La Star Académie: La Plus Digne Des Deux. Épisode 4
Etendue sur son lit, elle prit sa poitrine à pleines mains et commença à pétrir ses inébranlables mamelles avec ses petits doigts
Elle ferma les yeux et, la puanteur du foutre encore présentes, çà et là, sur les draps, lui permit un flash-back excitant. À tâtons, elle ratissa le dessus du lit à la rechercher du Kleenex avec lequel Xavier sétait essuyé la verge. Christine saisie le morceau de papier avec délicatesse, soudainement, elle a lappréhension de souiller ses doigts, mais il est déjà trop tard... Elle porte le bout de feuilles humides à ses narines et hume ces odeurs qui lont toujours obsédée.
Avec une moindre conviction, elle continuait de se caresser en pensant à ses deux séducteurs et peu à peu, ses paupières se firent lourdes, très lourdes
Deux nuits sétaient écoulées
Comme tous les soirs, les cimes du village de Mortelèze accueillaient lobscurité. Alors que le clocher de léglise sonnait vingt heures, le célèbre café-restaurant était empli de consommateur et de curieux. Pourquoi ? Question saugrenue !!! Autant que ces quadragénaires qui circulaient sur le pavé et qui examinaient lintérieur de la « pension de vieillard » à la recherche de leur unique centre dintérêt !
Un quart dheure plus tard, en retard, Christine entra en toute hâte dans létablissement et déjà, comme chaque soir, elle subissait plusieurs sifflets dadmirations. Ce soir, elle était encore égale à elle-même. Pour servir et séduire la clientèle, elle avait revêtu une robe noire très seyante qui lui permettait de mettre en valeur toutes ses formes et, pour une fois, sa tenue descendait plus bas que mi-cuisses (aux genoux).
Rapidement, alors quelle sapprêtait à prendre son service, Christian linterpella et linforma que ce soir, elle ne servirait pas !? Il avait besoin delle pour faire la comptabilité du mois et devant la grandeur de cette besogne, il préférait échanger son travail et retrouver le contact avec les consommateurs.
Deux heures sétaient écoulées... Mademoiselle Christine Chapot était descendue dans la cave pour faire linventaire des célèbres breuvages du père Christian. Après avoir poussé la lourde porte du cellier, affronté une humidité pénétrante et quelques toiles daraignées, elle vérifiait létiquette des vins et leurs millésimes. Subitement, elle se retourna vers la porte et découvrit, une créature hostile : son patron, en train de barrer léchappatoire. Malgré la panique qui glaçait ses chairs et ses os, elle ne se troublait point. Lobsédé avançait vers elle et Christian se retrouvait rapidement épaule contre épaule avec son unique fantasme.
- Que faites-vous, Christine ?! Ça fait trente minutes que vous êtes descendue !!! Vous vous pinter ou vous faites vos comptes ?
- Devinez !
- Cessez dêtre arrogante avec moi ! Ça suffit !
- Je viens à peine de descendre, alors vos fantasmes dalcoolique, vous pouvez vous les mettre là où je le pense !!!
- Larrogance ne vous va pas ! Restez vous-même ! (Il la regardait de bas en haut) Vous vous habillez comme une putain, une allumeuse et je suis certain que vous devez allumer des clients dans mon restaurant pour faire des passes après votre travail !
Christine neut pas envie de développer ces divagations, elle se dirigea vers la sortie et ignora son patron ; mais il fut le plus rapide : violemment, Christian referma la porte et coinça la blondinette. Il semporta et rapidement, il posa ses grosses mains sur le corps aux formes sensuelles. Depuis quelle était arrivée dans son restaurant, il nen pouvait plus de voir ses seins et ses grosses fesses mises en valeur par des robes trop seyantes et abusivement vulgaires. Ce soir, il navait plus peur des conséquences de ce que certain appel un viol ! « Ptit bec » tenta de se débattre, mais elle ny mit pas de conviction ?!
