mes doigts leurs longues tiges se déployer et se dresser, et j’ai découvert leurs glands avec douceur.


J’ai porté celui de Fabien à ma bouche, le gratifiant de petits coups de langue, tout en continuant de branler Patrick, qui savourait, les yeux mi-clos. Puis j’ai échangé. Plusieurs fois, les suçant de plus en plus fort, leur arrachant des grognements de plaisir.


Jusqu’à ce qu’ils m’empoignent tous les deux, et me jettent littéralement sur le lit.


Ils ont écarté grand mes cuisses, pour mater ma chatte.


- La vache ! Qu’est ce qu’elle mouille !, a commenté Patrick.

- Oui, a renchéri Fabien. Et en plus, elle suce comme une reine. J’ai rarement vu une pute qui ait autant l’air d’aimer ça. Je vais la lécher, je suis sure qu’elle adore aussi. Pas vrai, petite salope ?


Je me suis sentie honteuse, humiliée. Mais aussi excitée, et encore plus honteuse de l’être. Et j’ai répondu "oui, vas-y," à Fabien.


Il a plongé la tête entre mes cuisses ouvertes, et là… Oh la vache ! C’était un as du cunni ! Sa langue savait à merveille dénicher mon clito, le titiller, se glisser dans ma fente. Je me suis mise à couler sur son visage, en gémissant, et ses doigts ont rejoint sa langue. L’extase !


En même temps, je suçais Patrick, qui me bâillonnait. Heureusement, car j’aurais sûrement crié de plaisir.


Et ils ont échangé leurs places, encore une fois. Patrick ne me procurait pas autant de sensations avec sa langue, mais j’avais à faire à deux hommes expérimentés et endurants. Je commençais à comprendre pourquoi ils me payaient pour deux heures de baise. J’allais devoir assurer…


A ce moment là, nous sommes passés aux choses…"sérieuses". J’avais apporté des préservatifs (en quantité, heureusement), et ils les placèrent sur leurs verges dressées.


Fabien s’est retiré de ma bouche. J’étais allongée sur le dos, haletante. J’avais toujours mes chaussures, il s’est replacé entre mes cuisses, et il a soulevé mes fesses en me disant:


- Maintenant, je vais te baiser, à fond. Je vais te faire gueuler de plaisir, ma petite salope. Guide toi-même ma bite.


J’ai saisi l’énorme pieu dans ma main, et je l’ai placé entre mes petites lèvres, couvertes de cyprine. D’un seul coups de reins, il m’a pénétrée. Profondément. J’ai poussé un cri de plaisir quand j’ai senti ses couilles appuyer contre mes fesses, cri vite interrompu par le gland de Patrick envahissant ma bouche.


Fabien a marqué un temps d’arrêt, au fond de ma grotte, il s’est retiré presque entièrement, et il a replanté son dard dans ma fente, avec une force telle que j’ai reculé d’une vingtaine de centimètres sur le lit, en poussant un gémissement.


Alors, il s’est déchaîné. Il tenait fermement mes cuisses relevées à l’équerre, et il a commencé à coulisser dans mon antre, à un rythme infernal.


Bientôt, nous avons été en sueur tous les deux. Je ne pouvais plus sucer Patrick, tant j’étais secouée par ces coups de boutoirs, et je le branlais, pendant qu’il malaxait mes seins gonflés à me faire mal.


Je voulais jouer les pros du sexe, détachées, mais je n’ai pas pu contrôler le premier orgasme qui est monté en moi, irrépressible. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier, mais les spasmes qui secouaient mon corps en disaient long sur mon état.


Fabien s’est retiré, sans avoir éjaculé, en laissant sa place à Patrick.


- Vas-y, mon vieux. Bourre lui la chatte ! Elle adore ça. Tu as vu comment elle jouit ?


Et Patrick a pris sa place. Il m’a démonté la chatte, avec autant de violence. Je suis incapable de dire pendant combien de temps, j’avais perdu conscience de la réalité, tout mon corps semblant se concentrer dans ma fente ouverte. Impossible de me contrôler. J’ai joui encore. Et cette fois, j’ai crié, mais Patrick s’est contrôlé lui aussi.


Mes deux clients ne m’ont laissé aucun répit.


Je me suis retrouvée à genoux sur le sol, en levrette, et Fabien a réinvesti ma chatte. Cette fois, Patrick s’est agenouillé aussi, face à moi, pour que je le suce. Chaque coup de reins de Fabien me projetait en avant, enfonçant le gland de son copain jusqu’au fond de ma gorge.


Ils semblaient ne jamais se lasser, et j’ai commencé à sentir la fatigue. Ils étaient manifestement décidés à me prendre, chacun leur tour, dans la même position.


