Fesses Nues Et Chatiment
Pas un rêve sans y trouver Marie-Claude et sans quelle y soit nue et pervertie. Cette fois contrairement aux autres je ny étais pas présente et avais limpression dassister à la projection dun film plus encore quà létablissement dun rêve. Marie-Claude occupait une fort grande villa où elle aimait se bronzer les fesses au bord de sa piscine. Ses fesses et ses seins possédaient la blancheur dun lait rose alors que le reste de son corps sétait déjà acclimaté au soleil. Elle venait de se débarrasser dun maître chanteur qui menaçait dattenter à sa carrière dactrice en faisant des révélations sur son passé pornographique : quelques vidéo et autres revues étant en sa possession quil menaçait de diffuser. Marie-Claude croyait avoir tout détruit, la mort du maître chanteur achevait déteindre son passé. Ce quelle ignorait cest que ce dernier avait fait envoyer à la police une copie de ses vidéos ainsi que quelques revues à nouvrir quau cas où il lui arriverait malheur. Sur une de ces cassettes on pouvait la voir nue en train de se faire enculer dun côté et suçant une bite de lautre ; dans les revues on la retrouvait se masturbant ou attachée à une table sous lemprise de mâles en chaleur. Quand linspecteur vint chercher Marie-Claude elle était nue comme à laccoutumée. Il lui demanda de se vêtir et de laccompagner au poste où elle serait interrogée et sans doute inculpée de . Marie-Claude plutôt que de se laisser arrêter imagina de senfuir, ce quelle fit à la seconde sans prendre le temps de voiler ses charmes. Ses grosses fesses roses pâles frappaient lair tout en marquant le mouvement de sa course. Linspecteur quant à lui ne put sempêcher de bander rien qu'à la vue de ce beau gros cul rose qui tendait de s'extraire de sa vue par la fuite. Marie-Claude cru bon de théâtraliser son départ et cria aux policiers ébahis
« VOUS NE MAUREZ PAS LE POSTERIEUR A LAIR, FOI DE MARIE-CLAUDE !!! »
Jouxtant la villa il y avait un carré dherbe où reposait depuis peu un hélicoptère flambant neuf.
Marie-Claude savait évidemment le piloter. Elle sy installa toute nue et mit les rotors en route avant de sélever lentement dans les airs. Linspecteur, qui tant bien que mal lavait suivie, eut juste le temps de sagripper à lun des patins. Marie-Claude passa au-dessus dun jardin d où lun dentre eux montrant lhélicoptère du doigt demanda à sa maîtresse dun air indigné : « Cest qui la madame toute nue dans lhélicoptère !» Elle passa ensuite au-dessus du marché et leva plus de bites en une fois que tous ses films réunis. Marie-Claude, qui projetait de gagner la frontière en passant par les montagnes, saperçu soudainement de la présence de linspecteur et commença à faire toutes sortes de grimaces aériennes dans le but évident de le faire chuter. « Tu vas aller técraser sur le sol comme une merde » dit-elle, du sarcasme plein la voix, à Linspecteur qui commençait à se dire que cette fille navait décidément pour elle que sa plastique. Tout ce cinéma finit par effrayer une colonie doiseaux qui dans la panique se ruèrent comme des égarés sur les pales du rotor. « MON DIEU ! », sécria Marie-Claude qui dès ce moment ne se soucia plus de Linspecteur, trop occupée quelle était à récupérer les fantaisies de son appareil qui perdait de plus en plus daltitude. Les aah répétés de la jeune femme signalèrent à Linspecteur lapproche dun danger. En effet une falaise tel un rempart infranchissable commençait à se dresser face à lhélico. Linspecteur estima que linstant était - le dernier quil lui restait sil voulait encore avoir la vie sauve - de faire ses adieux à Marie-Claude : il profita dune branche qui arrivait sur lui comme une main secourable, et laissa la jeune femme affronter seule un destin qui ressemblait fort à un châtiment. La suite se passa du moindre commentaire. Linspecteur put tout voir de son arbre. Jusquau bout Marie-Claude tenta dinfluer sur le cour de son destin ; mais sa mort avait décidément pris les traits de pierre dune falaise.
Au plus elle se rapprochait de linstant fatidique, au plus lexergue semblait se poser sur la nudité de son corps, un corps taillé dans le rose du désir, un corps aux seins fermes et aux fesses généreusement rebondies quoiquun peu lâches, un corps que linspecteur du haut de son arbre ne pensait pas encore à regretter. Finalement le moment vint de limpact et Marie-Claude, dont le visage se marqua soudainement dun spasme de terreur, ne put contenir un :« NON N... AAAAAH ! », tandis quelle lançait ses mains face à elle comme si elle eût voulu se protéger de la violence du choc. Sen suivit alors une explosion importante qui déchira lappareil dans mille gerbes de flammes ; une explosion qui ressemblait à un énorme orgasme de Dame justice. Linspecteur regardait, un rien excité et concupiscent, le peu qu'il restait d'une histoire qui avait choisi de s'éteindre dans la rage des flammes et Marie-Claude fesses à l'air au milieu. FIN
admin
Jan. 31, 2023
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