Mon Prof De Gym

Cela s’est passé la semaine dernière, et depuis, je ne cesse d’y penser avec, à chaque fois, la même sensation de chaleur à l’intérieur de mon ventre, c’était la première fois que je posais mes livres sur la bite d’un homme. Je ne suis pas du tout homosexuel, je n’ai jamais eu d’attirance particulière pour les autres hommes, mais là, je n’ai pas su résister à l’envie qui me pressait de coucher avec quelqu’un du même sexe que moi.


André est le prof de gym de l’école où je poursuit mes études, il a la quarantaine, est bien bâti, grand et évidement sportif, comme vous pouvez l’imaginer pour un prof de gym. De mon côté, je ne suis pas mal non plus, je pense, et je multiplie les aventures avec les filles de mon lycée, signe que je plais à mon entourage.


Comme je le disais, l’histoire que je vais vous raconter c’est déroulées la semaine passée, nous avions cours de natation avec André, et à la fin du cours, nous devions nous sécher pour repartir avec le car qui devait nous ramener devant notre école. Seulement, problème, les cabines pour se changer étaient trop peu nombreuses pour nous. Comme lors de notre arrivée, nous nous sommes donc mis deux par cabine, et moi, comme par hasard, je suis tombé avec notre séduisant professeur. Je commençai à me sécher le dos et le torse, en prenant bien le temps, pour enlever mon maillot le plus tard possible, car j’étais véritablement gêné par la situation que je vivais. André lui ne l’était visiblement pas du tout, il était de dos par rapport à moi et enleva rapidement son maillot. Lorsqu’il se retourna, je fus complètement sidéré par toute la virilité qui se dégageait de son corps. Il était beau, et le sexe qui pendait entre ses jambes était d’une taille plus que respectable, du moins par rapport au mien, il était bien plus grand. Je regardai donc quelques instants ce sexe, à quelques centimètres de moi, et sans m’en rendre compte, je restais figé dans cette position.

André le remarqua rapidement et me dit doucement, pour ne pas que mes camarades ne l’entende :

-c’est la première fois que tu vois un autre homme nu, ne soit pas gêné

-ce n’est pas que je suis gêné, enfin si, mais,…. Votre sexe, en avalant ma salive, il est grand…

-Mais non, je suis sur que le tiens est pas mal non plus, regarde. Et en me disant ça, il montra du doigt la bosse qui commençait à se dessiner sous mon maillot. Sans m’en rendre compte, je commençais à bander en regardant un homme.

Quelques instants s’écoulèrent pendant lesquels aucuns de nous ne parla. J’avis toujours les yeux sur la verge de mon prof, qui commençait également à durcir sous l’effet de l’excitation.

Puis, sans me prévenir, André pris lentement ma main dans la sienne, et la rapprocha de son sexe. J’avis un peu peur, je me demandais ce qui m’arrivais, mais j’aimais cela, j’aimais la situation dans laquelle j’étais plongé, et je me laissai faire, le cœur battant comme jamais il ne l’avais fait auparavant. Il déposa délicatement ma main sur sa bite, elle était douce et chaude au touché. Je ne savais comment réagir à ce moment, si je devais la serrer dans ma main, la caresser lentement, me baisser pour l’embrasser, j’étais complètement perdu. Finalement, j’ai commencé lentement à le branler, avec beaucoup de douceur, allant de la basse de sa bite au bout de son gland. Ma main glissait parfaitement sur cette verge qui grossissait toujours car elle était encore mouillée de l’eau de la piscine.

Tout à coup, il me saisit la main et me dit

- Arrête et habille, toi, sinon tes amis vont nous attendre.

- Mais, … la déception se lisait sur mon visage et dans mon expression

J’étais déçu, j’avais vraiment envie d’aller plus loin avec lui, et ma bite ne demandais qu’à être un peu déchargée, vu l’excitation que je sentais en elle.

- ce soir, rdv à 20 heures derrière l’école, tu pourras y être ?

- Bien sur, c’est vendredi aujourd’hui, je peux sortir.



Le trajet de retour se passa comme si rien ne s’était passé entre nous, nous ne nous sommes même pas regardé.


J’arrivais au rdv un peu à l’avance, lui n’étais pas encore là, mais je ne patientai que quelques instants. Il arriva en voiture et s’arrêta devant moi.

-Monte, dépêche toi avant que quelqu’un ne nous voient.

Je m’exécutai donc, et me pressa d’entrer dans son auto.

-Tu veux faire quoi, on peut aller boire un verre si tu veux.

- Non, je veux finir ce que j’ai commencé tout à l’heure


Décidément, je ne comprenais pas ce qui était en train de m’arriver, je n’étais même pas gêné de parler comme cela à un autre homme, de surcroît mon professeur, comme si j’étais un vrai homo habitué à se genre d’aventure.


