Cocu Volontaire
Comment me trouves-tu?
Ma femme sort de la salle de bain en petite tenue ; un ensemble slip- soutien- gorge que je ne lui connais pas.
Je dis -superbe
Et comme ça ; elle fait une pirouette sur elle-même et je me rends compte quen fait de slip elle porte un string qui met son petit cul en valeur
-Ma cochonne, tu vas laffoler ! Et disant cela je sens mon sexe se dresser aussitôt. Cela néchappe pas au regard lubrique de ma femme dautant plus quen ce jour de canicule je ne suis vêtu que dun ample caleçon. Elle tend sa main et empoigne ma bite érigée comme une pique.
Ca texcite de penser que ta petite femme va se faire baiser. Vraiment tu es un beau salaud. Jessaye den profiter et de lattirer à moi mais elle sesquive et cours dans sa chambre en rigolant et sous le prétexte quelle va être en retard. Elle sest faite belle, fardée, pomponnée et elle craint que je ne mette en désordre la belle ordonnance. Elle enfile une robe légère de coton largement décolletée. Puis toute virevoltante et souriante elle me tend sa joue et court vers son amant sans le moindre remord pour moi. Je me sens seul tout dun coup et mes sentiments sont complexes. Jalousie dabord de lavoir vue partir si guillerette aller se faire baiser, troublé en même temps, songeant à ces mains, cette langue sûrement et ce sexe qui allaient tout à lheure la fouiller. Jallume la télé pour écouter un peu les infos, mais mon esprit erre ailleurs vers la petite Twingo qui mène ma femme vers la débauche entre les bras dun homme a peine entrevu. Et puis je limagine demain rentrant au matin souillée, suintant la sueur le sperme et ses propres jouissances et je mimpatiente à lidée de ses longues heures qui me séparent de son retour. Moment ou je vais la renifler dans ses recoins les plus intimes, sa fente malmenée toute une nuit, peut être sa rosette déformée, ses seins triturés et sûrement souillés de sperme.
Et curieusement cest vers la fin de son séjour a Paris et comme tu avais tout soudain cessé de men parler que brusquement un doute affreux ma saisi. Nous venions de nous coucher et brusquement jai dis. - tu ne me parles plus de Hunter ? Tu as parue surprise. -Mais si ; as- tu protesté. -Non ça fait plusieurs jours que tu ne men as plus parlé. Jai martelé soudain pris dun affreux doute - as-tu couché avec lui ? -Non je te le jure. Tu as dis cela dune telle manière que mes doutes ce sont de suite envolés. Bizarrement jétais à la fois rassuré et pour être franc un peu déçu. Jai insiste encore -mais pourtant je devine quil sest passé quelque chose ; Je me trompe ? Un long silence a suivi puis tu as poursuivi -Il y a deux jours il a cherché à membrasser me disant quil avait une envie folle de moi. -Et tu tes laissée faire !
Non il ma prise dans ses bras ma caressée tout en cherchant ma bouche mais je me suis dérobée. Je lui ai rappelé que jétais mariée et que dailleurs lui aussi létait. Il sest excusé mais il a persisté en disant quil me désirait comme jamais il navait désiré une femme et que dailleurs il sentait bien que moi aussi je nétais pas insensible.
