Routiers, Prenez-Moi
Depuis quelques années notre couple battait de laile. Notre sexualité ne me convenait guère car trop classique. Pourtant, un soir dété, alors que les s étaient absents, Sophie décida de prendre les choses en main. Elle descendit de notre chambre dans une tenue qui ne me laissait pas indifférent : jupe courte, bottes à talons hauts, et une chemise transparente qui laissait apparaître ses seins quelle avait laissé libres. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu elle me demanda de sortir pour dîner a lextérieur. Une fois dans la voiture, elle mindiqua un petit routier fort fréquenté. A notre s arrivée dans la salle de restauration, il se fit un grand silence. Sophie après un vif coup dil mentraîna à coté de deux gaillards qui firent rapidement place. Celui qui se trouvait aux cotés de ma femme commença a la regarder avec intérêt mais semblait gêné par ma présence. Celui qui se tenait en face delle, plus hardi dévorait des yeux son décolleté. Elle engagea la conversation et au cours du repas séclipsa vers les toilettes, elle sattendait sûrement à être suivie mais personne ne bougea. Elle nous revint quelques instants plus tard, quelques boutons de son chemisier en moins. Le repas se termina sans que nos routiers naient pris la moindre initiative, jétais déçu mais excité. Nous nous sommes dirigés au bar où Sophie sest posée sur un grand tabouret pour y commander un café et tous les regards ont convergé vers ses jambes, ses fesses. Avant de partir elle fit tomber a terre les clefs de notre véhicule et se pencha pour les ramasser, je pus constater comme tous ceux présents, que sa croupe généreuse était dépourvue du moindre morceau de tissu. Son sexe fraîchement épilé, nous apparu brièvement.
Nous avons repris la route et sur sa requête, nous nous sommes dirigés vers la capitale. Nous avons emprunté lautoroute A5. Il nétait fréquenté à cette heure que par quelques transporteurs. Je fut là encore agréablement surpris par linitiative que ma douce décida de prendre.
Elle ouvrit haut sur ses reins, les pans du manteau quelle avait, retroussa sa courte jupe et ouvrit son chemisier avant de se renverser sur le fauteuil. Elle commença à se masturber et au moment de doubler le premier camion, elle me demanda de ralentir et alluma le plafonnier. Elle regarda le chauffeur tout en continuant à jouer de ses doigts dans sa fente humide, elle lui fit quelques signes. Après nous être rabattus, elle me demanda dactionner mon clignotant pour quil sarrête. Notre action ne fut saluée que par des signes amicaux et un grand coup de klaxon. Sophie réitéra ses actions sur quelques autres routiers. Au bout du quatre tentatives, un gars originaire de la région Lyonnaise, gara son bahut à nos cotés. Je lui expliquais que cétait pour nous une première mais que si il voulait, ma femme était prête à se donner. Il était intéressé pour mater mais ne désirait pas participer. Nous sommes montés dans la cabine et Sophie me gratifia dune belle pipe tandis que notre mateur se masturbait tranquillement. Sophie le regardait avec attention et semblait prendre beaucoup de plaisir à se montrer ainsi. Lorsque quelle menjamba et sempala sur mon sexe, ses doigts partirent remplacer ceux du routier. Ce dernier se laissa faire et ce fut un délice. Je voyais pour la première fois ma femme tenir un autre sexe que le mien et elle ne semblait pas insensible, mes coups donnaient la cadence tandis que sa main descendait et montait sur cette hampe. Notre compagnon heureux dune telle opportunité, se mit à peloter les seins de ma femme allant même jusqu'à lui introduire plusieurs doigts alors que je venais de quitter son sexe, non sans avoir inondé les lieux. Elle écarta plus encore les cuisses et commença à gémir alors que les doigts qui la fouillaient se faisaient plus insistants. Sa langue pris possession de la mienne et je sentis pour la première fois ma femme jouir sous les caresses dun autre. Elle se retourna, posa ses bottes a haut talon sur le tableau de bord facilitant lintroduction, et lui demanda daccen ses mouvements, la fouille se fit plus pressente jusqu'à la jouissance.
Je ne devais pas être à la fin de mes surprises, car après avoir gagné la nationale 7, à hauteur du carrefour de la Libération à Fontainebleau, Sophie mindiqua un parking qui semblait bien agité vu lheure. De nombreuses voitures et camions se trouvaient là en bordure de la Foret. Nous nous sommes arrêtés et nous avons fait quelques mètres sans voir âme qui vive. Mon épouse est venue se coller contre moi, son dos contre mon torse. Jai soulevé sa jupe, dégrafé son corsage et mes doigts ont pris possession de ses seins, de son sexe. Jai senti quelle shumidifiait a nouveau, sa respiration sest fait plus rapide lorsque jai joué avec son petit bouton et jai senti quelle commençait jouir. Quelques hommes se sont placés dans le chemin adjacent et nous ont regardé. Sophie a fermé les yeux et ses bras se sont accrochés à moi, elle a pris beaucoup de plaisir entre les attouchements prodigués et la joie dêtre ainsi matée, ses genoux se sont écartés et son ventre savançait cherchant encore plus le contact de mes phalanges. Un homme sest détaché et sest approché de nous, ses mains ont pris possession des seins de Sophie, bientôt suivis de sa bouche. Ses lèvres ont couru sur les mamelons de mon épouse et je lui ai laissé la place pour sinsérer dans son intimité. Le sexe de Sophie est quasiment intégralement épilé, juste une petite partie de poils domine le mont du plaisir ce qui fait que tous profitaient allègrement du spectacle de ses lèvres ainsi offertes. Le long de ses cuisses ont pouvait voir les traces indéniables du plaisir quelle prenait à la situation. Ma femme soffrait.
Les doigts parcoururent son corps et ma femme devenait électrique. Puis elle se dégagea, se retourna et me glissa a loreille « dis lui de me prendre ».
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