Escaliers
Jhabite dans le même immeuble à Paris depuis bientôt 6 ans. Vous connaissez Paris et ses légendaires relations de voisinages : à peine se dit-on bonjour, jamais on se parle, on feint même de signorer quand on se croise au supermarché..
Dans mon immeuble, il y a cette femme, une très jolie fille de 33-35 ans, grande, brune, les yeux noirs, élancée. Pas un canon, mais elle a réellement quelque chose de « chien », un vrai truc. Ce nest pas du charme au sens conventionnel du terme, mais elle dégage quelque chose de littéralement animal.
Cest donc quelquun que je croise relativement souvent, environ une fois tous les 15 jours.
Il y a presque 6 mois, je la croise dans le couloir qui fait office de hall dimmeuble. Cest un vieil immeuble qui date du milieu du siècle je crois, dans les quartiers bourgeois de Paris. Cest un couloir qui fait environ 10 mètres de longs pour 1m20 de large.
Elle était habillée tout en noir : jupe et longues bottes, col roulé et imperméable.
JE la croise donc pour la première fois dans ce couloir, au niveau des boites aux lettres (elle regardait son courrier), il ny avait que nous deux. Jétais pressé, mais innocemment, et je dois dire un peu comme un gosse de douze ans, je me dis « je vais marrêter, faire semblant de regarder mon courrier, elle saura mon nom ». Je commence donc mon manège, mais je remarque quelle ne se retourne même pas. Jessaye de tourner discrètement la tête afin de croiser son regard. Mon regard se bloque sur ses jambes pendant lespace dun instant. Cest évidemment le moment quelle choisi pour enfin tourner la tête. JE sens alors son regard posé sur moi, je lève les yeux un peu penaud, elle me plante ses yeux noirs droit dans les miens pendant 3 ou 4 secondes qui me parurent une éternité. Voyant que jétais mal à laise elle me demande de but en blanc « problème de torticolis ? ». JE suis métis, donc je nai pas pu rougir (), mais jétais vraiment mal à laise.
3 semaines se passent sans que je la croise, puis de nouveau je la rencontre, dans les escaliers cette fois : elle descendait, je montais. ME reconnaissant, elle me lance un nouveau grand sourire et me dit « alors ce cou, ça va mieux ».Cette fois-ci je ne laisse pas démonter te lui répond du tac-au-tac : « mieux oui. Merci beaucoup ».Un peu surprise de ma réponse, elle laisse éclater un petit rire, descend encore deux marches, sarrêtent sur la même marche que moi , me regarde dans les yeux et pense à haute voix « ça pourrait être marrant », et elle continua son chemin.
10 jours se passent encore et je la croise tout en bas de lescalier. Cétait un samedi après-midi, pluvieux. Quand nos regards se sont croisés, elle et moi sommes restés immobile quelques instants, en se regardant dans les yeux, en silence. Nos regards disaient : « on le fait ou pas ? ». Il y avait une électricité, une tension sexuelle quasiment palpable tellement ce moment fut intense. Comme je restais surplace, un peu pétrifié, elle sapprocha de moi, me colla la main sur le sexe, qui commença déjà à durcir et me dis « oui ça va être marrant ».
Elle me prend par la main, memmène derrière les escaliers où il y a un espace accessible mais complètement caché des regards.
Cest alors quelle me planta sa langue dans la bouche et membrassa. Elle avait une langue douce, chaude et humide, un peu comme un sexe de femme. Elle était surtout très agile et rapidement mon sexe devint énorme. Comme je suis assez doué pour les bisous dans le cou (cest ce quon me dit..), je commença à lui mordiller le cou et je sentis des frissons passer dans son corps.
Elle portait un jean cette fois mais cela ne mempêcha pas de le déboutonner rapidement et de lui caresser le clitoris.
Jai alors senti des soubresauts dans son bas-ventre, elle sest cambré, puis ma mordu lépaule tout en cachant un petit cri
elle venait de jouir, juste comme ça, en quelques minutes !
Alors elle me regarda droit dans les yeux et commença à déboutonner ma braguette. Mon sexe était dur comme un roc, mon gland turgescent ! Elle le prit à pleine main sans le regarder, lâche un petit sourire et me susurra à loreille, « je vais te sucer comme jamais on tas sucé ».
Elle descendit sur ses genoux tout en continuant à me regarder. Elle décalotta ma bite et lenfoui dun seul coup au fond de sa bouche. Jai cru que jallais éjaculer sur le champ !! Puis elle recula doucement la bouche et commença à jouer avec sa langue sur mon gland, tout en maintenant la bouche bien fermé sur mon sexe. Puis elle a commencé à me manger les couilles, à me lécher ma verge à lenfouir de nouveau dans sa bouche, elle aspirait tout ce quelle pouvait et me branlait de toutes ses forces.
Au bout de 5 minutes de ce supplice divin, ne tenant plu, jai senti mon gland qui se gonflait de plaisir, elle sest arrêté une seconde, ma regardé dans les yeux et ma dit « je veux tout dans ma bouche ». Elle mi alors toute son hardeur à me branler, la bite entière dans sa bouche, me malaxant les couilles à la limite de la douleur et je sentis que mon sperme montait inexorablement, que le plaisir allait menvahir.
Alors elle se releva, reboutonna son pantalon, me sourit et me dit « javais jamais vécu un truc pareil, jespère quon ne se croisera plus »
Puis elle mabandonna là, le sexe à lair encore chaud.
JE me suis rhabiller et je suis rentré chez moi pendant quelle sortait de limmeuble pour vaquer à ses occupations.
Je navais jamais connu dexpériences aussi spontanées, animées par autant de plaisir
JE croise encore cette femme de temps en temps, elle ne me regarde même plus !!
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