Jai serré ma femme dans mes bras et j ai chuchoté -cest vrai tu le désirais ? Tu as mis un long temps pour me répondre et curieusement jai senti ma bite se durcir au fur et a mesure de ton silence. Toi même sen ten rendre compte tu las saisie, tes lovée encore plus contre moi et les yeux levés soudain vers moi tu as chuchoté- Je crois que oui ! Puis tu as précisé - avant quil ne me prenne dans ses bras je ny avais pas songé, jétais simplement bien avec lui, jadmirais sa manière dêtre, son efficacité au travail, mais quand il ma serrée jai eu limpression que la terre tournait plus vite, mon cur cest emballé. Ses mains qui parcourraient fiévreusement mon corps membrasaient. Pendant un instant jai faillis céder à ces caresses puis, je me suis reprise, jétais soudain furieuse et de lui et de moi-même. Je lai repoussé avec brusquerie et je me suis dégagée. Je men voulais car je me sentais brûlante et que ma poitrine palpitait encore fortement. Jai refermé les dossiers puis suis sortie du bureau. Jai été aux toilettes me mouiller le visage ce qui ma aidée à reprendre mes esprits. Elle sest lovée contre moi un peu plus. Jai dis-Tu as senti sa queue contre toi ? tu as murmuré un « oui » timide. Jai alors glissé ma main entre ses cuisses - Et tu mouillais comme ça ? -Jétais trempée. Sous mes doigts ta chatte était gonflée de plaisir, brûlante et toute gluante de mouille, ton clitoris excité ondulait sous mes caresses. Nos bouches se sont mêlées dans un baiser passionné, je suis monté sur toi pour mieux te sentir, tu as glissée ta main entre nos ventres et tu m'a dis -viens prends moi ;tout en l'insérant en toi. Jamais tu n'avait été aussi ouverte, jamais mon sexe n'avait été aussi gros. Je te sentais baveuse sous mes coups de boutoirs. J'aime te baiser ma chérie je suis si heureux lorsque je suis enchâssé au fond de toi, et ce soir là jai adoré plus que jamais. De te savoir désirée par un autre que moi te rendait plus précieuse, et cest a ce moment je crois que nos jeux pervers sont nés.
Comment ai-je pu le lendemain te laisser aller a ton travail. Tu allais vers un autre homme désormais mon rival et je nai rien dis. Toute la matinée je nai fais que imaginer de drôles de choses. La jalousie me mordait au cur, et je m'en voulais de t'avoir laissée partir. Je me disais -Sûrement qu'il essaye de la peloter ,de l'embrasser et je n'étais même plus confiant en toi. Vers le coup de midi j'arrivais au paroxysme de l'angoisse, j'imaginais le pire, je me disais- si ça se trouve en ce moment il caresse ses seins, ou alors il glisse une main sous sa jupe et même pire -peut être qu'elle caresse sa queue. Je me figurais des scènes torrides et j'enrageais. Comme un fou je décidais alors de t'épier .Il fallait que j'en ai le cur net. Je savais que régulièrement après le repas pris a la cantine de l'entreprise tu avais l'habitude d'aller prendre ton café au bistro du coin avec plusieurs de tes collègues. Je me rendis comme un fou là ou tu travaillais et me postais a une courte distance du troquet . Derrière un colonne Morris bienvenue, je contrôlais a la fois la sortie de son travail et l'entrée du bistro. Bon sang comme le temps parait long dans ce genre de situation. Je commençais à désespérer de la voir sortir quand soudain je vous ai aperçus tous les deux bras dessus bras dessous. Vous discutiez de manière enjouée. Je connais ma femme, et elle avait l'allure des jours heureux. Quand elle se meut de cette manière c'est qu'elle se sent bien et en l'occurrence visiblement elle s'accrochait au bras de Hunter avec bonheur.
et après tout il ne se passait rien de compromettant pour elle .Je tentais de me résonner en me disant qu'une femme peu bien tenir le bras d'un collègue sans prêter a mal. puis je me rassurais quand les épiant jusqu'au bout je dus me rendre a l'évidence qu'a part cela je n'avais rien a reprocher a mon épouse. Pourtant rentré a mon bureau je me rendais compte tout soudain que quelque part j'avais été déçu de n'avoir rien constaté de compromettant. En m'analysant honnêtement je devais admettre que j'avais été déçu de la sagesse de ma femme. Au fond j'avais espéré la voir dans les bras de l'américain peut être s'embrassant ou plus se caressant. Et puis à nouveau je m'inquiétais me disant que sûrement ils avaient joués la prudence et maintenant entre les quatre murs de leur bureau il devait peut être se l'enfiler et a cette simple évocation je me senti devenir dur, ma queue soudain a l'étroit dans mon pantalon. Je me disais- sûrement qu' en ce moment elle suce sa grosse bite et ça faisait du bien a la mienne. Mon travail s'en ai ressenti ce jour là et les autres ensuite d'ailleurs. Je n'ai rien dit a ma femme de mes excursions du midi. Et le soir au lit je la prenais avec frénésie l'imaginant la bouche pleine de son amant la chatte éclatée de son gros chibre.
