Nathalie Et Les Collaborateurs
Aujourdhui, lun de mes livreurs sest décommandé, je saisie cette opportunité et les deux heures de liberté qui me sont concédés pour allée maérer et déjeuner paisiblement.
Au volant de ma petite voiture, mon esprit vagabonde et à limage de ce feu tricolore passant au vert, en un éclair, il me vient une idée. Je fais un petit passage par « La petite cabane de frite » et décide de faire une surprise à mon homme en allant le chercher à son travail. Aujourdhui, cest décidé, je vais déjeuner en sa compagnie et, peut-être quil sera mon dessert
Elégante et sexy, je ne ferai pas pâle figure : je porte un pantalon noir en stretch, il moule bien mes formes que certains trouvent vulgaires. Un joli bustier assorti et à fines bretelles, très près du corps, met mes grosses mamelles bien en valeur. Secrètement, je me dis que je vais bien les méduser les collègues de bureau dAlain ; ils parleront de moi en bien et mon homme serait fier de moi. Je devine même, quaprès mon passage, certains dentre eux iront se branler dans les toilettes en pensant très fort à moi. Jaime cette idée, les chauffer en sachant que je ne me donnerai jamais à eux et en finale, les deviner grimaçant de plaisir derrière un lavabo, les imaginer serrant vigoureusement leur verge, sastiquant avec persuasion, avant de jouir nerveusement et en abondance sur la faïence du lave-mains. Alors que je mimmobilise à un feu rouge, je pense surtout à moi et à mon plaisir : je vais sentir tous ces regards sur moi, une attention particulière pour mes grosses fesses et mes gros seins. Ce matin, je métais regardée dans la psyché et le doute mavait pris, alors pour ne pas être trop sexy, javais tout de même enfilé un long poncho noir pour cacher ma tenue, ainsi que mes rondeurs. Mes cheveux étaient tirés en arrière, en queue-de-cheval et tout à lheure, avant de quitter lentreprise, javais redonné un peu de fraîcheur à ma belle frange bombée au-dessus de mes yeux maquillés.
Nous y sommes, faute de place, je vais me garer sur lemplacement réservé aux visiteurs. Alors que je sors de mon auto, je remarque un homme, le regard braqué sur moi. Je ny fais pas attention et alors que je me dirige vers laccueil, une certaine curiosité me pousse à me retourner et à découvrir quil me regarde toujours avec insistance. Sandwichs en mains, je rentre dans le grand hall de lentreprise de mon chéri, la secrétaire de l'accueil me regarde des pieds à la tête avant de me dire :
- Je suppose que vous êtes Nathalie, lamie dAlain ?
Intriguée, je nose répondre, mais lui demande comment elle a fait pour deviner. Avec un petit sourire narquois, elle mexplique :
- Alain parle souvent de vous ! Il vous décrit comme une " charmante petite boulotte à mèche brune " !
Je lui souris timidement sans trop savoir sil sagit dun compliment... ou pas ?! Une fois dans les bureaux, ses collègues m'expliquent quil est temporairement en clientèle... Déçue, avec mes deux sandwichs en main, je me prépare à repartir lorsquun des collaborateurs me propose de lattendre bien tranquillement dans la salle de réunion. Il me dit quAlain reviendra dans une vingtaine de minutes et deux autres de ses confrères me le confirment. Je les regarde tous les trois, lallure de deux dentre eux me rassure, leurs élégances me charment et devant le déluge de sourires commerciaux, docilement, jaccepte de patienter.
La salle de réunion est très grande, une table rectangulaire sétale sur toute la longueur de la pièce. Au fond, un petit escalier mène à une estrade où trône un pupitre. En éteignant les lumières, le plus audacieux me demande de monter sur l'estrade, puis il allume un rétro projecteur qui méblouit le visage. En ombre chinoise, je les vois sasseoir
Ils sont trois ou quatre, lun dentre eux me demande de regarder le tableau des statistiques projetées au mur. Le leader commence à me faire un cours déconomie que je trouve vraiment ennuyeux, parler de son entreprise semble lui procurer beaucoup de plaisir !? Je suis lasse de ce jeu et je minterroge : mais quelle est la nature profonde de ces gens qui bandent devant des colonnes de nombres ?
