Un Retour En Train

Aurore et moi sommes tout les deux étudiant. chacun dans une ville différente. Mais la même ligne de train passe dans nos deux ville.

Un soir vers 20 heures mon train arrive en gare et ma copine monte pour me rejoindre. J'avais remarqué depuisle début de mon voyage qu'il avait pas mal d'agitation dans le train et surtout dans mon wagon. en effet nous étions sur le départ en permession d'un caserne de militaires. Tout d'un coup j'entendais siffler et remarquais quelques paroles plus fortes en core que d'ordinaire. Je compris qu'il devais se passer quelque chose et sorti de mon compartiment pour comprendre. J'aperce vias alors ma fiancée qui avait bien du mal à passer au milieu de tous ces mâles. Elle arriva enfin j'usqu'à mon compartiment où je lui avait réservé une place. Dans notre compartiment tout allait bien. Nous étions huit dont six personnes agées trés calmes puisqu'elles dormaient toutes malgrè le bruit dans les couloir du train.

A travers la vitre de la porte, je remarquais trois petits soldats qui prenaient visiblement du plaisir à regarder les belles jambes de man amour. Ceci était bien normal car elles étaient vraiment trés fines et longues. Aurore étaien toujours habillée de façon féminine. souvent en jupe. Souvent courtes. Ce soir là, nous etions au moins de mai, elle portait une jupe qui lui arrivait à mi-cuisse. Dessous elle portait des bas auto-fixant noirs et des bottes en cuir. en haut elle portait un petit pull de laine. Ses dessous étaient en dentelle blanche. Un peu plus tard, nous arrivions dans la prochaine gare. Les six dams de notre compartiment déscendirent du wagon et les trois jeunes hommes du couloir accompagnés de trois autres de leurs amis prirent place. Ma copine s'étaient endormies en moi je faisais mine de dormir. Ils commencèrent trés rapidement à faire des commentèrent salaces. L'un d'entre-eux alla fermer les rideaux du compartiment et baissa la lumière.

Un peu plus tard l'un d'entre-eux, clui qui s'était assis à côté de ma compine essaya de lui remonter légèrement sa jupe pendant notre sommeil.

Il faut avouer qu'aurore a le sommeil trés lourd et qu'elle a l'habitude que je lui prodigue des petites carresses pendant son sommeil. La jupe étaient désormais sue le haut de ses cuisses qu'elles écarté légérement. Les mec commencèrent à ouvrir leur braguette pour se masturber. Le plus proche prenant un peu plus d'assurance commança à luis caresser les cuisses puis sa chatte à travers son string blanc laissant voir ses poils blonds à travers la dentelle. Tout en dormant elle émetait de petis gémissements qui exitèrent tous les gars ducompartiments. Sous les caresses de son voisin puis d'un second, inconsciemment elle écarta plus amplement les jambes. Les garcons qui lui faisaient face dire à voix haute que sa culotte était trempée.Ceux qui la la caressaiantconfirmèrent tous en coeur. Soudainr elle se réveilla et dans mouvement de panique s'agita. Deux des militaires l'attrapèrent pour la maintenir et un autre lui mit la main sur la bouche pour l'empêcher de crier. Un quatrième lui expliqua qu'ils ne lui voulaient aucun mal.Ca fsaisait deux mois su'il n'avaient pas eu de permission et qu'ils navaient pas vu de filles. Elle lança un regard vers moi et s'aperçu que dormais. Etonnez, car j'ai le sommeil léger, elle comprit que ça devez me faire plaisirde la voir se faire tripoter par plusieurs mecs en même temps. Elle devint beaucoup coopératrice avec nos six soldats. L'un d'eux lui enleva son petit haut et fit apparaître sa poitrine trés généreuse mise en valeur dans un trés beau soutien-georges de dentelles blanches. Il se mit à lui embrasser fougeusement les seins qu'il finit par libérer de leur écrain. Un autre avait fourrer sa tête entre ses cuisses et lui titillait le clitoris par dessus la culotte trempée de mouille et de bave. un troisième monta sur les sièges après avoir enlevé son pantalon et son slip et se plaçà face à elle. Elle prit son sexe dans dans sa bouche après l'avoir léché longuement. Sous la langue du premier sa poitrine se durssissait et sous celle du second sa chatte mouillait. Lorsque le troisième lui éjacula dans le bouche et sur le visage elle jouit en hurlant et en se trodant de plaisir. Les trois autres qui avaient déjà éjaculé sous l'effet de se spectacle formidable avaient reprit des forces. Ils la firent se mettre à quatre pattes sur les sièges en virent la prendre en levrette les uns après les autres et certains plusieurs fois. Elle se tourna enfin vers moi tout en presantant sa croupe et son anus à qui voulait les prendre. Elle ouvrit ma braguette me suça dans mon pseudo sommeil. Elle su donc que je dormez pas vraiment car je bandais comme un dieu.