Quand lagresseur empoigna la grosse poitrine, Christine poussa une plainte de ravissement, les doigts virils compressèrent les obus confinés à létroit, la brutalité de lex-militaire révéla les deux bonnets dun soutien-gorge blanc et, une aréole foncée qui captiva le regard de Christian, avant de le faire baver malgré lui
Subitement, la petite garce lui envoya un coup de genou dans les testicules.
Lheure était passée bien vite et entre deux colonnes de chiffre, Christine sétait sentie flattée dêtre courtisée par cet homme quelle aimait simplement allumer. À ce moment-là, elle entraperçue lombre rouge du blouson de Christian par la fenêtre du bureau. Quelques instants après résonna le bruit dun moteur de camionnette et le constat dun départ. Débarrassée de son seigneur, elle prenait ses aises et par vice, elle prit la pose dans le fauteuil de celui qui devait, ici même, se masturber tous les jours en pensant à elle.
Alors que vingt-trois heures étaient passées depuis trente minutes, lun des serveurs vint interroger Christine à propos de la présence du patron. Tout le monde le cherchait et Christine répondit quelle lavait vue sen aller en direction de sa camionnette ! En professionnelle, elle demanda à lemployé de prendre les dispositions nécessaires au cas où Christian ne reviendrait pas prendre la caisse ! Lesprit de Christine semballait : peut-être que le coup de genou avait poussé son patron à rejoindre lhôpital ?! Cétait étrange, ce départ précipité et, une grosse incertitude sur le coeur, la star du village de Mortelèze descendit dans la cave. Un peu trop confinée dans une robe noire trop étroite, elle eut du mal à descendre la vingtaine de marches
- Vous pouvez descendre, sil vous plait ?! Je suis ici ! Je narrive plus à bouger !!! À laide !!! Qui est-ce ?
Christine accéléra le pas en direction des paroles. Sa poitrine balança au rythme de sa nervosité
Derrière la porte quelle était obligée pousser, elle découvrit son patron allongé sur le sol. Il était blême et acariâtre.
- Je ne peux plus bouger les jambes ! Si tu mas bousillé quelques choses, je te jure que je porte plainte contre toi, ptite conne ! Ce nest pas croyable de tomber sur des garces comme toi !
- Mon dieu !!! Calmez-vous ! Si ça se trouve, ce n\'est rien ! Cessez ce jeu !
- Comment expliques-tu que je ne puisse plus bouger, connasse ?
- Je vais appeler une ambulance !
- Non ! Tu es conne ou quoi ?! Je ne suis pas mourant !!! Va me chercher un verre de rouge : jai soif !
- Mais
- Jai fait larmée, je ne suis pas une femmelette ! Bouge ton gros cul !!! Allez !!! Dépêche-toi !
Visiblement, le coup quelle lui avait porté avait fait plus de dégât que prévu.
- Regarde, espèce de connasse !!! Elles sont toutes rouges !!! (Il les dévoila) Jai peur quun caillot de sang ne se forme et que cela entraîne un infarctus. Si
(il accusait le coup) je ne me sens déjà pas très bien ! Je te traînerais en justice !
- Lambulance ! Soyez raisonnable ! (elle sapprochait de lui
)
- Mais non ! Ça ne changera rien
pour toi !
Elle resta là, sans parole, quand soudain, dun air vicieux, le patron interpella son employée :
- Si tu me branles, afin de faire sortir le caillot de sang, alors je ne dirais rien ! Rien quentre tes petits doigts de secrétaire de mairie ?! Daccord ?
- Un caillot de sang, ça ne peut pas sévacuer comme ça !?!?!? Vous me prenez pour une conne ? Puis on ne prend pas un infarctus à cause dun coup de pied dans les couilles !?
- Cest toi qui as fait larmée ou moi ! Branle-moi, salope !!!
Pendant quil buvait une gorgée de rouge, Christine hésita
Tout cétait enchaîné si vite que maintenant, elle paniquait
Perplexe, elle est dévisagée par les gros yeux de Christian. Finalement, à regret, elle sagenouille sur le sol et, perverse, elle ne peut senlever de lesprit sa séance de touche pipi chez elle. Ça lui donne envie de recommencer et cette fois-ci, sauver sa peau ! Elle commence par saisir, entre quatre doigts, le membre à la forme retrouvée
Délicatement et à contrecur, elle décalotte le gland et commence à branler la belle verge. Christian est au paradis, son visage est étreint par la béatitude, ses paupières se closent et il esquisse un sourire idiot.
