Baisée Devant Mon Époux Par Un De Ses Amis
Norbert ma téléphoné au salon. Un de ses vieux amis est de passage, il viendra diner ce soir. Je passe commande dun bon repas chez le traiteur.
Norbert ma demandé de me préparer, mais de ne pas mhabiller, il mapporte de quoi le faire.
Douchée, maquillée, jattends.
Mon époux arrive, seul, il me tend un paquet.
- Va thabiller, mon pote arrive dans 10 minutes.
Je file dans la chambre, ouvre le paquet. Il contient un ensemble en cuir blanc, très fin. Une combinaison short et un plastron, muni dune fermeture éclair, qui sattache derrière le cou.
Des attaches pour des bas sont fixées au short.
Jenfile ma tenue avec difficulté. Cest hyper moulant. Par derrière, le cuir pénètre entre mes deux fesses, les écartant. Devant, ma chatte est moulée par cette matière souple et très fine. On la distingue parfaitement. Le plastron moule mes seins, mes tétons pointe à travers. Je remonte la fermeture éclair, cest pire, mes seins semblent vouloir jaillir à travers le cuir. De plus la matière est si fine quelle est translucide, on devine mes formes à travers. Cest pire que si jétais nue. Je complète cette tenue par une paire de bas fixés aux jarretières qui pendent du short, et une paire descarpin avec un talon de 15 cm.
On sonne à la porte. Norbert menvoie ouvrir. Mais avant, il descend la fermeture éclair de quelques centimètres.
Devant moi un mec d1 m 90, baraqué. Il marque un temps darrêt quand il me voit. Ses yeux se baladent de ma poitrine à ma chatte, sans oublié ma bouche. Je sens le vicelard, sous son regard, mes tétons bandent, bien moulés par le cuir, ma chatte souvre encore, je sens mon clito qui pointe.
Raul, cest son nom, se penche pour me faire la bise, il effleure mes lèvres, je tourne la tête et lui offre ma joue. Mais ce simple effleurement ma fait tressaillir.
Je le précède vers le salon. Je sens son regard sur mes fesses. Jaccentue le balancement de mes hanches.
Pendant toute la soirée, Raul na cessé de me fixer. Sous son regard, je me liquéfiais littéralement.
Mon short était trempé, à chaque fois que je me levais, Raul pouvait constater que je mouillais.
Norbert ne disait rien, se contentant de sourire. La conversation roulait sur leurs souvenirs, jétais un peu perdue. Norbert lui proposa de regarder la vidéo de notre mariage. A lidée de ce que notre invité allait découvrir, je mouillais. Mais je ne voulais pas assister à ce spectacle. Jallais me coucher. Excitée.
La chambre na pas de porte. Nue dans mon lit, je les entendais rire. Au début, je nentendais que le son de la vidéo. Je pouvais suivre toutes les étapes du film de notre mariage. La vente aux enchères de mes dessous, le bal, avec moi, nue, dansant avec tous ceux qui désiraient se frotter conte mon corps. Raul sexclamait « La salope, putain elle doit mouiller, se frotter comme ça à tous ces mecs ». Puis le moment fatidique arriva, mon dépucelage en public.
Raul nen revenait pas. Il commentait la soirée en sexcitant. « La salope, trois mec à la fois, tas choisis une vraie pute mec »
Silence. La vidéo est terminée. Jentends Norbert chuchoter quelque chose. Raul accepte avec enthousiasme.
Il entre dans la chambre. Je suis nue, allongée sur le ventre, cuisses écartées. Un drap recouvre ma nudité. On sapproche du lit. Quelquun écarte le drap. Je suis là, offerte, je ne bouge pas, faisant semblant de dormir.
Jentends Norbert :
- Viens, viens caresser ses fesses, elle a la peau douce.
Raul sapproche, sa main frôle mon cul, je tressaille mais ne bouge pas, offrant ma chatte et ma rosette.
Jentends des frôlements, puis le lit saffaisse sous le poids dune personne qui se couche. Ce nest pas Norbert, il est venu sinstaller dans un fauteuil face à moi.
Raul reprend ses caresses, sa main sempare de ma chatte, il enfonce un doigt dans mon con. Je sens sa bite sur mes fesses, elle est de belle taille.
- Suce-moi salope.
