La Tribu De Tallana
Tallana est issue d'une tribu habitant les forêts vierges de l'équateur.
Sa tribu y vit à l'abri de l'homme moderne et du rytme de vie effrenné
qui s'y rattache. Depuis des millénaire l'harmonie règne au sein du clan
et chaque individu, homme ou femme, y réside à sa guise. Personne n'est
de faire quoi que ce soit. Le travail étant bénévolat, tout le
monde réalise ce qu'il aime et s'occupe de sa famille. Le mariage n'existe
pas en soit mais certains couples ou trio résident dans la même hutte
par un choix qui ressembe à celui du mariage dans les pays industrialisés.
Les autres choississent de faire l'amour quand ils le veulent et avec qui
ils veulent, tant, évidemment qu'ils réussissent à courtiser la gente
désirée. Bref, rien de contraignant, du bonheur à profusion.
Tout fut bousculé en ce jour que je vais vous raconter. Le soleil était cuisant
et les femmes se prélassaient le long de la rivière. Se faisaient bronzer
la peau, nageaient... Tallanna y était. Elle s'était assise sous une douce
chute d'eau se laissant caresser par les courants qui léchaient sa peau dorée.
Elle acompagnait l'eau tiède par ses douces mains qui se promenaient de ses
longs cheveux bruns à ses joues, ses lèvres, ses seins dont elle prenait
plaisir à s'attarder aux bouts sensibles qui lui donnaient des sensations
si agréables, ses reins, ses fesses... Parfois, elle aimait bien frôler son
sexe mais ne s'y attardait pas trop. Bien qu'elle ressente de vives sensations
à son contact, sa virginité lui enlevait l'assurance dont elle aurait
eu besoin pour se permettre de se masturber et de jouir à profusion.
En fait, elle avait peur de se désillusionner sur le plaisir possible.
Tant qu'elle ne faisait qu'imaginer le plaisir pensait t-elle, il pouvait
être sans limites mais en l'expérimentant,elle avait peur que ce soit
tellement peu comparé à ce qu'elle imaginait qu'elle soit déçue à tout jamais.
Elle étira la langue pour ressentir l'eau et l'avaler, elle lécha ses lèvres
et ferma les yeux. Tout était si bon. Tout à coup, un grondement se fit entendre
et le sol trembla. Elle s'effondra sur la pierre et la tête sous l'eau elle
ne pouvait plus respirer. Elle roula plus loin sous les spasmes du sol et se
retrouva hors de la chute d'eau, elle était dans la rivière, elle se releva
sur ses jambes et essaya de reprendre ses esprits. Le ciel se couvrait de
fumée, le soleil disparaissait et un feu d'artifice sembla faire briller le
ciel vers le sud. Les gens couraient vers le nord, les hommes arrivaient du
fond de la forêt appeurés. Que se passait-il ?
Elle couru elle aussi sans savoir la menace qu'elle laissait derrière elle.
Tous se rassemblèrent autour d'un feu, au centre du village, que les anciens
avaient allumé. Les anciens savaient. Ils avaient déjà vu il y un siècle
cette menace qui avait prit la vie de plusieurs d'entre eux : le volcan du soleil.
Ils avaient associé le volcan au soleil parce que la lave avait la couleur
du soleil couchant, que le soleil faisait toujours place au volcan en
arrêtant de briller lorsque celui-ci faisait rage et que la chaleur de la lave
était celle du soleil. Ils expliquèrent à la tribu que le soleil ne reviendrait
probablement pas si on ne faisait pas le sacrifice d'y jeter une jeune
vierge comme ils avaient fait il y a de cela un siècle. Par un hasard
comme la vie nous en envoie parfois, après ses paroles, le volcan se calma et
la lave, bloquée au creux de la rivière, durcissa. Mais la fumée qu'il
avait produit cachait toujours le soleil.
Tallana était une des vierges du village qui pouvait être envoyée au volcan.
Elle était terrifiée.
