La Vengeance
Ma femme était particulièrement joyeuse depuis quelque temps, elle chantonnait, souriait souvent et était dhumeur très coquine, ce qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps. Je la trouvais vraiment belle, elle shabillait très sexy et je dois dire que notre vie sexuelle avait pris un sérieux coup daccélérateur. Sophie redevenait comme au début de notre mariage, il y a 9 ans. Avec la routine, le travail et les s, nous avions un peu perdu de vu notre amour. Agés tous les deux de 34 ans, nous avons une vie plutôt paisible, je suis directeur commercial dune petite PME et ma femme est secrétaire dans une grosse entreprise de bâtiment, nous gagnons pas trop mal notre vie et nos deux s se portent bien.
Après lavoir questionné plusieurs fois sur son changement dhumeur, auquel je nai pas eu de réponse, jai décidé de profiter de la situation. Nos câlins qui étaient, il y a encore un mois, de médiocre qualité et assez peu fréquent, devenaient une vrai fête des sens. Alors que pendant près de trois ans jai dû me contenter de la baise à papa, maintenant elle me suçait comme a nos débuts et ma même autorisé un doigt dans son anus. Jétais aux anges et fantasmais déjà sur la possible perspective de pouvoir enfin pénétrer son petit trou inexploré.
Jai même eu droit à une superbe branlette espagnole, une première entre nous. Alors quelle était allongée sur le dos, je remontais le long de son ventre après lui avoir longuement léché sa petite chatte. Continuant le parcours, je moccupais alors de ses seins quelle a plutôt volumineux et, comme toutes les grosses poitrines, légèrement tombante, ce qui mexcite beaucoup plus que des gros seins qui tiennent tout seul. Jai alors eu envie de me branler entre ses deux globes. Je magenouillais au-dessus de ma femme et posais mon sexe dans cette si douce vallée. Elle me souriait et resserrait avec ses mains ses seins autour de ma verge. Je commençais la douce branlette, je saisis ses tétons bandés entre mes doigts et les tiraillais au rythme de mon pistonnage.
Le lendemain de cette superbe séance, je suis allé la chercher à la sortie de son travail pour lui faire une petite surprise. Après 20 minutes dattente, ne la voyant pas arrivée, je décidais daller voir dans les locaux. Il était déjà 19h20 et bien sûr personne à laccueil. Je monte donc voir à son bureau où elle nétait pas non plus. Je vais alors voir Jean-Claude, lun de ses supérieurs avec qui javais sympathisé lors du dernier repas de fin dannée. Je cherchais son bureau dans le dédale de couloir, lorsque jentendis des bruits et des gémissements qui venaient justement dune porte ou le nom de cet homme était inscrit. Je souriais et pensais à ma propre expérience où un soir à la même heure javais séduit une cliente et nous avions batifolé dans mon bureau. En repensant à cette situation, mon sexe se mit à gonfler. Regardant de droite et de gauche, je mapprochais de la porte, mis la main sur la poignée et la tourna le plus doucement possible. Je devenais un voyeur, mon cur battait très vite, la peur de ma faire surprendre sans doute. La porte souvrit sous mon impulsion, je vis alors un homme de dos qui visiblement culbutait une femme sur son bureau. Je gardais la porte juste suffisamment entre-ouverte pour voir le couple sébattre. Lhomme était entièrement nu et je pouvais voir son sexe coulissé dans le vagin de sa compagne. Elle était sur le dos aux vues de ses jambes sur les épaules de lhomme.
Mon sexe était vraiment très dur dans mon pantalon. Jétais très excité. Javais quand même envie de voir à quoi ressemblait la compagne du « mulet ». Je descends à ma voiture et vais me garer dans un petit coin discret. Jattends, impatient. Jimagine déjà la tête de ma femme quand je vais lui dire ce quil se passe dans les bureaux lorsque les employés sont partis, jen ris davance.
Après à peine 10 minutes, je vois donc Jean-Claude sortir de lentreprise suivit de
? Mais oui, cest Sophie, ma femme. Comme un con, jai maté ma femme entrain de se faire enfiler par son chef. Ils sont monté dans la voiture de lautre abruti et sont partis. Jétais complément abasourdi. Je ne comprenais plus rien du tout. Je redémarrais ma voiture pour les suivre. Je me demandais bien ou il pouvait encore aller. Ma femme mavait dis quelle serait à la maison vers 20h30. Ils se dirigeaient tranquillement vers chez moi. Ils se bécotaient comme des amoureux à chaque feu. Arrivés prés de la maison, il stoppa devant larrêt de bus ou elle descendit. Après un baiser torride, elle se mit assis sur le banc, je ne comprenais pas trop ce quelle faisait.