Ainsi jusqu' au dernier soir j'ai vécu la tête pleine de ces sentiments tellement contradictoires;une folle jalousie et en même temps cette excitation a l'imaginer adultère.
Nous étions donc vendredi soir et lorsque je suis entré du travail le soir j' ai tout de suite compris que quelque chose n'allait pas. Le visage de ma femme était sombre elle avait perdu son somptueux sourire ,j'avais du mal a lui soutirer deux mots.
J'ai dis- ça va pas?
Tu as été dans la cuisine pour éluder ma question
Je t'ai suivie et comme j'insistais tu t es emportée ce qui n'est pas dans tes habitudes.
j'ai pose délicatement ma main sur ta nuque comme pour t' apaiser
- Confis toi a ton mari!
Alors tu as pleuré, blottie contre moi tu t'es laissée aller a déverser ton gros chagrin. Tu as dis-Hunter part demain
Et tu es malheureuse?
Oui
Depuis quand tu couches avec lui?
Tu t'es révoltée - je n'ai pas couché avec lui
Alors que c'est il passé?
Cet après midi il m'a prise soudain dans ses bras et la j'ai perdue la tête, je lui ai rendu ses baisers ,ses caresses, j ai laissée sa main se glisser sous ma jupes, j'ai écartées les cuisses pour faciliter son passage vers ma chatte en feu , j ai caressée sa queue par dessus son pantalon cependant que ses doigts s'enfonçaient dans mes chaires.
Tu es restée un moment silencieuse
J ai insisté - et alors?
Ses pleurs ont redoublés.
Alors il m'a faite me pencher sur le bureau ,il a retroussée ma culotte ,j'étais prête a me donner a lui, j ai senti son sexe effleurer mes chaires quand soudain nous avons entendu des pas. j 'ai juste eu le temps de rabattre ma jupe. La secrétaire nous a annoncé que le patron demandait à nous voir , elle avait un drôle dair comme si elle avait senti quil sétait passé quelque chose. Surprise
! le Big Boss avait organisé un pot pour nous féliciter du bon travail et pour regretter le départ de Hunter.
Jai demandé -Et après le travail ?
Rien ! nous navons pas pu nous trouver seuls le moindre instant ,et de plus le patron a la fin le patron et lui sont sortis sans que nous puissions échanger le moindre mot.
Jétais atterré par ces confidences, elle a du le sentir car retournant son visage elle a dit
Tu dois men vouloir beaucoup !
Et bien curieusement je ne lui en voulais pas. Elle a poursuivi ;par la suite il ma appelle sur mon portable, il avait réussi a se débarrasser du patron et me demandait de le rejoindre.
-Alors?
Jai répondu que se nétait pas possible ,quen fin de compte heureusement que nous avions été interrompus et que je lui souhaitais bon retour aux States.
Jai vu quelle était bien malheureuse ,et du fond du cur jai crié - tu es folle ! tu aurais du accepter
Elle a paru ne pas comprendre .-Cest toi qui me dis ça ?
Oui cest moi et tu vas lui téléphoner de suite pour lui dire que tu le rejoins.
Tu deviens fou !toi mon mari me demander de rejoindre un autre homme !
Oui ! moi ton mari parce que je taime et que jai peur de vivre avec un femme qui aurait des souvenirs et des regrets dans la tête. Je tai tendu le combiné du téléphone -Vas-y ! téléphones lui !
