Jeux De Plage
Nous habitons Bordeaux, à moins dune heure des 250 Km de plage de sable fin que lEurope entière nous envie, et la température de ce mois de juin nous incitait à en profiter.
Nous nous préparions à partir à la plage pour laprès-midi lorsquon sonna à la porte. Jallais ouvrir et trouvais deux de nos partenaires habituels de tennis, Thomas et Julien, qui me lancèrent :
- Salut, Antoine, on vient vous chercher pour faire un tennis, ça te dit ?
- On se préparait à partir à la plage, il fait trop chaud pour jouer au tennis.
Je nétais pas dupe, je connaissais leur plaisir à jouer au tennis avec nous, surtout avec Agathe, ma femme, qui adore mettre en valeur son corps magnifique.
Il faut lavoir vue jouer avec un minuscule string blanc sous sa jupette pour comprendre ce qui motive nos amis à nous entraîner à toutes sortes dactivités.
Elle arriva à ce moment-là dans lentrée, simplement vêtue dun paréo négligemment noué au-dessus des seins, couleur des mers du sud assorti à ses grands yeux turquoise qui lui donnaient un visage dhéroïne de manga, encadré de longs cheveux noirs.
- Vous êtes fous de vouloir faire un tennis avec ce temps. Venez plutôt à la plage avec nous, leur dit-elle en se soulevant sur la pointe de ses pieds nus pour leur faire la bise.
Et vos femmes, quest-ce que vous en avez fait ?
- Elles voulaient faire des courses, et nous, les magasins, bôf !
Javais déjà compris quAgathe avait envie de les emmener sur notre petite plage préférée, mais eux étaient loin dimaginer laprès-midi quils allaient passer.
- Oui, mais on na pas de maillot de bain, lança Julien
Je lui répondis en riant :
- Je te rassure, nous non plus. Ça fait longtemps quon ne sait plus ce que cest quun maillot.
Thomas et Julien me regardaient ébahis, regardèrent Agathe, se consultèrent du regard une fraction de seconde et acceptèrent la proposition, moins pour les joies de la plage que de la perspective de voir enfin Agathe en tenue dêve, depuis le temps quils en rêvaient.
Je rajoutais 2 serviettes de plage dans le sac à dos et nous nous installâmes dans ma voiture, les deux compères derrière.
Lorsque Agathe sinstalla à l avant, son paréo glissa et découvrit son flanc gauche, de la cuisse jusquà laisselle, dévoilant par la même occasion à Thomas, placé derrière moi, quelle ne portait strictement rien en dessous. Elle boucla négligemment la ceinture de sécurité par-dessus sans prendre la peine de le rajuster, ce qui promettait un voyage chaud pour ce pauvre Thomas. Je lobservais dans mon rétroviseur, il ne pouvait plus détacher ses yeux de la peau dorée, sans marques de bronzage, offerte à son regard.
Tout en conduisant, je lui demandais :
- A quelle plage allez-vous, dhabitude, avec Nathalie ?
- Euh, euh, sur le Bassin dArcachon bégaya-t-il en croisant mon regard dans le rétro, incapable de prononcer autre chose.
- Et toi, Julien, tu vas où avec Aurore ?
- Nous, on va plutôt à Lacanau. Aurore aime les plages chargées de monde, où les corps se frôlent dans leau. Je me demande si ça ne lexcite pas, des fois. Surtout, elle adore regarder tous ces surfeurs, musclés et bien bronzés.
Agathe sourit :
- Un peu canaille, Aurore, non ? Je ne limaginais pas comme ça.
- Oh, tant que ça sarrête là, ce nest pas méchant. Et le soir, quand on rentre, elle est toute émoustillée, alors, du moment que jen profite
Nous partîmes tous dun grand éclat de rire, bien que, visiblement Thomas semblait un peu gêné. Nous connaissons sa femme Nathalie, cadre commerciale, très classe, amicale, sympathique, mais peut-être un peu coincée sur certaines questions . Thomas paraît un peu timide sur ce plan-là et leurs relations doivent sûrement en souffrir.
- Et vous, au fait, vous allez, ou plutôt nous allons où ? demanda Julien.