Je ne sais pas ce quil se passe ! Au fond de la salle, la porte souvre, lun dentre eux appelle quelques collègues dans le couloir.
- Venez voir la meuf d'Alain !!!
À présent, ils sont une dizaine et je ne peux tous les voir, certains profitent du noir pour brailler dans l'anonymat le plus complet "À POIL !!!" ou bien "MONTRE-NOUS TES MICHES !!!", alors que tous les autres se bidonnent...
Alors que je songe à quitter cette estrade où je me sens la risée de tout le monde, un homme se veut rassurant et monte me rejoindre... Il est râblé
mais bien gras, limite obèse et franchement laid derrière ses lunettes de premier de la classe ! Quand il simmobilise près de moi, jai cette certitude : cet homme nest pas marié et ça doit faire un bout de temps quil na pas touché une femme. Il se tourne vers son public :
- Laissez la demoiselle tranquille, sinon je vais tout dire à Alain !
En disant cela, il pose sa main protectrice sur mon épaule, puis me regarde :
- Excusez les ! Ils sont éreintés, nerveux, nen dites rien à Alain !... Ce sont des jeux entre mecs ! Vous savez ce que cest ?!
Je suis pétrifiée de peur, partager entre lenvie de rester et celle de partir. A cet instant, une seule chose est soulignée par mon esprit : mon prêcheur a les dents jaunes !!! Cest une abomination et devant mon silence, il commence à caresser mon visage en me reposant cette même question :
- N'est-ce pas ? Il ne faudra rien dire à Alain... Daccord ?
Dans la salle, les autres ne disent plus rien, je ne sais plus où me mettre et comment réagir. Il profite de mon état de béatitude et ne me laisse pas le temps de répondre, il pose sa main sur ma bouche en disant "Chuuttt...". Soudain, une voix anonyme sesclaffe : « EH DIS !!! ELLE EST BONNE LA GROSSE DALAIN !!! » Quelques rires sélèvent, mon hôte nen pense pas moins et me fait pivoter, il me prend pas le bras, ses doigts tergiversent sur mon poncho. Le gros memmène sur le devant de lestrade.
- Je vous trouve bien lubrique avec la demoiselle !!! Mademoiselle nest pas grosse : à peine enrobée, mais nest-elle pas ravissante ?
En disant cela, il se permet de retirer le chouchou qui retenait ma chevelure pour la laisser glisser de chaque côté de mon visage. Ses longs doigts pénètrent ma crinière brune, à la manière dun peigne, afin de donner un peu plus de volume à mes cheveux. À cause du rétro projecteur, je suis éblouie et ne devine pas lexpression de leur visage, mais je les imagine bien, tous ensemble en train de focaliser leur regard sur ma coiffure. Certains doivent bander dans leurs pantalons de toile
Moi, mon corps entier est tétanisé, je ne bouge plus, lémotion ma submergé, je me débats avec mes certitudes et en fin de compte, je me sens bien nue face à eux. Lhomme se retourne sur moi et profite de ma passivité pour me prendre par les hanches ; lentement, il commence à me faire danser sur une musique imaginaire. Ça me rassure, je rentre dans son jeu et plus encore, quand certains commencent à donner le rythme en tapant dans leurs mains. Alors que mon cavalier entreprend de sarrêter, dans le public, dautres lincitent à poursuivre :
- Vas-y !!! Tu lemballes !!! Vas-y !!!
