Sandra, Ou Mon Soleil Un Jour De Pluie
Il y a peu de temps, un soir en rentrant du travail, il y avait beaucoup de vent et de pluie. Je suis passée prendre ma fille à la sortie du lycée. Une de ses copines était avec elle sous un abri dautobus. Sachant quelle habitait non loin de chez nous, je lui ai proposé de la ramener chez elle.
-Cest très gentil, Madame, jaccepte , dit elle avec un grand sourire montrant du doigt la pluie qui redoublait sur le pare brise.
Les deux filles se sont engouffrées dans la voiture, entraînant avec elle cette odeur de pluie mélangée à leurs cheveux.
-Maman ! Une seule chose ; tu me déposes à lécole de danse, jai un cours ce soir.
-Oui chérie, je reviendrai te chercher à la fin sur le coup de vingt heures.
-Ok maman, ça marche. Tu ramènes Sandra chez elle alors ?
-Oui, oui comme je le lui ai proposé.
En accompagnant ma fille à son cours de danse, je me suis rappelé mes expériences amoureuse avec des amies quand jétais adolescente. Et, jai eu limpression de retrouver mes seize ans. Je pensais soudain que jallais me retrouver seule avec la petite Sandra dans quelques instants. Cette seule pensée me faisait trembler intérieurement, et, si jessayais
Il ne fallait pas que jaffole la petite, que jaille sur la pointe des pieds, que je lapprivoise. Javais très envie de la chasser et de lattr. Je comprend ce sentiment de chasseur, qui observe, traque, déguste à lavance tous les gestes quil va accomplir. Oui, il me fallait être prudente. Je déposais ma fille comme prévue, un rapide baiser échangé, et je me trouvais avec Sandra à mon coté, le cur battant comme jamais. Elle sentait terriblement bon . Ses cheveux mouillés par la pluie exhalait son odeur. Jétais enivrée par son parfum naturel, lodeur de son corps. Je la désirais, oubliant totalement notre différence dage.
-Tu es dans la même classe que Virginie je crois ?
-Non, mais on se connaît depuis la sixième.
Après quelques phrases futiles, je décidais den venir à ce qui mintéressais de plus en plus : ELLE !
-Dis donc ! Es tu comme Virginie à changer de garçon tous les quinze jours ?
-Non, dit elle, javais un copain mais on a cassé il y a peu. Mais ce nest pas plus mal comme ça.
-Tu aimes les garçon ?
Un instant interloquée, Sandra se tourna vers moi pour me répondre que oui elle aimait bien. Je continuais de conduire doucement, le temps et mon excitation ne me permettait pas de faire autrement.
-Moi, quand javais ton age, jaimais bien aussi . Jaimais bien les séduire surtout. Mais tu sais, jétais en internat, et ce nétait donc pas très évident.
-Moi aussi jaurais aimé être en internat, déjà, pour ne plus subir mes parents tous les jours. Virginie a
de la chance elle, de vous avoir. Vous semblez cool !
-Tu trouves ? Oui cest vrai, je pense lêtre.
Je laissais quelques secondes sécouler, avant de lancer mon ballon dessai.
-En internat cest très différent, on est
comment dire
amenée à fréquenter des filles, tu comprends ?
Les essuies glace virevoltaient, la pluie était toujours aussi intense. Je tendais loreille pour enfin enten-
dre la petite murmurer comme pour sen excuser :
-Oui je sais.
-Tu as déjà eu une expérience comme ça, lui glissais je avec un aplomb qui ne pouvait, à cet instant précis, lui laisser penser où je voulais en venir.
-Contrairement à ce que beaucoup pensent, mais ce nest pas contre nature, au contraire
Alors ! cela test arrivé ?
Le murmure fut encore plus inaudible que le précédent. La pluie battait les vitres, mon cur allait chavirer, toute ma vie était là dans cette voiture, et jétais accrochée à ses lèvres.
Un tout petit, un infime « oui » sortit dans un souffle de sa bouche.
allant jusquà prendre une assurance que je naurais pas soupçonné une minute avant.
Comme dans une invite, elle me dit quelle ne lavait jamais fait avec une personne plus agée quelle. La seule pensée darrêter la voiture dans un recoin du bas coté de cette route de campagne memplissait dune joie totale. Il me fallait prendre les devants, puisque jétais « la plus agée ». Jouvris ma main et la lui tendit devant le visage. Elle la prit entre les siennes et la porta à ses lèvres pour leffleurer et lembrasser doucement. Jai senti comme une décharge électrique me parcourir lesprit et le corps. Je devais marrêter tout de suite.
Par bonheur, une allée senfonçait dans un bois. Je my engageais, stoppais le moteur pour enfin me retourner vers elle.
Avec le peu de lumière qui subsistait encore à cette heure de la journée, je pouvais enfin voir ma somptueuse, ma délicieuse proie, des mèches de cheveux humides collées sur son front et son cou. Ses yeux brillaient et trahissaient son émotion. Après avoir défait ma ceinture de sécurité, je me penchais vers elle appelant ses lèvres à rencontrer les miennes.
Elle renversa sa tête en arrière en un doux mouvement de soumission.
se posait enfin sur la sienne, et déjà sa langue cherchait la mienne. Nous nous dégustions avec une telle envie un tel désir, que je me souviens avoir été surprise par la fougue de cette . Ce nétait quune qui vibrait sous mes mains qui avaient commencé à la caresser. Ses seins étaient opulents pour une petite de son age, ils étaient désirables, tendant à le déchirer son tee shirt en coton. Mes doigts couraient sur lun de ses seins, à traque vers le tissu, je me rendais compte que ses tétons étaient durs et dressés, que son aréole était petite et ferme comme celles des toutes jeunes filles.
