Conte Pervers Épisode 1
Une drôle d'histoire avec ma copine
Le 13 juillet 2004 - Inspiré de faits réels - Seuls les prénoms ont été modifiés pour préserver notre vie privée.
Je m'appelle Franck, j'ai 29 ans, et je sors depuis 1 an 1/2 avec Sandrine, 24 ans. Nous nous entendons à merveille, pour preuve nous avons décidé de nous installer ensemble le mois dernier dans un petit village à côté d'Auxerre. Nous partageons beaucoup de tendresse et d'affection, mais je dois dire que depuis quelques mois nos relations sexuelles se sont raréfiées, banalisées, voire détériorées, alors qu'au début nous faisions l'amour n'importe où, n'importe quand, et n'importe comment (ou presque) ! Nous avons essayé de trouver des solutions ensemble mais sans succès pour l'instant.
Sandrine est incroyablement jolie, merveilleuse à mes yeux. Elle mesure 1m61 pour 50 kg, longs cheveux chatains clairs avec des mèches blondes, 85B de tour de poitrine et ça tombe bien parce que j'adore les petits seins je trouve ça beaucoup plus excitant que des grosses mamelles pendantes ! Elle a vraiment un corps de rêve, une peau douce, un visage d'ange, toujours souriante, elle respire la fraicheur, sa peau sent la vanille ou la noix de coco, et plus elle s'habille léger mieux elle se sent ! Bref elle est totalement craquante, tout à fait à l'image qu'on peut avoir de la plus jolie majorette de sa troupe lorsqu'elle était adolescente.
Cela fait maintenant 2 mois 1/2 qu'elle travaille comme serveuse dans un bar-restaurant du centre d'Auxerre. De part son charme et son physique j'aurais toutes les raisons de m'inquiéter des clients qui aimeraient bien terminer la nuit avec elle, mais ce n'est pas le cas, j'ai entièrement confiance car c'est une fille formidable et admirable.
Pourtant, la semaine dernière, je voulais lui faire une surprise pour fêter les 18 mois de notre rencontre. Je suis donc allé l'attendre à la sortie de son boulot, vers minuit, avec un bouquet de roses, me cachant dans un bosquet pour la surprendre dans mes bras et l'embrasser passionnément comme on le fait chaque soir quand elle rentre à la maison et que je suis là à l'attendre.
C'est peu avant minuit, alors que je venais d'arriver, que je l'aperçois enfin sortir par la porte principale. Je suis d'abord surpris car je croyais qu'elle ne terminait pas avant minuit et demi, voire une heure. Fidèle à sa coquetterie, elle est habillée d'un bout de tissu ridiculement petit et léger, je reconnais sa robe blanche à volants, si courte et si légère qu'on s'imagine aisément marcher derrière elle dans les escaliers en humant la fraiche odeur de son intimité. En-dessous elle doit porter un de ses strings blancs en dentelles car c'est le seul sous-vêtement qui peut éventuellement se cacher derrière le tissu si fin de sa robe. A moins que celle-ci ne soit son seul et unique vêtement de la soirée... Même par transparence et de face on n'apercevrait pas le moindre triangle obscur, car Sandrine, qui a horreur des poils, s'épile soigneusement et intégralement tous les soirs en se préparant avant de partir. Ses longs cheveux détachés se balancent au rythme de son pas gracieux, alors que les volants de sa robe se soulèvent discrètement à la même cadence, me laissant imaginer les yeux de la vieille clientèle perverse se régaler du spectacle de sa sortie.
Malgré la possibilité que Sandrine soit totalement nue sous sa robe, ne croyez pas qu'elle est du genre provoquante, bien au contraire ! Simplement même le plus beau sous-vêtement ne lui suffirait pas à se sentir totalement à l'aise, d'ailleurs elle dit elle-même que si elle pouvait elle vivrait nue. Toutefois j'ose espérer qu'au milieu d'une clientèle essentiellement masculine et virile, ma chérie aura eu la bienveillance de se parir du minimum "légal".
Il m'aura fallu une seconde pour penser à tout cela avant d'écarquiller les yeux en constatant que Sandrine sort du bar-restaurant au bras d'un inconnu ! Un type plutôt costaud mais bas de poitrine, la trentaine. Et mon coeur se met à battre la chamade en voyant qu'au lieu de se diriger vers sa voiture, elle part dans la direction opposée au bras de cet homme.
Ils traversent ainsi ensemble la rue et se dirigent vers le parking en face du restaurant. Bien entendu je m'empresse de les suivre en restant discret pour en avoir le coeur net. Le parking est à côté d'un parc de promenade, les arbres et buissons ne manquent pas pour se cacher, et c'est ainsi que je peux suivre leur petit manège. Je les entends discuter et rire mais sans comprendre leurs paroles. Ils arrivent à hauteur d'une vieille 205 rouge et soudain tout se précipite : le gros inconnu att Sandrine par le bras et la pousse brutalement contre la portière de la voiture. Mon premier réflexe de prince charmant me dit de voler au secours de ma bien-aimée, mais je suis retenu au dernier moment par la surprise de voir que celle-ci ne cherche visiblement pas à se défendre... Il faut dire que Sandrine a l'air d'une petite puce à côté de ce molosse d'un mètre quatre-vingt et pas loin de 100 kilos à vu d'oeil. Et voici que ce dernier att ma petite majorette par les cheveux et la force sans ménagement à se laisser tomber à genoux devant lui.
