Maxime Et Anaïs 2
Samedi 11 juillet
Anaïs est rentré chez elle après que le sont soit échanges de tendres baisers. Partant dans 3 heures je me dis qu'il serait temps de faire ma valise. Mais il n'y a aucune urgence car il semblerait que comme beaucoup de garçons j'ai moi de difficulté à faire une valise que la gent féminine. Étant donné qu'il y a une machine à laver je voyage léger.1 maillot de bain, 2 pyjamas, quatre t-shirts, quatre shorts, sept caleçons, sept paires de chaussettes et 7 préservatifs. Ben quoi, pourquoi ne pas espérer après tout. Après avoir mis tous sa dans ma valise il me reste encore une moitié de valise vide. Je me des trucs que mes parents mon demande de prendre car il les on oublie, je rajoute ma DS et 2 livres. Car le but c'est quand même ce reposé. Même si après le bac tu as limpression de te reposer même si tu travailles.
Mon train part dans 20 min. Heureusement j'habite à 5 min en tram de la gare je me dépêche donc de mettre les derniers trucs qu'il y a dans le frigo dans une petite glacière avec 2 pains de glace. Et je pars en direction de la gare. Je monte dans le train. Je commence à lire en attendant que le train part. Comme moi, dautres personnes montent. L'avantage c'est quil n'y a pas beaucoup de monde. Je suis tout seul sur mon ilot de 4 sièges séparer d'une table. De l'autre côté de l'aller un gamin en train de ce goinfre de chips. Un couple de retraités et un homme qui criait au téléphone étaient les seuls autres personnes. Premier arrêt à Bouaye. Le gamin descend et un groupe de 3 jeunes montes. Puis à la gare suivante c'est une magnifique jeune femme rousse qui entra. Âgée d'environ 25 ou 30 ans. Elle mesurait 1m75 pour environ 60 kg elle portait une robe à fleurs. Pour ne pas s'assoir sur des bouts de chips elle vient ce placée d'en face de moi. Avec un petit sourire elle me dit poliment
- bonjour
- bonjour
La convention en resta là et le train repartie. À l'approche de la gare suivant le train freina plus violemment qu'à l'accoutumer.
- jolie vue
Seul elle et moi savon qu'avec cette métaphore elle ne parle pas du paysage.
- oui très joli
Les 3 jeunes descendent et personne ne monte. Le train repart.
-cela ne vous gêne pas si je mets de la crème solaire.
-non non allez-y
Je fus surpris de cette question mais compris très vite que c'était une question piège.
Elle regarde par-dessus son siège puis en me souriant sorte un spray de crème de son sac. Puis avec un sourire encore plus large fait tomber les brettelle de sa robe et la fait descendre sur son ventre.
- ce qu'il y a de bien avec les sprays solaires c'est que l'on contrôle la quantité que l'on met, malheureusement il y a des petits goutés qui giclé et je n'ai pas envie de tâcher ma robe
- oui je comprends.
Cest faux je ne comprends rien et je ne cherche même pas à comprendre. J'admire le spectacle. Cette sublime tigresse est en train d'étaler la crème sur son coup, c'est bras et ces seins. C'est sein, une magnifique poitrine, un 90 C, bien ferme, avec de petites aréoles ou trône un gros mamelon rose et qui après le massage « pour faire pénétrer la crème » pointe dans ma direction comme une invitation. Ces mamelons ne sont pas la seule chose à avoir durci, mon pénis à lui aussi réagi à ce massage sans même qu'il soit touché. Mais je ne peux pas le libérer car elle étant dos aux autres passagères personnes ne peut la voir à part moi. Mais moi je suis dans le champ de vision du couple de retraités. Elle finit enfin son massage mais en a pas fini de me faire saliver.
-alors ça a été?
-oui rien d'extraordinaire. (Jai juste fait l'amour avec cette femme dans les toilettes).
Nous prenons donc le chemin de la maison familiale à pied car même avec ma valise la voiture sur le vieux port de Pornic pressente plus d'inconvénient. Une fois arrivé je n'oublie pas d'envoyer un message pour raconter mes aventures à ma douce Anaïs
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