- Nous naimons pas trop les grandes stations. Tu vas voir, entre Lacanau et le Cap-Ferret, il existe des petites routes qui temmènent derrière les dunes, avec juste un parking et rien dautre.
Cette piste, construite par les allemands pendant la guerre à la limite des pins et des dunes pour ravitailler les blockhaus du mur de latlantique, est entretenue et utilisée comme piste cyclable tout au long de la côte Aquitaine.
Nous arrivions peu de temps après au terme de cette route forestière, et laissâmes la voiture sur le parking, déjà bien rempli.
Une légère brise rafraîchissait la brûlure du soleil et lorsquAgathe descendit, son paréo frémit et sentrouvrit, faisant profiter quelques estivants dun spectacle inattendu.
Quittant le parking, nous nous engageâmes sur la piste allemande et Agathe, desserrant légèrement le nud de son paréo, le fît glisser sur ses reins, dévoilant sa poitrine arrogante aux yeux de nos amis. Je vis distinctement leur glotte faire quelques allers-retours incontrôlés. Les larges aréoles brunies par le soleil et les mamelons durs et longs étaient la promesse de caresses et de plaisirs quils nosaient encore imaginer.
- Quest-ce quil vous arrive ? Vous navez jamais vu de seins nus, sur les plages ?
- Si, mais pas les tiens , encore
Ils sont superbes, bravo, bredouilla Julien
Quant à Thomas, il était tétanisé depuis longtemps, quoique, peut-être pas entièrement, car une bosse déformait son short de tennis depuis un bon moment.
- Ben voilà, cest fait, vous nen perdrez pas la vue, non ? sourit-elle dun ton détaché.
Les cyclistes qui nous croisaient ne la perdraient pas non plus mais beaucoup de chutes furent évitées de justesse ce jour-là.
Après une dizaine de minutes de marche, à proximité dun pin tordu par le vent, nous empruntâmes un sentier à peine tracé au milieu des genêts qui nous emmena au sortir de la forêt, au pied de la dune.
Je posais mon sac à terre et lançais :
- A partir de là, on enlève tout !
Agathe ne sétait pas faite prier et avait déjà dénoué son paréo, se présentant nue comme au premier jour aux deux compères qui avaient du mal à croire ce quils voyaient.
Javais moi-même retiré mon short et présentais un membre bien réveillé par le petit jeu de séduction innocente quavait offert ma femme à mes copains.
- Alors, vous attendez quoi ? Il faut vous aider ?
Julien, voyant mon érection, ne se posait plus de question et enlevait son short, se révélant fort bien membré et prêt à tout, regardant avec un peu de moquerie Thomas statufié devant la nudité dAgathe.
Celle-ci me lança son paréo pour que je le mette dans le sac et se laissa tomber à genoux devant Thomas. Elle attrapa son short de chaque côté des hanches et le fit glisser lentement afin de passer par-dessus la belle bosse quil ne pouvait dissimuler.
Elle eut un petit « Oh ! » de surprise quand elle mit au jour un phallus énorme, turgescent, quelle embrassa gentiment, du bout des lèvres.
- Faut pas être timide, avec un engin comme ça, tu vas avoir du succès, cet après-midi. Je vais avoir du mal à te garder pour moi.
- Mais on va où, à la fin ? demanda Julien que les dimensions de Thomas avait un peu refroidi.
- A la plage, rigola Agathe. Tu vas voir, cest une plage où les gens viennent pour samuser. Ils namènent pas de ballon ou de freesbee pour jouer, ici on joue avec son corps et celui des autres. On est assez loin des plages trop fréquentées pour être tranquille.
Thomas, que lintervention dAgathe avait réveillé, demanda :
- Attends, si je comprends bien, on va
enfin, on va faire lamour sur la plage avec toi ?
- Avec moi et avec dautres si vous êtes en forme. Ça vous choque ? A moins que je ne vous plaise pas ?
Je suivais la conversation avec amusement en attaquant la dune, ce qui néchappa pas à Julien qui se tourna vers moi :
- Et ça ne te fait rien à toi, Antoine, que ta femme se fasse
euh, fasse lamour avec nous ?