Maintenant, il se colle derrière moi et passe ses mains sous mon poncho, il y cajole ma généreuse poitrine... Les deux mains de mon peloteur déforment le fin tissu de mon bustier, des doigts habiles et coquins font glisser les bretelles sur mes épaules
laissant tomber le petit artifice à mes pieds. Ainsi, je suis seins nus sous mon poncho. Je ne peux rien dire, le copain dAlain a dû sentir mon excitation au moment même où il est venu derrière moi : je serais stupide de dire : « je ne veux pas ! » et ainsi, faire ma bêcheuse, alors que sous ses doigts durcissent mes gros tétons de garce refoulée. Cest de plus en plus manifeste, une bosse presse sur mes grosses miches, elle est dure, énergique et bien à point.
- Attention !!! Voilà Alain !!!
La secrétaire était rentrée dun seul coup dans la salle ! Un type se dévoua et sorti de la pièce pour éviter que mon amour ne nous surprennent. Pendant que la secrétaire devait retenir Alain à laccueil, mon vicieux sénerva en essayant de baisser mon pantalon. Finalement, il ne put le descendre que sous les fesses. Maintenant, jai chaud, je ferme les yeux et savoure ce plaisir dêtre bousculée. Quand il déplace la ficelle de mon string sur le coté de ma fesse gauche, je mabandonne
et quand il commence à faufiler ses doigts sur ma vulve proéminente, je me sens honteuse devant tous ses regards lancés dans ma direction. Tout cela se passe sous le poncho, mais les spectateurs ne sont pas dupes...
A présent, les hommes se lèvent et, en rang, montent tous sur l'estrade. Peu à peu, ils commencent à me toucher et, certains même, se disputent la meilleure des places... Jai des mains de tous âges sur le corps, ma poitrine est maltraitée et mes fesses sont populairement tripotées par des doigts dépravés. Comme un objet, je passe de main en main, certaines agrippent mes cheveux et les tirent pour mattirer vers la honte. Ils me mettent derrière le pupitre et mobligent à me pencher en avant. Dun coup, je sens un sexe me pénétrer le vagin. Stupéfaite, sans rien dire, je magrippe du mieux possible au pupitre. Déjà, je miaule
Lun des collègues de Alain samuse à allumer le micro, puis me le place devant la bouche en me tenant bien par les cheveux. Chaque petit gémissement de ma part résonne dans la pièce. Cela donne limpression à mon gros baiseur dêtre une véritable " bête de sexe ". Même si je rechigne à tous ça, je décide de mabandonner à tous mes opportunistes. Ma fierté vient de senvoler, autant prendre du plaisir en me persuadant que, peut-être, lun dentre eux sera le futur directeur de Alain ?! Mon baiseur se déchaîne, il me fourre de plus en plus vite avant de cracher son premier jus dans mon utérus
Il ne se retire pas et à chaque hurlement, il gicle en moi. Un autre prend la relève, puis un autre
puis un autre
Maintenant, mes baiseurs ne veulent même plus me prendre par le vagin tellement je suis " remplie " de foutre et cest tant mieux pour moi : jai mal ! Jai limpression quune demi-douzaine de types se sont excités et déversés en moi ! Déjà, je me sens refoulée leur foutre, leur semence
Un type relève mon poncho bien haut sur mon dos, il doigte mon anus, puis, je sens son gland pousser sur ma petite rondelle. Avec mes mains, jécarte mes grosses fesses aux maximums et pendant que mon trou, discret, subit la défiance du gland turgescent dun gros calibre, les collègues dAlain encourage le candidat :
- Encule-la !!! Encule-la !!!