Elle pleurait, pleurait, s'étouffait dans toutes ses larmes et suppliait ses
parents de la protéger. Calmement, sa mère lui prit la main et fixa ses grands
yeux bruns. Elle tenta de prendre un air rassurant et lui dit : «Chérie,
une seule chose peut te sauver... tu ne dois plus être vierge». Ces
paroles effrayèrent la jeune fille. Comment ses parents pouvaient-ils
lui demander une telle chose ? Son père s'approcha à son tour et lui dit
«Si tu veux, je connait un garcon très bien, il saura t'enseigner». Va au
nord, près de la deuxième rivière, recherche un gros rocher, une cabane
s'y trouve. Il y vit. Dans cinq ou six heures tu devrais y être». Elle
hésita, interloquée par ces paroles mais sa mère lui tendit une gourde
d'eau et des noix. Tallana les prit et parti. Elle marcha dans la forêt
sauvage,au début ne remarquant rien, encore sous l'effet de la panique,
puis elle remarqua les oiseaux, la beauté des fleurs... elle arriva enfin à
la rivière : elle voyait le gros rocher. Elle le grimpa pour voir de
l'autre côté. Le coin était paradisiaque ! La rivière qui entrait sous
le rocher ressortait de l'autre côté et de nombreuses fleurs géantes
hébergaient une faune fascinante. Elle descendit pour appercevoir une
cabane de bois rond. Ce devait être là.
Devait-elle y aller? Elle avait peur d'être déviergée mais, elle
avait encore plus peur d'être précipitée dans une marre de lave.
Elle cogna faiblement à la porte. Personne ne répondit. Elle avait
vraiment peur, elle allait fondre en larmes quand derrière elle l'homme qui
venait d'arriver l'apperçu. «Mais qu'est-ce qu'une demoiselle vient
faire dans un milieu aussi sauvage?»
Il était beau, dans la trentaine, presque dix ans de plus qu'elle.
Une carrure parfaite, une machoire à faire rêver, une barbe de
deux jours, les yeux verts,les cheveux bruns courts mais tout de
même assez longs pour virevolter par le vent. Une hache à la main,
il venait probablement de couper du bois. Comme seul vêtement, un
cuir attaché à la taille. Une vision de rêve qui l'aurait fait
mouiller tout de suite si elle n'était pas si figée par la trouille.
-«mon...mon père m'a envoyée»
-«probablement te croit-il plus en sécurité ici, puisqu'on est plus loin
de la lave mais il peut se rassurer, la lave ne dépassera pas la rivière.»
-«euh...en fait, je...»
Il y eu un silence, elle n'osait pas parler.
«Les sages du village ont choisi de jeter une vierge dans le volcan et...
je suis terriblement en danger»
-«Malheureusement, petite demoiselle, les sages viendont te chercher ici aussi,
je vis seul mais ils savent ou j'habite... a moins que je ne comprenne que
tu ne veux plus être vierge, c'est ça?»
Elle baissa les yeux au sol, rougit, puis blanchit, elle était terrorisée.
«Calme toi, il passa la main dans ses cheveux, lui releva le visage,
observa ses yeux au bord des larmes et lui sourit, tu vas voir, tu vas
beaucoup aimer, relaxe jusqu'à ce soir, profite de la rivière, cueille des
fleurs et ammène les dans la cabane, ce soir tu verras, ce sera sublime».
Déjà elle se sentait rassurée, peut-être que son père avait eu raison,
après tout, il ne l'aurait pas envoyé dans les griffes d'un méchant homme.
Elle fit ce qu'il lui avait proposé, elle se baigna dans la rivière, écouta
les oiseaux, cueilla des fleurs, puis elle entra pour les mettre sur la table.
Quand elle ouvrit la porte une odeur de cèdre l'ennivra immédiatement.
Elle adora tout de suite cet endroit.
une table carrée, à droite, sous une fenêtre, un évier avec une pompe
à main et au fond à gauche un lit fait de feuilles fraîches et de fleurs
qui couvrait une grande partie de l'endroit. Il y avait aussi une armoire.
Tout était en bois et décoré avec goût. Beaucoup de peintures d'animaux
et de paysages couvraient les murs. Elle prit un pot, pompa l'eau en
utilisant toute sa force et y déposa les fleurs dont elle orna la table.
Il revint à se moment. Il avait recuilli une ruche. «Tu te sens mieux?
Elle acquiessa de la tête. Si tu veux, endors toi, je te réveillerai pour
le souper». Il lui souriait et était d'un calme appaisant. Toute la fatigue
de la journée l'envahissait et elle trouva l'idée fort plaisante. Aussitôt,
fut elle couchée qu'elle s'endormit. Quand elle se réveilla, le souper était
prêt. Il avait allumé des chandelles, peut-être pour le romantisme mais surtout
parce que la fumée du volcan ne laissait pas transparaitre les faibles rayons
du soir. Il retira une chaise qu'il lui offrit, elle s'assied, une odeur ennivrante
et délicieuse lui rappela qu'elle était affamée. Il servi des coques qu'il
avait rammassées près de la rivière sur une sauce blanche rehaussée par des
fragments de racine au goût très relevé. Elle n'avait jamais rien mangé de si
bon. Quand elle eu fini il apporta la ruche. «Tu as déjà mangé à même une ruche?»