Je me penche sur sa queue, lèche le gland, jai une grande bouche (de pipeuse comme on me dit), mais jai du mal à lengloutir. Mes lèvres coulissent le long de son vit. Ma langue le lèche sur toute sa longueur. Je sens sa bite grossir, je mapplique, je veux lui montrer toute ma science de pipeuse.
Raul nen peut plus, il lâche son foutre. Il veut se retirer, mais je le retiens et avale toute sa purée.
- Oh la salope, en plus elle avale. Cest vraiment une bonne chienne.
Raul sécroule à côté de moi.
Je ne suis pas satisfaite. Jai envie de sa queue dans tous mes trous. Alors je mattaque à sa bite pour lui redonner de la vigueur.
Norbert na toujours pas bougé. Jai un peu honte de mêtre laissé aller, mais il mencourage du regard.
Raul est de nouveau en forme, il mécarte et minstalle à quatre pattes.
Norbert intervint :
- Tu as déjà gouté sa bouche, il te reste sa chatte et son anus. Choisit. Un détail, elle adore se faire enculer, nest-ce pas ma chérie ?
Rouge de honte, je ne pis quacquiescer.
Alors Raul mouillant son doigt avec ma mouille, se mit à me travailler le cul. Il me pénétrait de plus en plus profond, faisant des cercles avec son doigt, quand il me sentit assouplie, il entra un second doigt, puis un troisième.
Pendant ce temps, comme pour donner raison à mon époux, je gémissais de plaisir, tendant mon cul pour quil me pénètre encore plus.
Puis Raul remplaça ses doigts par sa bite, son gland appuya sur ma rosette, bien quassouplie, la taille de son engin rendait la pénétration difficile. Je me décontractais le plus possible, poussant pour faciliter le passage.
Le gland franchit enfin ma rosette, déclenchant un léger cri de douleur.
Raul a entamé un lent va et viens, sa bite memplit toute, il me ramone le conduit anal, le plaisir a remplacé la douleur.
Mais Norbert ne bouge pas, se contentant de regarder. Il a quand même sorti sa bite et il se branle. Je ne peux mempêcher de comparer sa petite bite avec celle qui me défonce le cul.
Raul ayant déjà jouit une foi, fait durer le plaisir. Je nen peux plus, Je hurle ma jouissance sous les yeux de mon époux.
Raul fini par menvoyer son foutre dans les entrailles, déclenchant un autre orgasme.
Nous sommes allongés côte à côte, Je sens le sperme qui coule de mon cul. Norbert est toujours dans le fauteuil et nous regarde.
- Alors Raul, tabandonne, il te reste un orifice à honorer.
- Je nen peux plus, ta femme est une vraie chienne, elle ma pompé tout mon foutre.
- Attend, je vais te remettre en forme.
Et sous mon regard étonné, Norbert sapproche du lit, il saisit la bite de Raul et lembouche.
Norbert suce Raul, celui-ci se laisse faire, prouvant que ce nest pas la première fois que mon mari lui offre sa bouche. Dailleurs une réflexion juste avant que Raul me sodomise me revient. Norbert mavait vanté le bien que faisait cette grosse bite dans le cul. Il avait dû y gouter.
La bite de Raul a repris vigueur. Il sapproche, jécarte les cuisses, sa bite trouve le chemin de ma chatte quil pénètre lentement. Il veut jouir pleinement de lécartement de mes chairs.
Ça y est. Il est tout en moi. Ma chatte est remplie comme elle ne la jamais été. Raul a entrepris son vas et vient, je sens la jouissance monter, ma chatte coule, Raul prend son temps. Il a déjà jouit deux fois, il veut faire dure le plaisir. Couché à coté de nous, Norbert lui caresse les couilles, il me caresse les seins.
Il ne compte plus pour moi. Seule compte cet énorme mandrin qui menvahit, qui menvoie au 7ème ciel. Cela fait au moins vingt minutes que Raul me besogne. Je ne compte plus mes orgasmes.
Raul se retire, Norbert se précipite sur ma chatte, il me suce, buvant le foutre de son ami.
Nous avons dormi ensemble, tous les trois. Moi entre Norbert et Raul.
Le lendemain, au réveil, Raul me présenta sa bite :
- Tiens prend ton petit déjeuné.
Je mexécutais avec délice.
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