Mon Mari Cocu Avec Mon Patron
Cela fait maintenant 5 ans que je travaille dans cette boutique de vêtement de luxe pour femmes. Ce nest pas avec mon salaire que je pourrais moffrir les articles que je vends, mais par contre avec celui de mon mari pas de problème. Il gagne très bien sa vie. Cest un haut cadre dans une grande entreprise française, dailleurs si nous sommes ici depuis 5 ans cest grâce ou à cause dune promotion. Nous sommes originaires de Lyon et actuellement nous habitons Strasbourg. Nous avons une fille de 6 ans. Moi je suis Nathalie, 29 ans, je suis brune, plutôt mignonne selon mon entourage, 160 cm pour 50 kg et une petite poitrine. Marc, 34 ans, est mon mari depuis 6 ans, mais nous sommes ensemble depuis mes 20 ans. Jai connu dautre amour avant lui mais il est le seul à avoir eu mon cur.
Régulièrement nous faisons des soirées dans les bars et boites branchées de la ville pour promouvoir nos nouvelles collections. Le patron nous invite tous dans un bon resto puis vers 22h nous nous rendons dans le bar ou nous présentons la collection, portée par des clientes ou des étudiantes que nous sélectionnons. Lors de cette soirée, jétais particulièrement stressée car cest moi qui avais tout préparé. Jy avais passé beaucoup de temps et dénergie à choisir les femmes qui allaient défiler, les vêtements quelles porteraient, mais aussi le bar. Pendant le repas, mon patron qui sétait rendu compte de mon stress, me dit :
- Nathalie, jai suivi votre travail de près, vos choix son excellents, jaimerais que vous profitiez plus de la soirée, à partir de maintenant je reprends les commandes de la promo. Laissez-vous un peu aller, buvez du Champagne et amusez-vous.
- Merci Monsieur, mais jai tellement uvré que jaimerais poursuivre jusquau bout de la soirée.
- Je vous ordonne de vous amuser, vous avez mérité de vous détendre, à partir de maintenant, sil y a le moindre problème, ce qui narrivera pas, je le prendrais pour moi.
- Merci monsieur.
Sur ces mots, il me servit une coupe de Champagne, breuvage que jaffectionne particulièrement. Jen bus quelques gorgées, et je me détendis progressivement, libérée de la pression. Je pris plusieurs coupes encore avant de sortir du resto. Jétais déjà un peu pompette, mais comme je ne conduis pas, jai abandonné après 5 échecs à la conduite, ça navait aucune importance. Cest Nadine qui me conduisit dans sa nouvelle mini bleue avec deux autres collègues jusquau lieu du défilé. Elle est ma collègue préférée, cest même devenue une amie, une confidente. Elle est aussi une sacrée fêtarde comme on dit. Cest elle qui ma conseillé cet endroit pour le défilé, cest un bar branché où lon peu danser sur une petite piste et qui ouvre jusqu'à 4h du mât.
Mon parton soccupa effectivement de tous et vers 1h notre soirée était finie. Toutes mes collègues m'ont félicitée pour sa réussite. Je métais laissée aller à boire dautre coupe de Champ et moi qui bois très peu et rarement, javais les idées embuées. Cétait un vendredi soir et nous devions rentrer car demain un autre jour de travail nous attendait. Mon patron sapprocha de moi et me félicita à son tour, jétais très fière, cétait la première fois que je le voyais complimenter quelquun et cétait moi.
- Je vous offre votre mâtinée de demain pour vous reposer. Si vous le souhaitez, je peux vous ramener chez vous, je reste un peu avec les bonnes clientes pour les fidéliser, jaimerais que vous soyez présente, dautant que vous les connaissez mieux que moi.
- Ca risque dêtre dur demain si je reste, même en me reposant le matin.
-Je vous offre la journée complète si vous restez et je vous payerais les heures passées ici et puis de quoi je vais bien pouvoir discuter avec ces jeunes femmes.
- Daccord, je laisse juste un message a mon mari pour quil ne sinquiète pas et je reviens.