Une fois au lit, elle était dhumeur coquine et me taquinait pour que je lui fasse lamour, je choisis alors ce moment pour parler :
- Je suis venu te chercher tout à lheure à la sortie de tout travail, mais je ne tai pas vu sortir.
- Ah ! Ben
euh
je suis sortie un peu plus tôt !
- Laisse moi finir, sil te plait. Comme je ne te voyais pas arriver, je suis allé à ton bureau, il ny avait personne non plus.
- Ben oui, jai quitté plus tôt, je viens de te dire.
- Tais-toi, sil te plait. Je suis allé voir Jean-Claude et je suppose que tu connais la suite. Je vous ai vu entrain de baiser. Dis-je sur un ton sec.
- Excuse-moi mon chéri, je suis désolée dit-elle en pleurant.
- Ca fait longtemps vous deux.
- Cest la première fois.
- Menteuse, ça fait au moins un mois que tu couches avec lui.
- Je taime.
- Alors pourquoi va-tu te faire baiser par ce con ?
- Ce dernier temps cétait plus ça entre-nous, il ma redonné goût à la vie.
- Oui, mais pas à ce prix là.
- Tu veux me quitter ?
- Non, je veux que tu démissionnes et que tu ne le revois plus bien sûr. Et nous ne reparlerons plus jamais de ça.
- Je ne peux pas, jai trop besoin de lui. Il me fait tellement de bien.
- Quoi ? Mais je rêve là.
- Soit tu me quittes, ce qui me déchirera le cur, soit tu accepte de me partager.
- Qui peut accepter ça ? Personne.
- Jai bien accepté moi pendant des années que tu baises tes pouffiasses.
Jétais estomaqué, je ne pensais pas quelle sétait doutée de mes nombreuses infidélités. Jaime trop ma femme pour la quitter, je laime trop pour la savoir avec un autre. Jétais piégé. Elle me raconta quelle sétait jetée dans les bras de son chef par vengeance dêtre bafouée. Après une longue discussion, je mallongeais dans le canapé. Je repensais à ce que javais vu, aux exigences de ma femme, à mes maîtresses, toutes des femmes de passage. Puis me reviens en mémoire une histoire que javais lue dans un livre érotique, cétait un homme qui avait pour fantasme de voir sa femme faire lamour avec un autre, il offrait sa femme à des inconnus et les regardaient en ce branlant. Je visionnais dans mon esprit la scène lorsque je voyais Jean-Claude sortir sa grosse bite de ma femme et quand il la bourrait bien fort. Je me mis à bander. Je ne pus mempêcher de me branler.
- Je vois que de me voir baiser avec un autre texcite.
La voix de ma femme venait de lentrée du salon. Elle mobservait depuis un bon moment il semblerait.
- Jai envie de venir ici avec Jean-Claude demain après-midi, nous avons pris un jour de RTT, les s seront à lécole, si tu veux nous regarder faire lamour
En disant cela, elle sétait rapproché de moi, tirait maintenant sur la couverture pour découvrir mon sexe en érection. Elle se pencha et le prit entre ses doigts. Elle me branla doucement. Cétait comme une délivrance. Javais trop bandé aujourdhui, jétais près à tout pour me soulager. Elle le savait et faisait durer le supplice, donnant parfois quelque coup de langue sur mon gland gras de mon excitation. Elle membouchait très lentement, puis me recrachait et ne me touchait plus pendant de longues minutes et elle recommençait.
- Alors ça texcite de voir ta petite femme sous le sexe dun autre mâle. Tu voudrais encore me voir bien remplis par sa grosse queue.
- Tous ce que tu voudras ma chérie.
- Heureuse de te lentendre dire.
