Laure ( Épisode 14) Au Supermarché (Variante)

Ce matin, Laure me demanda d’aller faire les courses avec elle…
Elle ôta le haut du bikini et, sur sa nudité, mit une petite robe courte et légère, de couleur bouton d’or, du genre ce celle dont j’ai parlé plus haut et une large ceinture. Elle mit des chaussures de toile à laçage sur les mollets et à talons compensés : Cela la grandissait de près de quinze centimètres : Sa robe était maintenant vraiment à ras la touffe à cause de la cambrure prononcée provoquée par ses hauts talons. Elle était plus que sexy, c’était une véritable salope exhibitionniste, une machine à faire bander ! Elle se rendit aux sanitaires où, devant la glace elle se fit avec ses longs cheveux deux couettes positionnées très haut de chaque coté de son visage. Elle prit aussi un grand sac de plage. Elle avait l’air d’une ta de quinze ou seize ans.
Dans la voiture elle remontait suffisamment la robe pour offrir son pubis à mon regard… A l’intérieur du supermarché, au contraire, son grand sac de plage accroché à l’épaule gauche, elle évitait de se baisser trop ou de s’agenouiller de peur de créer une émeute, mais gardait une posture fière, poitrine dressée, épaules en arrière, mamelons durcis. Beaucoup de paires d’yeux d’hommes, sous le regard désapprobateur d’épouses jalouses ou choquées, la suivaient, imaginant facilement son corps nu. Mais elle faisait mine de les ignorer tous. Tout le monde pouvait facilement deviner ce corps nu à peine voilé. Au dessus des jambes grandies par les talons, à l’arrière, le bas des fesses apparaissait sans qu’elle se penche. Cela paraissait moins choquant grâce à sa taille et sa coupe de cheveux qui la faisaient paraître adolescente. Et à une très jeune fille, on pardonne les excès vestimentaires.
Je regardais discrètement les hommes aux yeux rivés sur ses jambes. Ce qui leur était à peine caché, c’est ce magnifique corps bronzé, sans marques de maillot, qu’elle exposait avec nous, tous les après-midi, sur une plage naturiste.

Près de la dune, à plat ventre ou sur le dos, à même le sable fin, toujours cuisses sensiblement écartées, prétextant en brunir l’intérieur… Tantôt les pieds côté plage où les naturistes s’égayaient ainsi que quelques ‘textiles’ timides… Tantôt côté dune, où elle savait que des voyeurs se régaleraient de cette pose tant attendue… Elle appréciait toujours les rayons chauds du soleil sur son bas ventre Cette chaleur humectait sa chatte, et ses petites lèvres se dilataient alors légèrement émergeant du reste de la vulve et formant un petit calice rose et luisant… Et l’idée que quelques hommes ou adolescents soient, à coup sûr cachés là haut, derrière les touffes d’herbe augmentait encore son désir et gonflait ses grandes lèvres. Volontairement, elle passait de temps à autre de la crème solaire sur ses seins, son ventre, ses cuisses…
En profitant pour les écarter encore plus, et au passage discrètement agrandir l’ouverture de sa vulve de ses doigts… Ils devaient être là ces mâles mateurs, tout proches, les yeux plaqués sur des jumelles, se masturbant frénétiquement sur ces gros plans inespérés. Elle imaginait les litres de sperme, laissés à sa gloire, ça et là dans le sable. Avec Olivier, j’étais allé me promener un jour dans les dunes, mais en faisant un grand crochet par la plage ‘textiles’. Il est vrai que nous avons aperçu beaucoup d’hommes de tous ages, et même des garçons d’une douzaine d’années, errant dans les parages, dont certains couchés au sommet de la dune.

Pendant la queue aux caisses, près de nos caddies et au milieu de la foule compacte des vacanciers sur plusieurs files côte à côte , je m’installai juste devant elle, les doigts de ma main droite caressant subtilement cette chatte lubrifiée, certainement plus par désir qu’à cause la pénétration au camping déjà lointaine… Je ne pensais pas qu’une femme, aussi excitée soit-elle, puisse mouiller à ce point.
