Garçonne

Moi je la trouvais plutôt jolie. Elle était à mon goût mais surtout je l’aimais bien comme copine. Elle aimait les mêmes trucs que moi. Elle aimait la vitesse. Le ski, les bagnoles de sport, le pante, le vol à voile, le kite-surf. C’était une gonzesse comme j’aime.
Elle bossait dans ma boîte à des activités dont je comprenais mal l’intérêt. Des trucs de finance, d’équity, de trading. Mais bon c’est pas le sujet, ça.
Moi je ne la voyais qu’à la cafétéria le midi et on bouffait ensemble souvent avec d’autres de son service ou du mien, d’autres qui n’avaient aucune importance car nous deux on parlait ensemble, juste que des trucs qui nous intéressaient nous, risque, adrénaline, aventure et saut à l’élastique du haut du viaduc...

Elle avait un look spécial. Non pas qu’elle ait été déguisée en garçon mais pas non plus qu’elle ait été habillée en fille.
Elle n’était pas maquillée et ne portait pas de fond de teint, ses yeux n’étaient pas de biche et ses cheveux courts ne brillaient pas genre Loréal Bétencourt.

Ses cheveux justement donnaient le ton et étaient coupés à la garçonne, courts et simples.

Jamais, au boulot, elle ne portait de jupe ou de robe mais plutôt des tenues de working girl pantalon sombre, même noir, fluide et chemiser clair sous veste tweed. Et sous le chemisier pas de soutif mais son buste libre de large poitrine avec ombre de nibars plats sans relief aucun, juste aréoles sombres et tétons pointus en déco sans prétention.

Moi, cette fille, je la trouvais épatante. Et j’étais, à juste titre, épaté.
Vu que je suis un garçon sérieux, je ne lui avais jamais fait d’avances.
Mais un jour j’ai eu opportunité d’invitation au Grand Prix de Monte-Carlo, terrasse dessus la ligne droite, déjeuner midi avant la course traiteur sur place après hébergement chez l’habitant local monégasque. Sorte de BnB de luxe.
Elle a dit oui des deux mains en applaudissements cordiaux d’acquiescement.



Dans ma petite Lotus décapotée depuis Montpellier, on avait l’air de deux copains en goguette. Elle dans le baquet de droite, un peu crispée des deux jambes pour résister aux accélérations latérales, les mains serrées sur les sangles larges du harnais noir Schroth. Souriante avec son air de grand gaillard sportif dégingandé.

Et moi, rien ne me génait de me trimbaler ce mec un peu gay un peu ambiguë.

En arrivant à Monaco, on a fait le tour des paddocks vu que j’avais accréditation. Puis on s’est rendus chez l’habitant qui nous louait sa terrasse. Heureusement le bagage de la collègue était mince vu que la Lotus est modeste en capacité de coffre. Elle m’a dit en riant, je ne porte que le string, aussi n’ai-je pas de grosse valise à roulettes mais seulement juste un petit sac souple Lancel.

Moi, aussitôt, j’ai pensé, mais si cette fille ne portait pas du tout de culotte, je pourrais encore faire économie de bagage ou du moins libérer un peu de place dans le coffre étroit de la Lotus pour loger ... et je me prenais à rêver de ce que je pourrais loger si cette fille renonçait définitivement au port de ces dessous manifestement inutiles et vains.

La soirée avançait et je l’ai menée en bord de plage dans une paillote branchée pour souper. Elle avait alors fait exception à ses habitudes de vêtures de garçon et portait une robe d’été légère et fluide.
On voyait bien aux simples bretelles fines sur ses épaules qu’elle n’avait ni soutien-gorge ni brassière. Et de vous à moi, cela lui allait bien, en fille un peu plate, un peu limande-sole, un peu ambiguë ... un peu garçonne.
Et moi, en sus, je me prenais à penser qu’elle avait aussi fait totale impasse sur toute autre forme de dessous d’en dessous, culotte string boxer tanga shorty slip ou similaire...
Et manifestement ce devait bien être le cas car je voyais en transparence dans le soleil couchant méditerranéen de la Principauté le velu sombre et frisé de sa touffe qui bombait, indécent le coton fin de la robe par devant.


Nous on pensait, tous deux de concert, au grand lit qui nous attendait dans la chambre d’hôtes.
Elle m’a dit, moi pour dormir je garde mes dessous, je suis pudique. Mais qu’en est-il de vous ?
Moi je répondis, un peu coincé, moi je dors toujours tout nu. Je tombe tout et j’aime serrer contre moi ma partenaire, toi par exemple, jambes cuisses emmêlées. Moi je suis comme ça.

Et on a dîné ainsi en parlant de nous bientôt dans le lit ensemble. On s’est tout dit de ce que l’on allait se faire en s’aimant un max à fond et même pire.
Ne me demandez pas ce qu’il y avait au menu dans nos assiettes...

