Violée Consentante
Il existe une longue tradition littéraire de couples qui rapprochent les extrêmes. Quelles sont les variantes de ce couple qui reviennent le plus souvent ? En fait, il y a essentiellement trois variantes : jeune et vieux, beau et laid et riche et pauvre. Mais il faut bien voir que les croisements entre ces différentes variantes sont possibles : on constate ainsi que l'homme riche peut être vieux et que la jeune femme peut être belle et pauvre. Mais c'est le couple vieux-jeune qui domine. C'est aussi la variante la plus ancienne, que l'on trouvait déjà dans les farces au Moyen-Age, dans les romans et dans les comédies. Cette idée est aussi présente en filigrane dans les romans traitant de l'adultère où l'homme est aussi plus âgé. Bien sûr que c'est un récit qui traite entre autres d'une relation bizarre. Il ne s'agit toutefois pas seulement d'une sexualité crue, mais plutôt de ce fantasme du désir qui se développe envers ce corps. Oui, sans aucun doute. Ce qui est particulièrement tabou, c'est la charge sexuelle qu'incarne la belle femme mariée.
Depuis quelques temps mon épouse Efi fantasmait sur être violée par un inconnu bien membré dans un ascenceur... dans une situation qu´elle n'aurait meme pas imaginée dans ses pires fantasmes, cela dans une edifice abandonné ou en reforme... Moi, ne sachant trop comment regler cette situation compromettante. J'ai découvert assez tôt les plaisirs de la cocufiage.
- Mais, ça est trop dangereux! retorquais-je, dans une tentative déséspérée de la faire revenir à la raison.
Cette idée me glaca le sang. Mon état de voyeur , ce qui lui assure une liberté presque totale.
- Bien sûr... mais c´est que je le veux....
Le viol l' excitait particulièrement. Il bandait en fantasmant à l'idée qu'in inconnu la traitait de salope, de putaine, de belle vicieuse. Elle est assise au bar de la cuisine, la tete plongée dans sa tasse de café. Je m'assois en face d'elle, verse mon lait dans mon bol de céréales et commence a manger tranquillement.
Quoi quil arrive il fallait quelle se laisse faire, de toute manière elle ne craignait rien, il était là... j´ai insisté, lui demandant si elle avait bien compris... Elle promit, ne comprenant vraiment pas pourquoi j´ insistait autant... C'était bizarre comme sensation mais pas désagréable. Elle avait décidé de le faire...
- Alors que faire ? Se demadais-je
J´ai le trouvé dans un urinoir public. Pendant plusieurs minutes il fut ainsi exposé, l´énorme sexe visible, comme une bête de foire. J'ai rapidement finit par sympathiser avec lui. C'était un homme, humble, mais sportif car bien bâti, et qui devait sûrement plaire aux femmes, je pensais... Il correspondait parfaitement à ses fantasmes.
- Waouh! Quel engin. Tu te branles souvent ?
- Je me quoi ?
- Tu te branles, tu t'astiques, tu te fais gicler. Comme ça.
- Oh oui, je me branles souvent.
- Tous les jours? Moi je me branle tous les jours.
Mes yeux étai t fixés sur son gros sexe, alors, il avait dit :
- Tu peux venir me la toucher si ça te tente.
- O.K. et je m'étais approché de lui et j'ai commencé à le masturber. Après quelques coups de poignet, il se déchargea dans ma main.
Alors j´ai lui montré une photo de mon épouse Efi.
- Elle est belle heim ?
- Oui, très belle, me dit-il
- Elle te plaît ma femme ?
- Oui, beaucoup...
Il m'avait dit de cette journée-là, que j' allais toujours m'en rappeler :
- Tu as vraiment bon goût.
D'un regard, il me questionna pour savoir si c'était bon. J' acquiesçai également de la tête ce qui lui fit esquisser un sourire de satisfaction.
- J'avais déjà un peu d'expérience en rencontre maso... et j'accepte avec enthousiasme.
- Tu sais... Je ne te dis pas de prendre une amante, mais une petite aventure ne te ferait pas de mal. Tu en as bien besoin.
- Mais tu es complètement fou !
Il confessa qu´il avait aussi usé de leur force et de leur pouvoir pour r sexuellement quelques femmes cochonnes...