J’essayais toujours de contrôler la montée de l’orgasme, et cette fois, Fabien a laissé la place à Patrick, sans que j’ai joui.


Mais ce n’était que partie remise. Au bout de quelques minutes, un tsunami est monté de mon ventre, et je me suis mise à hurler, sans me soucier des autres clients de l’hôtel qui pourraient m’entendre.


Je bougeais mes hanches, je contractais ma chatte autour de la bite de Patrick, et j’ai réussi enfin à le faire jouir.


Je n’étais pas quitte pour autant, car Fabien s’est rué pour s’agenouiller entre mes jambes écartées. Sauf que, ce n’était plus mon abricot qui l’intéressait…


Il a écarté mes fesses, craché dans ma raie, inondant de salive ma rondelle, qu’il s’est mis en devoir de préparer avec ses doigts.


Il était d’une adresse diabolique. En quelques minutes, il m’avait dilatée, et j’étais prête à le recevoir.

J’apprécie la sodomie, quand elle est pratiquée avec art, et c’était le cas. Je me suis cambrée, provoquant un nouveau commentaire de Fabien:


- Regarde ! Elle a envie de se faire enculer, cette salope… Quelle pute ! Elle nous en donne pour notre fric… Attends, ma Chloé, je vais te faire encore gueuler.


J’ai senti l’énorme gland pousser contre mon petit trou. Malgré sa taille, il a l’entrée de mon petit orifice qui se détendait pour s’offrir, presque malgré moi. Et il s’est enfoncé…


Oh putain ! Quel engin !


J’ai cru que je ne pourrais pas le recevoir en entier. Malgré mon désir, j’avais mal. Mais Fabien savait être patient. Je sentais son gland progresser doucement dans mon anus, en marquant de courtes poses, et son pubis a fini par se coller contre mes fesses.


Il a bougé, d’abord doucement, attendant que je remue mes hanches pour l’encourager. Même à ce moment-là, il se contrôlait encore, et il faisait aller et venir doucement son énorme membre dans mon petit cul.


Jusqu’à ce que je pousse un premier gémissement de plaisir. Alors, il a commencé à aller et venir, de plus en plus vite, jusqu’à me défoncer frénétiquement. Pas pour très longtemps, car cette fois, il a éjaculé, et un orgasme foudroyant m’a terrassée.


Il s’est retiré, et je me suis laissée tomber sur le sol. Épuisée. Ruisselante de sueur.


Les deux hommes, debout, me regardaient avec les yeux brillants. Ils débandaient enfin et, un court instant, j’ai cru que je les avais satisfaits, et qu’ils allaient en rester là. Erreur…


- On va faire une petite pause, pour que tu récupères, chérie, a asséné Fabien . Parce qu’on en a pas fini avec toi, ma salope ! Rappelle-toi: deux heures !

- Je commande du champagne, pour te doper un peu, a renchéri Patrick, en décrochant le téléphone pour appeler la réception.


Les deux hommes ont noué une serviette de bain autour de leur taille, et je me baissais pour ramasser quelques vêtements, quand Fabien est intervenu:


- Non, toi, tu restes à poil. J’ai envie de voir la tête du serveur quand tu vas lui ouvrir.


J’ai essayé de négocier. En vain. J’ai enlevé mes bas, tachés par les coulées de ma cyprine, et j’ai remis mes chaussures.


Une minute après, j’ai entendu quelques coups frappés à la porte de la chambre. J’ai du ouvrir…


Le garçon d’étage a eu du mal à cacher sa surprise en me découvrant, entièrement nue, juchée sur mes talons aiguilles, les cheveux ébouriffés, et en apercevant le désordre du lit et mes vêtements éparpillés.


Fabien a débouché la bouteille et a rempli les trois flûtes, tout en discutant avec Patrick, comme si j’étais transparente.


- Tu vas voir, son cul… C’est un régal ! Étroit, bien serré, comme je les aime. Défonce-la, elle adore ça. Une vraie salope.


Puis, en s’adressant à moi:


- J’ai du mal à croire que tu sois une vraie pute. Tu aimes trop ça, et la manière dont tu jouis… tu ne simules pas. J’ai plutôt l’impression que tu fais ça pour le plaisir.


J’ai eu du mal à le convaincre du contraire, inventant des histoires de difficultés financières et de projet de reprise de mes études.


Mais cet intermède de conversation a été de courte durée. Aussitôt les flûtes vidées, Patrick m’a empoignée par le bras, et m’a fait mettre à quatre pattes.


- Allez, petite salope, tu n’es pas là pour te prélasser ! j’ai envie de goûter à ton cul, après ce qu’a dit Fabien. En position !

- Et tu vas me sucer pendant ce temps-là, a ajouté Fabien.