Sandra me roulait la plus belle pelle que lon mai offerte depuis longtemps. Mais par expérience, je savais que sétait à moi de diriger nos ébats, quelle se soumettrait à mes désirs avec fougue, mais je devais prendre le rôle du dominant. Cétait cela dont je rêvais il y avait à peine dix minutes, et ce que jallais nous offrir sur ce chemin en sous bois.
Pour plus de confort, sans cesser de gober sa bouche, je linvitais à passer sur les sièges arrières. Nous le fîmes je ne sais comment, mais nous nous sommes retrouvée sur la banquette. Elle allongée, et moi qui commençait à défaire le zip de son jean. Elle suréleva ses fesses pour que je laide à sen débarrasser tout en relevant son tee shirt sous son cou pour moffir ses seins.
Cette gamine était délurée, déjà une petite pute ! Elle me ressemblait ,je me retrouvais ado, avec ce désir fou de tout faire et de tout connaître avec si peu de mauvaise conscience mais tant de plaisir.
Ses seins étaient lourds et volumineux, ses tétons étaient bruns foncés et tranchaient sur le blanc de sa peau. Je pris un téton qui dardait entre mes dents pour le sucer du bout de la langue. Le souffle de Sandra minnondait le visage, elle fermait les yeux, je glissais une main dans son string. Elle nétait pas totalement rasée,
Elle avait conservé un peu de poil juste au dessus de son sexe.
Où était la petite voix de toute à lheure ? La gamine que je pouvais imaginé encore vierge et qui râlait, à présent en me suçant le cou.
Jai relevé la jupe de mon tailleur jusquà la ceinture, et lui ai intimé lordre de me caresser le sexe également.
Elle nattendait que cela, et entreprit sans même essayer de me retirer mon string, mais en lécartant, de menfouir un doigt dans le vagin. Elle le fit si bien que presque tout de suite après elle en enfonça un second. Mon sexe était trempé, et elle le visitait avec des doigts dexperte. Cette petite salope devait se toucher souvent, elle avait un savoir faire indéniable.
Je me suis ensuite dégagée, pour maccroupir comme je le pouvais sur son visage, sans cesser de lui caresser le sexe que javais aussi commencé à visiter. Elle nétait plus vierge, et la largeur de sa chatte en disait long sur set s ébats avec son ou ses copains. Elle continuait de serrer les cuisses et de les écarter largement, libérant ainsi les mouvements de ma main.
Ayant fait glissé mon string pour libérer largement mon sexe, je balançais mon bassin davant en arrière et caressais des lèvres de mon sexe largement ouvertes son nez et sa bouche. La petite, à lair de sainte, ne tarda pas à tirer une langue quasi animale pour titiller ma chatte. Sa langue sagitait dans tous les sens pour visiter ma vulve. Jai joui à cet instant précis lorsque de ses deux mains libres, elle ma saisi les cuisses pour me plaquer sur sa bouche en menfonçant sa langue dans le vagin. Jai crié, et elle na pas cessé dexplorer toute mon intimité. Je me souviens mêtre penchée en avant, me pliant pour aller, moi aussi, plonger entre ses cuisses.
Jai le souvenir dun joli sexe brun, dun parfum de lait corporel qui ne masquait pas les exquises senteurs que son corps dégageait. Je me suis enfoui la tête dans son sexe, lai délicieusement goûté, sucé, lissé de la langue, visité chaque petit recoin sensible de son intimité. Sandra, les deux mains agrippées à mes fesses me dévorait le sexe et lanus. Cette gosse était invraisemblable. Je pensais avoir une maturité sexuelle certaine, mais elle était si déterminée, si précise dans chacun de ses gestes quil ny avait aucune différence dage entre elle et moi.
Un instant, je me suis dit quelle avait peut être fait ses armes avec ma propre fille
et je ny ai plus pensé. Mais aujourdhui, je me repose la question, et penche volontiers pour une telle hypothèse, sachant l aussi libérée sexuellement.
La vulve de mon amante se relâchait sous mes caresses buccales, elle se dilatait même comme pour accueillir un sexe improbable, elle coulait, et sa saveur se mélangeait à ma salive. Dans ces moments là , personne ne peut évaluer le temps qui passe, dailleurs, le temps sécoule-t-il encore ? Je sais que je lai entendu gémir, de plus en plus fort, que rien ne saurait larrêter, jai aussi senti mon ventre se contracter doucement puis une vague immense ma emportée dans un spasme grandiose. Sandra était en accord avec moi. Nous nous sommes étreintes violemment pour enfin relâcher chaque nerf tendu de nos corps. Pour moi, le plaisir est après le plaisir. Cest ce moment où la joie davoir donné et reçu apparaît, avec la satisfaction de me dire que je nai plus de tabou.
Lentement, nous avons continué à nous caresser avec une infinie tendresse, à effleurer nos peaux plus quà les malaxer, à sentir les odeurs damour que nous dégagions lune lautre, à dire un éventuel « au revoir » à ce corps, à cet être que lon a aimé.
Dehors, la pluie avait cessé et la nuit était totale. Dans une quasi obscurité nous nous étions offertes lune à lautre. Nous nous donnions avec affection ces derniers baisers qui augurent une fin proche. Nous avions vibré ensemble, mais ne pouvions continuer ainsi. Cétait « notre » histoire, et je savais que nous la garderions secrète lune et lautre.
Ne jugez pas de l'immoralité ou de lamoralité de notre aventure dun jour, je vous la livre telle que nous lavons vécue, ayant eu un encore, un très grand plaisir à me la remémorer et à tenter de vous la raconter.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!