Mais Sandrine n'aime pas être à genoux devant un homme ! Certes elle le faisait pour moi au début, mais ensuite elle m'a vite fait comprendre qu'elle préfére dominer la situation, ce qui d'ailleurs a sans doute été le début de nos difficultés sexuelles car moi aussi je préfère la position dominante.
Toutefois me voici contraint d'accepter l'évidence : Sandrine est là avec un garde du corps que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, je les vois de profil, à 10 mètres de moi, ma bien-aimée à genoux, coincée le dos contre une vieille voiture, les mains à plat sur ses cuisses comme si elle attendait quelque chose, et le visage à hauteur de la braguette du goujat. A-t-elle peur ? Il faut dire que l'homme impressionne, à tel point que je ne sais plus si les battements de mon coeur trahissent ma peur du colosse ou celle de ce qui va arriver à ma douce et tendre chérie.
Je suis pétrifié devant le spectacle de cet homme qui ouvre sa braguette tel un exhibitionniste pervers montrant sa vieille queue frippée à une écolière dans la cour du lycée.
A peine le temps pour Sandrine d'écarquiller les yeux et voilà que notre monstre att celle-ci d'une main par les cheveux pendant qu'il lui enfourne de l'autre sa queue démesurée dans la bouche, qu'elle a dû ouvrir par réflexe sur le coup de la surprise. Il lui tient maintenant la tête par les deux mains et sans aucun ménagement lui envoie des coups de reins d'une brutalité affolante, en allant jusqu'à buter au fond de la gorge de ma pauvre petite majorette sans défense, qui doit être au bord de l', et qui ne peut que crisper ses mains sur le tissu de sa robe pendant quelques minutes qui doivent lui sembler une éternité.
Car oui, la scène durera ainsi de longues minutes, et moi je me sens honteux de regarder sans intervenir, mais en même temps je veux connaître la suite et un frisson d'excitation dans mon pantalon me conforte dans cette idée.
C'est alors que le violeur de ma copine accélère la cadence et commence à pousser des gémissements de plus en plus forts, le genre qui précèdent la jouissance chez un homme. Ce n'est pas vrai, ce n'est pas possible, il ne va quand même pas faire ça ! Cette grosse brute ne va quand même pas éjaculer dans la bouche de la femme de ma vie ! Elle a horreur de ça, quand elle me fait une fellation jusqu'au bout elle sort ma queue de sa bouche au dernier moment et me laisse éjaculer sur son visage, par amour dit-elle, mais en prenant soin de garder les lèvres serrées.
Pourtant, le mastodonte balance un dernier coup de rein en enfonçant sa queue tout au fond de la gorge de ma chérie dont il tient fermement la tête contre lui, et pousse un beuglement qui ne laisse aucun doute : ce gros porc est entrain de se décharger les couilles au fond de la gorge de sa victime, dont les yeux grands ouverts trahissent un mélange de surprise et d'impuissance, alors que des larmes coulent désormais sur ses joues.
Peine perdue : lorsqu'enfin l'agresseur de ma fiancée daigne sortir son dard, il att d'une main les cheveux de ma douce, lui tire la tête en arrière, la regarde méchament et lui intime un ordre sur un ton particulièrement persuasif : "avale, salope !".
Mon coeur est en plein cauchemard, mais mon sexe est à la limite d'exploser lorsque je vois ma douce petite majorette fermer lentement la bouche, et grimacer en découvrant avec amertume le goût âcre et salé de la substance blanchâtre et pâteuse, à chaque petite gorgée de sperme qu'elle avale avec difficulté et résignation.
Pour marquer la fin du calvaire, le monstre (on ne peut pas le qualifier autrement) jette litérallement ma chérie au sol, et s'en va vers sa voiture en la laissant ainsi, violée et humiliée, pleurnichant sur son sort.
Une fois l'inconnu parti, je réalise que j'ai éjaculé peu après lui, au moment où Sandrine "dégustait" les premières gorgées de son sperme. Elle gît là, sur le sol, tremblante et pleurnichante, et moi je n'ose aller vers elle, afin de ne pas trahir ma présence et surtout mon innaction devant la scène.
Lorsque je la vois se relever, je me décide à rapidement rejoindre ma voiture afin d'être le premier à la maison. Un quart d'heure plus tard je l'entends rentrer et je me force à dissimuler ce que je sais en allant l'accueillir à la porte. Comme pour conclure une soirée à surprises, je la vois toute fraiche et toute guillerette, elle se jette dans mes bras et m'embrasse fougueusement comme à son habitude. Je me laisse aller à ce baiser passionné dans lequel nos langues se mélangent, lorsque soudain je réalise avec effroi et impuissance que ce baiser a un goût âcre et salé...
A suivre
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