Tu as hésité Jai insisté -Vas-y téléphones avant que je ne le regrette ,et dailleurs je vois bien que tu en meures denvie. Alors tu tes jetée dans mes bras en membrassant follement
Tu as dis -tu ne le regretteras pas cest sur ?
Je ne ten voudrais pas mais jy ajoute une condition ; cest quau retour tu me racontes tout dans les détails et que
.. tu ne te laves pas en rentrant le lendemain que je te hume au retour de lamour
Tu as parue abasourdie. -que je te racontes tout et que je ne me laves pas ?
Oui
Tu deviens vicieux !
Oui je crois. Alors daccord ? et je tai tendu le combiné téléphonique
En manière dacquiescement tu as composé son numéro .Javais le cur qui battait a cent a lheure. Tu texprimais en anglais et malgré mon peu de maîtrise de cette langue jai compris que tu te proposais de le rejoindre. Puis tu tes retournée vers moi ; -Toujours daccord ?
Jai fais oui de la tête. Alors texprimant en français tu lui as dis - à tout de suite !
Nous sommes restés un long moment à nous observer sans la moindre parole puis dune tapette je Tai encouragée. Jai dis -allez vas vite te faire belle. A partir de là les choses ont été vite comme aujourdhui tu tes douchée et parfumée fardée tu as revêtus tes plus beaux dessous ,une robe noire et comme il faisait très froid ce jour tu as enfilé par dessus ton manteau de vison .Tu étais superbe. Et comme ce soir tu a volé vers la débauche ,vers un amant me laissant seul excité et frustré. Comme les heures peuvent paraître longues a certains moments de lexistence ! Ainsi que ce soir javais essayé doccuper mon esprit passant de la télé a la lecture dun bouquin. Mais je ne pouvais mempêcher de vous imaginer des scènes torrides entre toi et ton amant. Jéprouvais un plaisir morbide à vous deviner dans des situations obscènes. Je souffrais mais jaimais ça à la fois. Je me disais - En ce moment elle doit être nue sur son lit cuisses écartées et sûrement quil doit lui manger le minou .Je connais bien ma femme elle adore se faire brouter et elle devait être fondante de mouille sous sa langue ,il doit avoir enfoncé ses doigts bien au fond de sa chatte et elle doit onduler sous ces caresses .Ou alors cétais comme si je la voyais la bouche pleine de son gros chibre. Plus tard jai essayé de dîner mes les bouchées ne passaient pas .Pour être franc je me masturbais à limaginer la fente pleine de son gros sexe. Ce fut une nuit délicieuse de perversité que dimaginer ma femme adorée entre les bras dun autre. Là en ce moment évoquant la première nuit adultère de mon épouse je connais la même excitation, la même impatience. La retrouver demain toute souillée, toute odorante des ces parfums damour ,de sexe, la mine fatiguée de sêtre tant donnée, un peu honteuse malgré tout mais cependant lil un peu provocateur. Semblant mannoncer ainsi sa nouvelle toute puissance de femme libérée. En écrivant ces pages je tache de davantage le temps qui me sépare de sa venue . Il y a six mois je métais épuisé a essayer de trouver le sommeil jusqu'à ce qua laube presque vaincu de fatigue je métais endormis. Et cest le bruit de ces clefs ouvrants la porte qui mavait réveillé. Il était 8 heures passées. Bon sang dans quel état elle rentrait ! Crevée, fanée, sans force presque. -Jai dit-« Alors ! »
Je suis morte de fatigue !
Il ta bien baisée !
Il ma tuée !
Jai essayé de la prendre dans mes bras , mais elle ma repoussé
-Non sil te plait je suis lasse ,prépares moi plutôt un bain.
Tu as oublié nos conventions ,je te veux suintante damour. Je lai portée dans notre chambre et là affalée sur le lit ,je lai déshabillée. Il sexhalait de tout ton corps une odeur troublante de sueur damour et de sexe, de sperme et de mouille, un cocktails affolant qui menivrait ,maffolait et me donnait lenvie brusque de la prendre ainsi dans ses souillures. Jen ai profité pour glisser un doit entre les lèvres de sa chatte. Elles étaient poisseuses .Elle sest plainte !