Je sors donc du bar, afin davoir un peu de calme et appelle mon mari.
- Tu ne dors pas encore mon chéri.
- Non, je regardais la télé mais je viens juste de me coucher. Tu rentres bientôt ?
- Non cest pour cela que je tappelle, je reste ici avec quelques bonnes clientes, mon patron ma donné ma journée de demain. Il est très content, la soirée était vraiment super.
- Et tu pense rentrer vers quelle heure ?
- Je ne sais pas trop, vers 4 ou 5 heures.
- Ok, bisous et à toute lheure, je taime.
- Moi aussi, bisous.
Je retournais alors dans le bar et retrouvais mon patron sur la piste de danse, javais très envie de danser moi aussi ce que je fis face lui. Je le trouvais plutôt bon danseur. Puis vint une série de danse afro-cubaine, il ne me laissa pas le temps de me quitter la piste il mattrapa par une hanche et une main et commença à me faire danser. Il me faisait littéralement virevolter sur la piste. Il me guidait dune poigne puissante, je navais quà suivre, jadorais ça, je me sentais si sur avec lui, contrairement a mon mari qui et un piètre danseur et qui souvent me lâche et ne sait jamais me guider. Il me faisait tournoyer encore et encore, jétais trop bien. Cest la première fois que je dansais avec lui et aussi la première fois que lon me faisait danser comme ça. Cétait comme dans un rêve. Je sentais sa puissance contre moi. Cest vrai quil est plutôt bel homme, la cinquantaine, grand, sportif, cheveux noirs, yeux noir, un visage carré, une peau soigné, des vêtements toujours très classe et surtout, malgré lheure tardive et la chaleur, il sentait bon. Lorsque la série sest arrêtée, pour laisser place à du R&B, je me suis collé à sa poitrine et je lui ai demandé de me serrer fort contre lui. Il la fait sans poser de question. Je me sentais toute petite dans ces bras puissants, un sentiment de vulnérabilité et sécurité à la fois. Il déposa un baiser sur mes cheveux.
- Pourrions nous continuer dans un endroit plus discret ?
- Oui, bien sûr.
En fait, cétait comme si je me réveillais, je me rendais compte quil y avait du monde autour de nous, nous étions pendant quelques minutes complètement ailleurs. Je me rendais compte aussi que je venais tacitement daccepter davoir une relation pousser avec mon patron, mais le plus grave, cétait que jallais tromper mon mari. Il me tenait par la main, je le suivais tout en étant à mes pensées. Il me mit ma veste. Nous quittions le bar, pour se diriger vers sa voiture. Je lus dis alors :
- Dépose-moi chez moi, sil te plait
- Mais tu étais daccord tout à lheure
- Jai dis ça sans réfléchir
Il me prit alors dans ces bras et la je sus pourquoi javais dis oui, de nouveau cette sensation de vulnérabilité face à lui et de sécurité face à lextérieur. Je montais dans la voiture et se dirigea chez lui. Aucun mot ne sortait de nos bouches, nous échangions des baiser a chaque feu. Arrivés dans son grand appartement, à peine la porte fermée nous échangions un baiser passionné.
Je me retrouvais nue en moins de 5 minutes, je me mis à le déshabiller a mon tour. Javais une envie folle de le sentir en moi. Je sentais mon sexe trempé dexcitation, moi qui suis toujours passive dans mes relations avec mon mari, la javais envie de donner le meilleur de moi a cet homme qui me faisait face.
- Arrête, je vais venir
A ses mots, au lieu de me retirer, je continuais de plus belle, je voulais sentir sa semence dhomme. Il mit alors ses mains derrière ma nuque et mimprima sa cadence, il me baisait la bouche. Allant de plus en plus profond dans ma gorge, il métouffait presque, je serrais ses fesses avec mes ongles. Ma chatte ruisselait complètement. Puis dans un râle bestial il déchargea dans ma bouche, jeus un haut le cur mais je voulais quil éjacule tout dans ma bouche, je ne pouvais pas tout garder, du sperme séchappa pour couler sur mon menton. Je me retirai et javalai et le regardant. Je me releva branlant toujours son sexe qui avait perdu un peu de sa vigueur. Il me dit alors :
- Tu es vraiment merveilleuse. Jai pris beaucoup de plaisirs dans ta bouche.