Aussitôt agenouillée, il m’a planté sa bite dans la bouche, sans autre préliminaire. Et j’ai ressenti une violente douleur sur une fesse: Patrick venait de m’asséner une claque magistrale.


- Cambre toi, petite pute, m’a-t-il ordonné.


Bâillonnée de nouveau, je ne pouvais pas protester. Juste gémir, faiblement. J’ai obtempéré, mais toute une série de nouvelles claques, encore plus fortes, s’est abattue sur mon petit cul. Au bout d’une dizaine, j’avais l’impression que mes fesses étaient en feu. Je n’étais jamais assez cambrée, écartée à son goût…


Enfin, il a enfilé un nouveau préservatif, et s’est agenouillé entre mes jambes. C’était presque une délivrance de savoir que cette fessée allait s’arrêter. Même si c’était pour me faire enculer.


Lorsqu’il a présenté son gland à l’entrée de mon anus, je me suis rendue compte que ce traitement sadique m’avait excitée. J’étais déjà un peu ouverte, et il n’a pas eu besoin de me préparer beaucoup pour pouvoir m’enfiler.


J’ai abandonné quelques secondes la verge de Fabien pour pouvoir crier mon plaisir, quand j’ai senti les couilles de Patrick se coller contre mes fesses, et son dard remplir mon cul.


Fabien m’a empoignée par les cheveux, pour me forcer à poursuivre ma fellation, et Patrick s’est déchaîné, sans attendre que ma rosette se détende davantage. C’était violent, presque animal, mais je ressentais une excitation incompréhensible, mélangée à l’humiliation d’être traitée ainsi.


Je ne voulais pas jouir. Je ne voulais pas donner cette satisfaction aux deux salauds qui se servaient de moi comme d’un simple objet. Mais cette bonne résolution a fini par être balayée, au bout d’une dizaine de minutes de sodomie et de fellation.


Mes deux "clients" étaient endurants. Plus que moi. L’orgasme est arrivé, foudroyant, et j’ai crié si fort que, malgré le préservatif, j’ai senti que Patrick éjaculait dans mon ventre.


Patrick s’est retiré aussitôt, il a enlevé son préservatif, et il a exigé que je suce son gland plein de foutre, tout en reprenant ses commentaires avec son copain:


- Tu avais raison ! Quel cul ! Et je n’ai jamais vu une fille arriver encore à jouir après s’être fait défoncer aussi longtemps. Même une pute.

- Je te l’avais dit, lui a répondu Fabien. Avant de la laisser partir, on pourrait la prendre encore une fois. En double. Je suis certain qu’elle fait ça très bien aussi.


Patrick était d’accord. Évidemment. Et personne ne pensait à me demander mon avis !


Fabien a rempli de nouveau nos flûtes de champagne, et il a fini de vider la bouteille. J’ai compris que cet "intermède" permettait à Patrick de "recharger les batteries" pour le "bouquet final"…


Ce salaud a quand même voulu me branler avec le goulot de la bouteille, pendant que je buvais ma flûte.


Il a fallu que je m’installe sur le bord du lit, cuisses écartées, le buste en arrière en appui sur un coude. Jamais je n’avais eu autant honte de moi. Mais malgré tout, le contact du goulot froid, entre mes petites lèvres, investissant ma fente… mmmm.


Dès que nos verres ont été vides, les deux hommes ont enfilé de nouveaux préservatifs. Toutes mes forces m’avaient abandonnée, et je regardais maintenant avec une certaine appréhension les deux énormes queues dressées.


Patrick s’est allongé sur le lit. Pas besoin de me faire un dessin… J’ai pensé un instant essayer d’en finir au plus vite. Comme si je ne connaissais pas l’endurance de ces types.


J’ai chevauché Patrick, empoigné sa bite dressée, pour la guider vers ma fente, qui restait maintenant constamment ouverte et gluante de cyprine. Dès que j’ai senti son gland entre mes petites lèvres, je me suis laissée redescendre, m’empalant à fond sur lui.


- Tu as vu ?, a dit Patrick en rigolant. Elle est vraiment prête à tout, cette pute.

- Elle ne va pas être déçue, a rétorqué Fabien, en se plaçant derrière moi, et en m’obligeant à me pencher. Cambre-toi ! Offre moi ton cul.


Comme je n’obéissais pas assez vite, il m’a de nouveau collé une énorme claque sur les fesses, suivies d’autres. Il avait compris que je réagissais bien à ce traitement, et ça l’excitait manifestement.


Il a bloqué mes hanches, et s’est enfoncé entre mes fesses. Mon petit trou restait maintenant bien ouvert, et j’ai senti son dard progresser, progresser… Je n’avais pas eu l’impression qu’il était aussi long!