Elle fit signe que non et il l'ouvrit avec ses mains, le miel lui coula le
long des mains et il déposa les deux fractions sur la table. Il lui présenta
un doigt pour qu'elle goûte, elle étira la langue, prit le doigt dans sa
bouche et suça le liquide sucrée dont elle se gavait goûlument. Elle ne se
rendait pas compte que le moment devenait particulièrement érotique, tout
était si parfait! Elle devait s'étirer au dessus de la table pour
accéder à son bras qu'il n'allongeait pas complètement, il lui paru donc
naturel de se lever et de venir s'assoir près de lui. Il se retourna
face à elle, Tallana lui prit la main dont un seul doigt avait été nettoyé et
les yeux complices, elle lécha les autres doigts les uns après les autres.
Puis elle remonta le long de son poignet ou le liquide avait glissé. Il lui
tendit un morceau de la ruche, elle y risqua la langue puis voulu en prendre
une croquée et s'en gomma les joues. Il glissa un doigt sur sa joue, y
recueillant du miel qu'il lécha puis s'approcha d'elle, il glissa sa langue
le long de ses joues, puis, sur ses lèvres charnues. Le coeur de Tallana
palpitait, elle était soudainement très chaude. Elle sorti la langue pour
goûter les lèvres de cet homme ennivrant et, tout de suite leur langues se
mélangèrent, il la prit par la taille, la souleva et l'assoya sur ses cuisses,
chacune des jambes de Tallana de chaque côté de son ventre plat. Il l'entoura
de ses bras et l'embrassa longuement. Elle était si bien! Son sexe était de
plus en plus chaud et elle ressentait le membre de son partenaire qui
s'érigeait, de plus en plus dur. Tout en l'embrassant, cette fois plus
fougeusement, d'une main, lui caressant les cheveux, de l'autre main
il lui enleva sa robe en suède. Elle aurait aimé avoir plus de vêtements
pour ne pas se retrouver nue d'un coup mais dans les tribus il était
farfelu de vouloir se couvrir d'autant de tissus. Elle détacha, le cuir
qui recouvrait un membre dur et impressionnant. Il l'embrassa dans le
cou et descendit lentement vers ses seins. Ils étaient durs et à fleur
de peau, chaque courant d'air la faisait jouir. Aussitôt qu'il eu posé sa
bouche sur ses jeunes seins elle révulsa les yeux et aggripa fermement
l'épaule de ce mâle merveilleux. Elle adorait. Il les lécha et les
agrippa de toutes ses mains, les modelant à sa guise. Puis, il descendit
vers son ventre, mais dû aux tressaillements de la jeune femme, il
comprit qu'elle avait de la difficulté à contenir son exitation. Il ne
se rendit donc pas jusqu'à son sexe. Pas tout de suite. Elle devait
reposer son corps d'autant de sensasions. Pendant ce temps elle pourrait
bien lui en donner, à lui aussi. Il ne lui proposa pas de lui faire une
fellation pour ne pas la brusquer mais puisqu'elle n'en prenait pas
l'initiative, attendant la suite des événements, il échappa volontairement
du miel sur sa queue qui ne demandait qu'à être sucée. Il lui envoya un
regard dominateur, bien que cela ne l'obligea à rien mais elle comprit
ce qu'il voulait et s'agenouilla près de lui, elle lui renvoya le regard,
de la jeune femme soumise, elle aimait être enveloppée de sa protection,
ressentir qu'il contrôlait la situation. Elle lécha ses testicules puis
son pénis en s'attardant sur son gland. Elle découvrait des formes pour
elle inconnues, elle prit son membre dans sa bouche et le suça, ce geste
que tous les bébés font d'instint pour découvrir leur environnement
la ramena dans le bien-être de son enfance. Depuis, on lui avait
interdit de sucer son pouce et privée du sentiment rassurant que
ça lui apportait. Maintenant, elle pouvait recommencer, ce mouvement
dans sa bouche lui plaisait... elle adorait même. Elle léchait et suçait
de facon si gourmande qu'on aurait dit qu'elle ne se fatiguerait jamais.