- Cest toi qui es merveilleux. Cest la première fois que javale, jai toujours refusé avec mon mari, mais avec toi, cest différent.
Je sentis alors son sexe reprendre de la vigueur dans mes doigts, cette situation lexcitait beaucoup. Jétais très fière de mon petit effet. Il me coucha sur le dos dans le canapé, mécarta les jambes, et enfuis sa tête dans mon minou. Juste quelque coup de langue suffire à menvoyer tutoyer les anges tellement jétais excité, il me suçait le clito, me pénétrait de sans langue, me doigtait. Puis il me lécha lanus, se fut pour moi comme une drôle de sensation, personne ne mavait léché cette endroit la, cétait vraiment très agréable et sa mexcitait encore plus de savoir que mon patron était un tel cochon quil me pénétrai lanus avec sa langue. Jeus encore un orgasme ce moment la.
Cest ce moment quil choisit pour présenter son sexe devant mon minou. Il me caressa le clito avec son gros gland, puis doucement il glissa sa verge dans mon vagin. Lentement mais dans une seule pousser, la largeur de son sexe provoqua une immense sensation dêtre enfin remplit complètement, puis son sexe atteignit une profondeur que personne navait atteins avant, se fut alors une explosion de mes sens, je ne pouvais que crier mon bonheur. Il commença à coulisser dans ma chatte, je nen pouvais plus, avais peur de mourir tellement le plaisir était intense, jamais je nai jouis comme ça dans ma vie. Il me fit lamour longtemps, jenchaînais orgasmes sur orgasmes. Puis je sentis que ce geste était de plus en plus désordonné, je savais quil allait jouir, je me concentrais pour le sentir jouir en moi. Son sexe grossi encore une fois et je sentis le sperme jaillir en moi, tout au fond de mon sexe, contre le col du vagin. Je lattirais vers moi pour lui prendre la bouche, je voulais sentir sa langue me posséder dans ce moment magique. Nous sommes rester souder quelque instant, je ne pus mempêcher de laisser couler mes larmes, cétait trop démotion en une seule fois.
Puis je réalisais que dans lexcitation, il navait pas mit de préservatif alors que je ne prends pas la pilule à cause de problèmes hormonaux. Mais je pense que cest aussi pour ça que jai pris autant de plaisir car cela fais maintenant 4 ans que mon mari na pas éjaculé en moi, nous utilisons des capotes. Je lui fais part de cette remarque et lui dis :
- Tu as bien de la chance, mon mari ne me fait pas ce que tu peux me faire.
- Tu sais, ça fait longtemps que je nai pas jouis deux fois de suite.
- Mon mari na jamais jouis deux fois de suite et il est bien plus jeune que toi.
- Jaimerais que tu ne me parles plus de lui, a quel heure tu dois rentrer.
- Vers 4 ou 5 heure.
- Il nest que 3h30, tu veux bien rester encore un peu.
- Bien sûr. Je suis à toi jusqu'à 5 heure.
- A moi ? Rien quà moi ?
- Oui.
- Regarde mon sexe, de te savoir à moi, il réagit encore
- Tu nes quun vieux cochon !
- Et toi tu es ma reine.
