Les Aventures De Julien Épisode 12
Derrière la porte se trouve un petit couloir, long de deux mètres tout au plus se terminant par une autre porte. Sur le coté gauche se trouve un crochet auquel Jean Paul attache ma laisse, après m'avoir détaché. Il me pousse devant lui, ouvre la seconde porte et me voilà dans ce qu'Ils appellent l'arène. C'est une pièce ronde, assez grande, elle doit faire une quinzaine de mètres de diamètre. Les murs sont recouverts de glaces qui doivent faire chacune deux mètres de large. Dans n'importe quel sens que je regarde, je vois mon image sur les murs. Il y a dans cette arène une lumière plutôt faible. Au-dessus des glaces, à environ deux mètres du sol, de nombreux rideaux font le tour de la pièce. Au centre de la pièce se trouvent deux anneaux fixés au sol à environ cinquante centimètres d'intervalle. Jean Paul me guide jusqu'entre ces deux anneaux, puis se retourne et me laisse seul, sans me dire un mot. Il repart par la porte que nous avons empruntés pour entrer. Lorsqu'il la referme, je m'aperçois qu'il n'y a pas de poignée de ce côté de la porte, donc aucun moyen de sortir d'ici.
J'entends des voix, nombreuses, des rires aussi. Tout à coup, les rideaux se trouvant au-dessus des glaces se lèvent, mais très lentement. Les voix se taisent. J'ai les yeux baissés, mais je sais que les rideaux ont libéré la vue de tous les gens que j'ai vu plus tôt dans le hall. Tous les yeux sont posés sur moi. Je lève lentement la tête pour apercevoir qu'il y a trois rangées de spectateurs. Un spot s'allume, je me retrouve au centre d'un cercle de lumière.
Comme un artiste arrivant sur scène, j'ai le trac. Mais à la différence d'un artiste, je ne sais pas en quoi va consister le spectacle, même si je ne doute pas d'en être l'acteur.
- Tournes-toi !
Cette voix, je la connais. C'est la voix de la Comtesse. Je me tourne et la cherche du regard, mais je suis ébloui par la lumière. Je suis face à la voix maintenant, mais je ne fais que distinguer la forme sensuelle autant qu'autoritaire de la Comtesse.
- A genoux !
Alors que je m'exécute, j'entends la porte s'ouvrir derrière moi. Alors que je commence à tourner la tête pour voir qui entre dans l'arène, la Comtesse m'apostrophe :
- Qui t'a ordonné de tourner la tête ? Personne ! Tu ne bougeras que quand on te l'aura demandé.
Je sens des mains sur mes jambes, deux de chaque coté. On tire sur mes mollets pour les écarter de sorte qu'ils soient collés aux deux anneaux fixés au sol. Puis mes genoux sont fixés aux anneaux. J'ai les jambes écartées, je ne peux plus les refermer. Tous les regards sont posés sur moi. J'entends quelques murmures d'admiration, mais je n'ai pas la tête à remercier toutes ces personnes qui m'observent. On m'a souvent dit que j'étais mignon, mais ici, j'ai trop peur de ce qui va m'arriver pour y penser. Tout au fond de moi, je sais qu'il ne me sera fait aucun mal irréversible. Mais je ne peux m'empêcher de penser que tout peut basculer d'un moment à l'autre. Mes mains sont attachées dans mon dos à l'aide de menottes en cuir. Les liens sont solides et très serrés. Je n'ai aucun espoir de pouvoir me libérer. Des menottes en cuir sont aussi fixées à mes chevilles auxquelles sont reliées les menottes que je porte aux poignets. De cette manière, je suis obligé de me tenir droit, je ne peux pas me pencher en avant. Pour terminer, une cagoule en latex m'est passée sur la tête. Un seul orifice placé au niveau de la bouche me permet de respirer. Je suis dans l'obscurité maintenant. Les bruits se font sourds à travers la cagoule, mais je distingue tout de même la voix de la Comtesse lorsque les deux personnes se retirent.