Je sus plus tard la cause de cette lubrification intense : Elle me dit qu’elle avait senti, dans la queue des clients, derrière elle, petit à petit, le sexe d’un homme, tendu sous un short fin, s’appliquer entre ses fesses en remuant légèrement, ce qui l’avait tout d’abord beaucoup intimidée.
.. Mais après tout ne l’avait-elle pas désiré inconsciemment en exposant son corps si peu recouvert. Chaque fois qu’elle avançait d’un pas le bâton dressé lui plaquait les fesses avec plus d’assurance. « Je me suis affublée en salope, il faut que j’assume ! » pensa-t-elle.
Elle répondit en collant ses fesses encore plus fort contre l’homme qui passa la main quelques secondes sur son ventre pour la serrer contre lui et affirmer ses intentions. Il était là pour elle, sans chariot ni provisions dans les bras. Elle laissa faire avec plaisir, d’autant que les caresses discrètes que je lui prodiguais lui faisait onduler le bassin, répondant à l’invite de l’homme de façon non ambiguë. « Je vais essayer de caresser cette chose qui se dresse pour moi » se dit Laure. Elle ajusta son grand sac de plage sur son flanc gauche et porta le bras droit qu’elle avait contre les présentoirs du supermarché à sa hanche. Là , haletante , rougissante, profitant d’un pas en avant de la cohue, elle plaça sa main tremblante sur le phallus de l’inconnu. Le short large était de jersey fin , un peu comme sa robe et elle sentit la chaleur du membre, de belle taille à travers le vêtement ; Elle le palpa jusqu’aux testicules…Et si je passai ma main dans le vêtement pour mieux sentir palpiter cette bite » Remontant discrètement son coude, elle trouva l’élastique de la taille et sa main s’engouffra alors dans le short, saisissant l’imposant cierge dont le gland perlait déjà, pour descendre malaxer les couilles...Il ne portait pas de slip. Elle imaginait un colosse de race noire, dont elle sentait déjà la transpiration forte.
L’homme se tenait serré contre elle, pour éviter les regards des clients, et sa main passa sous le coude de ce bras levé pour sa caresse et discrètement glissa sous le tissu du décolleté dorsal et enveloppa un sein de mon épouse dans sa paume, à même la peau, il s’amusa une bonne minute du mamelon durcit de l’objet de son désir , ce type de bout de sein qu’il avait sûrement repéré sous la robe avant de suivre Laure, n’est pas très répandu.
Puis se ressaisissant, craignant sans doute les curieux, la retira pour la poser sur une hanche qui ondulait, au rythme de la musique d’ambiance du supermarché. Il a bien fait comme cela un ou deux mètres, à petits pas, collé derrière Laure, le long des gondoles de vins apéritifs, sentant la main de la petite femme dont il ne voyait pas le visage lui caresser le pénis qui devenait de plus en plus chaud et dur. A un moment même, se rendant compte que le vêtement de l’homme était de coupe ample, elle lâcha le sexe pour le reprendre de la même main, mais par en dessous, l’introduisant dans une jambe du short, très élastique, côté gondole du magasin toujours pour la discrétion. Allez ma petite Laure, sort tout le bazar !» Elle osa ainsi extirper discrètement l’engin tout entier. gros et gonflé de désir, couilles comprises…
Elle avait là en main un phallus qui lui sembla gigantesque et qui palpitait entre ses doigts. Il fallait aller plus loin, d’autant que la caisse était encore à cinq ou six mètres. « Mon Dieu, Quel serpent ! serait-ce celui du jardin d’Eden qui m’est envoyé pour la tentation ? Oui serpent, je croque dans ta pomme comme Eve…Que cette queue pénètre dans mon ventre! » pensa Laure. Son désir augmentait ; elle tordit la longue verge vers le bas pour l’ajuster entre ses cuisses. « Oaouh ! Oui, je pense que c’est possible »; Le bout du sexe de l’homme souleva le bas de la robe de coton fin, se mit en contact avec la peau entre les petites fesses, glissant dans la raie du fait de sa propre lubrification… Laure vérifia que son sac de plage la protégeait un peu des regards. Et, au paroxysme de sa libido, elle écarta un peu les cuisses : Le phallus de l’inconnu arrivait au niveau de sa vulve offerte et s’y lubrifiait suffisamment … « Que va penser mon mari… Non, je ne crains rien. Comme je le connais il va aider cette grosse bête à entrer en moi ! » A cet instant je croyais que Laure se caressais par derrière, n’osant pas contrarier ma main; Puis je dus me rendre à l’évidence : c’est une bite qui était là au contact de mes doigts.