Nous restons allonger environ 1 heure, silencieusement, à nous caresser, nous embrasser. Nous étions nus, parfois il messuyait le sperme qui séchappait encore de mon sexe. Puis 4h30 approchant, il membrassa fougueusement, me disant que sétait le dernier avant de ma ramener chez moi. Mais se baiser séternisa, ni lui ni moi navions envie de nous séparer. Il accentua la caresse sur mes seins qui se tendirent immédiatement, il les pinça, les fit rouler, je sentais de nouveau mon sexe appeler le désir. Je me laissai aller. Il descendit vers mes seins et les embrassa, mordillant les tétons, de sa mains il les serrait comme pour en extrait du lait, de son autre main, déjà il me caressait le clito, il prenait de mes fluides sexuelles à lentrée de mon vagin pour enduire mon clito quil : caressait divinement bien. Il ma fallu peut de temps pour être de nouveau prête à laccueillir. Son sexe était bien dure mais il me demanda de le sucer, ce que je fis de bonne grâce. Je repris son bâton de chair en bouche et le suçais amoureusement, attentive a ces moindre gémissement, je coulissais le long de son sexe, remontant, lentement enduisant de beaucoup de salive pour quil sente mieux le mouvement de ma langue. Je le sortais de ma bouche, descendais pour gober ses gros testicules poilus, lun après lautre. Apres quelques minutes de ce traitement, il me guida vers sa chambre et il mit en levrette sur le lit, il admira mes fesses et ma chatte qui lui était offerte. Il sagenouilla et me lécha la chatte, puis de nouveau lanus, quel agréable sensation. Il me lécha longuement.
Nen tenant, je lui demandais de me prendre. Jexplosais en mille morceaux de plaisirs lorsque je le sentis en moi, il accéléra progressivement, ses mains me serraient fermement les hanches, il me bourrait complément, je nétais quun amas de chairs et de plaisirs, jétais à lui jétais sa chose. Je sentis quil me mettait un doigts dans lanus ce qui décupla ma jouissance, voyant ma réaction, il men mis un deuxième, il allait et venait dans mon cul au rythme de son sexe. Jeus un orgasme terrible. Son sexe sorti alors de ma chatte et ses doigts de mon cul, je me sentis vide et frustrée. Son gland se posa sur mon anus, je compris et me le regarda et lui dis :
- Non pas par la, tu es trop gros et puis je ne veux pas, je nai jamais voulu
- Mais si, tu verras, tu aimeras ça.
- Non, je te dis
- Si je te sodomise pas, je pourrais pas jouir
- Je te sucerais
- Trop tard
Il mécrasa de tout son poids la tête sur le lit, et me pénétra lanus.
- AAARGGG non pas ça, ça fait trop mal
Il poussa toute sa longueur :
- Salaud, AAAAAAAARRRGG !
Je hurlais ma douleur, mais lui, me maintenait fermement. Il stoppa sa progression puis fit quelque aller retour, la douleur était réel mais cest surtout mon ego qui en prenait un coup. Je me détendis, puis je ne pouvais rien faire dautre, je sentis quil crachait sur mon anus et il me reprit mais cette fois çi, à fond. Il me prit le main et me la portait sur ma chatte, il voulait que je me caresse le clito, il prit mon autre main et mit fit toucher son sexe qui faisait des aller retour dans mon cul. Se fut comme un déclic, je me suis sentie posséder comme jamais, jétais devenu sa chose, jétais sa femme. Je me caressa alors la chatte. Je prenais de plus en plus de plaisirs dans cette douleur. Il menculait de plus en plus vite. Il me limait tellement que je ne pouvais plus me caresser la chatte, jétais comme une poupée de chiffons, il grognait comme une bête, je jouis intensément, et eu un orgasme très puissant mais tellement différent que lorsquil était dans ma chatte. Il se retira de mon cul et me pénétra la chatte me remplit encore de son foutre malgré que je lui aie interdit de la faire, mais ça me fit énormément jouir encore cette fois.. Il sécroula à cote de moi, je me lovais sans ces bras en le remerciant de tout ce plaisir.
Il était déjà 6h lorsque nous émergeons de notre torpeur. Je veux prendre une douche, mais me dit quil préfère que je rentre comme et que je me couche au cote de mon mari avec mes orifices souillés de son sperme, jaccepte pour la forme en pensant que je me laverai avant de me coucher. Il me déposa devant chez moi. Je rentre à pas de loup, jentre dans la chambre pour prendre ma chemise de nuit, jentant mon mari grommeler que je rentre bien tard, puis il se rendormit. Je me déshabille et me couche à ses cotes, le sperme de mon patron coule de mon sexe.
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