La Visieuse Sof Est De Retour

Cette histoire est la suite d'une série deja envoyée...


Suite des aventures de Sof


Sof de retour sur la route


Je voulais renouveler les expériences que nous avions eues avec nos amis de la route. Sof après un petit moment de réticence convint que ces aventures l’avaient positivement marquées. Comme à notre habitude, nous avons profite d’une soirée entre amoureux pour pousser un peu plus loin nos fantasmes.

Ce soir là, un mis une longue robe fendue et boutonnée sur le devant dont elle venait de faire l’acquisition. Elle était chaussée d’escarpins ouverts à talon hauts. Elle venait de sortir de chez le coiffeur et ses nouvelles bouclettes mettaient en valeur sa peau légèrement halée en ce moi de juillet. Nous avons pris la route en direction de Chalons en champagne.

Nous nous sommes arrêtés dîner dans un petit routier du coté de Sézanne. Il était quasiment vide seuls trois chauffeurs étaient présents et ces derniers regarder nonchalamment les informations projetées dans la salle de restauration. Sof était un peu déçu et elle décida d’attirer leur attention. Quelques boutons dans le bas de sa robe furent enlevés et elle mis largement en valeur son décolleté qui donnait sur ses seins maintenus par un redresse seins et qui permettait facilement de voir ses aréoles dès qu’elle venait à se pencher.

Elle me demanda de sortir un peu et de ne revenir que dans quelques minutes, elle désirait me faire une surprise. J’acquiesçais en me rendant vers le bar adjacent. Après quelques instants, j’entendis un bruit de chaise dans la direction où se trouvait Sof et j’attendis encore un peu avant de revenir. Ma chère et tendre avait feinté une chute et bien sur les trois routiers, s’étaient précipités pour la relever. Sof était maintenant assise sur une chaise sa jambe tendue était posée sur les cuisses d’un homme trapu d’une quarantaine d’année. Ce dernier massait avec intérêt la cheville tandis que ses yeux s’égaraient sous la jupe dont Sophie avait largement écarté les pans et qui camouflait si peu la naissance de son abricot fraîchement épilé.

Par moment, elle se penchait également, sa main allant rejoindre celle du galant homme, massant tous deux cette cheville, se souriant et lui, heureux, pouvait alors admirer les seins de ma petite cochonne.

Elle lui demanda de l’accompagner aux toilettes afin de se passer un peu d’eau froide. Je les suivait discrètement au même titre que les deux autres chauffeurs qui savaient eux aussi ce qui allait se passer tellement les intentions de Sof étaient explicites.

Arrivée dans les toilettes, elle se pencha afin de s’asperger le visage et elle ne manqua pas d’arroser un peu sa fine robe blanche ce qui eu pour effet de dévoiler un peu plus ses seins. Elle se retourna vers l’homme qui l’avait accompagné, elle nous aperçut dans l’entrebâillement de la porte. Elle porta son visage à hauteur de « son sauveur » et dans l’embrassa à la commissure des lèvres en le remerciant. Ce dernier ne pu se retenir d’avantage. Sa langue partie à la rencontre de la bouche offerte. Ils s’embrassèrent quelques instants, elle noua ses bras autour de ses fortes épaules. Il la souleva posant ses fesses sur le rebord du lavabo. Elle écarta un peu plus ses jambes et enserra celui qui allait devenir un nouvel amant. Il amena sa main au croisement des cuisses tandis qu’elle ouvrait complètement son corsage, ce comportement en véritable salope. Il commença à fouiller le sexe offert, ce qui eu pour effet de couper le souffle de celle qui se donnait. Il recula légèrement afin de pouvoir libérer un sexe déjà bien fier et noueux. Elle fouilla dans le sac qui l’accompagnait et lui offrit un préservatif. Alors qu’il commençait a se couvrir, elle s’agenouilla et pris la protection en bouche afin de se protéger dans le plaisir, elle lui fit une magistrale fellation tout en déployant la fine pellicule de plastique, le regardant droit dans les yeux, le joues un peu rougies par l’excitation et déformées par le membre dont elle prenait grand soins. Après quelques va et viens, elle voulu sûrement avoir également son compte et elle regagna son emplacement initial.
Il maintint alors les jambes écartées le long de ses hanches et poussa son membre qui n’eu aucun mal à rentrer dans le sexe déjà reluisant des marques du plaisir. Ils prit les seins en bouche et tandis que ma femme passait ses doigts dans ses cheveux, la tête reversée, les yeux fermés et haletante, elle émit quelques petits cris, preuve du plaisir qu ‘elle prenait a sentir les assauts un peu rustres de l’homme qu’elle n’avait encore jamais vu quelques instants auparavant mais qui lui permettait de réaliser ses désirs sexuels.