- Assis toi sur moi, Christine ! Aller, viens ma chérie !
- Non ! Pas ça ! Je ne suis pas une fille facile !
Christine se redresse presque immédiatement et fermement, elle quitte la cave
en direction des escaliers.
- Reviens ici, salope ! Je veux que tu me fasses jouir ! Allez !!! Reviens ici, fait moi cracher !!!
Elle na pas eu le temps de redescendre sa robe ; dans la montée descalier qui débouche dans les cuisines, sur les marches en bois, elle simmobilise et réfléchit... Elle lève les yeux vers cette porte qui est close, avant de tourner les talons et sassoire sur lune des marches. Elle ferme les yeux et resserre les cuisses. Son intense réflexion est contrariée par une toile daraignée collée sur le bas de sa robe : elle lôte, quand soudain, son regard est captivé par la porte du cellier doù séchappent des paroles monstrueuses :
- Je sais que tu es là, petite pute ! Saches que je suis en train de me branler en pensant à ton petit string. Jai les doigts encore imprégnés de ton odeur de blondasse lubrique. Mmm
si tu voyais, je les passe sur mon gland
Allez viens ! Sois toi-même !
Alors quil se fait son cinéma, Mademoiselle Chapot desserre les cuisses ; elle soupire et ne semble plus vraiment la même
En pointant ses yeux sur la porte du cellier, elle prend ses seins à deux mains et impudique, elle commence à les tripoter. Assez rapidement, une de ses mains abandonne sa poitrine pour relever difficilement la robe jusquaux hanches, afin dautoriser cinq doigts à détourner son string. Son index frictionne son bourgeon ventru au rythme des gémissements de son patron qui sexcite de plus en plus fort dans la cave. Avec lui, elle « sunit » dans le vice pour atténuer un feu qui la consume depuis trop longtemps
Au bout dun instant, elle baisse sa robe sur son string trempé de cyprine, elle ne peut sempêcher de redescendre les quelques marches pour retourner discrètement dans lentrée du cellier
Elle repousse à peine la porte et là, elle découvre de suite Christian, en pleine extase : une giclée sextirpe de son gland tout pourpre, des jets de semence sont éjectés puissamment et retombent en flots compacts et visqueux sur les doigts et les testicules de Christian.
Christine est écarlate, son patron a déchargé pour elle et maintenant, elle le découvre inoffensif. Elle ne peut détacher son regard de cette verge qui reflux encore... La blonde aux formes luxurieuses, provocantes, pousse la porte et entre dans le cellier pour
(Cher lecteur, ici, cest à vous dimaginé ce que « Ptit bec va bien pouvoir faire ?! Envoyez-moi votre réponse et la meilleure scène sera récompensée par sa présentation dans la Star Académie 5, la suite !)
Une semaine plus tard
Alain, le célèbre facteur de Mortelèze entrait dans la propriété des parents de Mademoiselle Chapot. Ce nétait pas sans une certaine appréhension, une certaine excitation, quil se dirigea et sonna à la porte qui sentrouvrit rapidement sur le beau-père de Christine.
- Bonjour ! Comment va aujourdhui ? Jai un recommandé pour Christine !
- Bonjour ! Ça va très bien ! Jespère quelle ne nous amène pas dennuis !?!?!?
- Non, pensez-vous ! Elle est inoffensive !!!
Le jeune entrepreneur des curs sortit de sa sacoche un pli cacheté par un sceau. Les deux hommes se remplirent de perplexité.
- Ça doit être une lettre de licenciement ?!
- Je ne sais pas ! Vous devriez avoir plus destime pour votre fille ! Elle vaut bien mieux que ce que vous laissez entendre à tord et à travers !