-« laisses moi sil te plait, je suis vannée , jai besoin de dormir. Elle sest glissée sous les draps et en un clin dil sest endormie. Jétais profondément déçu, je devais attendre encore avant de savoir. Il ne me restait plus que le loisir de la contempler dans son sommeil .Je remarquais ses traits tirés ; combien de fois lui avait- il fait lamour ? Jai profité de sa torpeur pour la humer dans ses recoins les plus intimes ,jai écarté ses fesses et jai constaté à létat de sa rosette irritée et quelque peu défoncée, quil avait su lhonorer par cette voie la aussi. Bon sang comme elle était belle ainsi souillée ! Je me suis collé contre son corps , jai glissé ma queue tendue contre ses fesses. Elles étaient brûlantes , elle a geint un peu dans son sommeil mais jai vite atteins lentrée humide de son vagin. Quel bonheur que de ressentir du bout du sexe la chaude moiteur du sexe de sa femme chérie ! Surtout quel piment que dimaginer que quelques instants auparavant un autre chibre sest aussi infiltré de la même manière dans cet antre de plaisir ! Hélas dans létat dexcitation où je me trouvais jai vite éjaculé surajoutant par la même mon sperme a celui de mon rival ! Je me retrouvais bête et déçu puis sevré de sommeil comme je létais jai vite sombré dans le néant tout contre elle. Il faisait bien jour quand je me suis réveillé. Une bonne odeur de cuisine avait du chatouiller mes narines et me tirer de mon sommeil. Je
retrouvais ma femme dans la cuisine a ses fourneaux en train de préparer de délicieuses spaghetti a la bolognaise .Encore toute nue ! Je dis-« bonjour » !
-Bonjour chéri ! elle avait une mine comme ravie de me revoir -Bien dormi ?
Je me suis rapproche delle pour lembrasser dans le cou, les mains un peu baladeuses !
Elle me tendit sa bouche ,nos langues se mêlèrent un peu. Je la humais en même temps.
Elle éclata de rire -non je ne me suis pas lavée comme tu le crains ,suis encore toute poisseuse de sperme. Ca va tu es content comme ça ! Elle semblait heureuse de nos retrouvailles, se faisant câline, et caressante et elle flattât dune main douce ma bite toute droite déjà. Jen profitais pour lisser un doigt dans sa chatte gluante et dans le mouvement essayais de lentraîner dans la chambre a coucher. -Allez viens racontes moi tout !
-Non je meurs de faim et les spaghetti nattendent pas !
Nous nous sommes installés à table ,je la regardais avec amour. Dans un premier temps nous avons mangé en silence puis cest elle qui a parlé la première mettant fin a mon impatience .
-Dabord mon chéri je voudrais te remercier pour ta largeur desprit !Hier soir jétais très malheureuse et frustrée davoir quitté Hunter ainsi. Javais le cur brisé et tu as su le comprendre .Maintenant je peux te le dire mais javais une envie folle de sa bouche, ses bras ,sa peau sa
.
bite jose le dire. Et quand tu ma proposé de le rejoindre, jai cru rêver. Elle sinterrompt un moment.
- Je ne te choque pas en te parlant si crûment ? Vous pensez si elle me choquait en fait a ses paroles je sentais ma queue se dresser. Jai dit - rassures toi ma chérie au contraire même ça mexcite.
- Elle observa un moment puis poursuivit.
- Quand je lai retrouvé dans sa chambre dhôtel je me suis jetée contre lui avec fièvre.
Il ma serrée contre lui avec force puis ma poussée sur le lit tout proche. Il ma déshabillée avec impatience.
Jai dis -toute nue ?