Nous étions debout là, tous trois un peu médusés et surtout bandants comme des cerfs en regardant ce délicieux spectacle.

Sof releva le visage enfouit dans ses seins puis sauta sur le sol se retourna et en relevant sa jupe sur sa croupe, invita l’homme a la prendre par derrière. Ces deux beaux lobes furent écartés laissant apparaître une jolie rosace ambre. Le membre plia légèrement mais rentra sans trop de difficultés. Sof émit une petite grimace vite remplacée par les stigmates du plaisir. Nous pouvions voir ses seins dans le miroir qui ballottaient au rythme donné par son assaillant. Ils pris ses mamelons entre ses doigts et joua avec tout en enculant celle qui maintenant ne pouvait retenir ses petits cris de jouissance, leurs corps se convulsèrent et nous compriment qu’ils venaient de jouir en commun. Je décidais de regagner notre véhicule tandis que mes comparses repartaient en direction de la salle de restauration. Sur que cet intermède les avait plus distrait que les rituelles informations…

Sof ne tarda pas à me rejoindre. Je la laissais monter et remettre un peu d’ordre dans sa tenue avant d’engager la conversation.


Elle m’avoua voir prit beaucoup de plaisir et que l’homme attentionné lui avait procuré une forte jouissance car il avait réussit a caler leurs rythmes facilement et que la situation l’avait beaucoup excité mais qu’elle n’était pas encore totalement rassasiée.

Quelques kilomètres plus loin, un parking de camions était faiblement éclairé et nous pouvions voir quelques cabines éclairées par les éclats bleus projetés du petit écran que ces pauvres âmes solitaires regardaient tristement.
Nous avons donc décidé de nous arrêté a proximité. Nous étions dans une petite commune répondant au nom de Connantray. Nous nous sommes dirigés vers une table de pique-nique qui était dressée vers quelques arbres et nous n’étions alors visibles que par un faible halo. Sof vint s’asseoir sur la table, les pieds sur le banc et elle prit quelques poses coquines. J’ai alors saisi l’occasion et je les mitraillé avec l’appareil qui ne me quitte jamais en de tels occasions. Les éclairs attirèrent l’attention de deux jeunes hommes qui descendirent de leur camion puis sous prétexte de faire le tour de la semi nous mataient…

Nous avons continué notre petit manège. Après plusieurs photos, Sof était là allongée sur cette table, plus aucun offerte les pans de sa robe trônant largement de chaque coté. Je me suis approché et je l’ai pénétré sous les regards attentifs et discrets de ceux qui n’osaient alors s’approcher. J’essayais de nous mettre dans l’appareil tous deux, le tenant à bout de bras. Voyant que j’étais embêté, l’un d’entre eux fit ce que nous espérions, il s’approcha et proposa de nous aider en nous photographiant. Il fut bientôt rejoint par son comparse. Au bout de deux ou trois clichés, Sof s’est relevée leur dévoilant encore mieux sa nudité et leur demanda comment elle pouvait les remercier. Ils s’approchèrent aussitôt sans bruit et sortir leurs verges tendues. Ma femme tendit les obligatoires protections qu’ils revêtirent avec application. Elle s’assit sur le banc et leur offrit à tour de rôle sa bouche.

Elle les masturba et les suça à tour de rôle tandis que j’appréciais le nouveau spectacle qu’elle m’offrait. Elle ne tarda pas à se remettre sur les dos et le premier pris possession de son sexe tandis que le second gardait son sexe sous les coups de langues. Leurs mains couraient sur le corps offert. Les pointes de seins étaient tendues et elles roulaient sous les doigts inquisiteurs. L’éhontée ne tarda pas à leur proposer la face cachée de la lune.
Elle se mit a cheval sur le premier et le second effleura son anus, tandis que le pistil remplit, Sof égrillarde se réjouissait des propos salace que tenait celui qu’elle chevauchait avec entrain. Il ne tarda pas à remplir l’objet de ses convoitises prenant ainsi ma douce dans un délicieux sandwich. Je n’en pouvais plus, je me suis rapproché un peu plus et c’est alors que j’ai découvert un troisième larron qui dans l’ombre jouait avec son sexe. Je suis parti à sa rencontre mais j’étais loin de me douter de ce qui allait m’attendre.