- Mais
de quoi je me mêle ?! Occupez-vous de faire votre tournée et
cessez de tourner autour de ma fille !
Alain entra dans la demeure, alors que le beau-père, furieux davoir accueilli chez lui un second coq, décida de retourner dans le salon. Alain, quant à lui, décrivit les lieux, la montée descaliers avec un sourire vicieux, avant de sélancer vers le premier étage avec un étonnant dynamisme.
Derrière la porte de la chambre, le facteur percevait la musique dun concert R&B en live. Après avoir frappé par deux fois et en vain, il entra prudemment dans le repère secret de Christine. Tout de suite, il fut surpris par létonnante clarté de la chambre, une lumière presque surnaturelle
La porte souvrit sur Alain avec une étrange lettre à la main. Il regarda en direction du lit et son visage se ferma sur le coup de la colère. Ses yeux papillonnèrent, son visage devint grave et il posa un genou à terre en éclatant en sanglot
?!?!
Soudainement, nu (?!) , à quatre pattes sur le sol, il se dirigea vers le lit. Brusquement, il dût se frayer un passage entre une paire de jambes dhommes, puis une seconde, avant de rester au pied dune troisième paire de jambe très poilue qui montait la garde. Alain contourna lhomme et poursuivit son parcours. Enfin, il redressa la tête et vérifia que Christine était allongée sur le lit, son visage irradiait la joie et le bonheur. Dix hommes encerclaient son lit ?!?! Ils étaient tous nus ! Ils se masturbaient de concert tout en caressant le corps de la célèbre secrétaire de mairie : une cinquantaine de doigts se partageaient cuisses, pieds et cheveux, mais plus particulièrement, les formes rebondies dune imposante poitrine. Dix mains pour toucher une star et dix autres mains, chacune branlant un sexe enveloppé dans un préservatif.
- Approche Alain !
- Mais que fais-tu Christine ?!
Il se hissait sur les genoux et posait les deux mains sur le bord du lit comme le bon toutou pour sa maîtresse.
- En bon facteur, nas-tu rien à me remettre ?
Devant son incertitude, elle le gifla violement et il éclata en sanglot, avant de se mettre debout en baissant la tête et les yeux. Autour de sa verge fermement bandée, il a attaché la lettre recommandée
que Christine vient quérir.
- Rends-moi hommage !
Mademoiselle Chapot se désintéressa de cette lettre qui excitait de suite les curiosités, elle préférait attarder son regard sur la virilité dAlain qui avait commencé à se branler comme les autres, mais lui, cétait sans préservatif
Entièrement nue, sur le lit, elle se régalait du spectacle à en voir ses petits doigts de pieds qui se recroquevillaient sur eux-mêmes. Elle frotta délicatement ses talons sur les draps, releva légèrement les genoux et frotta lintérieur de ses cuisses bien grasses, lune contre lautre
Une petite main forte vint se poser sur les poils bruns de son sexe esthétiquement taillé. Cétait étrange, vu sous cet angle, son ventre était plus enrobé quà lhabitude, plus gras, un bourrelet le marquait comme jamais
Ses hanches semblaient légèrement plus larges. Sa poitrine était toujours imposante, mais la fermeté lavait abandonné : avait-elle grossi ? Ses seins reposaient bien gras sur sa poitrine. Son regard foncé se leva plein dabandon vers Alain qui tirait sur son sexe. La brunette aux longs cheveux bruns posés en batailles sur les draps entrouvrait sa bouche à pipes. Quelques mèches courraient sur son front et la vulgarité était affichée sur son visage : qui était-elle ? Où était passée Christine ?!?!