Sur ces mots elle me suça en profondeur, je sentais le fond de sa gorge pressé mon gland. Elle maspira de plus en plus vite. Je sentais ma jouissance arrivée. Je lui dis que jallais bientôt partir mais elle me garda entre ses lèvres et je me rependis à grand jet au fond de sa bouche. Elle ne put tout avaler et une partie coulait sur son menton. Elle mavait avalé pour la première fois. Je me levais pour la suivre dans la chambre, mais elle me dit :
- Tu dormiras dans le canapé jusquà ce que je te le dise. Tu mas fais souffrire pendant toutes ces années où tu me trompais, jai besoins de te faire souffrire à mon tour.
- Mais je
Bon, comme tu voudras. Merci quand même davoir été jusquau bout, jai adoré jouir dans ta bouche.
- Cest normal que tu en profites, je le fais bien avec Jean-Claude. Je lui dirais de venir vers 14h. Tu pourras nous regarder mais je ne veux pas que tu interviennes.
Elle disparut dans la chambre. Le peu de temps où jai pu dormir fut très mouvementé. Ce sont les filles qui mont réveillé le matin. Après quelques explications sur le fait de ma présence sur le canapé, je pris ma douche et mapprêtais à partir au bureau en déposant les s sur le trajet lorsque Sophie me prit par le bras et me chuchota à loreille :
- Tu devrais rester avec moi aujourdhui, jai une surprise.
- Je dépose les s et je reviens tout de suite.
- Je tattends mon amour.
Jétais plutôt content. Je pensais que ma surprise était que nous allions faire lamour toute la journée et quelle ne reverrait plus son amant. De retour à la maison, elle me signala sa présence dans la chambre. Elle était allongé sur le dos, les jambes impudiquement écartées, les genoux sur la poitrine :
- Fais-moi vite lamour !
- Tout de suite ma chérie !
Je bandais déjà. Je retirais rapidement mon pantalon et la pénétra en douceur.
- Plus fort ! Sois plus brutal avec moi !
- Tiens prend ça ! Je vais te la défoncer ta chatte !
Je la limais comme un fou. Essayant daller toujours plus loin en elle. Elle gémissait, me griffait le dos et les fesses. Alors que jétais sur le point de lâcher ma semence, elle me repoussa et prit mon sexe en mains et elle me branla jusquà ce que jéjacule sur ses seins.
- Cétait bon mon amour, mais jaurais préfèrè venir dans ta petite chatte.
- Tu ne voudrais quand même pas que Jean-Claude passe après que tu mes souillé.
Je croyais que nous allions passer la journée tous les deux. Je dois dire que jai pris comme un coup de masse sur la tête. Nous étions allongés lun à côté de lautre, lorsquelle me dit :
- Tu va mépiler le sexe pour que je sois bien douce pour mon amant.
- Tu nas jamais voulu le faire pour moi
- Et bien maintenant je veux bien. Cest pour toi
et pour lui.
- Non, je tolère déjà difficilement quil vienne te baiser ici, alors cest pas pour te préparer pour lui.
- Comme tu veux !
Elle partit senfermer dans la salle de bain. Moi je mhabillais et partie faire un tour à pied, histoire de réfléchir un peu. Je rentrais vers 12h00. Ma femme était dans la cuisine, elle finissait de préparer le repas. Elle était vêtue dune mini jupe en cuire rouge, dune guêpière rouge et noire, de bas résille et des chaussures à talon aiguille. Elle avait lair dune pute et je lui dis :
- Je ne tai jamais vu avec ses vêtements !
- Cest normal puisque cest Jean-Claude qui me les a offerts. Cest la première fois que je les porte.
- On dirait une pute.
- Cest exactement leffet recherché. Cest son fantasme.
- Cest débile.
- Peut-être pour toi, mais moi, ça mexcite !
Nous avons mangé sans parler. A la fin du repas, comme si la situation était banale, elle me dit :
- Il ne devrait plus tarder maintenant. Tu te cacheras dans la chambre damis, je ne veux pas quil te voit. Et si tu veux voir, soit discret.
- Tu es folle.
- Tu peux partir si tu veux ?
- Non, je
- Bien, alors cest décidé. Et lorsquil sera parti, je te ferais une surprise, gardes ton jus pour ta petite femme.