Oui, une belle bite d’homme en pleine et solide érection ! Excité au plus haut point je guidais l’engin vers sa cible…. Il s’engouffra avec mon aide dans le minou de Laure avec une grande facilité. « Ca y est, elle est en moi ! » se dit Laure. « Ahhh ! que c’est bon !» me susurra–t-elle à l’oreille. Le gros membre glissait maintenant par de très légers mouvements. Je caressais à la fois le gros phallus et la chatte de mon épouse, enfilant de temps à autre mon majeur et mon index en même temps que la verge dans la chatte de ma petite puce. Tout glissait facilement…
Les deux corps continuaient à ondoyer gentiment au rythme de las musique d’ambiance. Ils avançaient de temps à autre d’un petit pas serré dans la direction ses caisses, comme dans un Tango au ralenti : Une vraie danse de l’amour. Laure pencha le buste en avant, sur le côté gauche, faisant mine de relacer ses chaussures. Dans cette position la bite mystérieuse s’enfonçait de façon démesurée et cognait doucement au fond de son vagin. Quelle longueur de trique! Laure tout à sa délectation eut l’audace de regarder brièvement les espadrilles de son amant inconnu. Pendant qu’elle était ainsi baissée je me retournais pour voir l’homme à qui appartenait cette belle bite… A ma surprise, il s’agissait d’un homme âgé, pas très grand mais assez costaud. Son teint était halé et il devait avoir environ soixante dix ans, peut-être plus. Je lui adressais un petit clin d’œil complice qu’il me rendit. On eut dit un grand père protégeant sa petite fille des regards des badauds… Mais c’était plutôt un vieux lubrique baisant ce qu’il croyait être une adolescente. J’étais fier de savoir ma moitié ainsi offerte à un patriarche. Laure se releva, puis sentit quelques spasmes rapides de la verge bandée dans son ventre, puis un torrent chaud inonda ses entrailles, le surplus arrosant au passage mes doigts, pour s’écouler ensuite le long de ses cuisses… Je sentit la bite du vieux sortir de son fourreau douillet. Laure n’avait pas osé jouir. Déçue de ne pas profiter elle aussi du plaisir, profitant d’un pas en avant de la file d’attente, elle laissa reprendre au phallus sa place dans le short. Sa main le serrant toujours comme pour extirper les dernières gouttes de cette semence mystérieuse et s’en enduire des doigts. La verge devint molle, et resta blottie chaude et gluante, dans sa main comme un petit oiseau. J’avais remis mes deux mains sur la barre du caddie. Laure sentait le sang bouillonner dans ses tempes, elle n’osait regarder personne, les yeux fixés sur le luminaire indiquant le numéro de la caisse…Si un homme l’avait remarquée à ce point, il se peut que tous les clients aient les yeux rivés sur elle… Peut-être que dix, trente où même cent verges étaient là, autour d’elle, tendues pour elle…Elle profita de ce que je replace mes deux mains sur la poignée du caddie pour lâcher la verge molle et prendre la main de l’homme pour la guider lentement vers son ventre afin qu’il profite encore un peu d’elle et continue les caresses que je venais d’abandonner, il s’en acquitta parfaitement mais toujours avec discrétion, titillant son bouton, enduisant ses doigts de la lubrification de mon épouse mêlée d’un peu de son sperme, pour ensuite les engloutir dans le vagin avide. Cette nouvelle caresse décidée par elle, empêchait à Laure de se sentir gênée… En effet comment rester bras ballants, l’air de rien devant un homme qui vient de jouir grâce à vous, en vous… Elle aurait senti cette présence et craint de croiser son regard. Laure s’autorisa à jouir, cette fois, discrètement, fermant les yeux et me tenant par la taille. Elle replaça sa main dans le short de l’homme et recommença à malaxer la limace gluante de l’inconnu. Petit à petit la bébête reprenait de la vigueur. « Mon dieu ! Encore un effort, faites que cette bite raidisse suffisamment… Je voudrais que ce goupillon asperge encore mon ventre ! » Laure était exaucée : Le phallus était à nouveau presque raide. Quelle longueur ! On eut dit que cette verge était faite pour les intromissions vaginales par l’arrière. Sûrement au moins vingt bons centimètres. Elle plaça le membre viril maintenant dur entre ses cuisses gluantes, et c’est la main de l’homme qui guida l’engin dans son Minou. Quel bonheur… Laure basculait son bassin vers l’arrière pour recevoir au mieux son hôte.