Il est resté quelques secondes immobile, son gland tout au fond de mon petit cul puis, d’un seul coup, il s’est retiré presque entièrement, avant de me perforer d’un grand coup de reins. J’avais beau m’y attendre, je n’ai pas pu retenir un cri aigu, qui a fait rire les deux hommes.


A partir de ce moment, j’ai été un jouet, une poupée de chiffon, dans leurs bras musclés.


Fabien me défonçait le cul de toutes ses forces, me propulsant en l’air, me retenant par les hanches ou par les cheveux, pour que je reste quand même emmanchée sur leurs pieux. J’avais l’impression que la mince paroi qui séparait leurs bites allait se déchirer.


Au départ, ce double coït était si violent qu’il ne me procurait aucun plaisir. Puis, progressivement…


La douleur qui vrillait parfois mes orifices distendus, mon clito s’appuyant sur le pubis de Patrick, les décharges électriques qui parcouraient régulièrement mon point g… Un plaisir étrange m’envahissait à nouveau. Pas celui qu’on ressent dans d’autres rapports sexuels, mais une excitation animale.


Et j’ai fini par jouir. Je ne saurais dire au bout de combien de temps, mais j’ai réussi à jouir, encore une fois !


- Putain, elle jouit encore, cette salope, a commenté Fabien. On ne s’arrête pas là, on échange !

- Attends, on va la changer de position. Ca l’excitera peut-être encore plus.


J’étais à demi inconsciente, incapable de résister.

Ils n’eurent aucun mal à me relever.

Ils changèrent leurs préservatifs, et Patrick est resté allongé.Fabien m’a empoignée, pour m’obliger à m’asseoir sur la verge de Patrick, dressée à la verticale. Sans effort, ma rosette béante est venue la coiffer, et je me suis laissée enculer ainsi.


Patrick m’a maintenue, le buste en arrière, pendant que Fabien plongeait son énorme bite dans ma chatte, endolorie, brûlante. Et il s’est mis à aller et venir dans mon antre, faisant coulisser mon petit trou sur le chibre de son copain.


Je ne parvenais plus à réagir, me contentant de m’offrir sans protester aux deux hommes.


Ils n’étaient pas habitués à me voir passive. Pour m’exciter à nouveau, ils ont commencé à malaxer mes seins, de plus en plus brutalement. C’est Patrick, le premier qui a pincé mes tétons. Fort. Très fort. Les tournant entre ses doigts, jusqu’à ce que je crie de douleur.


Loin de les arrêter, mes cris les ont plutôt encouragés.


Ils continuaient de r mes seins, de défoncer mon minou et mon petit cul.


Alors, la honte m’a envahie.


J’ai senti que j’allais jouir. Je n’en avais plus vraiment la force, mais c’était bien un orgasme. Et je me suis tordue de plaisir en gémissant.


Ils n’en revenaient pas. Et à vrai dire, moi non plus. Me sentir me tortiller, frêle, coincée entre leurs deux corps musclés, leur fit perdre la tête.


Ils se sont retirés, m’ont mise à genoux, ils ont littéralement arraché leurs préservatifs…


Instinctivement, j’ai ouvert la bouche. Et deux torrents de sperme se sont déversés entre mes lèvres, sur mon visage, mes épaules, mes seins.


Et je suis tombée sur le parquet, étendue sur le dos, les yeux fermés, la respiration haletante. Mes cuisses sont restées ouvertes, dévoilant sans pudeur mes orifices encore ouverts et enflammés.


Enfin, ils m’ont aidée à me relever.


Ils sont partis prendre une douche. J’ai profité de leur absence, j’ai juste remis ma jupe et ma veste pour cacher ma nudité, et je me suis enfuie.


En me voyant traverser le hall, dans ma tenue en désordre, mon visage encore barbouillé de sperme, le personnel a du se demander ce qui m’était arrivé.


J’ai repris ma voiture, je suis rentrée chez moi comme une automate, et je me suis jetée dans mon lit, humiliée, honteuse. Il a fallu que je sorte les 1 000 € de mon sac le lendemain matin pour me rendre compte que tout cela avait été réel…


Deux jours après, je me suis retrouvée avec Carine, Sabrina et Lucie, dans le bar où j’avais accepté ce pari de dingue.


Je leur ai raconté les deux heures passées avec mes deux "clients". En me gardant bien de leur révéler les détails les plus scabreux.


Nous sommes habituées entre nous à la plus totale franchise, mais Sabrina a eu du mal à me croire. Il a fallu que je montre les 1 000 euros que j’avais extorqués aux deux hommes pour qu’elle accepte de reconnaître qu’elle avait perdu son pari…


Il faut dire que l’enjeu n’était pas négligeable : un week-end en thalasso dans une station huppée !


Mais je me suis bien jurée de ne jamais recommencer. Trop risqué. Et trop humiliant.

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