Elle conclut la conversation en me donnant un baiser très torride. Sa langue cherchait la mienne en profondeur. Elle frottait son pubis sur ma cuisse et écrasait ses gros seins sur mon torse. Elle était vraiment très excitée, ce qui me fit dabord plaisir, puis me rappelant que ce nest pas moi qui allais en profiter, ça me brisa le cur. Le carillon de lentrée sonna. Elle me fit signe daller me cacher, jobéissais comme un . Je me postais derrière la porte fermée de la chambre. Jécoutais leur conversation qui fut brève. Après quelques secondes, le silence ne me laissait plus de doute sur leurs activités. Ils devaient sembrasser. Jentrouvris la porte pour observer ce quil se passait. Le couloir vide, je continuais ma progression jusquau salon. Ils étaient bien entrain de sembrassés langoureusement sur le canapé. Il avait les mains sur ses seins, elle commençait à gémir. Voir ma femme dans un acte aussi chargé démotion avec un autre homme manéantit. Je restais cacher contre un angle du mur, jobservais la scène au travers les branchages dune grosse plante verte. Les mains de Jean-Claude avait déjà relevé sa mini jupe, un doigt glissait dans la chatte de ma femme. Je maperçus alors quelle navait pas mit de string et que son sexe était complètement imberbe. La salope sétait rasée pour lui. Je bandais comme un fou. Il se releva et se mit dans le fauteuil qui faisait face à ma Sophie. Il se trouvait dos à moi maintenant. Il dit alors à ma femme :
- Alors ma petite pute, cest combien le strip-tease ?
- Je te le fais pour 20 euros !
- Ok, fais moi bander sale pute !
Il jeta un billet de 20 euros sur la table basse. Ma femme mit un cd et commença à se trémousser sensuellement. Elle était à la fois vulgaire et très belle. Elle remontait sa jupe et prenait des poses obscènes, dévoila sa chatte et son petit anus. Tantôt elle était à genoux sur le canapé et écartait ses fesses, tantôt elle se plaçait juste devant lui et glissait deux doigts dans son vagin. Je la trouvais merveilleuse. Elle jetait parfois vers moi de petits coups dil discret.
- Combien tu prends pour une pipe ?
- Pareil, 20 euros.
- Alors suce-moi bien la queue !
Elle se pencha. Je ne les voyais plus. Jentendais les bruits de sucions et les gémissements de plaisir de son amant. Puis ma femme lui dit :
- Met toi debout, je vais te déshabiller.
Elle le dirigea pour le mettre de profile par rapport à moi. Elle lui retira sa chemise et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds. Elle a fait ça pour que je la voie sucer son homme. Son sexe me parut encore plus gros que la veille. Lexpression « monter comme un mulet » ne me faisait plus sourire. Elle sagenouillait devant lui et lui lapa le gland. Elle parcourus de ses lèvres humides la grosse verge. Elle goba lune après lautre les grosses couilles poilues de Jean-Claude. Elle remonta et lemboucha. Elle aspirait et se creusait les joues, elle pompait en exagérant les bruits de sucions. Elle essayait même de forcer en la rentrant le plus loin possible dans sa gorge, elle en avait des haut-le-cur. Jamais, elle ne mavait sucé comme çà. Elle se donnait comme jamais. Je voyais bien quelle faisait ça à cause de moi.
- Jai envie de te baiser maintenant. Alors combien ?
- Ca dépend ce que tu veux ?
- Bien je veux te baiser !
- Juste ma chatte ou la totale ?
- La totale ? Mais je croyais que tu ne voulais pas te faire sodomiser ?
- Tu seras le premier !
- Tu me rends dingue, toi ! Je prends la totale bien sûr !
- Ce sera
200 euros.
- Quoi ? Mais jai pas autant sur moi, et puis cest quun jeu érotique, soit raisonnable.
- Mon mari ny a jamais eu droit, tu as lhonneur de me déflorer ma petite pastille et tu discutes encore. Cest toi qui fantasme sur les putes, alors va jusquau bout. Tu me donneras le reste de la somme au bureau, se sera encore plus excitant. Et si tu es gentil, tu auras le droit de me sodomiser dans ton bureau et peut-être dans la salle de réunion.
- Tes vraiment la reine des vicieuses. Tu es superbe !