- Non, vous êtes mes amis, alors ça me fait plaisir, pour vous et pour elle.
Agathe était passée devant, escaladant la dune écrasée de soleil avec aisance en se penchant légèrement en avant, ce qui dévoilait son intimité au nez de Thomas, dont le phallus impressionnant se demandait sil pourrait encore gagner quelques centimètres. Je lestimais à au moins 25 cm ! Sacré gaillard, il cachait bien son jeu !
En arrivant sur la plage, nos deux compères nen revenaient pas : une douzaine de couples ou de groupes de 3 ou 4 personnes faisaient lamour sans aucune gêne, sans se préoccuper des autres, dautres jouaient dans les vagues, peu violentes ce jour-là.
Nous installâmes nos serviettes au milieu de tous ces groupes et Agathe proposa :
- On va se baigner ?
Je crois quà cet instant, elle aurait proposé de partir en Amérique à la nage que nos deux compères seraient partis tout droit plein Ouest !
Elle ne les laissa pas longtemps attendre, dautant quelle aussi commençait à séchauffer. A la faveur des rouleaux qui nous bousculaient, elle se retrouva rapidement dans les bras de Thomas et posa sa bouche sur la sienne. Son corps senroula autour du membre démesuré, tandis que sa langue était prise dassaut par celle de Thomas qui, maintenant ne se retenait plus du tout. Ils sembrassèrent longuement à pleine bouche tandis que les vagues les ramenaient vers lestran, là où elles viennent mourir dans une écume salée.
Julien ne voulait pas être en reste et savança vers eux. Agathe se retourna dans les bras de Thomas et offrit sa bouche à celle qui se présentait maintenant à sa gourmandise. Julien la prît goulûment et lui caressa doucement la pointe déjà durcie de ses seins. Pendant ce temps, Thomas lui tenait les hanches des deux mains. Agathe avait empoigné son membre pour se caresser la raie des fesses de son gland qui avait viré au violet sombre et son autre main utilisait le membre de Julien pour se frotter le clitoris. Je connais bien ce petit jeu et je peux vous assurer que cest un vrai supplice pour un sexe qui ne demande quà investir un lieu encore défendu.
Elle passa dune bouche à lautre pendant un moment, un sexe dans chaque main, tandis que quatre mains viriles parcouraient son corps ; ses seins étaient pétris avec douceur, son sexe ouvert et des doigts fureteurs saventuraient en reconnaissance.
Elle se laissa alors tomber à genoux et approcha sa bouche de ces deux queues impatientes.
Javais été chercher dans mon sac mon appareil photo numérique. Jadore photographier Agathe dans ce genre de situation et une carte mémoire de 512 Mo me permet de prendre plusieurs centaines de photos.
Je commençais à prendre des photos en gros plan de sa bouche qui allait et venait sur le membre tendu de Julien, tandis que sa main continuait à masturber consciencieusement celui de Thomas. Puis elle essaya de prendre celui-ci mais dût sy reprendre à plusieurs fois pour ouvrir la bouche suffisamment afin de labsorber pleinement. Ses lèvres dégoulinaient de salive et elle levait ses grands yeux turquoises pour goûter la montée de plaisir quelle voyait dans leur regard. Sa langue senroulait autour de ces pieux, suivait les veines gorgées de sève, puis sa bouche engloutissait dun coup ces masses de chair durcies de plaisir qui les faisait rugir lun après lautre.
Sentant la jouissance arriver et préférant faire durer ce plaisir ineffable, Julien se détacha de ses partenaires de jeu, sassit derrière Agathe toujours à genoux et insinua ses jambes entre les siennes. Elle comprit la manuvre, écarta ses cuisses pour le laisser passer et lorsquelle sentit sa queue toucher son sexe, elle le dirigea avec sa main et sempala dun seul coup sur lui. Julien exhala un rugissement qui masqua le soupir daise dAgathe.
Une de ses mains sempara dun sein à la pointe durcie de plaisir et de désir quil fit rouler entre ses doigts, tandis que lautre main sapprochait du sexe nu pour le caresser.