Le lendemain tout allait commencer. Sa voiture étant garée sur le parking l' idéal, déjà beaucoup moins de monde dans les rues... La zone est frequenté pae des passants qui doucement, stationnent et repartent. Elle regarde avec attention. J´observe ce qu´il se passe. L´homme choisit, c´est un mec de la trentaine, un peu vulgaire, mal rasé, genre ouvrier qui cherche une pute à moindre coût. Le type que plaît énomement elle. Alors elle se manifesta regardant l´inconnu d´autre côté de la rue.
- Tu le vois ? C´est l´une des raisosns pour lesquelles je suis particulièrement attiré par cette type d´homme. Je me sens totalement libre à continuer...
L'endroit choisi où je l´ai emmenée était assez desert, plutôt miteux, un bâtiment enseigne aux inscriptions à moitié effacées par le temps s´était partiellement détachée du front de l´entrée.... L'endroit était tristement connu pour être très dangereux. Je reste un moment à analyser la situation. Les premiers instants furent un calvaire. Des centaines d'idées lubriques me traversèrent l'esprit. Elle était devenu un expert à ce petit jeu. Un peu fait-il allusion à son discret maquillage qui met en valeur une bouche très joliment dessinée et de grands yeux bruns ? Avec ses lunettes élégantes, elle a un look de femme sexy.
Elle vêtue d´une mini-robe, de talons très aiguilles cliquant sur les sol dallé, elle s´avance altière, ses seins pointus en avant, son magnifique corps svelte, ondulant ne laissant rien négliger de ses somptuosités anatomiques.
L´inconnu a resté bouche-bée de voir cette femme superbe, qui vient de se trouver dans le salon, aussi naturelle et souriant comme si rien s´était passé. J´admirais l´assurance et l´aplomb d´elle. Efi avait de la classe, bourgeoise et un caractère fort pouvaient confèrer de seduction à une belle femme. Elle savourait ces instants, voir l´effet que son corps pouduisait sur les hommes qui la regardaient. Elle jubilait surtout de voir des mâles baver sur son image et les méprisant parce qu´ils ne savaient pas contenir leurs envies.
L'atmosphère était de plus en plus chaude. Elle se dirige vers l´ascenseur en espèrant que personne ne monte avec eux. Elle a de la chance. Personne n´arriva. Il la suivit discrètement... Au moment propicie, une main puissante empêchait le lourd battant de continuer sa procédure. En deux seconde, lui , était à côté d' elle... La porte se refermait. La dimension de la cabine d' ascenseur était presque spacieuse. Ma femme n'avait pas le temps de parler, dans cet endroit il attirait brutalement elle à lui, la menaçant avec une arme, couteau d'alarme... Un frisson de peur mêlé de curiosité parcoura tout son petit être. Il la menaça directement avec son gros couteau qu' il tenait sous la gorge de ma femme :
- laisses toi faire, sinon ....
Efi se mit à gémir en murmurant " oui .. oui ...\".
- Tu vas voir, on va bien s'amuser tous les deux.
Efi se reprit et voulut protester mais d l´homme posa la main sur son bras, qu´elle en eut le souffre coupé.
- Non... non, s'il-te-plaît.
- Allez ma belle, tu n'as pas le choix.
- Non, non lâche-moi, lâche-moi.
Sa première menace étant que la femme ne crie pas... Il lui intimait l'ordre de se taire et de se laisser faire... Tout irait bien si elle se laissait faire...
Puis il se jetta sur mon épouse en l´embrassant d´abord. Il lui léche la langue longuement, en n´en profitand pour lui´passer une main au mieu de ses cuisses remontand jusqu´à sa chatte déjà toute mouillé. Maintenant elle a les cuisses bien écartée, pour lui offrir tout l´accès qu´il désire. De l'autre main il extirpait de sa poche un rouleau de ruban adhésif... De tout son corps il appuyait sur celui de la femme, l'immobilisant. L'expression du regard d´elle avait changé, il reflétait maintenant la peur et l' anxiété... Efi supplie du regards, mais rien y fait, un sourire perverse et sadique se dechire sur son visage qu´elle aime de plus en plus...
Il sortait de sa poche un petit foulard, immédiatement introduit dans l'orifice buccale, puis le ruban adhésif s'enroulait tout autour de sa bouche... Sans aucun ménagement, la toile adhésive passait plusieurs fois sur les lèvres en faisant le tour de la tête d´elle. Puis rapidement, il procédait à l'immobilisation de ses poignets mains dans le dos. Elle était pétrifié...