Je venais dassister en direct à une négociation pour la sodomie de ma femme, chose quelle ma toujours refusé. Elle accepte avec un autre le jour où justement je la regarde faire. Elle a vraiment décidé de me rabaisser plus bas que terre. Le pire, cest que je ne débandais pas. Elle se mit à genoux sur le canapé, elle écartait les fesses. Il se posta derrière elle et lui glissa dune seule poussée son énorme sexe dans la chatte. Elle criait de plaisir, elle eut un orgasme pratiquement tout de suite. Il la pilonnait violemment et lui martyrisant les pointes des seins. Je voyais ses grosses couilles frapper son clito. Elle était comme une poupée désarticulée tellement il la bourrait fort. Il était endurant et elle eut encore 2 ou 3 orgasmes. Elle hurlait sa jouissance. Je nen pouvais plus, je me branlais comme un dingue. Soudain, il se retira de sa chatte et lui dit :
- Maintenant, je vais compléter la totale.
Elle ne semblait pas aussi sûre delle désormais, mais elle décida daller jusquau bout. Pour crâner un peu, elle lui répéta :
- Daccord, mais rappelle-toi, ce sera 200 euros.
Sans répondre, il flatta dune main le creux de ses reins, descendant quelquefois jusquà la fossette adorable qui marquait la naissance de la raie. Il se mit à caresser les jolies fesses rondes et fermes. Le souffle de Sophie saccéléra imperceptiblement, preuve certaine que ses caresses portaient fruits. Avec des gestes précautionneux, il sapprocha insensiblement de la raie et tout naturellement, sa main sinsinua entre les fesses. Comme elle ne réagissait pas négativement à son approche, il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés. Elle lui manifesta son plaisir par une ondulation de la croupe. Ayant investi cette deuxième plate-forme du plaisir féminin, il décida den profiter immédiatement. Les fesses de Sophie enserraient la main de lhomme dune étreinte chaude et moite. Il commença à masser doucement de son index les abords immédiats de lanus, y faisant pénétrer progressivement son doigt. Elle se mit à gémir doucement puis de plus en plus fort. Il était en elle désormais jusquà la deuxième phalange. Lanneau musclé le serrait gentiment comme sil ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son index jusquà ce quil soit complètement disparu dans la grotte brûlante. Il y demeura un bon moment sans bouger tandis que ma femme soupirait, ravie :
- Cest bon ton doigt là
Que cest bon
Elle se tortilla légèrement avec des mouvements de reptile. Il commença alors à retirer tranquillement son doigt, et arrivé à la première phalange, le renfonça sans brusquerie, sattachant à rendre la pénétration harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum.
Il refit ce geste plusieurs fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son doigt.
Encouragé par les gémissements de plus en plus prononcés de sa maîtresse, il put alors lenculer de lindex tout à loisir. Parfois, elle soulevait son cul à la rencontre de son doigt comme si elle eût voulu que celui-ci soit plus long et la fouille jusquau fond de ses entrailles.
Il glissait à présent sans aucune résistance dans létroit conduit quil lubrifiait par quelques coup de langue ou en recueillant la liqueur gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Elle râlait de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à un orgasme passager. Il ninsista pas davantage et retira son doigt tout gluant et le porta à sa bouche tandis quelle gardait son visage enfoui dans loreiller.
Il laida ensuite à soulever sa croupe, afin que ses fesses sévasent naturellement. Son petit trou était juste à la portée de sa queue. Il positionna son gland déjà animé de lourdes pulsations sur sa pastille. Il cramponna ses hanches et commença à pousser, tandis quavec sa main droite, il sévertuait à lui caresser le clitoris. Je voyais cette énorme pénis glisser dans le petite anus vierge de ma femme. Elle poussait un râlement rauque que je ne pouvais pas interpréter, était-ce de la jouissance ou de la douleur ?
Il était maintenant bien planté en elle, la chevillant jusquau fond de son cul. Il resta alors un certain moment sans bouger lui laissant ainsi le temps de saccoutumer à son intrusion. Il commença alors, doucement à se retirer en partie, puis senfonça de nouveau jusquà la base de sa queue. Progressivement, ses mouvements samplifiaient tandis que Sophie murmurait des mots sans suite et jouissait de plus en plus bruyamment. Il sagrippait fermement à ses hanches entama un pilonnage violent du petit cul tout juste dépucelé de mon épouse. Elle hurlait maintenant, de plaisir ou de douleur, je ne pourrais le dire, mais elle hurlait. Son corps fût parcourus de spasme, réaction témoignant dun orgasme fulgurant. Il se retira du létroit conduit et lui dit :
- Retournes-toi, je vais jouir.
- Viens par-là mon chéri.