Il bandait et jouissait, il était de plus en plus chaud, elle était bonne
et si belle à voir. Il lui caressa les cheveux puis la souleva, il la
pris dans ses bras, elle s'appuya sur son torse viril et il l'emmena
jusqu'au lit. Il s'imposa par dessus elle, ne lui donnant
pas de voie de sortie en quelque sorte. Il aimait dominer les femmes,
il se sentait puissant. Bien sûr, si elle avait voulu arrêter, il
le lui aurait permi mais tant qu'elle voulait continuer elle
ressentait une certaine soumission grâce aux postures qu'il adoptait.
Il fit glisser son torse sur ses seins et caressa sa propre figure en la
faisant glisser le long de la tête de Tallana, dans ses cheveux.
Il frôla son nez sur la joue de la jeune femme,
et leur lèvres se rejoignirent. Ils s'embrassèrent et il fit glisser
une de ses mains le long du corp de la jeune vierge pour se rendre
jusqu'à son sexe qu'elle avait rasé, vieille coutume de la tribu.
Il la caressa, elle mouillait beaucoup, elle était prête. Plus besoin
de préliminaires, il appuya son gland contre l'entrée du vagin puis
poussa lentemment. Il entra complètement, elle convulsa. S'était
exitant, la libido de la jeune fille se mélangeait à son adrénaline.
Elle jouissait profondément. Il entama quelques aller-retour puis,
il l'a fit se retouner, à quatre pattes. Il la caressa jusqu'à ce
qu'il la sente en confiance, lui embrassa les fesses puis l'enfila
une seconde fois. Elle gémissait, elle se contrôlait à peine. Puis elle
eu un orgasme. Elle s'effondra sur le lit. Il se retrouva ainsi hors d'elle.
Elle avait encore des convulsions. Il la serra dans ses bras. Elle
pleurait, non pas de peine mais de bonheur, elle était bien mais hors
d'elle. Jamais elle ne s'était sentit si peu en contrôle de ce que
ressentait son corps. Il ne paru pas s'en offusquer, il savait.
Par contre, lui, il n'était pas venu. Il se leva, la prit une deuxième
fois dans ses bras, l'embrassa. Elle lui lança un regard interrogateur
mais il lui en relança un fort rassurant et elle se blotti dans ses bras.
Il la transporta jusqu'à la rivière. Ils y entrèrent ensemble, tout suite
les sens de la jeune fille furent revigorés. Elle savait qu'il n'était
pas venu, elle entra sa tête sous l'eau et l'avala de nouveau. «Mais c'est
qu'elle adore ça, pensa t-il, elle en redemande». Il plia les bras derrière
la tête, regarda la lune et profita du moment. Quand elle sorti la tête
pour respirer, il la re-souleva, s'assied sur le bord de l'eau et assied
le jeune femme sur lui pour qu'elle s'empale sur son membre vigoureux.
Elle s'en donna à coeur joie, elle débuta une découverte de son
corps et des sensations qu'elle pouvait obtenir beaucoup plus
approfondie, elle fit des aller-retour de très lents à très rapides,
des cercles et elle se laissa retomber d'un seul coup pour se faire empaler
violemment. Il jouissait de la voir ainsi. Il la regardait expérimenter
et n'en pouvait plus. Il se releva tout en la tenant pour qu'il
reste en elle, l'appuya contre un arbre et puisqu'elle l'avait
fait elle-même, l'assena de forts coups très profonds laissant ses
testicules frapper la demoiselle dont la mouille lui ruisselait sur
les cuisses. Elle criait, s'efforçait de respirer normalement. En
fait, elle orgasmait comme jamais. Tout était plus merveilleux
qu'elle n'avait pu l'imaginer et elle regretta de ne pas l'avoir fait avant.
Il coula en elle, il la serra très fort puis, avant qu'ils ne s'endorment tous les
deux dans les bras l'un de l'autre, elle pensa qu'elle ne passerait plus jamais un jour
de sa jeune vingtaine en s'abstinant mais qu'elle voulait baiser aussi souvent
qu'elle le pouvait... puis soudainement tout fut clair : elle allait rester ici
avec cet homme si habile.
Le lendemain, elle ouvrit les yeux, le soleil était revenu, les sages n'allaient
pas avoir à sacrifier personne. Elle s'en réjouie mais tout de suite ses
pensées allèrent ailleurs, elle regarda à côté d'elle, son beau mâle était toujours
si enchanteur. Elle caressa son torse, l'embrassa puis, puisqu'il ne se
réveillait pas, descendit ses baisers jusqu'à son pénis endormit. Tout doucement,
elle le suçotta... elle le convaincrait de la garder avec lui.
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