Il me souvient de la première fois quAgathe dévoila son sexe récemment épilé sur une plage où le naturisme était à peine toléré. La plupart des hommes nosaient même pas la regarder, mais un jeune garçon dune quinzaine dannées se figea à deux mètres delle, emplissant ses yeux innocents du spectacle offert, Agathe écartant progressivement ses jambes pour laider. Le soir, tandis que je la tenais tendrement dans mes bras, elle me conta quelle imaginait ce garçon en train de se masturber au même moment au souvenir de cet instant. Elle se caressait et jouit très vite.
Ceux qui ont le bonheur de caresser ou dembrasser ce pur bijou de luxure ne sen remettent jamais. Il nexiste rien de plus doux, de plus érotique que ce sexe nu qui la montre plus nue encore que la nature ne la faite.
Julien, visiblement, était en train den faire lexpérience. Il lui caressait le clitoris, et y prenait au moins autant de plaisir quil ne lui en donnait.
Elle sétait redressée sur ses genoux, ce qui permettait à Julien de rythmer à sa guise sa pénétration. Agathe, pendant ce temps, suçait avec application et gourmandise lénorme membre de Thomas qui regardait en même temps les autres groupes batifoler sans soccuper de ce qui se passait autour. Il sentit un doigt inquisiteur chercher et atteindre lorifice de son anus . Quand celui-ci sintroduisit lentement à lintérieur de cet espace inviolé, il ne pût se retenir plus longtemps. Elle sentit la sève monter dans ce pieu qui durcissait encore.
Alors, elle sortit le gland hypertrophié de sa bouche, le posa sur sa langue et ouvrit toutes grandes ses lèvres afin que je puisse fixer dans mon appareil les longs jets brûlants qui maintenant lui remplissaient la gorge. Cette vision de ma femme se gorgeant de sperme est un des plus excitants que je connaisse et elle-même adore revoir ces photos-là.
Julien sembla également apprécier le spectacle car sous la pression du sexe endiablé dAgathe, il se vida en elle dans un râle de plaisir.
Riante de bonheur, elle se redressa et entraîna les deux compères dans les vagues à quelques ablutions, puis nous regagnâmes nos serviettes. Agathe sallongea naturellement entre Thomas et Julien qui en profitèrent pour promener leur mains sur tout le corps doré de leur partenaire de jeu. Thomas récupérait avec sa langue des gouttes deau qui cherchaient leur chemin entre ses seins et se mit en tête de toutes les rattr, pendant que sa main explorait ce sexe ruisselant tant convoité. Agathe avait attrapé les cheveux de Julien pour fouiller de sa langue agile une bouche qui ne demandait pas mieux.
Jusque là je navais profité du spectacle quà travers mon appareil photo. Je le posais dans le sac et mapprochais des jambes de ma femme, ouvertes et offertes. Je hissais ses genoux sur mes épaules et mintroduisis dans son sexe noyé de sperme pour bien lubrifier mon membre. Elle avait compris la manuvre et quand je me retirais, elle avança son bassin, afin que ma queue enduite fut à la hauteur de son anus.
Elle me donne toujours la priorité pour la sodomiser. Elle ma expliqué un jour que cest pour me prouver son amour, que je suis et je reste le numéro un pour elle.
Javançais mon gland luisant de sperme de son petit trou sur lequel jappuyais lentement mais fermement. Il disparut rapidement et je le retirais, imprimant un mouvement de va-et-vient afin de dilater ce passage étroit. Elle adore ça quand cest fait avec douceur, ce quelle exprima par des halètements sonores. Petit à petit, létau se desserra, et jinvestis la place totalement. Jaugmentais le rythme de mes coups de boutoir car je savais quelle allait crier. Ce ne fût pas très long, elle écrasa la bouche de Thomas sur son sein quil aspira violemment, et cria longuement son plaisir pendant que je déchargeais en elle.
Elle me sourit, reconnaissante de notre complicité et attendit que je me fus retiré pour sinstaller à cheval sur Thomas. Elle avança ses seins à la portée de la bouche de Thomas qui les lécha et les aspira pour les durcir encore. Je sais Agathe extrêmement sensible de cette zone et elle ne tarda pas à gémir. Elle descendit alors lentement en caressant le ventre de Thomas de leur pointes brunes et lui enserra le phallus entre eux dans un mouvement de bas en haut. Puis doucement, les pointes de ces seins fabuleux lui caressèrent les couilles pendant quelle lapait à petits coups de langue lénorme gland violacé.