Elle se mit à genoux devant lui, prenant soin de toujours le mettre de profile par rapport à moi et elle le reprit en bouche. Elle gardait le gland entre les lèvres et de sa main droite, elle le branlait énergiquement. Il se crispa et éjacula en râlant dans la bouche de ma femme. Après être rester dans sa bouche quelques minutes, il lui dit :
- Elle est merveilleuse ta bouche, mais jaurais aimé jouir dans ton petit derrière.
- Tu sais bien quon ne peut pas. Mon mari se rendrait compte de notre liaison sil voyait ton sperme en moi.
- Je préfère quand il est en déplacement, je peux te remplir sans risque.
- Moi aussi, jaurais aimer sentir ton jus en moi.
- Tu me le permettra tout à lheure, comme je suis le seul par là, il ne verrait pas mon jus dans tes fesses.
- Tes quun vilain cochon vicieux.
- Jen ai autant à ton service.
Et les voilà qui sembrasse de nouveau comme des amoureux. Je les laisse allonger nus sur le canapé pour me retirer dans la chambre damis. Jétais assis sur le lit lorsque la porte souvrit sur ma femme toujours nue. Elle me chuchota :
- Je lui ai dis que jallais aux toilettes. Ca ta plus, on dirait, tu bandes encore.
Elle me serrait le sexe a travers mon pantalon et me donna un profond baiser qui avait un arrière goût de sperme. Elle prit ma main et la posa sur sa vulve rasée. Je lui caressais doucement et glissais un doigt dans le vagin. Elle ondula son bassin quelques secondes puis se détacha de notre étreinte pour se réfugier dans les wc afin de donner le change à son amant. Je restais assis là pendant une vingtaine de minutes. Je les entendais discuter sans vraiment comprendre ce quils se disaient. Ils riaient, se chamaillaient comme des amoureux. Puis jentendis ma femme dire plus fort :
- Oh oui ! Lèche-moi bien mon petit trou ! Prépare le bien, il est déjà irrité.
- Je vais bien te le dilater, jen veux pour mon fric.
Ils riaient encore après cette phrase. Je sortis de la chambre et retourna à mon poste dobservation. Elle était à genoux sur le canapé, le visage et les épaules sur le haut du dossier. De ses mains, elle écartait ses fesses. Jean-Claude avait le nez fourré entre ses jolis globes. Elle gémissait déjà. Elle tournait la tête et regardait dans ma direction. Son visage transpirait lextase. Je ne voyais pas ce que lhomme faisait à ma femme, je devinais seulement quelle devait avoir déjà un ou plusieurs doigts dans le fondement. Il la préparait longuement. Il se releva, il écartait les jambes pour mettre son gros sexe à la hauteur du petit anus de ma femme. Je voyais son gland violacé se rapproché de lentrée interdite. Il le posa dessus et doucement il força le passage. Ma femme laissa échapper un hurlement de douleur. Il arrêta sa progression :
- Tu as mal ma chérie ? Tu veux arrêter ?
- Oui, ça fait mal, mais je ne veux pas arrêter maintenant. Vas-y doucement.
- Comme tu voudras !
Il avança encore. Ma femme contenait ses plaintes en un râle rauque et continu. Il avait pratiquement fait pénétrer la moitié de son énorme engin lorsquil stoppa. Après quelques secondes dimmobilisation, il repartit en arrière et commença une lent va et vient.
- Caresse-toi la chatte en même temps. Tu prendras plus de plaisirs.
- Je ne me suis jamais sentie aussi rempli de ma vie.
- Et encore tu nas que la moitié en toi.
- Met moi tout maintenant. Je pense pouvoir taccueillir en entier.
Il poussa alors son membre entièrement dans le cul de ma douce Sophie. Il simmobilisa encore quelques secondes et reprit les aller-retour. Elle se caressait le clito. Moi, je bandais comme jamais. Je me branlais en regardant ma femme se faire enculer. Jais juste eu droit de lui mettre un doigt après 9 ans de mariage et lui la sodomisait de son gros sexe pour la deuxième fois en moins dune heure. Il accélérait progressivement la cadence. Les cries de ma femme ressemblaient de plus en plus à de la jouissance plutôt quà de la douleur. Je voyais ses doigts aller et venir dans sa chatte. Il la pilonnait maintenant dans un rythme élevé. Javais limpression quil allait la déchirer tellement il la bourrait fort. Mon épouse jouissait intensément, ses cries saccadés par le pilonnage en étaient la preuve. Il la lima un bon moment, parfois il sortait son sexe et observait la béance de ma douce Sophie, puis il la pénétrait de nouveau. Ma femme eût un orgasme puissant, mais lui continuait de lui éclater larrière train.