Arrivé à sa hauteur se dernier déclina mon invitation à aller les rejoindre, il me déclara qu’il préférait attendre qu’ils aient fini et que nous verrions après. Nous sommes donc restés l’un à coté de l’autre, nous masturbant allègrement en profitant du spectacle qui se tramait à quelques mètres de nous.

Sof venait de prendre entre ses doigts ses mamelons de celui qui se trouvait sous elle tandis que son bras balancé vers l’arrière, elle cherchait de sa main les fesses de celui qui l’enculait. A son tour elle l’encula, sa phalange s’introduisit délicatement dans le fondement de son dernier amant. Ce geste inattendu provoqua dans le trio l’arrivée d’une jouissance intense. Ils se vidèrent respectivement dans le cul et la chatte de celle qui dans un râle jouit en communion. Ils caressèrent un peu le corps de celle qui venait de leur offrir tant de plaisirs. Les doigts s’insinuèrent dans les trous béants. Puis ayant repris un peu de forces, ils s’effacèrent en retournant dans leurs cabines.

Nous venions nous aussi de nous vider. Sof reboutonna sa robe en vint nous retrouver. Joyeusement elle déclara au troisième routier qu’il n’aurait pas du faire le timide et qu ‘il aurait du venir se joindre à eux. Il ne déclina pas l’invitation, nous expliquant qu’il demeurait à Fère Champenoise, distance de quelques kilomètres et qu’il avait du stopper là pour des raisons de règlement. Il nous invita à le suivre chez lui où sa femme également friande de sexe l’attendait depuis deux jours.

Nous décidâmes d’un commun accord de le suivre. Entre temps il avait prévenu une de ses amies, également dans le transport, du coté de Romilly. A notre arrivée il y avait donc déjà un petit camion frigo, son amie faisant du transport d’animaux. Nous fument très bien reçu les deux femmes étaient déjà avisée du tournant de la soirée et elle avait revêtues quelques tenues affriolantes. Son amie bien qu’un peu forte ne manquait pas de charme. Après m’avoir installé afin de déguster un petit alcool, elle vint s’installer à mes cotés et sa main se mit à caresser ma jambe. Sof entourée de nos hôtes ne tarda pas non plus à faire l’objet de convoitise. Je me demandais comment ma femme pouvait tenir une telle cadence. La maîtresse de maison glissa sa main dans le corsage de ma douce et tout en libérant les seins, elle ouvrit également le petit ensemble qu’elle portait.

Sof pencha la tête et roula une pelle à sa compagne tandis que notre routier prenait possession du sexe offert. Ses doigts allaient bon train et sûrement par le fait de trouver les lieux si délicieusement offerts et humide il y glissa plusieurs doigts la fourrageant rageusement. A ce rythme, je savais que Sof n’allait pas tarder à jouir de nouveau. Ma compagne pour sa part me dégrafa et sortie mon sexe qui reprenait allure. Elle commença par me prendre en bouche tandis que sur le sofa en face, les deux femmes se caressaient et se faisaient fouiller de la langue les parois intimes et la rosette.

Notre gaillard prit s’introduisit dans Soft tandis que son épouse profitant de l’aubaine, suçait alternativement les bourses de son homme et le petit bouton de ma femme. Au bout de quelques instants, il prit Sof et la retourna avant de poser son gland sur ses fesses, elle comprit ce qu’il voulait mais après la soirée qu’elle venait de passer, déclina son invitation. Je ne sais pas ce qui lui a prit mais en me regardant me faire sucer, elle demanda au routier de jouer plutôt avec moi. Je fus très surpris de la proposition. Ce dernier trouva l’idée sympathique et s’approcha de moi. Dans un premier temps je refusais catégoriquement. Je n’avais jamais connu une telle aventure et l’idée ne m’était pas venue. Mes les filles se firent insistantes, Sof déclara qu’elle non plus n’avait pas eu ces idées lubriques sans moi et que c’est pour moi qu’elle avait franchie le pas qui l’amenait maintenant a se donner facilement aux plaisirs de l’exhibition et de l’échangisme. Je ne trouvais pas d’arguments à opposer.