Cette position faisait saillir sa croupe, loffrant largement aux regards et Julien nhésita pas. Il investit la place que je venais de quitter, toute ruisselante et brûlante de ma semence, et pesa doucement sur ce petit trou qui souvrit sans effort une deuxième fois. Il commença un lent mouvement dallers et retours qui tirèrent à Agathe de gros soupirs de plénitude.
Alors elle se redressa et attira le membre de Thomas vers sa grotte intime qui lattendait avec impatience. Elle eut un peu de mal à faire pénétrer ce membre de cheval dans son sexe pourtant déjà largement ouvert, mais quand elle pût coulisser librement dessus, elle se sentit comblée. Chacun de ses deux partenaires sentait contre sa queue la queue de son copain qui allait et venait tandis quAgathe gémissait maintenant du plaisir qui montait de son ventre . Soudés tous les trois les uns aux autres, ils sentaient la jouissance de chacun monter et ralentirent le rythme.
- Chichis, beignets, glaces, demandez les glaces !
Un vendeur de glace savançait au milieu des groupes de gens enlacés dans toutes les positions. Cétait un bel athlète Noir, torse nu, à la carrure impressionnante, qui transportait des caisses isothermes pour son commerce. Il regardait autour de lui, se demandant vraiment où il était tombé, sil rêvait ou non. Je le hélais et il sapprocha en demandant :
- Chichis, beignets, glaces ?
- Madame a faim, je crois.
Il regardait Agathe ahaner entre ses deux partenaires, et nen croyait pas ses yeux. Il avait posé ses caisses et fixait le trio intensément.
- Une glace au chocolat avec deux boules pour elle, sil vous plaît.
- Ah mais je nai pas de boules, moi.
- Cest tes boules à toi quelle a envie de sucer, je crois, lui répondis-je
Les trois partenaires sétaient arrêtés et Agathe le contemplait avec gourmandise. Il ne se le fis pas dire deux fois, enleva son short et brandit un tronc aussi gros que celui de Thomas. Agathe sortit sa langue rose et titilla le gland dun rose foncé qui tranchait sur la couleur sombre de ce membre. Elle lengloutit, le ressortit, enroula sa langue autour, replongea dessus comme si elle voulait lavaler. Elle navait jamais eu loccasion dy goûter et dégustait à grands coups de langue cette nouvelle friandise.
Thomas et Julien reprirent leur va et vient en elle, qui commençait à émettre des sons rauques, étouffée par ce pieu débène. Lorsquils accélérèrent la cadence, elle sortit le membre noir de sa bouche pour pouvoir crier, tandis quelle le masturbait furieusement. Elle criait maintenant et certains couples qui nétaient pas loin, sapprochèrent pour admirer la provenance de ces cris. Un attroupement sétait maintenant formé qui les regardait amener Agathe au septième ciel. Lathlète noir jouit le premier, libérant sa semence sur le visage dAgathe qui continuait à hurler sa jouissance . Elle le reprit en bouche pour goûter jusquà la dernière goutte cette saveur inconnue, plus forte que ce quelle connaissait. Cette vision fit éclater les deux amis ensemble et Agathe se sentit remplie de plaisir.
Cependant, le sexe noir démesuré ne perdait rien de sa raideur et profitait toujours de la langue dAgathe. Il attendit que Thomas et Julien se fussent retirés et sallongea à côté dAgathe quil attira sur lui, afin quelle puisse sassoir face aux spectateurs nombreux maintenant autour deux. Elle sempala sur ce pieu de chair, monta et descendit quelques instants puis elle chercha à introduire cet énorme membre noir dans son anus. Malgré les précédents passages qui lavaient dilaté, elle dût serrer les dents pour forcer le chemin. Lentement, progressivement, ses admirateurs purent voir disparaître ce phallus incroyable jusquà la garde. Agathe hoquetait à chaque avancée comme si elle lavait au fond de la gorge.
