Infirmières Perverses

Au seins de l’Hôpital Radclife les morts se ramassent à la pelle. Quoi de plus normal me direz-vous pour une clinique que de compter ses morts mais ici le nombre grandissant de décès appelle à une enquête. Le secteur gériatrie semble particulièrement frappé de manière exagérée, surtout les hommes qui meurent tous d’un arrêt cardiaque aussi soudain qu’inexplicable alors que leur visage exprime une sorte d’extase. Après vérification et plainte des L’inspecteur Jean-Pierre - appelé communément par son prénom étant donné que son nom de famille est imprononçable -, est chargé de l’enquête. Comme il arrive bientôt à l’âge de la pension, il se fait admette en accord avec le directeur comme patient au sein du service incriminé. Il ne tarde pas à remarquer que trois des quatre infirmières n’ont pas plus de vingt-six ans et que la chef de service a quant à elle 35 ans ou presque. Elles ont en commun d’être très jolies et d’avoir un postérieur qu’on voudrait manger ou y asseoir son visage. La chef de service se nomme Michelle, elle se porte bien sans exagération et a des cheveux blonds coupés assez court. Loraine lui ressemble quoique plus grande. Lisa est rousse et Lydia, quant à elle, possède de longs cheveux bruns.

Après avoir laissé courir le bruit qu’il était riche, l’inspecteur demanda à Adeline sa nièce de venir.

- J’ai un service à te demander, lui dit-il

- Je t’écoute, tu sais que je ne peux pas te refuser grand-chose.

- Je voudrais que tu ailles fouiller pour moi quelques maisons

- Tu sais pour moi le cambriolage, c’est du passé

- Oui je sais je sais, mais si on fait pas ça je vais devenir fou ici, tu n’ignore pas ma phobie des hôpitaux.

- Pourquoi tu demandes pas a Terry, elle est de la police elle !

- Justement, je ne veux pas attirer les soupçons. Si cela tourne mal ne t’inquiètes pas je te couvrirais. N’oublie pas qu’il y a cinq ans je t’ai éviter un long séjour à l’ombre

- Bon ok, c’est bien parce que je te dois d’avoir évité la prison.

Mais je te rappelle tout de même que tout ce que je volais à l’époque je le restituais.


Une journée passe. Et puis deux.

Le troisième jour Jean-Pierre n’est toujours pas plus avancé. Il s’apprête à décrocher le téléphone quand ce dernier soudainement sonne.

Jean-Pierre décroche rapidement.


- Allô, Allô, c’est Adeline (elle chuchote) Je viens de téléphoner a Terry elle arrive tout de suite…. Non ne me coupe pas s’il te plaît…Je suis chez une des infirmières…Tu avais raison. Fais attention la doctoresse est dans le coup aussi ainsi qu’un notaire de la région que Terry est partie arrêter.

- Tu es chez qui ? Le nom de l’infirmière ?

- Je suis chez…


Soudainement un fracas se fait entendre au téléphone


- Adeline ! Adeline s’écrie Jean-Pierre paniqué


La porte s’ouvre et une main s’empare du cornet.


- Il ne faut pas vous énerver comme cela, ce n’est pas bon pour votre cœur.


C’est Lydia. L’infirmière ouvre sa bouse blanche. Elle est nue en dessous. Bientôt la blouse atterri sur le sol et Lydia se retrouve nue avec seulement des mocassins rouge aux pieds. Elle sort une seringue de sa trousse, se couche sur le sol et fait glisser délicatement la seringue sur sa peau, sur ses longues jambes roses et fines et sur ses seins tendus comme deux cloches a fromage.


Suave, Lydia s’approche ensuite lentement de Jean-pierre et lui injecte un produit qu’il comprend être un stimulant cardiaque. Il en a déjà le cœur qui palpite.

- « C’est l’heure de votre piqûre !... », lance la jeune femme de plus en plus belle et excitante


Alors prêt à jouir mon pèpère, lui dit elle ensuite qu’elle se met à califourchon sur lui et vient lui bouffer le visage avec ses fesses rebondies. Puis elle s’empale sur sa bite et s’agite comme une damnée. La jeune infirmière danse à présent sur sa queue qu’elle fait sortir presque entièrement avant de se laisser retomber dessus.
Après quelques minutes de ce traitement on frappe à la porte.


