Deux Bites Pour Olivia

Ce soir là, nous recevions Yannick, un ami de longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé que de coutume.

Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine.

Celui de mon épouse étant plus qu’avantageux (95D), je le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, Olivia se mit à rougir, gênée.

Yannick, répliqua qu’elle ne devait surtout pas en avoir honte et qu’il m’enviait de pouvoir faire l’amour à une femme avec d’aussi jolis seins.

A cet instant, étant placé juste à coté de mon épouse, je déposais un baiser dans son cou.

La sentant étrange, je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier, ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face d’elle.

Très excité par la situation, je continuai mes caresses et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant ce spectacle, Yannick n’en croyait pas ses yeux et ne savait trop quoi faire.

Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d’habitude très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter devant un autre homme. Les petits soupirs qu’elle poussait prouvaient d’ailleurs le désir qui montait en elle.

Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et en peu de temps je libérais sa lourde poitrine. Ses tétons pointaient comme jamais et je me mis à les sucer à tour de rôle.

Je sentais Yannick partagé entre la gêne et l’excitation et je lançais « Ce serait dommage d’avoir deux bouches et deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ? ».

La réponse de mon épouse me stupéfia : « Et puis aussi deux bonnes queues… »

Je fis alors lever Olivia et la conduisit vers le canapé en faisant signe à Yannick de nous rejoindre.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs.

Je glissais alors ma main sous sa jupe et sentis l’humidité à travers sa culotte. Ecartant celle-ci, j’enfonçais deux doigts dans une chatte déjà toute poisseuse d’excitation.

Comme si c’étais le signal du départ, elle commença à caresser nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant plus largement les cuisses.

Yannick s’agenouilla alors devant elle, et faisant glisser en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement.

« Léchez-moi partout» nous dit alors Olivia, tellement excitée que j’avais du mal à la reconnaître.

Ne se le faisant pas dire deux fois, Yannick enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses gros nichons tout en l’embrassant dans le cou. Ses tétons pointaient comme des torpilles.

« Mets-toi à quatre pattes » lui ordonnais-je alors, tout en sortant ma queue de mon pantalon.

Yannick m’avait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de l’admirer de plus prés.

Se cambrant au maximum, Olivia présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses avec une main, il lui léchait déjà le petit trou tout en lui doigtant la chatte. Dans le même temps, je fourrais ma bite dans la bouche de mon épouse qui commença immédiatement à me pomper et à me donner de petits coups de langues sur le gland. Je fut bientôt rejoint par Yannick qui s’était enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour.

Sa queue était dure comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland violacé par le désir.

La chatte d’Olivia étant maintenant libre, je me plaçais derrière elle et commençais à la baiser.

«Baise la comme une chienne pendant qu’elle me suce » me lança Yannick qui avait l’air d’apprécier le traitement de faveur qu’accordait mon épouse à sa grosse queue.


Alors qu’une demi-heure auparavant nous discutions autour d’un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus, en train de baiser comme des sauvages sur le canapé, les gros seins de ma femme se balançant au rythme de mes coups de bite.

Jamais je n’avais connu sa chatte aussi trempée. J’avais l’impression d’enfiler une fontaine et mon sexe ressortait brillant de mouille à chaque va et vient.

Olivia se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos. Aussitôt, elle vint s’empaler sur ma queue tout en continuant à sucer la verge de Yannick. Placé comme je l’étais, je ne pouvais pas en rater une miette et je voyais distinctement sa grosse bite aller et venir dans la bouche de ma femme, parfois jusqu’au couilles. La voir se conduire comme la dernière des salopes m’excitait énormément et je devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.

Instinctivement, je me mis à lui caresser le trou du cul qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de Yannick. En effet, c’est sans effort que je put faire pénétrer un doigt, puis un deuxième.

Soudain, entre deux cris de plaisir, Olivia s’exclama « Je vous veux tous les deux en même temps, déchirez-moi comme la dernière des garces ».

Comprenant son désir, Yannick, présenta son sexe à l’entrée de son anus. Lorsqu’il la pénétra, sans difficulté, je sentis distinctement sa bite aller et venir à travers les parois de son vagin.

Olivia était en nage, déchaînée. Prise en sandwich, pilonnée en rythme par nos queues qui lui remplissait alternativement la chatte et le cul, elle eut deux orgasmes successifs.

Brusquement, Yannick se retira, se leva et vint présenter son sexe à la bouche d’Olivia. A ma grande surprise, elle entreprit immédiatement de le sucer. Excité par ce que je voyais, je laissais tomber sa chatte et pris la place de Yannick afin de l’enculer à mon tour. Son anus ressemblait à un cratère béant et je n’eut aucun mal à l’enfiler.


Yannick se mit alors en position de 69 et se mit à lui bouffer la chatte alors que continuais à lui défoncer le cul. C’est à ce moment là qu’elle eut son troisième et dernier orgasme.

En quelques secondes, Yannick joui à son tour et déversa une giclée de sperme dans la bouche d’Olivia qui en recracha une partie qui dégoulina sur le canapé.

Quant à mon tour je dis que j’allais partir, elle me dit « Viens, je veux aussi boire ton jus ».

Ce n’était plus ma femme que j’avais en face de moi, c’était une petite pute, avide de sexe et qui en redemandait. Je lui enfilais donc ma bite dans la bouche et au moment de jouir, je lui maintint la tête pour qu’elle n’en recrache pas une goutte. « Avale, salope », dis-je en crachant la purée au fond de sa gorge.

« Maintenant, tu vas tout nettoyer » lui dit Yannick en lui représentant son sexe et effectivement cette petite chienne lécha chaque recoin de nos sexes jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace de mouille ou de sperme. Nous lui fîmes même lécher le canapé…

Depuis ce jour là, nous avons souvent revu Yannick et il y a toujours eu des sandwichs au repas.

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