En revanche, je puis tout vous dire des turpitudes de la garçonne dans mes bras dans la nuit.
D’abord rassurez-vous, elle a dormi dans mes bras sans sous-vêtements de nuit aucun vu qu’elle n’en portait pas de jour non plus. Elle vivait sous sa robe d’été nue de chez nue et s’y complaisait.
Elle m’a attaqué aussitôt au bitos à deux mains. Tendrement mais avec technique.

Une main, la gauche je crois, s’était emparée de mon sac à roupes et le malaxait ardemment, faisant rouler les lucques entre ses doigts. Son autre menotte avait abaissé les peaux protectrices jusque bas, dégageant mon gland totalement.

Elle a dit, mes mains sont minuscules, mains de fillette, pour empaumer ton paquet. Moi j’étais fier et levais le nez d’avoir tant à présenter. Toutefois, je pensais, encore flatterie de fille pour plaire au garçon, méfie...

Mais il est vrai qu’elle se plaisait entre mes cuisses ouvertes à triturer mon matos comme une petite fille avec son hochet avant de s’endormir, ange, sur l’oreiller.

Elle touchait le gland nu et glabre d’un pouce charnu en caresse. Et y repassait repassait, l’index bloqué sur le frein comme sur la gâchette d’une carabine.
Elle a plongé sous la couette comme un serpent pour bouffer mon appendice caudal tout humide de moiteur préséminale.
La chaleur de sa bouche et sa gorge mouillée ont déclenché une précocité hoquetante de ma part.
Mais elle n’en n’a pas été offusquée, au contraire, pompant en cadence pour accompagner mon éjaculation au fond de son gosier gourmand.

Ces deux mains petites sur mon service trois pièces au mieux de son expansion faisaient bon effet et j’avais grande tendresse pour ce gars un peu fille en villégiature cette nuit-là dans mon lit.

Elle m’a roulé une pelle pour exprimer sa satisfaction tout en me serrant fort dans ses bras courts. Et j’ai alors goûté les saveurs suaves de ma propre semence. Fleur de châtaignier...

La porte-fenêtre était ouverte sur la terrasse qui serait notre loge demain pour suivre le Grand Prix. Le ciel sur la Méditerranée luisait encore du pourpre de crépuscule. La mer respirait avec régularité de vagues et de ressac.

Son petit corps fin de long garçon musclé s’emmêlait au mien, et vu que je ne suis pas réfractaire bien longtemps, j’ai attrappé sa fesse pour l’attirer à moi et l’enfiler en douceur de toute ma longueur.
Elle était étroite et profonde. Ses villosités trempées épousaient ma tige, ma hampe fort serrée à la base et mon gland abuté au col dur du fond de son ventre.
On est restés longuement ainsi immobiles et heureux ensemble.

Elle a voulu me chevaucher et me faisant rouler est venue au dessus de moi. Deux genoux sur le drap et les bras tendus, elle ramonait doucement son abdomen d’un mouvement ample, délivrant le gland totalement, puis le réhappant à nouveau de ses deux lèvres papillon luisantes pour l’amener jusqu’au fond l’abutant au delà du dur et le serrer de muscles périnéens puissants.

J’ai profité d’une courte accalmie pour renverser la situation et reprendre la main.
Ayant déjà déchargé préalablement dans sa gorge, j’étais endurant et ai limé longuement avec ardeur. La fille chantait et guidait par son chant mon rythme, les angles de mes attaques et mon entrain.

Le moment est venu de son épanouissement et son chant s’est alors fait plus rauque plus profond.
J’ai compris que la satisfaction allait la submerger et j’ai serré ses épaules et j’ai poussé au fond tout au fond d’elle et mon bitos s’est fait géant crachant comme lance de soldat du feu du méat béant de son gland de puissantes giclées de foutre clair.

Le gars avait levé ses cuisses au ciel et me mordait le gras de l’épaule pour exprimer son bonheur.

Moi je croyais que l’affaire était faite et qu’après cet intermède sympathique nous allions dormir du sommeil du juste, jusqu’à l’aube du lendemain.
Que nenni !!!

Le gars avait compris qu’une latence s’imposait et s’est fait tout mou tout tendre dans mes bras. Sans néanmoins lâcher mon bitos toujours planté au fond de lui et qui se contractait encore à faible fréquence, lâchant à chaque fois quelques gouttes sporadiques, juste histoire de marquer son engagement.

Le calme, l’apaisement sont venus.
Mais la fille avait encore quelques velléités. Elle s’est dégagée, elle s’est retournée et j’ai cru qu’elle allait s’endormir cuiller dans mes bras aimants.
Mais ses petites fesses dures de garçon me cherchaient.

Ouvertes...

J’avais les mains, paumes sur son poitrail et je sentais les tétons tous durs de son état d’esprit. Elle vibrait de ma caresse tendue de plaisir paroxystique, comme chatte en épilepsie.

Et ses fesses me cherchaient, ouvertes cambrées trempées.

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