-Il démarra lentement, et après quelques mètres, je posai ma main sur son paquet. Il était déjà bien gonflé par l’excitation. Je sentais bien sa queue et ses couilles sous ma main. Je restai quelques instants comme cela, à le caresser au dessus de son pantalon, et je sentais que sa respiration s’accélérait et qu’il commençait à remuer lentement le bassin, pour participer à sa manière aux caresses que je lui prodiguais. J’ouvris sa braguette et détacha le bouton de son jeans alors que lui conduisait toujours, concentré sur la route. Sa bite sorti du pantalon, il n’avait pas de caleçon et c’était mieux ainsi, car comme cela, je pouvais également vois ses bourses. Je commençai à le branler comme si j’avais fait ça toute ma vie, entrecoupant les moments de caresses rapides avec des moments de caresses plus douces. Durant 10 bonnes minutes, je l’ai branlé, caressant chacun des centimètres carrés de sa bite et de ses couilles.

Puis il arrêta l’auto, devant un maison, il referma sa braguette et me dit de descende et de me préparer à une bonne partie de baise, selon ses propos.


Il ouvrit la porte, entra dans le hall d’entrée, je le suivit et dès que je fus entièrement entrer, il referma la porte et se jeta sur moi avec toute l’excitation qu’il avait contenu jusque là.
Il m’embrassa fougueusement, mêlant sa salive à la mienne. Je n’avais jamais senti quelqu’un d’aussi exciter de toute ma vie.

- Tu m’as bien chauffé, maintenant on va passer aux choses sérieuses, tu vas faire ce que je te dis. Me dit-il en m’embrassant le coup, où plutôt, devrais-je dire, en me léchant le coup. J’étais en extase, je n’étais plus moi-même, je vivais une sorte de rêve merveilleux dont je ne voulais absolument pas sortir, il ne fallait donc pas que je contrarie celui qui menait la danse.

- J’ai envie que tu me baise, je veux ta bite dans moi, fais de moi ce que tu veux…


Il s’écarta de moi quelques instants, me regarda dans les yeux et commença à se déshabiller en m’intimant l’ordre de faire pareil. Je m’exécutai, et nous nous retrouvâmes pour la première fois nu l’un devant l’autre, nos deux sexes en érection.


C’est à mon tour de te branler maintenant, tu as une belle bite, et elle est bien grosse, comme je les aime. Il commença donc ses mouvements de va et viens sur mon sexe et après quelques secondes, s’accroupis devant moi, la bouche à la hauteur de ma virilité dressée pour lui. Il approcha lentement la tête, en me regardant dans les yeux et posa sa langue sur le bout de mon gland dont s’échappait déjà du liquide du à mon état d’excitation. Sa langue lapait le bout de mon gland avec tendresse, alors que lui me regardait toujours pour voir comment je supportais ses caresses buccales. Au bout d’un moment, il ferma les yeux et ouvrit la bouche pour y engouffrer l’entièreté du gland.

-C’et bon, … jamais,…. Hooooo

Sa bouche commença à coulisser tout le long de ma verge, c’était une sensation exquise que je n’avais jamais ressentie jusque là. Bien meilleur que toute les pipes que mes ex m’avaient fait.

Sa bouche était même plus douce que l’intérieur d’un vagin, c’était l’extase pour moi, j’aurais voulu que sa dure comme cela pendant des heures. Malheureusement, l’excitation était trop grande, et je sentis que mon sperme n’allait pas tarder à sortir.
Je lui fit comprendre en gémissant plus fort, et en prenant sa tête pour la reculer (c’était l’habitude que j’avais prise avec beaucoup de filles qui trouvaient répugnant d’avoir du sperme dans la bouche). Visiblement, cela ne devait pas déranger André, parce qu’il serra les joues plus fort, aspirant véritablement mon gland tout en accélérant les mouvements de sa main droite sur ma bite et de sa main gauche sur mes couilles.

Je ne pus résister plus longtemps, et je sentis l’orgasme qui commençait à parcourir mon échine.

- Haaaaa, ou,…oui, …….c’est …Mhmmm, c’est bon,….. ;


D’un coup, sans crier gare, je déchargeai de longues coulées de perme dans le fond de sa gorge. C’était tout simplement merveilleux, quelle jouissance, éjaculer dans la bouche d’un homme qui continue ses mouvements de succion.

Je giclai à plusieurs reprises dans sa bouche, il continua encore quelques instants, en prenant garde de ne laisser échapper aucune goutte de ma semence si précieuse. Il lécha en encore un peu mon gland qui brillait, à cause de sa salive qui était déposée dessus, puis se leva, et m’embrassa à pleine bouche, me faisant goutter pour la première fois du sperme, et en plus le mien. J’étais éreinté, complètement épuisé par l’orgasme que je venais d’avoir, et pourtant, j’avais encore envie de lui, j’avais goutté mon sperme, mais pas le sien, et j’avais bien l’intention de le faire dans les minutes qui suivraient.

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