Oui en un tourne main nous nous sommes retrouves nus lun contre lautre à nous caresser a nous embrasser. Il était sur moi et je sentais son sexe battre contre mon ventre.
Comment était il ? Je posais cette question avec anxiété.
Enorme ,plus long et plus épais que le tien si cest ce que tu espères savoir !
Je me suis senti vexé et jaloux mais curieusement heureux à la pensée dun énorme chibre coulé dans sa chatte.
Jai dis - terminons vite de manger puis allons vite dans notre chambre.
A partir de la nous avons mis les bouchées doubles puis je l'ai amenée avec impatience sur notre lit conjugal
Je me suis penché sur elle avec un amour immense , me suis glissé entre ses cuisses pour humer les senteurs de sa fente souillée.
Bon sang comme sa chatte était excitante ,je la reniflais , ce quelle sentait fort , suintante de mouille et du sperme de son amant .
Comme javançais ma bouche pour la lécher elle tenta de marrêter sans doute gênée par le parfum trouble qui sen dégageait. La situation devait cependant la troubler car son minou était luisant de mouille. Je repoussais gentiment la main qui tentait de me contenir et dun coup de langue rapide je lapais les chaires roses. Quel goût !Pour être franc un peu fort et trop odorant de prime abord. Mais je surmontais le premier haut le cur et vite je mexcitais à la lécher avec gourmandise ,songeant quun autre sétait penché la dessus, lavait fouillée de sa langue, ses doigts, sa bite énorme aux dires de ma femme. Déjà ma femme geignait .
J ai dis- « Il te mangeait comme ça ? »
- Ouiiiiiiii ! Continues ! lèches son sperme mon chéri ,manges la petite chatte de ta salope de femme qui ses bien faite baiser !
- Tu nas pas honte de me parler comme ça
- Non ,tu las voulu, tu ma poussée à moffrir a un autre, je veux te faire sentir ta condition de cocu maintenant, jadore ça et puis cesse de parler et lèches moi !
Ce qui est curieux, cest que ses insultes mexcitaient davantage. Je me suis rué sur son con malodorant avec encore plus de frénésie, lui léchant au passage son anus défoncé visiblement.
Elle a crié Oh oui ! lèches bien mon petit trou, ça fait du bien il ma tellement e par là. J ai enfoncé un doigt sans beaucoup avoir a dans sa rosette suintante , puis deux.
Elle ondulait dessus.
Oh oui , cest bon !!!
Je ne reconnaissais plus mon épouse ! Si dévergondée soudainement ! Et jen étais ravi.
Ma pine gonflée allait exploser . Jai pris alors sa bouche puis jai présenté ma queue a lorée de son vagin. Je my suis introduit sans précaution comme pour me venger de cette chatte infidèle.
Ma pine était énorme dexcitation ,à la pensée surtout quune autre plus grande et plus grosse lavait fouillée. Elle a poussé un cri qui tenait de la douleur et du plaisir. Bon sang que jaime quand je la baise ainsi, que jadore me sentir au fond de son trou chaud et moelleux . Elle était baveuse de mouille ma chatte gourmande !
-Salope tu aimes bien ça , hein, la bite !
Jondulais dans son ventre, jallais venais et cétait trop bon. Je lai limée un bon moment comme ça, puis a un moment je lai retournée pour la prendre à quatre pattes .
Hé comme ça, il ta prise ?
Oui comme une chienne et cétait trop bon !
Jai bien agrippé ses hanches , pour la fourrer comme un forcené.
Quel magnifique spectacle que son cul cambré offert ainsi a mes assauts , ses grosses lèvres écartelées .Comme son amant avait du se régaler aussi de cette vision somptueuse !
Jai claqué ses fesses tout en linsultant la traitant de cochonne de sale pute infidèle .
-Tu ma trompé salope hein ?
Ouiiii mon cocu chéri ! Elle était grosse et dure sa bite ,il ma défoncée ! Vas y encore plus fort !