Tous ces encouragements me vont droit au cur et mexcitent
Je suis aux anges... Soudain, mon petit trou cède sous la pression du membre viril, le diamètre imposant déforme mon sphincter qui se détend. Mon cur se soulève, je vais perdre connaissance !!! Sans respect, sa queue senfonce en moi, me déchire et il me secoue le cul dans tous les sens, comme pour mieux me vider le vagin du sperme que je libère entre mes cuisses. Devant le micro, je feule telle une nymphomane, je sens un jus chaud minonder le rectum pendant que des doigts senfoncent dans la graisse de mes fesses. La douleur est moins forte, moins acérée ; peu à peu, je mhabitue à ce calibre qui me déchire lanus. Jai du mal à respirer, je ressens tout juste des soubresauts dans ce pieu enfoncé en moi, sans un mot, mon étalon est en train de se vider dans mon cul comme un gros porc de ferme. Il retire sa queue et tout de suite, un autre prend sa place. Il ne laisse pas le temps à mon intimité de se refermer. Je nai pas le temps dinspirer que déjà, il marrache un premier cri de douleur
Cest horrible ! Je ferme les yeux, jai mal, je vais pleurer tellement jai mal, mais je serre les dents en me persuadant que cest aussi pour Alain que je fais ça !
Une fois mes deux orifices gavés de sperme, mes " reproducteurs " me placent à genoux pour sucer les derniers qui nont pas jouis. Je sens mes réservoirs se vider sur lestrade, couler, mais je men moque. Puis toutes ses verges devant moi qui demandent mes lèvres et ma bouche : comment dire, non ? Je ne sais même pas qui je suce, tout ce que je sais, cest que tour à tour, ils viennent tous sur ma langue pour se décharger de leur semence. Maintenant, jen ai plein la bouche et je lavale pour ne pas salir mon poncho.
Peu à peu, jestime que lessentiel est fait. Il y a moins de personnes sur lestrade. Ecoeurés, les trois derniers qui nont pas joui en moi nosent même pas mettre leurs queues dans un de mes trous, tellement quils me trouvent repoussante. Je suis dégouttante et hideuse, une vraie truie ! Le sperme ruisselle par fil à la commissure de mes lèvres... Les derniers salauds ne veulent pas rester sur leur faim et ils décident de se branler tous les trois autour de ma tête. Je replace mes cheveux derrière mes épaules, je les regarde tous les trois en passant vulgairement ma langue sur mes lèvres encombrées de foutre, je repasse mes doigts sur mon menton qui dégouline de sperme tiède. Soudain, un premier jute dans mes beaux cheveux, le second limite, avant que le dernier bouscule les autres pour gicler sur mon visage. Chacune des trois verges jouit à son tour et chacune me déstabilise, ma mèche brune est ébranlée par deux gros traits de semence
Mes joues, mes paupières, mon nez sont précieusement éclaboussés par dépaisses giclées chaudes et gluantes. Mes doigts sont un rempart pour éviter au déluge de foutre de couler sur mon poncho.
Quelques minutes plus tard, je me retrouve seule dans la pièce, jempeste le foutre et la honte est marquée sur mon visage. Jaurai quand même aimé jouir, rien quune seule fois !? Combien était-il eux à jouir ? Je pose une main sur le sol, malheureusement, mes doigts baignent dans une mare de foutre frais et poisseux. Où est Alain ? Que va-t-il dire ? Je suis fatiguée et je me sens sale ! À peine suis-je debout, que la secrétaire mordonne de dégager au plus vite. Je remets mon pantalon et menfuis comme une voleuse, oubliant mon petit bustier sur lestrade. Je suis seins nus sous le poncho : ils me font mal ! Dailleurs, jai mal de partout, ma chatte, mon cul, mes fesses souffrent... Mes cheveux ruissellent de sperme, j'ai la frange qui dégouline devant le visage.
Une fois à la maison, je vais directement dans la salle de bain pour me laver.
Le soir même, Alain me raconte sa journée. Il m'explique que ses collègues se sont tapés une vraie salope, qu'elle a fait ça gratuitement pour le plaisir ! Pour finir, il résume en disant que cest "le genre de nana qu'on baise, puis qu'on jette comme un kleenex !".....
"Tout ce que tu détestes, chérie ! » et moi, je lui réponds en l'embrassant tendrement sur la joue.
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