Quand elle se sentit complètement empalée, assise sur son partenaire qui navait pas bougé, elle se laissa aller sur le dos, sallongeant sur lui qui lui prit les seins pour lempêcher de basculer.
Un des spectateurs présents senhardit et sagenouilla entre ses jambes . Il la pénétra violemment, les sens à bout. Un autre sagenouilla près de sa bouche tandis que dautres encore lui mirent leur sexe dans ses mains . Mon appareil photo nen perdait pas une miette, je mitraillais comme un fou en pensant aux longues soirées futures
Elle hurlait maintenant son plaisir, emplie et couverte de la jouissance dune dizaine dhommes qui se succédaient sur le couple empalé. Elle nous raconta ensuite quelle avait eu limpression que le noir jouissait en elle sans débander à chaque nouveau partenaire !
Ce gang-bang improvisé sous le soleil était une nouvelle expérience pour elle, et elle nous avoua quelle navait jamais connu autant de plaisir aussi longuement.
Pendant ce temps, Julien et Thomas avaient été « pris en main » par deux jeunes et jolies hollandaises qui leur donnaient des « cours de langue »
Jallais les photographier et jeus également droit à quelques leçons particulières.
Lorsque je vis séloigner le bel étalon noir portant ses caisses isothermes, je rejoignis Agathe qui sétait approchée en titubant des premières vagues. Elle était épuisée et je la pris tendrement dans mes bras, lallongeais sur le sable humide et lui bassinai le visage deau fraîche. Elle me souriait, incapable pour linstant de prononcer un mot. Je lisais dans ses yeux tout le bonheur et le plaisir quelle avait eu, et la reconnaissance à mon endroit de lui avoir permis den profiter.
La fraîcheur de leau la revigora petit à petit et nous terminâmes laprès-midi à jouer comme des s dans les vagues.
Le retour fut des plus joyeux, tout était prétexte à rire et à se toucher.
Mon téléphone portable resté dans la boîte à gants sonna, comme un retour sur terre après un long voyage, et Agathe décrocha :
- Tiens, salut, Aurore. Oui, il est avec nous, et Thomas aussi. On était à la plage, il faisait trop chaud pour jouer au tennis.
-
- Oui, on est en train de rentrer. Nous serons à la maison dici 20 minutes. Si tu veux venir nous rejoindre avec Nathalie, on pensait faire un barbecue ce soir, ça vous dit ?
-
- Ok, alors à tout à lheure. Bye
Elle raccrocha en riant :
- Bon ben maintenant, il va falloir se jeter à leau et leur raconter nos aventures !
Tout le monde sesclaffa, quoique nous sentions quelques réticences de la part de Thomas.
- Tes pas daccord, Thomas ?
- Ben si, mais
- Tu tes bien amusé, non ? Alors cest simple, on va continuer avec elles.
Il avait lair un peu sceptique mais ne le laissa pas trop paraître.
En arrivant dans le jardin, voyant quelles nétaient pas encore là, je branchais le tuyau darrosage et commençais à arroser mes compagnons pour enlever les dernières traces de sable, de sel et de sperme de nos corps rougis par le feu du ciel. Ce fut un nouveau prétexte de jeu et de caresses qui réveillèrent nos ardeurs.
Nous nentendîmes pas la voiture dAurore pénétrer dans le jardin, et elles firent le tour de la maison, alertées par nos rires bruyants. Quand elles virent cette bande de trois énergumènes nus comme des vers et en érection de surcroît, entourant Agathe aussi nue queux qui brandissait le tuyau darrosage, Nathalie sécria :
- Mais ils sont devenus fous !
Elle neut pas le temps de finir sa phrase que déjà les trois satyres les entouraient, dansant autour delle, sous la douche quAgathe leur envoyait maintenant. En un instant, elles furent trempées, caressées, palpées. Voyant quAurore, en riant, se prenait au jeu, Nathalie se laissa faire. Elles furent déshabillées en un clin dil et se mêlèrent à nos jeux sans arrières-pensées . Thomas était aux anges de voir sa femme, totalement libérée, se donner sans retenue.
La soirée fut chaude, même pour les saucisses qui eurent tendance à brûler
Nos futures parties de plage promettent dêtre sympathiques !
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