- Te voilà prêt maintenant. Il me faut aussi te trouver un nom. Attends que je réfléchisse... Oh, et puis non, tu m'as l'air tellement bien dans ta fonction d'esclave que tu n'as pas besoin de nom. Nous t'appellerons donc Esclave, tout simplement. Mais en tant qu'esclave, tu n'auras pas droit à la faiblesse.
Je suis dans le noir le plus total, de plus en plus affolé. J'aimerai fuir, mais je suis attaché. J'entends un murmure dans le public. Je sens des présences près de moi, nombreuses. Une main de femme me caresse à travers le body et une voix me murmure à l'oreille.
- Je suis ici pour te diriger. Tu es là pour donner. Et tu vas te donner ! Ton corps et ton esprit ne t'appartiennent plus. Si tu ne m'obéis pas, j'aurai quelques surprises pour toi dont voilà un minuscule aperçu.
Sur ce, je sens les lanières de ce qui est sans conteste un fouet. Elles glissent lentement sur mes épaules. Puis je sens un coup de fouet sur mes bras tendus, un autre sur les mollets au sol, ensuite sur les cuisses et pour finir sur le ventre. J'ai eu mal, mais cela reste supportable. J'essaie donc de bouger le moins possible, pour ne pas subir le fouet un peu plus.
- Tiens-toi droit !
Je tire sur mes bras pour me redresser le plus possible. Mes chevilles sont légèrement décollées du sol. Je sens deux jambes féminines qui se collent à mon corps, devant moi.
- Lèche, et appliques toi.
C'est avec plaisir que je me rends compte que le sexe que l'on me présente est épilé, complètement. Ma langue s'aventure dans les plis de cette chatte qui m'est offerte. Le femme lève une jambe pour laisser un peu plus de place à ma langue. Je m'insinue dans ce corps inconnu. je lèche ce clitoris, l'aspire, le prends délicatement entre mes dents. Je l'embrasse puis lance ma langue profondément à l'intérieur. Des doigts aident ma langue, mais je ne sais pas s'ils sont ceux de la propriétaire de cette chatte délicieuse ou ceux d'une autre inconnue. Je sens son plaisir me couler dans la gorge. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens les contractions typiques de l'orgasme agiter ce doux vagin.
- C'est bien. Elle a bien joui. Passons à la suite. J'ai dans la main un scalpel, et je te conseille de ne surtout pas bouger.
Sur ces mots, je sens la lame sur mon épaule gauche. Lentement, elle découpe le haut de mon body. Je tremble, j'ai peur, je ne vois pas ce que l'on me fait. La bretelle gauche cède. Puis la droite, alors qu'une fine coupure fait couler une petite goutte de sang sur mon épaule. Le body ne tient plus que par les hanches. Mes pectoraux imberbes sont maintenant à la vue de tous.
- Tu as bougé, tant pis pour toi... La prochaine fois, le scalpel ira peut être un peu plus profond si tu ne fais pas attention.
Une autre paire de jambe se colle à mon ventre. La main qui quelques secondes plus tôt tenait le scalpel me fourre un sexe masculin dans la bouche. Je suis obligé maintenant de sucer cet homme que je ne connais pas. Alors que je le prends dans ma bouche, je sens un liquide chaud jaillir sur mon torse. Un autre homme, qui se branlait près de moi, vient de jouir. Une main étale le sperme. Je suce cette bite du mieux que je peux. De temps en temps, un homme joui sur moi. J'ai le corps, le visage et le dos recouvert de sperme. L'homme ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Je sens un filet de sperme couler au coin de ma lèvre pendant que je continue de lécher le gland lentement.
- Je vois que tout cela te fait bander très fort, mais ne compte pas jouir. Ici, c'est le plaisir des autres que tu dois servir. Et cela ne fait que commencer...
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