Alors que tous les hommes se bandaient les yeux, le corps de cette brune devenait la seule proie du regard dAlain. Mèche brune passa une main sur sa poitrine, ses doigts bagués senfoncèrent dans son épaisse poitrine aux pointes dressées par la perversité. La jeune femme se régalait de sentir ses bracelets métalliques frotter contre ses pointes. Soudain, quelques préservatifs atterrirent sur les draps
Un jet de semence vint se mêler aux doigts bagués, le foutre coula et « la grosse » neut pas le temps de létaler sur ses seins quun second jet vint augmenter la quantité de crème testiculaire. Le visage de cette jeune femme de vingt et un ans silluminait de bonheur, de plaisir, sa mèche tremblotait aux sommets de son front, avant quune giclée plus épaisse que les autres ne lébranle et la fixe sur le reste de ses cheveux. Cette salve gluante vint dautre part, carrément à lopposé dAlain : cétait lun des autres mâles, il ébranlait fortement sa verge et finit par jouir
La mèche brune de la petite grosse se retrouvait engluée sous plusieurs salves de foutre, alors que lon devinait la semence originelle couler entre ses seins et sécouler lentement vers sa gorge pour probablement se fondre dans les cheveux ou loreiller. Ses yeux brillaient de joie, alors quune troisième semonce vint atterrir en plein sur ses lèvres plutôt charnues, elle sortit sa langue pour laper un zest de foutre, quand soudain
quelquun se réveilla !!!!!!
Les yeux exorbités, Christine décrivit la pièce
vide et, son corps recouvert par sa seule couette. Notre blondinette se posa sur les coudes.
- Mon dieu : que jétais vulgaire !!! Jespère que je ne serais jamais aussi grosse que cette fille !!!
Alors quelle se rappelait les impressions goulues du sperme qui avait englué ses petites lèvres, elle repensa immédiatement aux grossièretés quelle avait faites dans le sellier.
Soudain, derrière la porte de sa chambre, elle entendit quelquun descendre les escaliers en toute hâte. Elle ny porta point attention et savoura exclusivement le silence de la pièce après ce déluge démotions. Elle descendit le drap jusquà son nombril et regarda son corps dénudé, encore moite et humide de ses frayeurs... Un coup dil sur la descente de lit, mais définitivement, elle était bien seule avec ses chaleurs.
Soudain, son attention fut mobilisée par une personne qui essayait délicatement de tourner la poignée de la porte de sa chambre et Christine, surprise, neut pas le temps de se recouvrir
Elle sallongeait de nouveau et faisait celle qui dormait.
La porte souvrit sur
sa mère. Prudemment, cette dernière alla vers le bureau de sa fille et y déposa une
lettre cachetée par un sceau (!?!?) avant de repartir précautionneusement.
Un quart dheure sécoula
Remise de ses émotions, Christine se leva entièrement nue et se dirigea vers son bureau. Elle ouvrit son courrier et vérifia avec joie quelle était la gagnante dun concours. Cette fois-ci, elle avait obtenu une après-midi gratuite pour une séance photo à Villefranche-sur-saône. Ça devait être situé à soixante-dix kilomètres de Mortelèze, cétait loin, mais peu importe : cétait sa chance ! Le nom du studio photo : « Le 666 »
Quatre matins plus tard, harnachée de deux petits sacs de sport, elle quittait la demeure familiale pour conquérir le monde
Enfin, Villefranche-sur-saône ! Vêtue dun jean clair, bien moulant et dun chemisier dun blanc éclatant, elle séloigna de trois cents mètres avant quune voiture ne sarrête
pour lemmener jusquau village. À larrêt du bus, elle attendit une quinzaine de minutes. Mais les minutes passèrent vite, sa présence ne passait pas inaperçue et la star de Mortelèze attira à elle une foule de passant à qui elle ne manqua pas de dire que bientôt, elle allait devenir une star internationale.
Trois quarts dheure plus tard, à la gare de Lyon, la Part dieu, elle dû attendre quarante minutes pour pouvoir prendre ce train qui allait lemmener à Villefranche. Elle ne venait pas souvent dans la capitale des gaules, trop rarement et à chaque fois, cette ville était une découverte pour elle. Mais ce regard tout écarquillé qui refusait toutes les attentions des voyageurs sévertuait à trouver le panonceau des toilettes.