Elle hurlait et geignait sous mes coups de plus en plus rapides !Et soudain un énorme orgasme la secouée ,je lai sentie séchapper dentre mes mains au moment même ou je me déversait dans son vagin. Nous nous sommes effondrés sans force corps contre corps comme deux masses inertes et repues de plaisir. Cette matinée de samedi a été un moment mémorable de notre vie de couple. Sa franchise a été totale.Ca lexcitait de retracer dans les moindres détails sa nuit de débauche et immanquablement ma queue se redressait dexcitation et nous faisions alors lamour avec un fougue toute nouvelle.
Les jours et les semaines qui ont suivi ont été des heures dorgies. Plus elle retraçait les détails scabreux de sa nuit de folie plus cela nous enflammait. Je ne me lassais pas de lécouter me narrer
sa nuit de folie et elle prenait plaisir me semble t il a en rajouter et quelque part à mhumilier !
Maintenant le terme de cocu fleurissait couramment de sa bouche.
Elle disait par exemple- « viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri ! » ou alors « qu est ce que jaimais sa grosse bite » cherchant par là à me diminuer. Et curieusement cétaient là des paroles qui sonnaient bon à mes oreilles tant je prenais du plaisir a me sentir rabaissé.
Une dizaine de jours plus tard notre excitation sest amplifiée lorsque Hunter lui a téléphoné.
Il devait faire escale à Londres pour une nuit « est ce quelle pouvait le rejoindre, il mourait denvie delle ». Sans me consulter elle avait accepté ; et le soir à mon retour de travail lorsque javais appris la nouvelle, javais de suite senti ma queue se durcir dans mon slip. Pendant la semaine qui nous séparait de son départ pour Londres notre folie de sexe a atteint un point de jouissance incroyable. Elle se faisait une joie de ses retrouvailles davec son amant et moi à nouveau je rêvais de nouveaux récits de sa future nuit de débauche. Je lui faisait lamour tout en imaginant un autre ,là à ma place entre ses cuisses. Hélas un nouveau coup de fil de Hunter nous douchait tous les deux ;son escale dune nuit à Londres était annulé .Le coup a été dur pour ma chérie qui se faisait un tel plaisir de sa nuit adultère, et je pense plus douloureux encore pour moi qui métais fait une telle joie à lidée dêtre à nouveau cocu. La déception a été telle que durant quelques jours nous sommes restés même sans faire lamour. Une obsession qui en venait même a friser la folie me la faisait toujours imaginer se faisant bourrer par un autre. Un soir ny tenant plus j ai dis « Enfin il ny a pas que Hunter, sûrement que dautres hommes te font la cour en ce moment !
A ma grande surprise tu test jetée dans mes bras me couvrant de baisers !
« Comme tu es merveilleux mon chéri, je nosais pas ten parler mais depuis quelque temps mon prof de comédie me fait une drague denfer ! Chaque fois quil reprend mes mouvements il en profite pour meffleurer, quelquefois même me tripoter. Jai dis « Il te plait ? »
-Oh oui il est très mignon et justement il voulait ce soir que je le rejoigne pour finir de mettre au point mon jeu dans la pièce que nous répétons !
Et pourquoi ne men as tu pas parlé plus tôt ?
Je narrivais pas a me décider! Tu as tendu ta main vers le combiné téléphonique.
-Tu es daccord ?
Jai dit oui ,mais tu te rappelles nos conditions ?