Retournant la petite sans ménagement, il les enroulaient de toiles adhésive...Cinq, six, sept tours chacun, puis il repassait plusieurs fois le ruban par le milieu... Il retournait brutalement la femme, elle était à lui pour plusieurs très longues minutes... Pliant ses genoux, il regarda sa chatte qui était magnifique, fournie aux lèvres humides. Une vulve bien marquée, et un clitoris prêt à exploser. Il plaça son visage sur son pubis et respira avec un grand plaisir les effluves damour qui se dégageaient de la chatte offerte, puis sa langue sactiva sur le clitoris gonflé. Il la léchait longuement sa chatte en feu... Il la fouille méticuleusement, écarte ses lèvres, sondez son vagin, enfouissez votre langue jusqu'il peut... Il la goûte, il déguste le trop peu qui sort d' elle. Mais que c'est bon, suave, épicé, légèrement salée... Exquisse sensation jusque là inconnue. Elle jouit rapidement une première fois. Sa respiration changeait de rythme, s'accélérait. L'expression du regard horrifié... Le visage de la femme reflétait l'horreur de la situation. Tous les stigmates de la douleur apparaissaient, des gémissements heureusement entièrement étouffés par le foulard et le ruban adhésif ne laissaient aucun doute, la victime souffrait le martyre...
Elle était prête pour se faire violer. Mon épouse était bien tenue, comme il fallait, les cuisses écartées en hauteur, la chatte et le trou du cul était une invitation permanente aux bittes... Le mec se positionna entre ses cuisses, bitte longue et grosse, bien dur dans la main il traça le sillon de la suppliciée... la bitte tendue au maximum... avec un beau sexe de 20 cm environ ! Pine dresse au ciel.
Sans plus attendre il positionna son gland sur l'entrée rose et bien visible du vagin d´elle... Le mec poussa sans ménagement sa queue dans l'intimité d´elle... Dans la position écartelée et ouverte ou elle était il n'y eut presque pas de résistance... La grosse queue envahit le vagin, enrobant la grosse bitte presque immédiatement.... Il poussa à fond... Les yeux grands ouverts Efi n'avait plus aucune réaction. Le spectacle était toujours grandiose...
- Hummm .... Tu sais que tu as une petite chatte bien étroite, toi.... et bien mouillée aussi.
Le type savoura quelques secondes sa victoire sur la petite chatte, puis très rapidement il commença à donner quelques coups de reins pour sonder un peu plus sa proie... La queue pénétra un peu plus profondément dans le vagin de ma femme... Efi raidit et contracta son bassin dans un mouvement de retrait. L´ homme qui tenait les cuisses écartées s'en aperçurent et en profitèrent pour les écarter encore un peu plus... Peu à peu, je me familiarisai avec le spectacle enchanteur, et ma bite revint à des proportions plus raisonnables.
La bitte rentrait jusqu'aux couilles, l'homme jouait avec sa tige et le joint vaginal sans aucun ménagement ni précaution... Efi sentit le premier jet gicler au fond d'elle... Le mec éjacula dans le vagin d´elle... Elle, les yeux grands ouverts, se raidit au premier jet... alors qu'un second jet encore plus puissant, suivi d'un troisième inonda le vagin de M femme... Elle ressentait bien le liquide tiède la remplir. La grosse queue se retira du vagin déformée peu après... la jutte en très grosse quantité reflua en descendant vers le petit anus.
- Merci beaucoup.... C'était vraiment délicieux.
L´homme appuya à nouveau sur le bouton de l'ascenseur, la porte s'ouvrit... En une seconde, il quitta la cabine, aucun bruit, aucune parole... La porte se referma et l'ascenseur monta enfin... Juste avec treize minutes de retard... Il avait avancer le pas. Se contentant de hausser les épaules...
Minutes plus tard Efi s'installa à l'arrière du véhicule...Immédiatement ma femme extenuée s'allongea sur la banquette et s'endormie aussitôt... Cela s'est passé, je l'ai assouvi l'un de ses phantasmes les plus forts. Elle paraîssait très heureuse... Je préférais ne rien dire de plus ou de moins car elle s'en était rendu compte mais préférais faire comme si rien ne s'était passé.... Dans une nuit noire et aussi profonde, notre voiture démarra, sans aucun bruissement de pneu... je réalise des fantasmes que je ne me connaissais pas, tout comme ma femme.
Fin
www.ilebresilien.ubbi.com.br
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