Enfermée derrière sa porte, elle ouvrait lun de ses sacs de sport, puis se déshabilla, afin de revêtir une toute petite jupe noire à carreaux blancs. Elle chaussa des souliers à talons hauts et après sêtre refaite une petite beauté, elle déboutonna lun des boutons de son chemisier pour sublimer son large décolleté et vanter une poitrine toujours aussi généreuse.
Pour la plus grande joie des voyageurs du quai D, elle dut se hâter pour trouver sa voiture et ne pas louper son train. Elle chercha la tranquillité et pour passer les quarante minutes qui la séparaient de Villefranche, elle décida de bouquiner et lire : « Marie est une petite effrontée » de Sabine Delamontagne. À la découverte de ce récit, Christine déménagea de sa place pour se diriger plus en arrière du train, plus précisément dans les compartiments cabines où elle serait plus tranquille pour savourer ce récit.
À Villefranche, elle commanda un taxi
qui la déposa à la hauteur du 46, rue des manufactures. Inquiète, elle paya le taxi. Devant labsence dune quelconque enseigne de studio, elle se dirigea vers le numéro
46 et découvrit que le grand studio « 666 » se trouvait probablement être, un petit studio au quatrième étage dun immeuble assez vétuste.
Pleine dinquiétude, elle entra dans le hall plutôt sordide. Les boîtes aux lettres étaient dans un état pitoyable et entre deux prémonitions de violence, elle repéra sur un scotch, lintitulé : « Studio 666 : Benoît Mancini ». Elle neut pas le temps de sinterroger sur la suite des événements que dans les étages, elle percevait un rire de femme vulgaire et épanouie. Aux bruits des pas, Christine devina quelle nétait pas seule. Prudemment, elle se dirigea dans la montée descaliers. Rapidement, elle tomba nez à nez avec une petite brune, un peu enrobée, tout comme elle. Les deux femmes croisèrent leur regard et Christine neut pas le temps de vérifier sa cote auprès des deux hommes qui accompagnaient cette jeune femme aux longs cheveux bruns. Soudain, une odeur de luxure incommodait les narines de « Ptit bec ». Cétait une odeur familière
La gorge serrée, notre mannequin finissait de gravir lescalier avant de se retourner vers la « mèche gominée ». La paluche de lun des types était en train de batifoler sur les grosses fesses de cette femme que Mademoiselle Chapot trouvait un peu vulgaire.
Trois étages plus haut, Christine se retrouva nez à nez avec son destin, elle était plutôt juste à lheure et se dit quun photographe pouvait bien accepter une heure et demie de retard pour une future star.
Elle sonna à la porte et presque immédiatement, une odeur de fauve avait semblé précéder louverture de la porte. Dès le premier regard, Benoît, le photographe détailla le corps de Christine sur un ton sexuel. Alors que notre héroïne se présenta sommairement dans lentrée, une odeur de copulation, de sperme, violait ses narines et simposait à son esprit sur un ton de plus en plus familier.
Au premier regard, elle avait trouvé Monsieur Mancini vraiment charmant et elle était ravie que ce soit réciproque. Elle se disait que cétait toujours bien davoir un photographe dans sa poche quand on veut devenir une star.
Alors quelle se dirigeait vers ce qui ressemblait à un salon, elle baignait dans une moiteur douteuse qui relativisait le charme de son jeune photographe. Lui, il la regardait comme un chien en chaleur, sa tenue sexy le faisait flipper !!! Il ne pouvait plus détacher ses yeux de cette jupe à carreaux noirs et surtout, de ce décolleté qui cachait des obus qui le faisait bégayer.
Ils discutèrent de chose et dautres, chacun savaient ce quil avait à faire et aujourdhui, il ny aurait pas dinconnue au programme ! Benoît Mancini était un arriviste et Christine se sentait sur la même longueur donde. Mademoiselle Chapot parlait avec passion de sa soif de célébrité, de sa popularité à la mairie et au café-restaurant. Ça faisait à peine dix minutes quelle était entrée dans ce studio, quelle commençait déjà à sy sentir bien. Benoît voulu passer aux choses sérieuses et en ce début daprès-midi, il invita Christine à prendre une douche, avant lessayage dune multitude dhabits
À SUIVRE
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