- Viens ! Jouies maintenant !
- Pas encore, je veux profiter de ton trou du cul.
- Je nen peux plus, jaies trop mal.
- Ta voulu jouer à la pute, moi, je vais jusquau bout de mon fantasme comme tu me las demander.
- Tu méclates trop le cul.
- Merci, ma petite pute.
Il lui attrapa les cheveux et tira fort dessus, la forçant ainsi à se cambrer encore plus. Il accéléra encore dans des mouvements désordonnés et poussa un puissant crie de jouissance lorsquil vida ses grosses couilles dans le cul dilaté de ma petite femme qui hurlait maintenant sa douleur. Il restaient souder comme ça de longues minutes. Puis doucement il se retira. Du sperme séchappa de son trou du cul béant. Il se posa assis à côté de ma femme toujours sur les genoux. Je méclipsa dans la chambre pour ne pas quil me voit. Un quart dheure plus tard, jentendis leau de la douche couler. Ma femme vint me dire :
- Jespère que ça ta plus. Il part après sa douche. Je te ferais ta surprise après.
- Oh oui ! Je nen peux plus de bander.
- Encore quelques minutes de patience.
- A tout de suite.
Il sortit de la salle de bain et ils se quittèrent en sembrassant. Je sortis de la chambre et roula une grosse pelle à ma femme qui était toujours nue. Elle se dirigea vers le salon et reprit la même position quavec son amant sur le canapé. Elle écartait ses fesses luisantes de sperme.
- Jai envie que toi aussi tu me lèche mon petit trou.
- Mais il est plein de sperme.
- Et alors, jai bien avalé le tien hier soir, tu ne faisais pas tant dhistoire.
Je me pencha sur son derrière et commençais à laper son petit trou gluant du foutre de son amant. Ca avait le goût de sperme, de merde et de sécrétion vaginale. Cétait écurant et excitant à la fois. Je bandais toujours aussi dur. Je me voyais déjà en train de la sodomiser.
- Nettoies bien tout mon amour, met bien ta langue dedans. Oh Oui ! Comme ça !
Elle me rendait dingue avec ses mots. Je la pénétrais de ma langue. Puis elle se retourna, prit mon sexe entre ses lèvres et me suça très fort. Elle allait et venait très vite sur ma queue. Nen pouvant plus, je me libera dans sa bouche. Elle me regardait dans les yeux et recracha mon sperme sur ma bite et me dit :
- Elle te plait ma surprise.
- Cétait ça ma surprise !
- Ben oui, quest ce que tu croyais ?
- Je pensais pouvoir te
- Tu rigoles ou quoi. Tu crois que tu va pouvoir me sodomiser comme ça. Et en plus avec ce quil ma mit, je préfère laisser mon cul tranquille, sans compter ce quil ma promit de me mettre demain. Dailleurs, puisque tu mas baisé pendant des années après avoir baiser tes poufiasses, jai décidé que tu ne jouirais plus en moi. Tu pourras jouir entre mes seins si tu lèches les restes de Jean-Claude. Quant à mon petit trou, ne compte pas là dessus, y a quavec ta langue que tu le toucheras. Ce sera ta punition pour mavoir tromper toutes ses années.
Cest comme cela depuis maintenant six mois. Elle tient ses promesses et je dors toujours dans le salon. Après le repas du soir, on senferme dans la chambre et elle me fait lécher son minou ou son anus plein du sperme séché de son amant. Puis, selon son humeur, je lui fais lamour ou elle me suce mais jamais je ne jouis dans son corps. Jean-Claude, qui profite bien de la situation pour la remplir comme il le désire, vient parfois à la maison pour lui faire lamour. Pendant les dernières vacances scolaires, elle a envoyé les filles chez mes parents et ma demandé daller à lhôtel. Prétextant un déplacement professionnel auprès de sa femme, ils ont passé pratiquement une semaine à baiser et à dormir chez moi, dans le lit conjugal ou je nai pas mis une oreille depuis très longtemps. La vengeance des femmes est souvent pire que le mal quon leur a fait.
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