-oui ne pas me doucher et te revenir la chatte encore pleine de sperme ! mon cochon de mari ! puis tu mas tendu tes lèvres de miel et tu as tâté de ma queue pour te rendre compte comme jétais excité. Apres les choses ont été rapides . Vite douchée ,fardée, habillée tu ma laissé seul sans remords à tes nouveaux jeux ,toi impatiente soudain et moi en transes avec dans la tête mille images perverses. Comme pour la première fois jai essaye de fixer mon attention dans des émissions télé mais très vite mon esprit a vagabonder. Jai imaginé son arrivée chez son prof, les scènes de la pièce a répéter ,avec ses mains dhomme baladeuses sur le corps consentant de ma femme, puis cette longue glissade vers le plaisir qui allait les unires. Ce quil y avait de mieux cette fois cest que ce nouvel amant elle pourrait le rencontrer souvent moffrant ainsi a chaque fois sa chatte souillée, et puis une chose que jimaginais troublante cétait davoir par la suite a le rencontrer en cocu que jétais maintenant. Plus tard je me suis assoupis devant la télé et cest le bruit des clefs sur la porte qui ma réveillé. Jai regardé lheure a ma montre poignet ,il nétait pas même encore minuit. Je te connais ma femme ;tu navais pas lair de bonne humeur. Jai dis
- Quest ce qui tarrive, déjà de retour ? Vous navez pas fait lamour ? tu as fondue en larmes.
- Si mais cest un piètre amant ! Il éjaculait trop vite.
- Allez viens racontes moi !
- Nous avons été au lit ,tu tes blottie contre moi toute petite toute malheureuse. Tout avait bien commencé pourtant. Il avait fait mine de te faire mieux prendre conscience de ton rôle avec comme a son habitude depuis quelque temps ,de teffleurer, puis il tavait embrassée, entraînée vers un large fauteuil. Vous vous étiez longuement caressés , lui glissant ses doigts dans te chatte déjà baveuse et toi empoignant sa bite par dessus létoffe de son pantalon. Avec impatience tu lavait extirpé du slip pour le porter à ta bouche .Et c est la que les choses se sont gâtées.
- As peine je lavais léché quil est parti. Son sperme a giclé sur mes lèvres et mon visage. Tu ne peux pas savoir comme jétais déçue moi qui avait envie de la sentir palpiter dans ma bouche. Il sest excusé le pauvre. Il y avait si longtemps quil me désirait quil navait pas réussi a se contenir. Pour se faire pardonner il a glissé entre mes cuisses pour me donner du plaisir. Il a enlevé ma culotte et ma léchée longuement mais je ne sais si cétait du a mon énervement ou a de la maladresse de sa part je narrivais pas a avoir vraiment du plaisir. Alors comme je métais rendue compte qua nouveau il était en érection je lai attiré vers moi en lui disant
- -Prends moi ! Eh bien figures toi quà peine rentré en moi à nouveau il est parti. Jétais folle de rage, je me suis rhabillée et suis partie.
- Ma pauvre chérie, quel vilain goujat ! mais alors si je comprends bien tu es encore toute pleine de sperme ? jai mis ma main entre ses cuisses ; elle était gluante. Elle devait avoir été très frustrée car je lai sentie se cabrer sous mes doigts !
- Jai glisse entre ses cuisses pour me repaître de ses effluves !
- Bon sang elle était baveuse de sperme et se soir j ai su calmer ses tensions jai adoré la sentir jouir dans mes bras et sous les coups redoublés de ma bite en feu.
- A la suite de cette déception nous navons plus évoques ce genre de jeux. Moi jy pensais a chaque fois que nous faisions lamour.
- Les mois passaient et il nous arrivait certes quelquefois dévoquer sa nuit avec Hunter mais sans aller plus loin. Et puis avant hier en rentrant du travail je lai sentie gênée, comme ayant quelque chose à me demander mais nosant pas le faire.
- Elle sétait faite draguer par un type drôlement beau et très sympa ,il lui avait laissé son numéro de portable.
- Et la je lattends avec impatience. Sûrement que cet amant sest révélé être a la hauteur car la en ce moment ou jécrit ces lignes il est près de 7 heures du matin .Elle viens de menvoyer un coup de fil.
- -« ne tinquiètes pas , tout cest bien passé, suis en route ,jarrive bises.
- Je vous laisse donc car jai limpression , au ton de sa voix quelle sest bien faite défoncée
Elle va sûrement rentrer défraîchie et suintante de sperme
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