Les caisses approchaient. Je sentais derrière moi Laure remuer légèrement. Je passai ma main sur son pubis, pour sentir des doigts épais, un peu calleux, lui caresser la chatte. En descendant je vérifiai que la bite du vieux était de nouveau en place. Laure fermait les yeux : parmi le brouhaha du magasin, elle n’entendait que la douce musique d’ambiance qui rythmait les doux mouvements de la verge dans son ventre. Laure frissonnait : elle était prête à recevoir une nouvelle giclée de liqueur tiède. « Mon Dieu, Faites que cet homme qui m’honore puisse jouir en moi encore une fois ! » Elle contractait les parois de son vagin pour augmenter leur plaisir mutuel. Le grand serpent allait et venait lentement dans son ventre. Quel bel engin ce devait être ! Jamais encore elle n’avait reçu en elle une bite humaine si grande, si grosse. Seuls Olivier et moi-même, moyennement bâtis côté sexe, l’avions jusqu’alors explorée. le corps de l’homme frissonnait contre ses fesses. « J’avais mis cette robe courte pour attiser la convoitise des mâles, et rendre jalouses leurs épouses… Et voilà que l’un de ces mâles, un inconnu, s’accouple avec moi… Avec une bite comme il est peu pensable d’en espérer une dans ces conditions ! » L’homme dégagea sa main pour reprendre un sein de Laure : les mamelons étaient gros et durs, presque obscènes. « Vas-y, je suis prête, lâche ta semence, vide tes couilles en moi » pensa Laure. Comme si j’avais entendu sa prière, je caressai la bite du vieux en appuyant l’index et le majeur sur sa tige. Environ quarante années séparaient le minou du vieux phallus : et je suis sûr que l’ancêtre pensait qu’il s’agissait plutôt de cinquante ans. La verge s’immobilisa et je sentis des soubresauts sous mes doigts. Laure aussi le sentait venir . L’inconnu déchargea une deuxième fois : de long flots de sperme envahirent à nouveau son ventre…Certainement fier d’avoir ensemencer une deuxième fois cette jeunette, l’homme remit sa queue dans son short. Il était temps : c’était à notre tour de passer en caisse. Les jambes de Laure ruisselaient de foutre tiède. Quelques gouttes tombèrent même sur le carrelage... Afin de pouvoir déposer le contenu du caddie sur le tapis roulant, Laure passa devant moi, et jamais ne tourna la tête pour regarder derrière elle l’homme qui venait de la baiser en public (mais discrètement). Pour vider le Caddie, elle plongeait le buste en avant de façon à soulever sa robe et laisser voir sa chatte mouillée à la personne qui la suivait (et peut-être même à tous ceux qui pouvaient la voir). Elle me laissa re-remplir le chariot, le dos toujours tourné à la file d’attente. Après que j’eus réglé la note, nous nous dirigeâmes vers le parking, sans qu’elle ne se retourne jamais. Une fois installés dans la voiture, elle me conta les détails de l’anecdote, et me fit voir les longues traces de sperme jaune déposées sur ses cuisses et jusque sur les lacets de ses chaussures. Et pendant que nous roulions vers le camping, sur une route isolée, elle souleva sa robe dégrafa la bretelle derrière son cou, et retenue par la ceinture de sécurité, entreprit de caresser à la fois ses seins dénudés et sa vulve, les pieds calés au plancher et imprimant à son bassin des mouvements rotatifs. « Ahhh ! tu te rends compte, hen, hen…Ahhh ! c’est seulement hen, hen… la troisième bite Ahhh ! Hen, qui me défonce… Ahhh ! et… hen, hen… je ne connaît pas Ahhh ! l’homme qui m’a Ahhh ! déchargé… hen, hen… deux fois Ahhh ! Ahhh ! dans la cha Ahhh…te, Dans le ven…Hen, Hen… tre Ahhh… Quel pied !.. Ahhh ! Ahhhhh…» Ses phrases devenaient onomatopées, elle hurlait… Sa main entière avait pris possession de son vagin. Elle atteignit un orgasme sauvage fait de plaintes et de spasmes comme elle n’en a pas souvent… Il était temps : la voiture arrivait à l’entrée du camping, elle rajusta son seul vêtement, et descendant du véhicule, nous sortîmes les provisions comme si de rien n’était.