- Ce n’est pas encore finit ?! L’heure de midi est presque arrivée !

C’est la doctoresse, une grande femme solide et puissante, qui vient aux nouvelles.


- Celui-ci est un dur à jouir ! Tu t’es occupée de la fouineuse ? Interroge Lydia.

- Ne t’inquiètes pas son cas est réglé.


Suivant le ton employé, il semble bien que ce soit Lydia qui commande.


- Je vais t’aider, dit alors la doctoresse qui abaisse son pantalon et offre à voir ses fesses charnues. Je te remplace, il préfère peut-être les grosses.


La doctoresse s’installe alors sur Jean-Pierre qui n’aura sans doute jamais autant connu le plaisir que ce jour là. Lydia se caresse. Puis elle se rend à la fenêtre ayant entendu un bruit strident comme des sirènes de police. En même temps la plaque de police de Jean-Pierre tombe de la poche de sa veste mal posée sur une chaise. Lydia comprend qu’elle se sont fait piégées mais plutôt que d’en avertir sa complice elle remet sa blouse blanche et sort en catimini. La doctoresse trop occupée à se faire aller sur Jean-Pierre ne la voit même pas sortir.

Lydia voit Terry arriver arme au poing et toute haletante. Elle décide de prendre l’escalier de service qui conduit aux urgences. Terry se jette alors dans la chambre en criant « Haut les mains ». La doctoresse lève alors les mains, surprise dans une position indécente. « Où est Lydia » demande alors Terry avec véhémence, « le notaire a tout avoué, s’en est fini de vos petites manigances »

- Et Adeline, s’inquiète alors Jean-Pierre

- Ne t’inquiète pas, elle va plutôt bien, on l’amène à cet instant en ambulance. Elle est juste commotionnée mais ça aurait pu être plus grave.

- Alors que Terry passe les menottes à la doctoresse un médecin renseigne qu’il a vu Lydia fuir par l’escalier de service.


Pendant ce temps Lydia profite d’une ambulance qui vient de rentrer pour s’enfuir.
Tandis que les ambulanciers se porte à l’arrière pour sortir leur malade, Lydia monte au volant et démarre brusquement. A ce moment Terry descend.


- Elle est folle celle-là ! s’exclame un ambulancier outré.

- Qui était à l’intérieur, demande alors Terry prise d’un affreux doute.


L’ambulancier lui montre alors la carte d’identité de la malheureuse patiente. Aucun doute c’est adeline.


- Y a-t-il moyen de réquisitionner un hélicoptère ? renchéri Terry.


Et bientôt Terry et deux collègues prennent place dans un hélico, prêt à se lancer à la poursuite de Lydia.


- La voilà ! s’écrie soudainement Terry


Toute sirène hurlante, l’ambulance se fraye un chemin difficilement entre les voitures.


- Il faut attendre qu’elle sorte de la ville, ici c’est trop dangereux. Surtout ne tirez pas dessus, Adeline est à l’intérieur.


Très vite Lydia, qui se sait suivie, emprunte les chemins boisés et sinueux en dehors de la ville.


Bientôt, à la demande de Terry, L’hélicoptère se pose au milieu de la route pour barrer le chemin à l’ambulance. Terry descend de l’hélicoptère.


« Je vais t’écraser petite emmerdeuse », geint Lydia visage haineux. Dans l’instant l’ambulance accélère et part se jeter sur Terry qui, ultime réflexe de survie, tire sur le pneu avant qui explose en rencontrant la balle. L’ambulance alors complètement déséquilibré, comme ivre, commence à zizager d’un bas côté à l’autre. Terry en se jetant sur le sol a à peine le temps de voir la tronche effarée de Lydia qui essaie vainement de corriger la trajectoire folle de l’ambulance qui bientôt totalement hors de contrôle sort de la route. La rencontre avec la première bosse provoque l’ouverture de la porte arrière et l’éjection salvatrice d’Adeline qui se retrouve jetée avec son lit sur le chemin. L’ambulance continue alors quelque dizaine de mètre, brinquebalant à vive allure, et finalement part se jeter dans le premier précipice venu.
Lydia, impuissante à corriger la trajectoire folle de son véhicule hurle en se barrant le visage d’effroi. L’ambulance finalement se fracasse 50 mètres plus bas sur une énorme roche et sous le choc explose littéralement, les flammes jaillissent à la même seconde.

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