Devant l’insistance de ces trois femmes et de cet inconnu, je me laissais faire. Je fus en un rien de temps déshabillé complètement. L’amie transporteuse eue alors une idée, ils me bandèrent les yeux et je fus amener à l’extérieur, on me fit monter dans un endroit très froid, il s’agissait de son frigo. J’avais maintenant les yeux bandés mais aussi les mains liées et j’étais à la disposition de ce petit monde. Je fus accroché aux rayonnages. La température était glaciale et pour me réchauffer, ils me fouettèrent avec ce qui devait être un badine. Dans le même temps, j’étais sucé, une bouche venait de prendre possession de mes seins. Au bout de quelques instants, mes fesses devaient être bien rouges et striées par les marques des coups portés. Pourtant la situation commençait à me plaire. De mon méat sortait quelques gouttes signes du plaisir que je prenais. Mes mains furent décrochées et je me retrouvais en appuis contre les parois du camion. Il faisait toujours aussi froid et mes seins pointaient tant par le froid que par ce que je venais de subit. Une bouche est arrivée pour me le mordre. Puis j’ai entendu ma femme dire : « Il va falloir qu’il connaisse aussi les mêmes joies qu’il m’a fait découvrir et il faut soigner ses petites fesses »

Une langue est alors venu prendre place dans mon fondement, d’abord surpris, j’ai très vite pris plaisir a sentit mon anus agacé. Une autre personne est venue enfourner ma verge puis plus rien derrière et ce jusqu'à ce que j’entende de la bouche de ma femme « vas y encule le ! »

J’ai senti le gland qui cherchait son chemin puis la poussée. Sûrement bien aidé par la lubrification que je venais d’avoir, il ne tarda pas un s’insinuer profondément en moi. Le premier sentiment fut celui d’une petite douleur mais on continuait à me sucer et la tournure que prenait cette soirée ne tarda a m’aider, m’excitant, je sentis mon partenaire qui commençait à me pilonner et très vite, je pris du plaisir a me faire enculer. Ma femme était à nos cotés, je l’entendais encourager mon premier amant. « Vas y plus fort, il aime ça le salop ».

En quelques minutes je venais de découvrir les jeux de la fessée et les plaisirs procurés par ceux du même sexe que moi. J’ai senti sa verge qui déversait par saccades la laitance, à mon tour j’ai joui dans la bouche qui me tenait prisonnier. C’était Laurence, la fille au camion frigo et aux formes généreuses qui venait de récupérer dans mon sperme. Elle approcha sa bouche de la mienne et me donna mon propre sperme tout en m’ordonnant de le boire. Je n’avais pas le choix. Mon bandeau fut enlevé et je pus voir que la situation avait ravi mon épouse. Elle demanda a se que je soit amené dans le salon, mes mains toujours nouées. Je fus attaché à une chaise tandis que Sauf allait se donner aux femmes présentes. Elles se sont godé, sucé, peloté. Tête bêche Sauf fit l’objet de toutes les attentions et les jeux lesbiens allèrent bon train. Celui qui venait de me dépuceler eu alors pitié de moi, je reprenais vigueur à la vue du spectacle de ces corps de femmes emmêlées. Il vint s’agenouiller et commença à me sucer non sans nous voir revêtis du salvateur ustensile. Après m’avoir vidé, il déclara « Je vais me finir dans ta pute » Sof était aux anges !

Les deux autres femmes continuèrent à se gouiner en regardant Sof subir les derniers assauts de la soirée. Ils pris ses pieds à hauteur de ses épaules, elle appuya ses talons hauts dans sa chaire laissant quelques traces. De là où j’étais je pouvais voir les lèvres ouvertes où son sexe disparaissait. Les seins rebondis de Sof étaient prétris par ses grosses mains, elle jouissait, criait, les autres femmes étaient tête bêche. Sof introduisit un doigt dans le cul de Laurence. Ils prirent rapidement leur pied. Sof était épuisée, submergée par les émotions. Ils me libérèrent puis nous priment congé. Je venais de goûter, grâce à ma femme, ce soir là à tous les plaisirs !

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