Elle eut seulement à mettre sa robe au lavage, car elle l’avait tachée de mouille et du reste de sperme de l’homme en jouissant dans la voiture, et l’arrière portait des sortes de traces visibles de bave d’escargot laissées par la verge de son inconnu . Laure ne savait pas qui était vraiment l’homme qui lui avait fait constater son désir et avait aspergé copieusement son vagin d’une bonne dose de foutre tiède. Elle avait seulement entrevu un avant bras solide et bronzé, mais pas noir comme elle l’avait pressenti . Elle imaginait toutes les possibilités : Etait-ce un grand beau latin brun, un retraité encore vert privé de dessert par bobonne ou un adolescent boutonneux en quête d’expériences ? Peut-être aucun des trois, un ouvrier maghrébin venant acheter son casse croûte, un touriste belge ou hollandais faisant les courses pour sa petite famille, un employé du supermarché, un obsédé ayant l’habitude de repérer des proies faciles… A moins que ce ne soit un voyeur de la dune, qui, l’ayant reconnue savait qu’elle était plus qu’allumeuse, et venait toucher le corps responsable de déjà bien des orgasmes !… Et si c’était tout simplement un des vacanciers de notre camping l’ayant repérée et contemplée, depuis le début de notre séjour, souvent seins nus et en minuscule slip de bain dans les allées ou à la piscine. En tout cas ce soldat inconnu pour elle avait une flamme solide et beaucoup d’aplomb et il a fallu la réunion de deux êtres dépassant leur pudeur pour réaliser ce qui avait été fait et devait être rare. Elle avait tout faux, et n’avait pas envisagé une seule seconde l’hypothèse d’un aïeul pouvant presque être son grand père. Je suis à peu près sûr que plusieurs personne on pu voir le manège, assister à cette copulation d’une belle petite jeune femme semblant à peine mature, sexy, et d’un grand-père. Mais le plaisir et l’excitation de la scène a du être plus fort que le côté choquant…

Prendre Olivier de force, et par surprise avait été pour Laure, ce matin même, une expérience forte, quoique brèvissime…Mais c’est grâce à cela aussi qu’elle avait décidé de revêtir cette petite robe qui était sa couronne de lauriers pour parader en ville, fière de son audace et au milieu de la foule des clients dans sa semi-nudité…Et grâce à cette parade , elle savait aussi, maintenant, que la seule vue de sa silhouette pouvait exciter des inconnus au point qu’ils vinssent lui faire constater, sans aucune pudeur, leur état de fébrilité… Et qu’elle était capable d’y répondre facilement…
La porte s’ouvrait vers des expériences amoureuses avec un seul amant, tant il s’avérait facile d’appâter le gibier… Elle savait que l’homme l’avait dévisagée de la tête aux pieds avant de venir se coller contre elle…Il avait dévisagé une femme mûre, au corps de petite adolescente sportive et bronzée, femelle provocant les mâles de ses pointes fièrement dressées, ravie d’offrir son corps aux regards…Ses jambes paraissaient démesurément longues, perchées sur ses très hauts talons... Il la supposait nymphomane… Cette image ne s’oublie pas et il était capable de la reconnaître parfaitement… Pendant toutes ces vacances, chaque fois qu’un homme l’ observait fixement, elle pensait qu’il s’agissait de son inconnu… qu’elle préférait toutefois imaginer beau. De toutes façons une occasion pareille ne peut pas se présenter deux fois dans une seule vie, peut-être même pas une fois sur mille vies… Elle se sentait une femme rare, et j’étais très fièr d’elle.

Je devais avouer plus tard à Laure que l’homme du supermarché était en fait un septuagénaire ma foi bien bâti… Un homme d’un âge certainement plus avancé que celui de son propre père !

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